Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Libération
par Gérard Lefort
Lorsque "Être là" prend son envol, ces choix formels s'imposent comme des nécessités.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Marion Pasquier
Le film frappe fort en irradiant les plans de la présence des êtres absents de l'image.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Mélissa Blanco
Le "là" du titre, c'est la prison. Mais c'est aussi être là, dans le présent, comme soutien moral à des prisonniers-patients en souffrance. Un documentaire-témoin particulièrement fort, à la forme pensée et aboutie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) pour un résultat moins séduisant a priori, certains diront plus ingrat, que ne l'était "Nous, princesses de Clèves", mais tout aussi fort.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Un admirable film, qu'il faut à tout prix découvrir.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-noelle Tranchant
Un témoignage remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Immergé au coeur du service psychiatrique des Baumettes, Régis Sauder révèle l'incessant travail de doute et de confiance auquel les soignantes se livrent pour comprendre le sens de leur présence.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Documentaire édifiant sur l'exercice de la psychiatrie en prison.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Filmé en noir et blanc, Régis Sauder ("Nous, princesses de Clèves") concilie exigence formelle, rigueur du point de vue de la caméra et pertinence du montage dans une synergie qui signe la réussite de ce documentaire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Mathilde Blottière
Le cinéaste a fait des contraintes du lieu - l'interdiction de filmer les prisonniers - un atout (...) documentaire poignant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le filmeur se tait mais il assume pleinement sa place. La forme parfois esthétisante la marque encore plus nettement, mais les séquences parlées auraient suffi, tant cette présence invisible suffit à faire du film un lieu d'écoute intense.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Isabelle Regnier
En confrontant leur parole à celle des détenus, le film interroge avec justesse le rapport entre l'individu, la société et la prison.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Vincent Thabourey
A partir d'un dispositif soigné, déontologiquement irréprochable - un micro attrape-tout et une caméra qui ne filme pas les visages des détenus - Régis Sauder confirme, après "Nous, princesses de Clèves", qu'il est un cinéaste de la parole, du récit de vie.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Bernard Achour
(...) cette plongée dans le quotidien du personnel soignant féminin (...) affiche la volonté d'être un "spectacle" audiovisuel où cadrages, effets de montage (...) harponnent sans cesse l'attention.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Maxime Bey-Rozet
Un beau sujet pour un documentaire, mais Régis Sauder avait, semble-t-il, si peur de céder aux dangers inhérents à une telle entreprise (...) qu'à force de se garder de tout, il ne parle plus de rien.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Libération
Lorsque "Être là" prend son envol, ces choix formels s'imposent comme des nécessités.
Critikat.com
Le film frappe fort en irradiant les plans de la présence des êtres absents de l'image.
Ecran Large
Le "là" du titre, c'est la prison. Mais c'est aussi être là, dans le présent, comme soutien moral à des prisonniers-patients en souffrance. Un documentaire-témoin particulièrement fort, à la forme pensée et aboutie.
L'Obs
(...) pour un résultat moins séduisant a priori, certains diront plus ingrat, que ne l'était "Nous, princesses de Clèves", mais tout aussi fort.
La Croix
Un admirable film, qu'il faut à tout prix découvrir.
Le Figaroscope
Un témoignage remarquable.
Les Fiches du Cinéma
Immergé au coeur du service psychiatrique des Baumettes, Régis Sauder révèle l'incessant travail de doute et de confiance auquel les soignantes se livrent pour comprendre le sens de leur présence.
Les Inrockuptibles
Documentaire édifiant sur l'exercice de la psychiatrie en prison.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Filmé en noir et blanc, Régis Sauder ("Nous, princesses de Clèves") concilie exigence formelle, rigueur du point de vue de la caméra et pertinence du montage dans une synergie qui signe la réussite de ce documentaire.
Télérama
Le cinéaste a fait des contraintes du lieu - l'interdiction de filmer les prisonniers - un atout (...) documentaire poignant.
Cahiers du Cinéma
Le filmeur se tait mais il assume pleinement sa place. La forme parfois esthétisante la marque encore plus nettement, mais les séquences parlées auraient suffi, tant cette présence invisible suffit à faire du film un lieu d'écoute intense.
Le Monde
En confrontant leur parole à celle des détenus, le film interroge avec justesse le rapport entre l'individu, la société et la prison.
Positif
A partir d'un dispositif soigné, déontologiquement irréprochable - un micro attrape-tout et une caméra qui ne filme pas les visages des détenus - Régis Sauder confirme, après "Nous, princesses de Clèves", qu'il est un cinéaste de la parole, du récit de vie.
Première
(...) cette plongée dans le quotidien du personnel soignant féminin (...) affiche la volonté d'être un "spectacle" audiovisuel où cadrages, effets de montage (...) harponnent sans cesse l'attention.
Transfuge
Un beau sujet pour un documentaire, mais Régis Sauder avait, semble-t-il, si peur de céder aux dangers inhérents à une telle entreprise (...) qu'à force de se garder de tout, il ne parle plus de rien.