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Votre avis sur The Cloverfield Paradox ?
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Évidement je n'attendais pas des merveilles de cette production Netflix, mais là, il faut admettre que l'on atteint un gouffre d'inepties, d'incongruités et d'effets horrifiques faciles, pour adolescent, l'ensemble ressemblant plus à un train fantôme de fête foraine qu'à un (télé)film.
Un triste avatar d'Event Horizon.
Aucune idée intéressante, aucune consistance un peu scientifique sur ce qui pourrait être un très bon sujet: les paradoxes temporels, les multi-univers, les dimensions cachées... Consternant !
Un triste avatar d'Event Horizon.
Aucune idée intéressante, aucune consistance un peu scientifique sur ce qui pourrait être un très bon sujet: les paradoxes temporels, les multi-univers, les dimensions cachées... Consternant !
Le troisème opus de la série Cloverfield, mais qui cette fois se retrouve loin de nos espérances en connaissant la qualité des deux premiers. L'histoire est brouillonne et trop mélo, une partie du casting peu convaincante proche du genre des téléfilms, et toute la partie intéressante du multiverse est saccagée. Par contre, c'est visuellement sympa.
2 pour les effets spéciaux parfois à couper le souffle. Pour le reste, scenario peu convainquant, sans but, je dirais même épuisant.
spoiler:
Quand à la toute fin, elle prêterait même à sourire, à la limite du grand guignol...
si on oublie la logique qui annonce le film comme une suite du Cloverfield d'origine, il s'agit ici d'un film de science fiction plutôt côrrect et prenant.
3ème film du Cloververse, ce film de SF a été financé par Netflix; par conséquent on pouvait attendre un minimum de qualité. Contrat en partie rempli: si le thème abordé est assez classique dans le genre, la réalisation s'en sort à peu près bien. Pareil pour les acteurs, certains étant meilleurs que d'autres. Quelques longueurs et situations WTF ternissent le tableau malheureusement. Toutefois je ne serai pas trop sévère ds ma note, car je trouve l'univers Cloverfield prometteur et original ds sa démarche. 3/5 : pas mal ms peut mieux faire.
La manière dont Netflix a orchestré la sortie de ce ‘Cloverfield paradox�, avec trailer inédit diffusé en entame du SuperBowl suivi de l’annonce que le film serait disponible sur le réseau juste après le match, est LA raison qui explique son succès et son visionnage par des millions de spectateurs en l’espace de quelques jours. La seule. Rien à voir avec la qualité ou l’originalité du produit, car ce Survival spatial où des astronautes se font tuer les uns après les autres alors qu’ils tentent de trouver une explication aux étranges phénomènes qui secouent la station spatiale où ils travaillent, s’avère bancal au possible: au fil d’un script singulièrement mal écrit, les morts plus ou moins originales se succèdent dans un désintérêt digne des derniers épisodes de ‘Destination finale’. Alors que ses enjeux se veulent planétaires et à prendre au premier degré, on écope périodiquement de petites éruptions d’humour incongrues qui cadrent mal avec le reste. ‘Cloverfield paradox� donne à ce point l’impression d’être passé entre les mains de scénaristes successifs qui ne se sont consultés à aucun moment qu’on ne comprend même pas l’utilité de certaines scènes, comme celles qui se déroulent sur Terre, totalement superflues, tandis que le scénario accumule les retournements de situation et les révélations pour accomplir ce véritable tour de force qu’est son incapacité à faire repartir l’intérêt à la hausse. Le pire est sans doute que ‘The Cloverfield paradox’ accumule les tentatives désespérées de se raccrocher à ‘Cloverfield’, pour rappel Godzilla-like filmé caméra-à-l’épaule sorti en 2008, qui n’avait sans doute pas tout à fait la carrure pour se transformer en univers à part entière : si on pouvait trouver intéressant de pouvoir appréhender l’apocalypse par le petit bout de la lorgnette avec le Thriller confiné ‘10 Cloverfield lane’, ‘The Cloverfield paradox’ se pique de résoudre le mystère et d’apporter une explication définitive à l’irruption de monstruosités extraterrestres sur terre. Finalement, on n’apprend pas grand chose de la manière dont survient le cataclysme (ce n’est pas parce qu’on cale ‘Accélérateur de particules’ dans le problème que ça explique tout) et, quelque part, c’est logique puisque que le film, initialement appelé ‘God particle’, n’entretenait à l’origine aucun lien avec Cloverfield, ce qui permet au moins de comprendre pourquoi toutes ces passerelles, rajoutées in extremis à la mixture, donnent à ce point l’impression d’une construction artificielle.
Dans l’espoir de créer une source d’énergie aux hommes ayant pourtant épuisé la Terre, un vaisseau spatial expérimental tente d’activer un accélérateur de particules dans notre orbite. Il en résulte une téléportation du navire dans un univers alternatif, et un funeste télescopage de réalités parallèles dans le nôtre. Le film catastrophe, le survival, la fiction et l’huis-clos dans un bâtiment de l’espace ne sont pas nouveaux mais savent nous prendre au jeu. L’originalité, même si ce n’est pas nouveau non plus, se trouve dans l’enchevêtrement de logiques physiques discordantes, qui parvient à nous captiver également dans une aventure qui se regarde avec plaisir. S’agitant dans les aberrances à progression géométrique, contraintes de coexister dans le même continuum, l’équipage international opte pour la fuite et le retour en arrière.
Bien que les scenarios n’aient rien à voir avec Cloverfield et 10 Cloverfield lane, on y retrouve les thèmes récurrents de science-fiction, de mixage et de menace extra-terrestre, de basculement trans-dimensionnel, mais aussi de malaises, tensions et confrontations d’humains, encore une fois dans le confinement, sous fond d’enjeu qui les dépasse, et qui ne peuvent que s’enfoncer dans leur paranoïa ou bien gagner en exploitant leurs vertus. On y retrouve le semi-non-dit d’une intrigue de fond sciemment non expliquée, encore que cet épisode apporte des lumières sur les deux précédents opus. Le goût en commun des conclusions insupportablement inachevées aussi, invitant les réalisateurs à étayer ou au contraire à entretenir ce style, et nous ouvrant une troisième fois la porte à nos apocalypses imaginaires.
Bien que les scenarios n’aient rien à voir avec Cloverfield et 10 Cloverfield lane, on y retrouve les thèmes récurrents de science-fiction, de mixage et de menace extra-terrestre, de basculement trans-dimensionnel, mais aussi de malaises, tensions et confrontations d’humains, encore une fois dans le confinement, sous fond d’enjeu qui les dépasse, et qui ne peuvent que s’enfoncer dans leur paranoïa ou bien gagner en exploitant leurs vertus. On y retrouve le semi-non-dit d’une intrigue de fond sciemment non expliquée, encore que cet épisode apporte des lumières sur les deux précédents opus. Le goût en commun des conclusions insupportablement inachevées aussi, invitant les réalisateurs à étayer ou au contraire à entretenir ce style, et nous ouvrant une troisième fois la porte à nos apocalypses imaginaires.
Troisième volet de la série des "Cloverfield", "The Cloverfield Paradox" est le premier de celle-ci à ne pas être sorti au cinéma. Disponible directement sur Netflix, ce nouvel épisode a clairement laissé un gros doute dans mon esprit, après les deux premiers excellents volets. Clairement, il n'est pas une immonde catastrophe, mais il est clair que ce projet frôle drastiquement le nanar dans son écriture. Et quand on compare avec ce qui avait été fait avant, la douche est clairement très froide. Le principal problème de ce film venant principalement de son idée principale, du fait de vouloir expliquer les origines de tous ces événements. Et on se demande donc rapidement, à quoi bon cela va servir ? Si les deux précédents volets sont si fort, c'est parce qu'ils sont énigmatiques, et qu'ils réussissent à surprendre par une ambiance pesante et mystérieuse. Le fait de lever le voile sur tout cela va clairement enlever toute l'aura de ceux-ci. Mais le pire n'est pas vraiment l'idée d'origine au final, mais l'exécution de celle-ci. Globalement, le long-métrage fais absolument n'importe quoi avec son concept de dimension parallèle. On comprend très vite que rien n'a de sens, et que les événements s'enchaînent de manière incohérente. C'est ce genre d'éléments de scénaristes qui ne sait pas comment raconter son film, qui va donc justifier tout cela par un concept inconnu, dans l'optique de faire n'importe quoi. Sauf que rien ne réussit à avoir de sens, ou à avoir d'identité propre. On a plus la sensation d'un immense mélange de plein de films déjà existants, alors que cette licence avait toujours su se développer une identité vraiment forte. Donc même si le film reste plutôt joli à certains moments, avec des décors crédibles et des effets spéciaux de qualité, l'histoire de ce nouvel opus semble complètement à la ramasse. Ne réussissant jamais à se créer une véritable ambiance ou à nous faire apprécier les personnages, malgré un joli casting, ce troisième opus se retrouve à n'être qu'un épisode sans saveur et à oublié. Pour conclure, une déception.
Ouille...
J'ai deux sensations après avoir vu ce film...
1. Soit les scénaristes sont de vrais cinéphiles et ont décidé de réaliser un film parodique en piochant dans tous les clichés des films catastrophes spatiaux depuis le début du genre. Ce qui en fait un film référence !!! Et bravo les mecs car ils n'ont rien oublié... Des pointures ! Le maitre étalon de ce qu'il ne faut plus faire.
2. Soit ils sont totalement incultes et avaient une vraie intention de faire un film original et sont tombés dans tous les clichetons du genre, parce que tout y est. C'est mauvais de chez mauvais. Aucune surprise, aucune tension, rien... Même si rien ne tient debout on aurait pu se consoler avec des images et une esthétique un peu fraiche mais même pas. les images sont ordinaires...
A moins qu'ils aient bien calculé leur coup et tout misé sur une probable audience un peu légère et crédule...
Bref, j'ai perdu 2 heures.
J'ai deux sensations après avoir vu ce film...
1. Soit les scénaristes sont de vrais cinéphiles et ont décidé de réaliser un film parodique en piochant dans tous les clichés des films catastrophes spatiaux depuis le début du genre. Ce qui en fait un film référence !!! Et bravo les mecs car ils n'ont rien oublié... Des pointures ! Le maitre étalon de ce qu'il ne faut plus faire.
2. Soit ils sont totalement incultes et avaient une vraie intention de faire un film original et sont tombés dans tous les clichetons du genre, parce que tout y est. C'est mauvais de chez mauvais. Aucune surprise, aucune tension, rien... Même si rien ne tient debout on aurait pu se consoler avec des images et une esthétique un peu fraiche mais même pas. les images sont ordinaires...
A moins qu'ils aient bien calculé leur coup et tout misé sur une probable audience un peu légère et crédule...
Bref, j'ai perdu 2 heures.
Mon dieu, mon dieu, mon dieu... que c'est mauvais. Que peut-on racheter ? La photo ? Les effets spéciaux ? Des moyens conséquents ? Mais le reste... Le scénario est nul, on devine tout à l'avance. Les stéréotypes sont de mise :
spoiler:
le russe méchant, la chinoise travailleuse, l'Allemand technicien, l'italien blagueur et croyant, le brésilien faiblard et croyant, l'anglaise sensible et l'américain qui se sacrifie généreusement pour son équipe. Les couleurs de peau sont bien représentées pour faire politiquement correct.
On ajoute à cela un peu de mélo mais dont on s'en fout, spoiler: des séquences sur terre ridicules et surtout un gros monstre à la fin qui apparaît cinq secondes.
Bref, à éviter sauf si vous aimez les nanards à gros budget.
On ajoute à cela un peu de mélo mais dont on s'en fout, spoiler: des séquences sur terre ridicules et surtout un gros monstre à la fin qui apparaît cinq secondes.
Bref, à éviter sauf si vous aimez les nanards à gros budget.
A près l'excellent The cloverfield lane, je me suis réjouis du prochain. Naïvement j'ai cru à une suite mais la déception fut lourde. Se servir de ce titre comme une franchise, croyant que les fans du premier tomberaient dans le panneau étaient une grosse erreur! Scénario mauvais voir brouillon, peu d'action mais des torrents de dialogues Des acteurs très moyens et caricaturés, une réalisation qui fait penser à un téléfilm au maigre moyens financiers, ça sent le cheap tout ça, il n'y a qu'à voir les costumes.Quelques bonnes idées en milieu de film pour démontrer ce fameux paradox mais c'est court et ça s'essouffle vite. La fin est de très mauvaise facture, on frôle le nanard, une bien grosse déception à la vue du titre emprunté !!
Nicolas V
Rien de bien époustouflant de la part de cette grosse production Netflix.
La suite de la saga Cloverfield ( dont les liens sont anodins et sans véritables intérêt ) s'enlise dans un scénario très vite devinable. Dès que le risque de mondes parallèles peuvent se "mélanger" est cité, le scénario devient prévisible.
Trois scènes se voulant "choc" permettent d'étaler un suspense trop fragile sur la longueur du film. Et la réflexion de l’héroïne envers ses enfants et intéressante mais ne parvient pas a rendre le film si original.
Un scénario qui se devine trop vite, des personnages pas assez développés ( problèmes récurrents ) et pas vraiment de grandes scènes charismatiques pour sauver le tout.
Cloverfield paradox fait triste mine face aux deux films précédents de la saga , originaux et bien plus intense.
La suite de la saga Cloverfield ( dont les liens sont anodins et sans véritables intérêt ) s'enlise dans un scénario très vite devinable. Dès que le risque de mondes parallèles peuvent se "mélanger" est cité, le scénario devient prévisible.
Trois scènes se voulant "choc" permettent d'étaler un suspense trop fragile sur la longueur du film. Et la réflexion de l’héroïne envers ses enfants et intéressante mais ne parvient pas a rendre le film si original.
Un scénario qui se devine trop vite, des personnages pas assez développés ( problèmes récurrents ) et pas vraiment de grandes scènes charismatiques pour sauver le tout.
Cloverfield paradox fait triste mine face aux deux films précédents de la saga , originaux et bien plus intense.
Ce film est malheureusement pas à la hauteur du deuxième opus cloverfield qui pour moi est la référence. Des longueurs et des moments où l'on ne finit par plus comprendre le sens du film.
Plutôt déçu, j'avais apprécié les 2 premiers opus et j'avais hâte de voir celui-ci. Côté réalisation : ras, le job est fait. Côté acteurs : bon casting, ça joue juste. Côté scénario : ouh la la, c'est creux, ça discute beaucoup durant le film, beaucoup d'incohérence ( une station internationale avec un chinoise qui ne parle que sa langue, c'est un peu bizarre, une main coupée qui indique où trouver le giropode ( qu'est que c'est arrangeant et facile ). des sous intrigues qui nous emm... tellement ( cf la pauvre hamilton qui veut retrouver sa famille... ), des scènes se déroulant sur terre complètement inutile. le seul intérêt du film se trouve 10 secondes avant le générique de fin.
Desservi par une intrigue aux airs simplistes à base de dimensions parallèles et de voyages temporels qui peuvent justifier à peu près tout et n'importe quoi, on ne peut toutefois réfuter à The Cloverfield Paradox ses qualités visuelles, son casting efficace, bien qu'handicapé par une écriture parfois grossière, au sein duquel figure Daniel Brühl (Inglorious Basterds, Intruders), ainsi que son coup de communication imparable qui saisit une fois encore le public là où il ne s'y attendait pas. La critique complète sur le site Terreurvision.com
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