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gunbuster
388 abonnés
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0,5
Publiée le 25 décembre 2019
En parcourant le catalogue Netflix, je tombe sur ce volet de la trilogie Cloverfield. Ici, l’Humanité a consumé toutes ses ressources énergétiques et décident de lancer une sorte de réacteur galactique pour avoir de l’énergie à l’infini, et éviter une guerre pour les ressources sur Terre. Alors si vous avez déjà lu un article sur les énergies fossiles et renouvelables, et sur la géopolitique de votre vie, vous savez que le scénariste du film en sait moins que vous sur ce sujet. Deuxièmement, le film reprend le pitch de tous les films de catastrophes dans l’espace à l’identique de la série YouTube Origin (2018) : accident de dépressurisation, folie de l’équipage, et évènements paranormaux voir contact extraterrestre. Le film enfile les clichés et raccourcis scénaristiques comme les colliers à une perle, en se permettant toutes les erreurs de mise en scène possibles. Seuls les décors, effets spéciaux et accessoires sont réussit, ainsi que la présence de la toujours charmante Gugu Mbatha-Raw, ainsi qu’Elizabeth Debicki dans un rôle de spationaute frigide et maligne. Le film cumule tant d’incohérences, de situations illogiques, qu’il en arrive presque au niveau du nanaresque Opération Chaos (2008), le film pourrait être une grande comédie pris sous l’angle de la parodie ou du second degré, mais les auteurs ont l’outrecuidance de se prendre au sérieux et d’essayer de bricoler un sens pseudo-philosophiques à tout ça. Idem pour les scènes avec le mari resté sur Terre, qui casse le huit-clos spatial de manière intempestive, une erreur handicapante, symptomatique de leur échec artistique et narratif.
Même si "The Cloverfield paradox" peine à se défaire de ses références ("Alien", "Sunshine", "Event horizon"...), le concept de croisement entre deux dimensions permet d’introduire des situations originales et étranges compensant un récit trop balisé et parvenant à créer la surprise au milieu de rebondissements parfois trop attendus.
The Cloverfield Paradox est un petit film de SF très classique au premier abord et qui ne prend aucun risque que ce soit concernant son schéma narratif ou son intrigue. Si le casting fait le job et que la réalisation n'est pas mauvaise, il est bien difficile de s'emballer tant tout a un air de déjà vu, heureusement quelques scènes originales agrémentent l'ensemble mais c'est loin d'être mémorable. À priori le métrage est la suite de Cloverfield et de 10 Cloverfield Lane, il s'avère pourtant être le moins intéressant et le moins novateur, d'ailleurs mis à part l'image finale le rapport entre les deux autres films est insignifiant. En revanche on a hâte de découvrir le prochain 4ème opus et le lien éventuel entre tous les épisodes de cette saga décidément bien opaque.
Desservi par une intrigue aux airs simplistes à base de dimensions parallèles et de voyages temporels qui peuvent justifier à peu près tout et n'importe quoi, on ne peut toutefois réfuter à The Cloverfield Paradox ses qualités visuelles, son casting efficace, bien qu'handicapé par une écriture parfois grossière, au sein duquel figure Daniel Brühl (Inglorious Basterds, Intruders), ainsi que son coup de communication imparable qui saisit une fois encore le public là où il ne s'y attendait pas. La critique complète sur le site Terreurvision.com
"Les résidents de la station vont alors être confrontés à l'étrange présence d'une autre station spatiale tout près de leur position" ? Non, il n'y a pas d'autre station du tout... Voici un synopsis exact. En 2028, la Terre souffre d'une crise d'énergie majeure. Tous les espoirs reposent sur une mission à bord d'une station spatiale internationale (et non américaine) nommée Cloverfield. A son bord, un accélérateur de particules est testé. Après une énième tentative de lancement de la machine, une surcharge se produit. Suite à cet incident, les scientifiques de la mission découvrent que la Terre a disparu. D'autres événements étranges vont alors se produire au sein de la station, mettant en danger l'ensemble de l'équipage. Malgré un scénario parfois un peu brouillon, j'ai plutôt apprécié Le paradoxe Cloverfield. C'est correctement joué et l'intrigue se suit assez plaisamment, avec une fin annonçant certainement une suite.
Ce film est une arnaque totale. Le fait de faire appel à des vedettes allemande, chinoise, scandinaves et Britanniques, était une vitrine pour faire diversion, et pour appâter le chaland. Faire croire que l’origine internationale du casting était le reflet du côté innovant, et universel du film ; et indirectement le projet sur lequel le scénario se base : une équipe mondiale pour sauver le monde grâce à un procédé inédit : un accélérateur de particules. Mais l’innovation ne s’arrête que dans l’énoncé seul de l’amorce scénaristique. Tout le maillage de l’intrigue est bidon. Et c’est là où le film porte bien son titre de paradoxe. Déjà vu ET invraisemblable. Apparemment antinomiques, ces deux notions sont pourtant réunies par Julius Onah. Non content de surfer sur un scénario cousu de fil blanc, il se base sur des rebondissements dont chacun pris séparément est un élément que d’autres cinéastes, avant lui ont usé, voire même abusé. Tout cela aboutissant à un ensemble totalement inepte.
Alors que je m'attendais à quelque chose dans la lignée de "Solaris" ou "Event horizon", je me suis retrouvé à regarder un truc grotesque (la scène du bras étant le summum) et totalement inintéressant. A force de proposer des films d'une qualité aussi médiocre (même s'il y a de temps en temps de très bonnes choses), Netflix va faire fuir les spectateurs de ses productions...
Ce nouvel opus de l'univers Cloverfield nous propose un voyage dans une station orbitale qui perd le contrôle... Le scénario se perd et nous perd mais intéresse malgré tout... Sans être le naufrage annoncé, ce film se regarde sans déplaisir...
Troisième volet de la franchise Cloverfield, The Cloverfield Paradox est également le pire long-métrage de cette série de films qui n'ont presque aucuns liens entre eux. L'histoire nous emmènes en 2028 et nous fait suivre les membres d'un équipage qui se voit confier une mission à bord d'une station spatiale internationale afin de sauver la Terre d'une crise énergétique majeure. Seulement, à la suite d'un incident, la planète Terre va disparaître et le groupe va se retrouver propulser dans une autre dimension. Si sur le papier le scénario est prometteur, il déçoit malheureusement fortement dans les faits. En effet, ce dernier est beaucoup trop alambiqué et provoque l'ennui pendant près d'une heure quarante à cause de ses personnages totalement insipides. Ces astronautes cosmopolites ne sont vraiment pas attachants et interprétés par des acteurs sans aucun charisme, ne méritant même pas d'être mentionnés. Du coup, toute l'émotion qu'ils tentent d'instaurer à travers leurs relations tombe à plat tant on se moque de leur sort. Ces passages sont en plus nombreux ce qui fini par exaspérer. La forme n'est hélas pas beaucoup mieux puisque la réalisation de Julius Onah est d'une grande banalité. Heureusement les effets-spéciaux arrivent à rendre cet univers crédible à travers la station qui se déplace dans l'espace ce qui est appréciable, même si les explosions sont pour leur part grotesque, ce qui terni le tableau visuel. Même la b.o. parvient à être quelconque et ne dégage absolument rien alors que ce genre cinématographique est propice à des morceaux aussi épiques que mémorables. Mais le véritable scandale de ce film c'est bien sa fin, entre une résolution expéditive, mais surtout un dernier plan qui se moque ouvertement, une fois de plus, du public en montrant l'essentiel pendant seulement une poignée de secondes. Cela est frustrant mais surtout fatigant de voir qu'ils ne font vraiment rien de cet univers mélangeant science-fiction et horreur, alors que nous sommes au troisième opus de cette licence et que celui-ci était censé répondre aux questions qu'on se pose mais qui une fois de plus restent sans réponses. The Cloverfield Paradox s'avère donc au final être un film sans aucun intérêt et vite oubliable, contrairement à ses prédécesseurs qui avaient au moins des qualités.
mise a jour 2020: "revu 3 ans apres et c'est encore plus nul ... "
Bon c'est plutôt moyen, je m'attendais a beaucoup mieux. J'avais beaucoup aimé cloverfield lane, le coté paranoïaque et psychose des personnages. Celui ci est plus classique, l'histoire des paradox est mal fichue et pas poussé a fond. Le film se laisse regarder mais pas plus.
Malgré de bons moyens techniques et des effets spéciaux réussis, ce film de SF ne décolle jamais. Sous prétexte au niveau de l’histoire que le vaisseau est passé dans un état de paradoxe, le film se permet de nombreuses dérives incroyables pour lesquelles on ne sait pas pourquoi ça arrive. On cherche un fil conducteur mais au final, on ne comprend pas grand chose. Il reste beaucoup d'action pour le coté divertissement mais cela ne sauve pas le film.
Cette 3ème mouture est très largement en dessous des précédents "Cloverfield" et "10 Cloverfield Lane". L'histoire se passe cette fois-ci en pleine station spatiale. Une poignée de scientifiques tente de sauver la terre en lui offrant des ressources infinies, mais l'expérience va mal tourner. Tout ceci est très prévisible, et si le casting est vraiment bien, l'histoire de son côté est extrêmement décevante. Il n'est jamais aisé de traiter du sujet du paradoxe spatio-temporel, mais Interstellar, par exemple le faisait avec maestria. Cette production Netflix fait bien pâle figure à côté des chefs-d'oeuvre du genre.
Alors je trouve que c’est un bon film. C’est incroyable de voir comment cette saga se renouvelle à chaque nouveau film. Ils n’ont rien à voir les uns des autres, mais ils sont tous liés d’une manière ou d’une autre. Le premier était un cocktail entre le film de monstre et le film catastrophe, le deuxième était un huis-clos intense, le troisième est un survival dans l’espace. Tous dans le même univers. Ce concept est déstabilisant, mais on ne peut pas nier l’originalité qui s’en dégage ! Après ça reste celui que j’ai le moins aimé entre les trois (le premier reste le meilleur), parfois j’ai un peu trop eu l’impression de regarder Alien ou Life.. mais ça reste toujours de bonne qualité, et pertinent. En tout cas bravo Netflix, je pense qu’ils ont surpris tout le monde avec cette sortie inattendue.
Pas complètement convaincu. L'effet questionnement ne pèse pas aussi bien dans les dialogues et les comportements. De très bons effets, un scénario assez compliqué. Se laisse regarder ! 3/5 !!!
Après un "10 Cloverfield Lane" surprenant (dans le bon sens du terme) bien que le lien avec le premier film du nom soit mince, "The Cloverfield Paradox" est censé nous donner une explication sur l'arrivée des monstres ravageant notre chère planète Terre. L'éclaircissement est bien là bien que superficiel et peu recherché. En fait, ce troisième long métrage présente peu de ressemblances avec les deux précédents et peut se visionner indépendamment sans que le spectateur se sente perdu. La qualité baisse dans "The cloverfield paradox". Le scénario présente peu de surprises et l'ambiance oppressante du huis clos est nettement moins forte que dans "10 Cloverfield Lane". Rien de bien passionnant dans ce film de fénéants qui ne sert qu'à grossir la franchise. Beaucoup de clichés et peu d'idées. Et que font Daniel Brühl et Zhang Ziyi dans ce film de seconde zone?