Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Pour son deuxième long métrage, Michaël R. Roskam suit les traces de James Gray en signant un polar urbain crépusculaire et mystérieux, au scénario méticuleux et implacable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Philippe Rouyer
Le Belge Michael R. Roskam confirme son talent de metteur en scène en allant tourner le scénario d'un autre en Amérique.
CNews
par La rédaction
Thriller psychologique porté par une intrigue subtile, "Quant vient la nuit" peut aussi compter sur une distribution solide et une mise en scène habilement maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Même lové dans un agréable cocon de déjà-vu, le spectateur se retrouve incapable de savoir où le récit va le mener, si ce n’est à une inévitable explosion de violence.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Fabien Reyre
En suscitant l’empathie pour ses anti-héros fatigués, le cinéaste resserre son étau en nous perdant subtilement dans les méandres d’une intrigue-puzzle dont toutes les pièces finissent par s’agencer de façon aussi inattendue que jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Un film de gangsters beau et monstrueux, qui manipule avec finesse les figures classiques du genre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Marie Aimée
"Quand vient la nuit" est un pur film à script, bien ficelé, à la fois haletant et intelligent.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Croix
par Marie Soyeux
La violence est à fleur d'écran (...) mais la mise en scène en use avec intelligente parcimonie. (...) Matthias Schoenaerts (...) forme avec Tom Hardy un duo féroce et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
Ce scénario de Denis Lehane, filmé par l'auteur de “Bullhead” et porté par un casting en or, distille une certaine mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Metro
par Mehdi Omaïs
"Quand vient la nuit" confirme l'indéniable talent de Michael Roskam.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une réussite intelligente et travaillée.
Paris Match
par Christine Haas
"Quand vient la nuit" (...) : un thriller intense.
Première
par Gérard Delorme
Michaël R. Roskam, dont c'est le deuxième long-métrage après Bullhead (2012), a su magnifier ce scénario déjà riche pour en tirer un film noir, à la fois intemporel et stylisé.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Si l'intrigue, centrée sur les personnages, manque d'intensité, cette plongée dans les bas-fonds de Brooklyn vaut le détour.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) jusque dans son twist final qui ne s’encombre pas de radicalité et qui ponctue avec brio une oeuvre masculine au fort potentiel culte, "Quand vient la nuit" nous épate.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Un film modeste et plaisant, néanmoins ciselé, où s’affine avant tout une tonalité.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
"Quand vient la nuit" fait partie de ces polars a minima, murmurés et patients, dont les enjeux dérisoires ne sont qu’un prétexte à s’arrêter un moment sur la trajectoire de quelques gueules cassées.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film noir à l’atmosphère étouffante et aux acteurs convaincants, mais réalisé et dialogué de façon passablement lourde.
Le Monde
par Jean-François Rauger
La révélation finale concernant le héros du film est choquante, bouleversant les mécanismes d’identification du spectateur et, en même temps, rendue artificielle par une fin qui tend à la rendre anodine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
Rien à redire sur les prestations (des acteurs) (...) ni sur l'atmosphère bien noire de ce film (...). Ce qui pêche (...) c'est le scénario : une invraisemblable rançon pour un chien ôte toute crédibilité à l'affaire.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Comme il l’avait déjà démontré avec son précédent film, il est un domaine dans lequel le réalisateur de Bullhead excelle : filmer l’animalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TF1 News
par Romain Le Vern
En l'état, un film noir assez solide reposant sur le savoir-faire d'artistes doués mais à aucun moment, on ne retrouve l'ampleur, la puissance, le beau-bizarre et la singularité de "Bullhead", magistral coup d'essai de Roskam, qui, lui, se détachait du tout-venant.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Voici
par La Rédaction
Un polar sombre et triste du réalisateur belge de Bullhead, qui manque tout de même un peu de puissance et de rythme.
L'Humanité
par Vincent Ostria
On attendait un regard un peu plus décalé de la part d’un cinéaste belge distingué pour son intense "Bullhead", situé dans le milieu de l’élevage bovin.
Libération
par Guillaume Tion
"Quand vient la nuit" tangue entre hyperréalisme (intérieurs cradasses, buée) et dialogues surécrits (...).L’adhérence est malaisée, d’autant que le film s’embourbe assez dans la rengaine clichée du mafieux inadapté avant d’enclencher le mode automatique pour un twist final programmé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Guillemette Odicino
On a beau aimer les bêtes et les romans de Lehane, ce polar est l'inverse du héros : intelligent en apparence, mais, au fond, pas très futé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
Pour son deuxième long métrage, Michaël R. Roskam suit les traces de James Gray en signant un polar urbain crépusculaire et mystérieux, au scénario méticuleux et implacable.
Positif
Le Belge Michael R. Roskam confirme son talent de metteur en scène en allant tourner le scénario d'un autre en Amérique.
CNews
Thriller psychologique porté par une intrigue subtile, "Quant vient la nuit" peut aussi compter sur une distribution solide et une mise en scène habilement maîtrisée.
CinemaTeaser
Même lové dans un agréable cocon de déjà-vu, le spectateur se retrouve incapable de savoir où le récit va le mener, si ce n’est à une inévitable explosion de violence.
Critikat.com
En suscitant l’empathie pour ses anti-héros fatigués, le cinéaste resserre son étau en nous perdant subtilement dans les méandres d’une intrigue-puzzle dont toutes les pièces finissent par s’agencer de façon aussi inattendue que jubilatoire.
Ecran Large
Un film de gangsters beau et monstrueux, qui manipule avec finesse les figures classiques du genre.
GQ
"Quand vient la nuit" est un pur film à script, bien ficelé, à la fois haletant et intelligent.
La Croix
La violence est à fleur d'écran (...) mais la mise en scène en use avec intelligente parcimonie. (...) Matthias Schoenaerts (...) forme avec Tom Hardy un duo féroce et réjouissant.
Les Fiches du Cinéma
Ce scénario de Denis Lehane, filmé par l'auteur de “Bullhead” et porté par un casting en or, distille une certaine mélancolie.
Metro
"Quand vient la nuit" confirme l'indéniable talent de Michael Roskam.
Ouest France
Une réussite intelligente et travaillée.
Paris Match
"Quand vient la nuit" (...) : un thriller intense.
Première
Michaël R. Roskam, dont c'est le deuxième long-métrage après Bullhead (2012), a su magnifier ce scénario déjà riche pour en tirer un film noir, à la fois intemporel et stylisé.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Si l'intrigue, centrée sur les personnages, manque d'intensité, cette plongée dans les bas-fonds de Brooklyn vaut le détour.
aVoir-aLire.com
(...) jusque dans son twist final qui ne s’encombre pas de radicalité et qui ponctue avec brio une oeuvre masculine au fort potentiel culte, "Quand vient la nuit" nous épate.
Cahiers du Cinéma
Un film modeste et plaisant, néanmoins ciselé, où s’affine avant tout une tonalité.
Chronic'art.com
"Quand vient la nuit" fait partie de ces polars a minima, murmurés et patients, dont les enjeux dérisoires ne sont qu’un prétexte à s’arrêter un moment sur la trajectoire de quelques gueules cassées.
Le Dauphiné Libéré
Un film noir à l’atmosphère étouffante et aux acteurs convaincants, mais réalisé et dialogué de façon passablement lourde.
Le Monde
La révélation finale concernant le héros du film est choquante, bouleversant les mécanismes d’identification du spectateur et, en même temps, rendue artificielle par une fin qui tend à la rendre anodine.
Le Parisien
Rien à redire sur les prestations (des acteurs) (...) ni sur l'atmosphère bien noire de ce film (...). Ce qui pêche (...) c'est le scénario : une invraisemblable rançon pour un chien ôte toute crédibilité à l'affaire.
Les Inrockuptibles
Comme il l’avait déjà démontré avec son précédent film, il est un domaine dans lequel le réalisateur de Bullhead excelle : filmer l’animalité.
TF1 News
En l'état, un film noir assez solide reposant sur le savoir-faire d'artistes doués mais à aucun moment, on ne retrouve l'ampleur, la puissance, le beau-bizarre et la singularité de "Bullhead", magistral coup d'essai de Roskam, qui, lui, se détachait du tout-venant.
Voici
Un polar sombre et triste du réalisateur belge de Bullhead, qui manque tout de même un peu de puissance et de rythme.
L'Humanité
On attendait un regard un peu plus décalé de la part d’un cinéaste belge distingué pour son intense "Bullhead", situé dans le milieu de l’élevage bovin.
Libération
"Quand vient la nuit" tangue entre hyperréalisme (intérieurs cradasses, buée) et dialogues surécrits (...).L’adhérence est malaisée, d’autant que le film s’embourbe assez dans la rengaine clichée du mafieux inadapté avant d’enclencher le mode automatique pour un twist final programmé.
Télérama
On a beau aimer les bêtes et les romans de Lehane, ce polar est l'inverse du héros : intelligent en apparence, mais, au fond, pas très futé.