Pitoyable ! Ce qui se voulait très tendance au départ devient très rapidement une pitrerie de plus à contre-courant de notre actualité quotidienne. Le seul acteur professionnel Olivier Gourmet fait ce qu'il peut pour sauver le film du naufrage hélas, en vain. Un ratage de plus.
Bel hommage aux marcheurs qui nous replongent dans les débuts des années 80, où on entendait aux infos des actes malveillants de racismes en tout genre. Au gré de leurs rencontres, tantôt heureuses tantôt malencontreuses, ils évoluent au sein de leur propre communauté et peaufinent leurs messages. Merci à tous pour ce bon moment passé. Je vais le conseiller à tous ceux que je connais, cette piqûre de rappel ne fera de mal à personne.
A classer dans le cinéma de propagande et encore... il y a de la propagande de bonne qualité.
Là c'est une punition, une longue punition à subir les grimaces de Djamel, à ingurgiter le prêt-à-penser gauchiste genre la France profonde c'est des white trash dégénérés mais la marche des beurs c'est la France généreuse ouverte et tutti quanti. La salle était aux trois quarts vide... J'y suis allé parce qu'il me restait une place sur ma carte, je pensais me marrer au moins au deuxième degré... même pas. Rien de sauvable dans cette daube pour bobo de la bienpensance.
Ce qui me gonfle le plus c'est en apprenant que l'argent public avait financé ça.... Ecoeuré alors qu'il y a sûrement des chefs d'oeuvre dans la tête de vrais artistes qui ne seront jamais tournés faute de fric.
Je mets 5 étoiles pour contrer tous ces racistes qui ont mis 0 étoiles sans avoir vu le film. Film magnifique, histoire touchante. Le parallèle avec la situation actuelle est impressionnant. Le temps passe, mais rien de ne change...
Un sujet intéressant et plus que jamais d'actualités, avec des personnages prenants, très bien joués ! Quelques éloignements parfois, mais c'est bon dans l'ensemble !
Je ne comprend pas toutes ces mauvaises critiques concernant ce film... Je ne connaissais pas cette marche n'étant pas encore né et je suis content que l'on en parle... Je ne vois aucune mauvaises intentions dans ce film... Aucune propagande, aucun parti pris... Cette marche étant contre tous les racismes, que ce soit le racisme anti blanc, anti immigrés... De plus évidemment la vrai marche n'a pas dû se passer exactement comme dans le film, mais c'est bien précisé à la fin du film, il est très librement inspiré de ce fait historique... Concernant les acteurs ils sont géniaux, sincères... Jamel bien sûr qu'on ne le voit pas beaucoup dans le film, son nom n'est pas dans les premiers noms cités sur les affiches, de plus il existe plusieurs affiches où ce n'est pas lui dessus... Libre à chaque cinéma de mettre l'affiche qu'ils veulent... Puis é ce qui concerne la promo il fallait que ce soit jamel qui porte ce film... Une des personnalités préférées des français pourquoi s'en priver ... Bref un bon film qui m'a fait frissonner d'émotion et qui m'a permis malheureusement de découvrir cette France des années 1980... Un film dénonçant le racisme mais aussi qui prouve que notre France n'est pas si raciste que ça...
j'hésitai à mettre le spoiler pour pas dire la fin du film mais vu que persone ira dans la salle à part les pauvres collégiens de l'école et vu qu'il n'y a pas d'histoire, ça ne sert à rien. spoiler: comment le cinéma peut fabriquer des dobes comme ça? ce film est nul , il ressemble à de la pub politique :(
La reconstitution, toujours délicate quand il s’agit d’évoquer un passé très proche, fonctionne tout à fait. Et même si l’on peut regretter que le spectaculaire final de la Marche ne fasse pas plus usage d’archives d’époque, le parti pris est respectable et fonctionne. On pouvait craindre de la même façon une BO gadget aux allures de juke-box des tubes des années 80. Signée Stephen Warbeck (Shakespeare in love), la musique accompagne nos antihéros avec autant de retenue que le réalisateur en met à traiter des faits. Pour son premier film, le producteur Hugo Selignac a choisi un sujet délicat, mais riche de passion. Un choix judicieux: en dépit d’un maigre budget tout entier consacré à l’image, il a pu réunir un beau casting d’acteurs totalement impliqués dans leur personnage. Réalisé sur la route dans un confort symbolique, le résultat est des plus convaincant. Une brochette d’acteurs qui incarne un groupe crédible, avec toutes ses nuances. Des comédiens dotés de fortes personnalités comme Lubna Azabal, Vincent Rothiers, Philippe Nahon et Olivier Gourmet permettent d’enrichir le sujet avec intelligence: il n’est pas question d’un racisme, mais des intolérances en général. Forcément mis en avant, Djamel Debbouze est en retrait avec un second rôle délicat, mais qui permet d’éviter une vision trop simpliste du groupe des marcheurs. De tous, ce sont les rôles des agents des renseignements généraux, qui ont espionné l’entreprise de bout en bout, qui auraient mérité d’être plus fouillés. On suit La Marche avec émotion. Entre le rire et le drame, l’intrigue évite l’essentiel des clichés et tout idéalisme béat. Et s’il est fait référence aux drames racistes qui ont ensanglanté 1983, le film parvient à la même conclusion que les marcheurs: loin d’exacerber un débat des extrêmes, ce voyage ne dépeint par une France raciste, mais tout le contraire. L’essentiel est de se connaître, de parler. Et de ne pas laisser à d’autres le soin de le faire.
MARCHE A L'OMBRE. 1000 kilometres à pieds, ça use, ça use... mais ils l'ont fait. Cette marche nordique avec Jamel Debbouze en tête du cortege, nous fait traverser la France des années 80 en flânant. J'aurai pris Yohann Diniz pour éviter les deux heures un peu longue.
Un film qui s'inspire comme son nom l'indique de La Marche qui a eu lieu en 1983 à travers la France pour un parcours d'environ 1500 kilomètres. Le film est sympa mais ça manque d'émotion, le scénario est pas très épais pourtant je pense qu'il y avait pas mal de choses à raconter mais la ils ont ajoutés pleins de péripéties pour remplir tout ça. Le réalisateur montre sa vision sans réel débat c'est un film à sens unique. Les personnages sont caricaturaux et les acteurs pas vraiment inspirés tout comme Jamel Debbouze qui sert de tête d'affiche mais n'est que très peu présent dans le film de toute manière c'est mieux comme ça car son personnage est énervant.
Oui bon...hormis la réelle bonne fois (je l’espère) de Nabil Ben Yadir...Il faut être clair! -C'est hyper convenu... -C'est hyper long... -C'est hyper chiant... -C'est hyper mal joué Et puis c'est bon, à un moment la "morale" salvatrice et inquisitrice à 2 balles: ça va! Il aurait pu en faire un téléfilm (de seconde zone), cela aurait très largement suffit. Et puis il faudrait redescendre sur terre... depuis 30 ans: ils s'en ai passé des choses...de plus cette "MARCHE" n'était qu'une vulgaire manipulation d'officines douteuses liées au Ps et à la soit disant association anti-raciste; la toute puissante UEJF... Bref