Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Un film troublant et dense, un film d'atmosphère et de tensions, amours incestueuses, dissimulations et mensonges. (...) C'est sombre et beau, estimable d'autant plus que pas au goût du jour, délibérément.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Cette histoire d'amour (...) déploie une élégance romanesque propre aux grands maîtres du roman italien ou autrichien (...) un beau film courageux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
L'adaptation que propose René Féret du roman d'Huntington est modeste dans sa forme (...) le spectateur met un peu de temps à s'habituer à cette ascèse esthétique avant d'en apprécier les effets.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Emile Rabaté
Sans donner de leçon, [René Féret] interroge le poids des structures familiales sur le conditionnement des relations sociales, ébranlant discrètement nos totems et tabous.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Sur cet échiquier des amours interdites, [René Féret] filme en clair-obscur un bouleversant jeu de la cruauté passionnelle où s'impose le jeu trouble et intense du jeune Cyril Descours.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
La raideur de la reconstitution historique et les défaillances de l'interprétation ne parviennent pas à chloroformer le film, réactivé, sous les poussières du temps, par le désir mélancolique de faire revivre un relation fraternelle jamais vécue.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
René Féret a rajeuni [le] personnage et, adversaire des jeux "réalistes", l'a confié à sa fille Marie, à l'interprétation un peu raide. Dans le décor délicieux du lac de Côme et des charmantes résidences qui le bordent, elle campe une Natalia lumineuse de beauté et de fraîcheur, mais encore dans une gaucherie et une gêne adolescentes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La voie médiane choisie par René Féret est embarrassée par les écueils de la reconstitution. Dialogues surchargés d'informations, personnages secondaires à peine esquissés, fidélité un peu guindée à l'époque...
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Cécile Mury
(...) le film tire son charme suranné du décalage entre l'élégance des manières et la violence des enjeux affectifs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Très sage adaptation du roman de Gladys Huntington, le film de René Féret souffre de sa mise en scène conventionnelle et tombe dans l'écueil d'une interprétation moins distanciée qu'ampoulée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Sylvestre Picard
Si l'on oublie que les acteurs manquent franchement de direction et/ou de conviction, on peut trouver un certain charme à cette adaptation (...), qui ne parvient à être vraiment intéressant que dans les moments où [elle] oublie Rohmer et assume son côté rance et faisandé.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Un film troublant et dense, un film d'atmosphère et de tensions, amours incestueuses, dissimulations et mensonges. (...) C'est sombre et beau, estimable d'autant plus que pas au goût du jour, délibérément.
Le Parisien
Cette histoire d'amour (...) déploie une élégance romanesque propre aux grands maîtres du roman italien ou autrichien (...) un beau film courageux.
Les Inrockuptibles
L'adaptation que propose René Féret du roman d'Huntington est modeste dans sa forme (...) le spectateur met un peu de temps à s'habituer à cette ascèse esthétique avant d'en apprécier les effets.
Libération
Sans donner de leçon, [René Féret] interroge le poids des structures familiales sur le conditionnement des relations sociales, ébranlant discrètement nos totems et tabous.
TéléCinéObs
Sur cet échiquier des amours interdites, [René Féret] filme en clair-obscur un bouleversant jeu de la cruauté passionnelle où s'impose le jeu trouble et intense du jeune Cyril Descours.
Cahiers du Cinéma
La raideur de la reconstitution historique et les défaillances de l'interprétation ne parviennent pas à chloroformer le film, réactivé, sous les poussières du temps, par le désir mélancolique de faire revivre un relation fraternelle jamais vécue.
La Croix
René Féret a rajeuni [le] personnage et, adversaire des jeux "réalistes", l'a confié à sa fille Marie, à l'interprétation un peu raide. Dans le décor délicieux du lac de Côme et des charmantes résidences qui le bordent, elle campe une Natalia lumineuse de beauté et de fraîcheur, mais encore dans une gaucherie et une gêne adolescentes.
Le Monde
La voie médiane choisie par René Féret est embarrassée par les écueils de la reconstitution. Dialogues surchargés d'informations, personnages secondaires à peine esquissés, fidélité un peu guindée à l'époque...
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
(...) le film tire son charme suranné du décalage entre l'élégance des manières et la violence des enjeux affectifs.
Les Fiches du Cinéma
Très sage adaptation du roman de Gladys Huntington, le film de René Féret souffre de sa mise en scène conventionnelle et tombe dans l'écueil d'une interprétation moins distanciée qu'ampoulée.
Première
Si l'on oublie que les acteurs manquent franchement de direction et/ou de conviction, on peut trouver un certain charme à cette adaptation (...), qui ne parvient à être vraiment intéressant que dans les moments où [elle] oublie Rohmer et assume son côté rance et faisandé.