Man of Steel, Batman vs Super man, Wonder Woman, Scuicid Squad et Justice League, que des films mais bien trop peu pour un univers cinématographique de super-héros. Avec un seul film par an, ou tous les 2 ans, très compliquer de tenir en haleine son publique. Puis les critiques furent désastreuses sur 2 points culminants de ces œuvres, des effets-spéciaux trop légers voir décevant et une mise en scène parfois légère (surtout Justice League). A force de se faire laminer, la Warner aura enfin compris que pour faire renaître son univers de ses cendres, il fallait vraiment y mettre les moyens. Aussi bien visuellement que techniquement et artistiquement parlant. J'espérais cela pour ce dernier né et ce fut chose faite, ENFIN. Tout façon, un nouveau contenu lamentable et Warner et DC étaient en perdition. Là, les effets sont d'une rare beauté pour un DC, la mise en scène fut très largement au rendez-vous avec les combats, la gesticule et la posture des personnages. Une bande- musicale sublime et des effets-sonores du feu de dieu. Niveau jeu, Jason est un vrai rebel royal qui se moque ou presque qu'on le prenne pour l'héritier ou autre divinité, il veut juste sauver les gens et rendre justice. Une mise en scène et un jeu parfais pour Amber qui trouve ici son vrai rôle titre, un charme naturel de A à Z cumuler à ses tenues juste sublimes, je là revoit presque dans "3 days to kill" ou elle fut la femme fatale hyper canon à ne pas provoquer, là, elle est de nouveau fatale, mais plus gentil. Par contre, j'ai légèrement beugué car dans "Jusice League", elle conait Arthur et là, pas du tous ou du moins, c'est lui qui ne la connait pas. Petit soucis de mémoire ? Puis un autre acteur dont le rôle est enfin un vrai, celui de Dolph Lundgren incarnant le père de notre jeune princesse. Un rôle sérieux et élégant très loin du personnage sans grand interrêt des "Expendables" ou il se contentait juste de sortir les gros bras et un script pas glorieux. Il trouve donc sa place là ou plusieurs mois en arrière, je l'entendait dire dans un documentaire consacrer au cinéma d'action des années 80 : "A l'époque, joué un super-héros était ridicule car les costumes et le maquillage étaient presque laids et encombrant. Aujourd'hui, jouer ces personnages est une consécration". Consécration puisqu'ils ont obtenue les faveurs du public et qu'on en est fan en lisant les B.D. ou en regardant les séries télé. Enfin, visuellement, chapeau, Warner à collaborée avec ILM et le résultat est là, les costumes sont vrai et grandiose, les décors sont vrais et non digitaux et sont donc, grandioses. Une collaboration d'autant plus impressionnante puisqu'il y à au total une bonne dizaines ou quinzaines de sociétés d'effets-spéciaux qui ont bossées dessus. Rarement j'ai vu générique de techniciens digitaux aussi long, des 3 grosses boîtes aux moins massives. Une musique qui nous transporte, un réel plaisir de retrouver Patrick Wilson de "Conjuring", sous la direction maîtrisée du nouveau maître du 7ème art, James Wan. Pas de filmographie imposante, mais en l'espace de 2 "Conjuring", d'un "Fast" et 4 autres films d'horreur/épouvante que j'ai pas vu, il se sera fait une très large place à Hollywood. DC à su rattrapé ses erreurs, aux vrais moyens de faire le reste. De plus, si il pouvait se faire confier tous les projets DC, il est certains que la qualité sera au rendez-vous. Un film qui m'à profondément rappeler "Avatar" lorsque l'on découvre l'Atlantide, le bleu ainsi que toutes les autres couleurs sont sublimes. Je terminerai par ce clin d’œil ultime à notre planète, ce film est une vrai pub environnementale pour la protection marine. Les plans aquatiques ou règne le calme et la découverte nous prouve à quel point il préservé cette grosse boule bleue et donc ses océans. Preuve environnementale puisque les combats orchestrés de façon magistrale et mettant en scène les animaux montre à quel point il ne faut surtout pas énerver la planète. C'est simple, on la provoque, elle nous revoie la politesse mais en puissance 15. Puissance 15 avec ce monstrueux Kraken ou je ne sais quoi que c'était, une bête titanesque dont la voix aiguë et à peine flippante s'offre un premier face à face grandiose avec notre héros, puis une entrée triplement fracassante dans les abysses confrontées à la guerre. Un vrai MASTODONTE.