AlloCiné
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Votre avis sur Ça : Chapitre 2 ?
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Décevant... le film d'horreur de mon enfance changé en science fiction fantastique qui part dans tous les sens. Le premier est plutôt bien mais le deuxième va trop loin. Mais bon, on continuera tant que ça ferra renter de l'argent dans les caisses...
Toujours aussi captivant et surtout effrayant, malgré les différentes versions du roman de Stephen KING déjà adaptées à l'écran.
Excellent
Rien un grand final
L'intrigue est présente jusqu'au bout les jeux d'acteurs sont super surtout celui de Bill bill Skarsgård rôle de Grippe-Sou
9;5/10
Rien un grand final
L'intrigue est présente jusqu'au bout les jeux d'acteurs sont super surtout celui de Bill bill Skarsgård rôle de Grippe-Sou
9;5/10
Je ne m attendais absolument pas a ce genre de film. Ca tourne à un fantastique / comédie avec une pointe d horreur. Honnêtement c'est un film à voir pour la "pop culture" et dire "- Oui oui je l ai vu"
Mais ce sont 2h50 de film longue et décevante. Les effets spéciaux 3D ne sont pas terribles. A voir une fois dans une vie, mais je pense pas que je le regarderais à nouveau comme j ai pu revoir le 1 une 2ème fois.
Mais ce sont 2h50 de film longue et décevante. Les effets spéciaux 3D ne sont pas terribles. A voir une fois dans une vie, mais je pense pas que je le regarderais à nouveau comme j ai pu revoir le 1 une 2ème fois.
Vraiment déçu, j'adore la version livre même si un peu trop de détails j'ai regardé les films sans essayer de trop penser au livre. Le premier est captivant. Les acteurs sont jeunes mais bon et bien dirigé.
Le 2em n'est vraiment pas à la hauteur. On se demande ce qu'il se passe et le pourquoi des scènes. Même pas eu de frisson. Dommage
Le 2em n'est vraiment pas à la hauteur. On se demande ce qu'il se passe et le pourquoi des scènes. Même pas eu de frisson. Dommage
je l'attendais avec impatience... tout ça pour ÇA ? la conclusion est sympa mais c'est long... 2h49 c'est bien, mais quand il y a autant de scènes inutiles c'est nul... On découvre les origines de gripe sou et comment il est vaincu, je trouve ça trop surnaturel et carrément tiré par les cheveux. James mcavoy est très convaincant dans le rôle de Bill, on regrettera l'absence regrettable de développement sur l'histoire de Bev aujourd'hui contrairement au livre...
j'étais très impatiente de voir le film, mais après 2 visionnages ça ne passe toujours pas.
j'étais très impatiente de voir le film, mais après 2 visionnages ça ne passe toujours pas.
Grande fan des romans, je me suis plongée dans la saga des films. Le premier était plutôt bien, par contre le deuxième ne m'a pas du tout transportée. En fait, les livres ne parlent pas juste d'une histoire d'horreur, ils ont un aspect psychologique sur la nature humaine et ont été passionnant à lire car, en plus de nous raconter une histoire, ils nous invitaient à réfléchir. Dans les films, nous ne retrouvons plus cet aspect, c'est juste de l'épouvante. Je mets un trois étoiles car le film reste bon en soi, un bon divertissement, mais pas plus.
C'est toujours très difficile d'adapter Maitre Stephen King à l'écran mais là on frise le sans faute ! Les scénaristes s'en sont donnés à coeur joie en mêlant drame, horreur et une petite touche d'humour pour tenir presque 3 heures. C'est d'ailleurs le seul petit point faible, le film aurait peut être gagné à être un peu raccourci. Les séquences de flashback sont très habilement mêlées aux retrouvailles de la bande de potes 27 ans après. Mais ce qui m'a soufflé ce sont les effets spéciaux, tant dans l'imagination que dans leur réalisation, j'ai été bluffé et ca m'arrive plus que rarement dans des films d'horreur, on sent que le budget a été conséquent et ca se voit à l'écran. Un très très bon film d'horreur pour moi supérieur au 1er ! 4.5 / 5
Une suite commerciale et rien d'autre. Bien loin du premier en terme de qualité, cette suite se contente de jouer sur les jumpscares ponctués par un rythme des plus soporifique, un film qui dure 2h50 mais qui aurait pu être réduit aux 1h30 syndicale. La liste des bonnes choses : le clown toujours joué à merveille par Bill Sasktruc. Ainsi que certaines scènes toujours aussi recherchées et volontairement très esthétiques.
A part ça de l'ennui et des scènes en Cgi nauséeuses. Pour les acteurs adultes ils ont pris des types avec la tête de l'emploi, James Mc Avoy j'ai l'impression qu'il a toujours la même tronche et coupe de cheveux dans tout les films ou il apparaît, il faut faire quelque chose, aller se faire un undercut chez Dessange par exemple.
A part ça de l'ennui et des scènes en Cgi nauséeuses. Pour les acteurs adultes ils ont pris des types avec la tête de l'emploi, James Mc Avoy j'ai l'impression qu'il a toujours la même tronche et coupe de cheveux dans tout les films ou il apparaît, il faut faire quelque chose, aller se faire un undercut chez Dessange par exemple.
Moins de peurs que le premier mais en revanche une belle métaphore sur la vie, nos peurs, une bonne morale je trouve. À chacun ses peurs, sa force de les vaincre et surtout on est tous des ratés
Surpris par la direction prise par ce second opus... On s'éloigne un peu du gore/épouvante pour aller vers le fantastique
J'avais peur de trouver les 2h50 longues... Et au final, le casting et certains éléments font que j'ai pas lâché l'écran
J'ai presque limite préféré au 1er même s'il niveau ambiance on s'en éloigne
J'avais peur de trouver les 2h50 longues... Et au final, le casting et certains éléments font que j'ai pas lâché l'écran
J'ai presque limite préféré au 1er même s'il niveau ambiance on s'en éloigne
Objectivons
Je l'ai trouvé en-deçà de son prédécesseur, sans doute l'effet du changement d'acteurs, passant des enfants aux adultes, avant une ambiance moins impressionnante, mais il reste agréable à voir.
Pas mal, il est bien même si je ne le considère pas vraiment comme un film d'horreur, je ne saurais pas lequel choisir entre le 1 et le 2. Ce film est bien mais pas incroyable c'est tout.
Je ne suis plus un gosse, je n'ai plus peur de toi Pennywise.
Par cette phrase, je résumais ma déception après le visionnage du 1er chapitre de cette réédition de Ca ! Une déception que je mettais à la fois sur le dos du temps passé, de la nostalgie qui y était associée, de mon rapport à la peur et des souvenirs restants de la frayeur provoquée par Ca, il est revenu 27 ans plus tôt.
Si rien dans le précédent opus ne m'avait fait frissonné, la faute à une peur beaucoup trop graphique aux allures de sensationnel, j'avais trouvé un certain réconfort dans les personnages, ses ratés un brin touchants par leurs imperfections et leur désir de faire front face à la représentation de leurs cauchemars intérieurs lors d'un été aux allures de découverte de soi, passage obligé d'une émancipation, et d'aventures estivales.
La donne reste la même pour ce Chapitre 2. L'horreur, encore une fois, prend le parti de se faire visuelle, rarement suggérée et donc angoissante. Elle n'a véritablement rempli son rôle que dans la scène du retour de Bev dans l'appartement de son enfance avec une vieille dame aux réactions inquiétantes. Dans l'ensemble, ces 2h40 ne sont restées, sur le plan de l'effroi et de l'inquiétude, qu'une succession de pétards mouillés car en choisissant de ne rien suggérer, Andy Muschietti ne laisse aucun espace au vagabondage de notre esprit. Tout est tracé jusqu'à l'histoire qui se contente d'être une succession de flashback visant à réactiver chez nos héros, les souvenirs d'une enfance traumatisante.
Pour autant, ce retour à Derry réussit partiellement à communiquer avec l'adulte que je suis devenu. Le fond de ce rassemblement du club des ratés porte un message d'acceptation et de guérison des blessures de notre enfance alourdi par une mise en scène tape-à-l’œil. Si le chapitre 1 s'adressait aux peurs enfantines, cette conclusion en forme de lutte contre ses vieux démons nous parle, nous touche même dans les quelques mots d'une lettre. La réussite n'est indéniablement pas dans le fantastique mais bien dans la partie plus terre à terre qui prend un peu plus de place que précédemment.
A défaut de ne toujours pas trembler face à ce bon vieux Pennywise, cette deuxième partie gagne quelques points sans pour autant sortir des rails sur lesquelles l'histoire était lancée. Pas de quoi s'alarmer si mon fils revient un jour à la maison avec un ballon rouge.
Par cette phrase, je résumais ma déception après le visionnage du 1er chapitre de cette réédition de Ca ! Une déception que je mettais à la fois sur le dos du temps passé, de la nostalgie qui y était associée, de mon rapport à la peur et des souvenirs restants de la frayeur provoquée par Ca, il est revenu 27 ans plus tôt.
Si rien dans le précédent opus ne m'avait fait frissonné, la faute à une peur beaucoup trop graphique aux allures de sensationnel, j'avais trouvé un certain réconfort dans les personnages, ses ratés un brin touchants par leurs imperfections et leur désir de faire front face à la représentation de leurs cauchemars intérieurs lors d'un été aux allures de découverte de soi, passage obligé d'une émancipation, et d'aventures estivales.
La donne reste la même pour ce Chapitre 2. L'horreur, encore une fois, prend le parti de se faire visuelle, rarement suggérée et donc angoissante. Elle n'a véritablement rempli son rôle que dans la scène du retour de Bev dans l'appartement de son enfance avec une vieille dame aux réactions inquiétantes. Dans l'ensemble, ces 2h40 ne sont restées, sur le plan de l'effroi et de l'inquiétude, qu'une succession de pétards mouillés car en choisissant de ne rien suggérer, Andy Muschietti ne laisse aucun espace au vagabondage de notre esprit. Tout est tracé jusqu'à l'histoire qui se contente d'être une succession de flashback visant à réactiver chez nos héros, les souvenirs d'une enfance traumatisante.
Pour autant, ce retour à Derry réussit partiellement à communiquer avec l'adulte que je suis devenu. Le fond de ce rassemblement du club des ratés porte un message d'acceptation et de guérison des blessures de notre enfance alourdi par une mise en scène tape-à-l’œil. Si le chapitre 1 s'adressait aux peurs enfantines, cette conclusion en forme de lutte contre ses vieux démons nous parle, nous touche même dans les quelques mots d'une lettre. La réussite n'est indéniablement pas dans le fantastique mais bien dans la partie plus terre à terre qui prend un peu plus de place que précédemment.
A défaut de ne toujours pas trembler face à ce bon vieux Pennywise, cette deuxième partie gagne quelques points sans pour autant sortir des rails sur lesquelles l'histoire était lancée. Pas de quoi s'alarmer si mon fils revient un jour à la maison avec un ballon rouge.
Le premier chapitre méritait mieux. La scène d'homophobie d'ouverture est caricaturale mais c'est finalement probablement la plus effrayante du film. Car ensuite on plonge malgré un casting 5 étoiles. Ce qui m'avait plu dans le premier c'était l'alchimie, l'entraide au sein du groupe de gamins. Ici rien ne marche et on ne s'attachera jamais aux adultes. On découvre qu'ils sont tous blindés, voir célèbres, aux US cela veut dire qu'ils ont réussi leur vie. Merci pour ce message très original. Ils répondent en tout cas à l'appel de leur ami car "It" est revenu même si on s'aperçoit en fait qu'ils souffrent tous d'amnésie. Tous ? non à priori car l'un d'entre eux
spoiler:
se suicide
, ce qu'on nous vend comme un acte altruiste (sa femme dit merci). Et là les mecs qui se sont pas vus depuis 27ans, amnésiques de surcroît redeviennent les meilleurs potes du monde en 10 secondes chrono... C'est le début du n'importe nawak et cela va durer comme ça encore 2H30. Les scènes sans cohérence sont mises bout à bout sans que l'ensemble lui-même ne raconte quoi que ce soit. spoiler: Les mecs veulent se barrer la moitié du film, Bowers revient mais ne servira finalement à rien, on se retrouve tous en même temps à la bibliothèque pourquoi, comment ? On ne sait pas ce que deviennent les victimes, quand les scènes d'horreur ont un effet physique réel ou non, ni les liens de It avec l'homme du cirque, ni enfin ce qu'est Pennywise sous sa "true form"
. Et puis Chapter II dégage aussi une morale assez dégueu spoiler: "Why did he die first ? Because he was the weakest, you all thought about it", la meuf qui préférait le bègue au poète change d'avis parce que ce dernier a arrêté la poésie mais est devenu une grosse baraque.
Super. Les scènes sont répétitives au possible et les effets spéciaux si grotesque que les monstres font sourire. Il n'y aucune tension et on s'ennuie ferme espérant un miracle sur la fin. Elle est pathétique, le peu que l'on apprend sur It ce sont spoiler: ses liens avec une tribu indienne et la nécessité d'un rituel pour le vaincre. Sauf que le rituel foire (mais sans tuer les participants) mais finalement on en avait pas besoin car il suffit de convaincre Pennywise qu'il n'est qu'un moins que rien ce qui est fait en 30sec de dialogues pathétiques.
Un accident industriel total.
, ce qu'on nous vend comme un acte altruiste (sa femme dit merci). Et là les mecs qui se sont pas vus depuis 27ans, amnésiques de surcroît redeviennent les meilleurs potes du monde en 10 secondes chrono... C'est le début du n'importe nawak et cela va durer comme ça encore 2H30. Les scènes sans cohérence sont mises bout à bout sans que l'ensemble lui-même ne raconte quoi que ce soit. spoiler: Les mecs veulent se barrer la moitié du film, Bowers revient mais ne servira finalement à rien, on se retrouve tous en même temps à la bibliothèque pourquoi, comment ? On ne sait pas ce que deviennent les victimes, quand les scènes d'horreur ont un effet physique réel ou non, ni les liens de It avec l'homme du cirque, ni enfin ce qu'est Pennywise sous sa "true form"
. Et puis Chapter II dégage aussi une morale assez dégueu spoiler: "Why did he die first ? Because he was the weakest, you all thought about it", la meuf qui préférait le bègue au poète change d'avis parce que ce dernier a arrêté la poésie mais est devenu une grosse baraque.
Super. Les scènes sont répétitives au possible et les effets spéciaux si grotesque que les monstres font sourire. Il n'y aucune tension et on s'ennuie ferme espérant un miracle sur la fin. Elle est pathétique, le peu que l'on apprend sur It ce sont spoiler: ses liens avec une tribu indienne et la nécessité d'un rituel pour le vaincre. Sauf que le rituel foire (mais sans tuer les participants) mais finalement on en avait pas besoin car il suffit de convaincre Pennywise qu'il n'est qu'un moins que rien ce qui est fait en 30sec de dialogues pathétiques.
Un accident industriel total.
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