Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Télé Loisirs
par La rédaction
Atrocement jouissif !
20 Minutes
par Caroline Vié
Le charisme de Pennywise est particu-lièrement mis en valeur dans ce secondvolet comme si le fait que ses adversairessoient devenus grands le stimulait.
Closer
par La Rédaction
Une suite efficace, avec un casting 5 étoiles.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Bis repetita… La figure du clown maléfique étant une garantie de frissons d’épouvante, sa reprise de service s’imposait. Elle ne manque pas d’efficacité.
Le Parisien
par La Rédaction
Si la suite de cette adaptation du roman culte de Stephen King est moins réussie que le premier volet, qui avait connu un succès phénoménal en 2017, elle fait tout de même très peur, de façon assez originale, et vaut carrément le coup.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Rolling Stone
par Sophie Rosemont & Xavier Bonnet
Les meilleurs ouvrages de King ont toujours tourné autour de l’idée d’actionner le bouton de la peur primale, puis de brutalement le pulvériser. Pennywise est en ce sens un chef-d’œuvre de phobie derrière la couche de maquillage.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Voici
par Daniel Blois
L'adaptation du roman de Stephen King se conclut en beauté avec ce second volet, mêlant habilement drame et horreur.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
En partie écrasé par un devoir d’efficacité, Ça 2 perd en charme et en identité ce qu’il gagne en spectacle.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Malgré quelques baisses de rythme et son final qui fait dans la redite, "Ça : Chapitre 2" remplit donc son cahier des charges et par son style embarquera sans mal avec lui tous les fans du maître de l'horreur, dont on ressent inévitablement la griffe.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Andy Muschietti soigne l’esthétique de son film saupoudré de nostalgie et fait durer la peur dans ce récit redoutablement efficace malgré quelques longueurs.
Mad Movies
par Gilles Esposito
[...] une péloche bien loin d'être le chef-d'oeuvre définitif annoncé par son ambition et sa durée hors normes, mais qui n'en contient pas moins de belles choses.
Critikat.com
par Josué Morel
Cette poussée de lucidité donne son intérêt au film, mais on regrette tout de même que la créature, dont le potentiel brille ici et là, ne serve en fin de compte qu’une mise en scène tablant sur un déluge d’effets.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Si on n’a pas peur, si on s’ennuie beaucoup, malgré quelques belles scènes, on admirera le casting : Jessica Chastain, Bill Hader, James McAvoy, Mustafa, Jay Ryan et James Ransone font ça bien.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Simon Riaux
Handicapé par une durée ridicule, étouffé par un scénario incroyablement mécanique, "Ça : Chapitre 2" éviscère son atmosphère à coups d'effets numériques grossiers. Restent la belle performance de Bill Hader et une poignée de scènes dignes du cauchemar de Stephen King.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Geek
par Remi Lou
Pourtant, avec un excellent casting et quelques belles surprises, Ça : chapitre 2 avait toutes les cartes en main pour nous effrayer, mais il est bien trop bancal pour viser juste. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Libération
par Olivier Lamm
[...] la conclusion de "Ça" le diptyque filmique des années 2010 est un tunnel de passages obligés et d’invraisemblances qui transforme un joli conte d’apprentissage désespéré en soap aux enjeux asséchés d’avance, et révèle au grand jour, s’il était encore besoin de le faire, l’incohérence industrielle d’un premier film qui refusait de choisir entre la chronique grand public et l’exploitation horrifique bas du front.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par François Léger
De retour aux affaires, Andy Muschietti manque cette fois d’une vision claire et ne parvient que rarement à trouver de nouveaux mécanismes pour instaurer le malaise - à l’exception de quelques scènes, dont la première, l’absence du chef opérateur Chung Chung-hoon se fait énormément ressentir.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Myriam Desvergnes
Film catalogue, qui multiplie les effets, le deuxième chapitre de Ça déçoit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le succès du chapitre 1, production hollywoodienne au budget raisonnable transformée en blockbuster mondial, a permis au réalisateur argentin de convaincre la Warner de le laisser faire ce qu’il voulait. Et surtout n’importe quoi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’humour ne réside pas tant dans le badinage littéraire (les dialogues du film sont d’une extrême platitude) que dans le fait indéniable que le deuxième long-métrage qu’Andrés Muschietti a tiré de l’énorme best-seller de Stephen King peut se prévaloir de l’une des fins les plus calamiteuses de l’histoire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Un interminable pot-pourri de 2 h 50 qui a délaissé le léger charme 80's du premier volet pour un ton mêlant maladroitement humour, horreur et casting XXL. (...) Ça : Chapitre 2 échoue à poser la seule question nostalgique qui vaille lorsqu'il s'agit de Stephen King : "Les Etats-Unis, que sont-ils devenus ?"
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
Atrocement jouissif !
20 Minutes
Le charisme de Pennywise est particu-lièrement mis en valeur dans ce secondvolet comme si le fait que ses adversairessoient devenus grands le stimulait.
Closer
Une suite efficace, avec un casting 5 étoiles.
Le Dauphiné Libéré
Bis repetita… La figure du clown maléfique étant une garantie de frissons d’épouvante, sa reprise de service s’imposait. Elle ne manque pas d’efficacité.
Le Parisien
Si la suite de cette adaptation du roman culte de Stephen King est moins réussie que le premier volet, qui avait connu un succès phénoménal en 2017, elle fait tout de même très peur, de façon assez originale, et vaut carrément le coup.
Rolling Stone
Les meilleurs ouvrages de King ont toujours tourné autour de l’idée d’actionner le bouton de la peur primale, puis de brutalement le pulvériser. Pennywise est en ce sens un chef-d’œuvre de phobie derrière la couche de maquillage.
Voici
L'adaptation du roman de Stephen King se conclut en beauté avec ce second volet, mêlant habilement drame et horreur.
CinemaTeaser
En partie écrasé par un devoir d’efficacité, Ça 2 perd en charme et en identité ce qu’il gagne en spectacle.
L'Ecran Fantastique
Malgré quelques baisses de rythme et son final qui fait dans la redite, "Ça : Chapitre 2" remplit donc son cahier des charges et par son style embarquera sans mal avec lui tous les fans du maître de l'horreur, dont on ressent inévitablement la griffe.
Le Journal du Dimanche
Andy Muschietti soigne l’esthétique de son film saupoudré de nostalgie et fait durer la peur dans ce récit redoutablement efficace malgré quelques longueurs.
Mad Movies
[...] une péloche bien loin d'être le chef-d'oeuvre définitif annoncé par son ambition et sa durée hors normes, mais qui n'en contient pas moins de belles choses.
Critikat.com
Cette poussée de lucidité donne son intérêt au film, mais on regrette tout de même que la créature, dont le potentiel brille ici et là, ne serve en fin de compte qu’une mise en scène tablant sur un déluge d’effets.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Si on n’a pas peur, si on s’ennuie beaucoup, malgré quelques belles scènes, on admirera le casting : Jessica Chastain, Bill Hader, James McAvoy, Mustafa, Jay Ryan et James Ransone font ça bien.
Ecran Large
Handicapé par une durée ridicule, étouffé par un scénario incroyablement mécanique, "Ça : Chapitre 2" éviscère son atmosphère à coups d'effets numériques grossiers. Restent la belle performance de Bill Hader et une poignée de scènes dignes du cauchemar de Stephen King.
Le Journal du Geek
Pourtant, avec un excellent casting et quelques belles surprises, Ça : chapitre 2 avait toutes les cartes en main pour nous effrayer, mais il est bien trop bancal pour viser juste. Dommage.
Libération
[...] la conclusion de "Ça" le diptyque filmique des années 2010 est un tunnel de passages obligés et d’invraisemblances qui transforme un joli conte d’apprentissage désespéré en soap aux enjeux asséchés d’avance, et révèle au grand jour, s’il était encore besoin de le faire, l’incohérence industrielle d’un premier film qui refusait de choisir entre la chronique grand public et l’exploitation horrifique bas du front.
Première
De retour aux affaires, Andy Muschietti manque cette fois d’une vision claire et ne parvient que rarement à trouver de nouveaux mécanismes pour instaurer le malaise - à l’exception de quelques scènes, dont la première, l’absence du chef opérateur Chung Chung-hoon se fait énormément ressentir.
aVoir-aLire.com
Film catalogue, qui multiplie les effets, le deuxième chapitre de Ça déçoit.
Le Figaro
Le succès du chapitre 1, production hollywoodienne au budget raisonnable transformée en blockbuster mondial, a permis au réalisateur argentin de convaincre la Warner de le laisser faire ce qu’il voulait. Et surtout n’importe quoi.
Le Monde
L’humour ne réside pas tant dans le badinage littéraire (les dialogues du film sont d’une extrême platitude) que dans le fait indéniable que le deuxième long-métrage qu’Andrés Muschietti a tiré de l’énorme best-seller de Stephen King peut se prévaloir de l’une des fins les plus calamiteuses de l’histoire du cinéma.
Les Inrockuptibles
Un interminable pot-pourri de 2 h 50 qui a délaissé le léger charme 80's du premier volet pour un ton mêlant maladroitement humour, horreur et casting XXL. (...) Ça : Chapitre 2 échoue à poser la seule question nostalgique qui vaille lorsqu'il s'agit de Stephen King : "Les Etats-Unis, que sont-ils devenus ?"