Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
« Le Promeneur d'oiseau » est un pur bonheur. Dépaysant, malicieux, émouvant, apaisant. On en sort le coeur heureux, ouvert comme ces pivoines qui connaissent ces jours-ci leur moment de gloire chez les fleuristes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
"Le Promeneur d’oiseau" n’est évidemment pas un film critique vis-à-vis du régime, mais ce n’est pas pour autant un film lisse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si le film évite de justesse l’écueil du manichéisme ville-campagne, modernité-tradition, notamment par l’humour, il réussit le récit tendre d’une rencontre entre deux générations qu’une brouille et une ascension sociale fulgurante ont éloignée. À voir en famille, toutes générations confondues.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Une fable fraîche et sensible pour retrouver les chemins du cœur. La photographie lumineuse, l'exotisme léger, jamais touristique, font un paysage discrètement enchanté. C'est simple comme une source.
Positif
par Nicolas Bauche
Sans niaiserie ni «bêtification» hasardeuse, Muyl accompagne ses personnages, leur douce métamorphose amoureuse et humaine sous nos yeux. Cette simplicité touchante se double de la luxuriance des paysages de l'arrière-pays chinois et d'un plaisant retour en enfance.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Ce film poétique rappelle l’importance des liens familiaux, le respect que l’on doit à nos aînés et la nécessité de prendre garde à l’environnement lorsque les nouvelles technologies s’en mêlent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un voyage qui tient ses promesses dans lequel on s'engage avec plaisir, jusqu’à destination.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Tournée dans des décors naturels somptueux, cette fable parle de transmission avec humour, simplicité et tendresse. Bien que cousu de fil blanc, le film, plein de charme et fondamentalement positif, va droit au coeur grâce à la qualité de son interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Sandrine Marques
"Le Promeneur d'oiseau" se veut une fable, teintée de nostalgie, sur le monde moderne. A ce titre, sans doute en sa qualité d'artiste "invité", le réalisateur ne s'est pas autorisé à émettre de critique à l'égard de la société chinoise et de ses cruelles disparités sociales. (...) un film gentillet, destiné avant tout à séduire un public familial.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Le nouveau film de Philippe Muyl renoue avec la veine du “Papillon”. Faible dans la forme, généreux en clichés et bons sentiments, le film n'est pas désagréable pour autant.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Le choc des générations et des cultures pour une fiction qui trace une route un peu trop prévisible dans son scénario mais s’offre en revanche de jolis moments suspendus entre bucolisme écolo et poésie naturaliste.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Nicolas Didier
Philippe Muyl (Cuisine et dépendances) filme joliment les deux visages de la Chine : urbaine et occidentalisée, rurale et traditionnelle. Autant de paysages immenses que les personnages traversent en utilisant tous les moyens de transport possibles...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Joachim Cohen
(...) le film enchaîne des saynètes bucoliques dans lesquelles le binôme vieux bougon/petite peste tourne la plupart du temps à vide.
Le Parisien
« Le Promeneur d'oiseau » est un pur bonheur. Dépaysant, malicieux, émouvant, apaisant. On en sort le coeur heureux, ouvert comme ces pivoines qui connaissent ces jours-ci leur moment de gloire chez les fleuristes.
20 Minutes
"Le Promeneur d’oiseau" n’est évidemment pas un film critique vis-à-vis du régime, mais ce n’est pas pour autant un film lisse.
La Croix
Si le film évite de justesse l’écueil du manichéisme ville-campagne, modernité-tradition, notamment par l’humour, il réussit le récit tendre d’une rencontre entre deux générations qu’une brouille et une ascension sociale fulgurante ont éloignée. À voir en famille, toutes générations confondues.
Le Figaroscope
Une fable fraîche et sensible pour retrouver les chemins du cœur. La photographie lumineuse, l'exotisme léger, jamais touristique, font un paysage discrètement enchanté. C'est simple comme une source.
Positif
Sans niaiserie ni «bêtification» hasardeuse, Muyl accompagne ses personnages, leur douce métamorphose amoureuse et humaine sous nos yeux. Cette simplicité touchante se double de la luxuriance des paysages de l'arrière-pays chinois et d'un plaisant retour en enfance.
aVoir-aLire.com
Ce film poétique rappelle l’importance des liens familiaux, le respect que l’on doit à nos aînés et la nécessité de prendre garde à l’environnement lorsque les nouvelles technologies s’en mêlent.
Franceinfo Culture
Un voyage qui tient ses promesses dans lequel on s'engage avec plaisir, jusqu’à destination.
Le Journal du Dimanche
Tournée dans des décors naturels somptueux, cette fable parle de transmission avec humour, simplicité et tendresse. Bien que cousu de fil blanc, le film, plein de charme et fondamentalement positif, va droit au coeur grâce à la qualité de son interprétation.
Le Monde
"Le Promeneur d'oiseau" se veut une fable, teintée de nostalgie, sur le monde moderne. A ce titre, sans doute en sa qualité d'artiste "invité", le réalisateur ne s'est pas autorisé à émettre de critique à l'égard de la société chinoise et de ses cruelles disparités sociales. (...) un film gentillet, destiné avant tout à séduire un public familial.
Les Fiches du Cinéma
Le nouveau film de Philippe Muyl renoue avec la veine du “Papillon”. Faible dans la forme, généreux en clichés et bons sentiments, le film n'est pas désagréable pour autant.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le choc des générations et des cultures pour une fiction qui trace une route un peu trop prévisible dans son scénario mais s’offre en revanche de jolis moments suspendus entre bucolisme écolo et poésie naturaliste.
Télérama
Philippe Muyl (Cuisine et dépendances) filme joliment les deux visages de la Chine : urbaine et occidentalisée, rurale et traditionnelle. Autant de paysages immenses que les personnages traversent en utilisant tous les moyens de transport possibles...
Première
(...) le film enchaîne des saynètes bucoliques dans lesquelles le binôme vieux bougon/petite peste tourne la plupart du temps à vide.