Mon compte
    Exodus: Gods And Kings
    Note moyenne
    2,9
    8010 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Exodus: Gods And Kings ?

    862 critiques spectateurs

    5
    45 critiques
    4
    169 critiques
    3
    264 critiques
    2
    244 critiques
    1
    78 critiques
    0
    62 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 janvier 2015
    Avec mon regard d'athé, j'ai pris ce film comme il se doit (à mon avis) : une histoire, un récit richement illustré par Ridley Scott et qui se regarde sans aucun ennui du début jusqu'à la fin et très bien servi par la 3D. Tout le monde ne peut pas en dire autant ! Ceux qui cherchent une exégèse iront voir ailleurs...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 janvier 2015
    Un bon film avec des décor magnifique , les acteur o top mais il manque quelque chose pour que se soit un chef d œuvre
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 janvier 2015
    Moïse - et la Bible - revisités par Ridley Scott. Le plus : c'est grandiose, c'est impressionnant et je pense en particulier aux dix plaies d'Egypte - extraordinaire ! et au passage de la Mer Rouge - beaucoup plus impressionnant, moins conventionnel et certainement plus réaliste que l'image d'Epinal qui nous avait été offerte jusqu'à présent de ce grand patriarche. Le numérique ouvre d'immenses et nouvelles possibilités. Le moins, c'est le coup de patte un peu trop américain. Moïse c'est pas Rambo ! Les Hébreux, c'était pas des G.I. ce qu'on pourrait croire par moments ... Mais ce n'est que mon avis. En résumé, c'est un beau film, que je noterais 3 étoiles et demie, Moïse Ridley Scott = film à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 janvier 2015
    Bonjour,

    J'ai vu le film sous un œil de croyant, musulman plus précisément et je rejoint tout mes coreligionnaires qui l'ont vu sous l'oeil de la bible.
    Pourquoi choisir l'histoire d'un prophète, d'autant plus Moïse, (Moshé et Moussa, que la paix soit sur Lui) si c'est pour la déformer autant, prendre du vrai pour le mélangé à du faux, tout ça pour essayer d'en faire une histoire moderne ou plutôt, athée, laïc qui devient aux yeux de croyant monothéiste blasphématoire. Moïse est le prophète le plus cité dans le Coran, Dieu le nomme plus de 120 fois, beaucoup plus que Mohamed et n'importe quel autres prophètes (pour plus d'info: taper Moussa dans le Coran (ou dans la Bible et la Torah) et une multitude de site vous donneront une multitude de détail.)
    Alors, que les trois religions sont unanimes sur les principaux faits de sa vie, on est en droit de se poser la question, quel est le but de ses réalisateurs célèbres ?
    Pourtant, les effets spéciaux sont bien réalisés, les scènes de combats sont belles, les décors, costumes sont magnifiques, l'histoire sans la comparé à Moise en tant que Prophète manque de scénario et n'est pas abouti, les 2h40 de film ne nous enivre pas du tout, on sent le temps passé, serait-ce parce qu'on connaît déjà tous les détails de l'histoire, voilà pourquoi peut-être a-t-il voulu la remixer à sa façon, valait mieux choisir des personnages mythiques ou imaginés.
    Dommage, j'aurai tant aimé voir, admirer un chef d'œuvre à la Gladiateur version prophète héros, est-ce possible, le défi est lancée, pourtant Ridley Scott est un monstre en son genre, ce film n'enlève en rien à son talent, en attendant un futur grand nom du cinéma, salut.
    PS: au moins ça nous aura fait révisé ?? et vu qu'il y avait matière à comparer, on a aura tout suite pu se rendre chacun de son niveau, je le donnerai en devoir a mes enfants, merci Scotti.
    nokidoki
    nokidoki

    77 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 janvier 2015
    On peut critiquer le film pour ses imnexactitudes historiques, mais on ne peut le critiquer sur son côté artristique.
    Ridley Scott produit, ici, un péplum exceptionnel avec une brochette d'acteurs de talent. Christian Bale est Toujours divin, et le petit Aaron Paul toujours aussi magique, il n'a pas besoin de parler pour jouer , ses expressions du visage suffisent.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 janvier 2015
    très déçu. Moïse en chef de guerre contre le benêt de Ramsès.
    A part du grand spectacle, des effets spéciaux, des scènes de combats sanglants, aucune émotion. Ce pauvre Moïse semble subir les évènements, et n'est jamais habité par la foi.
    Bof
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 janvier 2015
    Très bon film mais divergeant sur quelques points de la vraie histoire de Moïse. Sinon de très belles scènes avec de beaux effets.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2015
    A nouveau et à grands coups de spoilers - je vous aurais prévenus - me voilà prêt à m'ériger en défenseur de Ridley Scott, après Prometheus et Cartel, déjà plutôt rudoyés par le public. Ce qu'on reproche, cette fois, à Exodus, c'est son rapport à la divinité, soit précisément ce qui me plaît le plus. Cinéaste spécialiste des fresques historiques, donc des époques fortement imprégnées par un esprit religieux, Scott n'a pourtant jamais réellement embrassé la fibre théiste de ses récits, préférant par exemple déplorer le fanatisme dans Kingdom of Heaven ou développer une démarche spirituelle plus humaniste dans Gladiator. Cette fois, il va encore plus loin, attaquant de front l'un des piliers fondateurs des trois religions du livre en en fournissant une vision complètement désacralisante. Souvent reçu comme un cinéaste athée, Sir Ridley s'estime en fait agnostique, et met tout en oeuvre pour narrer de façon intelligente et précise l'impossibilité de l'Homme d'accéder à une connaissance réelle ou certaine des choses divines, par essence transcendantes. L'apparition de Dieu à Moïse, par exemple, ne peut se faire que dans la douleur, à travers l'ascension d'une montagne pour le moins accidentée. Mais Scott ne s'arrête pas là dans son édification de la foi comme quête ardue et exigeante, Moïse recevant lors d'un éboulis une pierre sur la tête qui l'assomme. Serait-il impossible, puisque le personnage ne peut accéder au sommet, de parfaire la recherche de Dieu, d'accéder à une certitude définitive ? C'est en fait consécutivement au choc reçu dans sa chute que Moïse trouve Dieu, qui finit par lui apparaître sous la forme d'un enfant, dans ce qui peut presque apparaître comme un errement schizophrénique. De cette ambiguïté entre littéralité religieuse et réalisme matérialiste, Exodus ne s'en départira plus, notamment lors de sa déclinaison des plaies d'Egypte ou de la traversée de la mer Rouge. Une vision moderne et d'un scepticisme très juste, à mon avis acceptable par tout un chacun, même les plus croyants des spectateurs, pour peu de faire preuve d'un peu d'ouverture d'esprit et de travail sur soi-même. Au final, j'aurais même aimé que Scott aille plus loin encore dans cette remise en perspective, par exemple en creusant vraiment le rapport de Ramsès à ses propres figures sacrées, pour vraiment faire de la religion un élan humain, constitutif de notre psyché, et non une chose d'impulsion divine. Là où Exodus dérange sans doute vraiment, c'est quand même dans la figuration de Dieu lui-même. La théophanie du buisson ardent est donc oubliée, et le Créateur n'apparaît donc que sous la forme d'un enfant, colérique, arbitraire. De quoi battre complètement en brèche une lecture trop dévote et sans distanciation des livres fondateurs, sous peine de ne trouver en guise de Dieu qu'une entité inhumaine. "C'est ça ton Dieu ? Un tueur d'enfants ?" Dommage, d'ailleurs, que Ridley Scott cède à un traitement trop lissé quant à l'utilisation de la violence, trop parcimonieuse. La violence barbare et ubiquitaire de l'Ancien Testament n'est pas restituée, et c'est d'autant plus dommage qu'elle explique très bien la nécessité de se construire des repères moraux en contrepoint. Voilà qui aurait été une pierre de plus dans la construction de cette recherche sur la quête de Dieu. Qu'importe, dans le fond, Exodus me plaît énormément, aussi parce que ses partis pris ambigus redonnent à la Foi, la Foi véritable, sa vraie valeur, sans cesse galvaudée un peu partout dans le Monde par les religions principales, sectaires, dogmatiques, qui ne laissent que peu de place à une vraie démarche intime et personnelle en contraignant le cadre du divin par une histoire, des traditions qui abolissent la nécessité d'introspection. Mais Scott et sa proposition ambigu qui frise le matérialisme passent donc par là. Concrètement, quel mérite y a t-il à croire en un dieu qui ouvre la mer Rouge comme une autoroute, de façon rectiligne, évidente. Ce genre de foi n'est que contrainte, obligation et évidence. Au contraire, choisir véritablement de croire malgré le doute que Scott instille, comme peut le faire Moïse quand il emmène son peuple dans les eaux alors qu'aucune certitude véritable ne l'anime, n'est-il pas la preuve d'une démarche réelle et profonde ? Foi pourtant acquise dans la douleur, Scott insistant en désincarnant quelque peu le rôle accordé à Christian Bale pour dessiner le rôle de Moïse comme un poids, une charge qui l'éloigne de sa famille par souci de préserver son intégrité mentale plutôt que par conscience de sa responsabilité. Croire n'est donc pas une obligation, semble nous dire Exodus, et la foi est une chose qu'on doit embrasser, pas subir. Un message qui me semble très sensé, et qui me fait voir Sir Ridley comme un véritable auteur, derrière le faiseur habile qu'on connait si bien et qui tombe ici quelque peu dans le piège du spectacle à tout prix, négligeant quelque peu ses personnages et le souffle de son récit. Le casting a priori plutôt inadapté, s'en tire bien, même si Aaron Paul et Sigourney Weaver n'ont qu'un rôle décoratif. Nouvelle très bonne prestation de Joel Edgerton, acteur que j'aime décidément beaucoup, imposant et très consistant. Un péplum moderne, qui compense son manque séquentiel d'allant par une profondeur appréciable et une vision originale. Et un nouveau Ridley Scott à mes yeux injustement bashé.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 janvier 2015
    Riddley Scott s'est attaqué à un très gros morceau cinématographique et surtout, il a pris le risque de marcher sur les plates-bandes de Cecil B. De Mil. Même une pointure comme lui allait droit au mur en prenant cette option, à notre époque. Déjà l'aspect visuel du film est très "actuel". C'est à dire, pour ceux qui connaissent la bonne vieille VistatVision Technicolor du film "Les Dix Commandements", Les couleurs de "Exodus" sont sans contraste, sans éclats ainsi que les éclairages palots, affadis encore plus par la technologie 3D des lunettes polarisantes. Le sable du désert du Sinaï y ressemble à la poussière volcanique d'une caldeira Islandaise et la Mer Rouge à un étang boueux du Bayou. Cela tient au fait que Lucas (dans "La menace fantôme) a fait la douloureuse expérience des effets spéciaux numériques dans une belle lumière et que ces derniers ont montré les limites de leur crédibilité pendant la course de jet-runners sur Tatoïne. Donc, au lieu de tolérer, comme l'a fait le réalisateur de "Détective Dee", ou comme l'aurait fait Ray Harryhaussen, une certaine artificialité des SFX afin de profiter des splendides couleurs et éclairages de l'enregistrement numériques, les américains préfèrent cacher les imperfections des technologies nouvelles en réalisant des film mono-chromiques déprimants pour les vieux cinéphiles amoureux des péplums modèles 1950-1970, comme moi.
    De plus les acteurs de "Exodus" qui marchent sur les pas de Charleton Heston, Yul Brynner, Cedrick Hardwick, John Dereck, Edward G Robinson, Vincent Price et John Carradine ont vraiment des airs de "danseuses légères" dans ce film, en regard de leurs illustres prédécesseurs. En 1956, Depuis Charleton Heston avec ses 2m03, ses 110 Kilos de rugbyman et sa voix de stentor, jusqu'aux autres interprètes, avait une formation Shakespearienne. Ils mesuraient, en moyenne, (en dehors de Robinson), 1m95 et développaient 200 livres de muscles garantis vierge d'amphétamine. Même le Moïse du dessin animé "Le prince d’Égypte" avait plus de Charisme que celui de Riddley Scott.
    Quant à la présence et aux rôles des femmes dans cette récente version de la Fuite d’Égypte, c'est quasiment ceux d'une tapisserie grise constellée de roses beiges fanés. Elles sont loin de la dizaine de splendeurs qui apparaissaient dans "Les dix commandements" et dont le talent indiscutable d'actrices tragédiennes n'avait d'égal que la plastique pulpeuse et naturelle de ces dernières. Les amateurs de salles obscures de cette époque se souviendront certainement de ces femmes Divines rien qu'en leur relisant le nom des trois premières stars du film : Debra Padget, Yvonne de Carlo et Anne Baxter...
    Quant à la fidélité à la Bible ou à l'Histoire, on ne peut pas obtenir les deux, point! Le Livre de l'Exode fut sans doute écrit au temps de Moïse, par lui et les scribes qui l'ont suivi dans sa migration vers Israël. Rédigé sans doute en Égyptien du nouvel Empire, repris ensuite par tradition orale parce que détruit au cours des 13 ou 14 siècles qui s'écoulèrent entre la Fuite d’Égypte et la Naissance de Jésus, il fut sans doute reconstitué en Araméen Cunéiforme peu de temps avant l'invasion Romaine. Or, en ce temps-là, des souvenirs de pharaons non Ptoléméens autres que Ramsess II, connu pour son écrasante victoire sur les Cananéens à Kadesh, il n'y en avait plus. Figure légendaire d'un passé sombré dans la nuit des temps, les rédacteurs tardifs de la Bible le choisirent comme adversaire du Prophète Moïse afin de grandir l'exploit de l'Exode face à un si puissant ennemi. Maintenant, ce livre religieux symbolique ne peut-être montré du doigt pour ses libertés prises avec les faits historiques dont la trame n'est que récemment et difficilement extraite des sables depuis seulement quelques décennies. Donc , raconter une fois de plus l'Histoire Sainte, déjà si majestueusement abordée dans "Les dix commandements" de 1956 ou avec poésie dans le "Prince d’Égypte" ne pouvait qu'aboutir à un remake ennuyeux de ces deux films, pataugeant lamentablement pour faire cohabiter le sacré symbolique et les dernières découvertes historiques.
    J'aurais personnellement préféré voir sur écran, la nouvelle histoire d'un Moïse, issu d'une famille Égypto-Hébraïque aisée de la période Amaréenne, sous le pharaon monothéiste Akhenaton. Celui-ci fit renaître l'Empire Égyptien en attirant dans son pays et sa Capitale, Amara, des artisans, des architectes, des cultivateurs d'autres nations, afin qu'ils transmettent un nouveau savoir faire dans un pays vieillissant, ankylosé par son ancienne religion. Les prêtres d'Amon, afin de retrouver leurs privilèges perdus, provoquèrent la chute d’Akhenaton. Ils firent tomber en esclavage les babyloniens, les cananéens, les éthiopiens et les hébreux, installés librement à Amara. C'est sans doute ce Moïse d'Amara qui, près de deux siècles avant Ramsess II, a permis aux esclaves de fuir le nouveau Pharaon sous l'influence des prêtres d'Amon et de bâtir, une religion monothéiste, inspirée de la religion Amaréenne, avec ses compagnons d'évasion.
    Donc "Exodus" : plantage annoncé de Riddley Scott qui pourtant, m'a toujours émerveillé avec "Légende", "Gladiator", ou inquiété avec "Alien"...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 janvier 2015
    Dire que j’attendais impatiemment Exodus depuis des mois serait un euphémisme. Dès les premières informations, et autres photos de tournage, j’ai trépigné comme une enfant dans une confiserie. La simple idée de découvrir mon cher Christian Bale en Moïse me mettait dans tous mes états. Car oui, pour ceux qui ne le savent pas encore, cet acteur est un petit peu l’amour de ma vie. On ne se refait pas que voulez-vous ! Quoiqu’il en soit, j’avais de grosses attentes, encore plus en sachant que Ridley Scott dirigeait le tout. Alors au final, ma patience a-t-elle été récompensé ?

    Si certains pays ont interdit Exodus: Gods & Kings, comme l’Égypte ou le Maroc, c’est en partie à cause des libertés prises par Ridley Scott. Plutôt que de nous livrer un film à forte connotation religieuse, il s’est attelé à présenter une partie du texte de façon réaliste et rationnelle. Les eaux du fleuve changées en sang trouve ici leur origine dans un massacre perpétré par des crocodiles, l’ouverture de la Mer Rouge ne résulte dans ce cas que de ce qui semble être la marée, et Dieu apparaît à Moïse au travers d’un petit garçon. Je peux comprendre que certains y voient là un sacrilège ou un blasphème, mais en ce qui me concerne j’ai particulièrement apprécié cette vision des choses. Etant athée, et pas particulièrement sensible aux religions (telles qu’on nous les vend en tout cas), je suis bien plus réceptive face à cette « rationalisation » des faits. Alors oui, ce parti pris n’est franchement pas pour me déplaire, d’autant plus qu’il s’agit d’une oeuvre de fiction.

    Venons-en au seul défaut du film selon moi, son montage. Les scènes ne s’enchaînent pas toujours de façon très fluides, et de rares passages sont même particulièrement grossiers. Le tout laisse parfois une impression désagréable, et l’annonce d’une future version longue montre bien qu’il a fallu faire des coupes drastiques, pour le faire tenir sur une durée de 2h30. Du coup, non seulement on retrouve ce soucis de coupures assez voyantes, mais en plus l’histoire va très vite, trop peut-être, au point de manquer d’émotion. Le scénario est tellement dense que le film aurait gagné à durer bien plus longtemps, ne serait-ce que pour approfondir certaines choses, comme la relation Ramsès/Moïse qui manque en l’état d’un peu d’épaisseur. Difficile d’apprécier pleinement le fossé qui se creuse entre les deux personnages, car nous avons finalement peu de traces d’une complicité passée. C’est d’autant plus dommage que d’autres productions moins ambitieuses s’y sont essayés avec succès, comme Le Prince d’Egypte, ou dans une moindre mesure la comédie musicale française Les Dix Commandements. Je souhaitais une relation profonde entre les deux frères de coeur, mais malheureusement cette dernière n’est que survolée. Ceci dit, ça n’en fait pas un mauvais film, bien au contraire. Il aurait juste pu passer de bon film à film parfait.

    Voir la critique entière sur le blog.
    Yozinho
    Yozinho

    60 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2015
    Je me fiche des mauvaises critiques. Je suis allé le voir malgré les mauvaises notes (je n'ai pas lu les critiques) et j'ai passé un super moment de cinéma. Jugez par vous même. Mais allez le voir. Christian Bale toujours impeccable. Des bons effets spéciaux. Au moins Ridley Scott a le mérite de traiter des événements historiques très peu traités aujourd'hui (Gladiator, Kingdom of Heaven, Robin des bois). Un tel film, qui donne un point de vue, forcément ne va pas plaire à tout le monde. Regardez-le comme ce qu'il est, un film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 janvier 2015
    Je met deux étoiles par respect pour Ridley Scott mais ce film est pour moi raté. Hormis les décors somptueux et la bande son le scénario est à mon sens désastreux. Le film est trop basé sur l'aspect religieux et fait passer la civilsation égyptienne pour les grands méchants loups. Ceux qui penseront aller voir un film digne de Gladiator déchanteront vite,en un mot : décevant.
    bouddha5962
    bouddha5962

    61 abonnés 735 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2015
    Le film a été revisité et modernisé avec toujours les mêmes images religieuses. L'image de Ramses n'est pas glorieuse et c'est dommage d'oublier que ça été l'un des plus grands rois d'Égypte.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 janvier 2015
    Les 7 plaies d'Egypte sont très bien rendu, ainsi que le passage de la mer rouge, mais le personnage de Moise gagnerait à être plus proche de celui de la Bible.
    Chuck Carrey
    Chuck Carrey

    311 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2015
    Après les scores très mitigés de son précédent film "Cartel", Ridley Scott se devait de revenir sur le devant de la scène en frappant un grand coup. Son péplum "Exodus : Gods and Kings" aurait dû faire l'affaire. Oui mais voilà, alors que ce nouveau film s'annonçait épique, spectaculaire et grandiose, Ridley Scott sort finalement un film très réussi techniquement mais qui parvient difficilement à captiver. Partant d'une histoire que tout le monde connait, celle de Moïse qui va se battre pour libérer les Hébreux sous le joug des Egyptiens, et qui a déjà été plusieurs fois adaptée au cinéma, le cinéaste britannique tente tant bien que mal d'en donner une nouvelle version, plus moderne et plus aboutie visuellement. Et de ce côté là, le réalisateur de "Gladiator" s'en tire haut la main ! Les effets spéciaux sont irréprochables et le film parvient à être épique dans les moments de combats. Les plans larges (de batailles ou de villes) sont d'un réalisme époustouflant. Mais d'un autre côté, le film déçoit sur de nombreux aspects. On peut dès le début faire la remarque que le film ne nécessitait pas un si prestigieux casting. Christian Bale (Moïse) et Joel Edgerton, (Ramsès) sont les seuls personnages à avoir une réelle importance. les autres en ont très peu. Alors pourquoi s'être payé le luxe de ramener Sigourney Weaver, John Turturro et Ben Kingsley pour des rôles qui ne sont même pas au second plan ? Le pire, c'est que dans l'ensemble, que les personnages aient de l'importance ou pas, on a du mal à s'attacher à eux. Mais les personnages, c'est une chose. Le rythme du film, c'en est une autre et là aussi ce péplum n'est pas sans reproche. Il y a une baisse de tension vers le milieu du récit qui, bien qu'elle ne soit pas trop prononcée, se fait tout de même sentir. Néanmoins, bien que Ridley Scott soit très loin en terme de qualité par rapport à son autre péplum "Gladiator", "Exodus : Gods and Kings" n'est pas si mauvais. Il est même pas trop mal. La BO est classique mais convenable. Les acteurs sont bons, surtout Christian Bale, un peu moins Joel Edgerton. Le tout n'est pas ennuyeux mais promettait beaucoup plus. C'est une déception mais une déception mesurée vue l'énorme travail que ce film a clairement demandé. Ridley Scott est toujours un bon réalisateur et il le prouve mais cette fois-ci, il parvient difficilement à donner un souffle épique à son récit et à captiver le spectateur.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top