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    Pieta
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    46 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 mai 2013
    Du Kim ki-duk à l'état pure. Des personnages mystérieux dans une réalité froide et effrayante. Un film qui ne laissera personne de marbre, tant les sujets abordés sont perturbant et intriguant.
    kleun
    kleun

    11 abonnés 665 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 avril 2013
    Âmes sensibles s'abstenir bien que vous allez rater un film juste énorme! Je ne connaissais pas du tout ce réalisateur jusqu'à maintenant. Ce film est une vrai claque pour moi tellement l'intensité du film est poignant entre les 2 protagonistes : le fils et la mère ... Avec un scénario à rebondissement et totalement bien pensé, on n'en ressort pas indemne !
    Ce long métrage a réussi à me déstabiliser. De nombreuses scènes nous font supposer l'horreur de l'action bien que rien n'est explicitement montré. Cependant le plus intérressant est sans nul doute l'évolution de la relation entre la mère et son fils. Tout deux, en manque d'affections, ne sachant pas forcement communiquer, vont s'attacher.
    Grâce à ce film, on voit l'envers du décor d'une Corée su Sud en difficulté avec une population pauvre et totalement désœuvré.
    Pour résumé, un excellent film dramatique qui a du cœur ... dommage que celui-ci ne soit pas plus médiatisé et proposé dans de nombreuses salles ... Dommage, je suis sûre qu'il aurait pu trouver un large public.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 328 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 avril 2013
    Bon... Il y a toujours une part de « too-mucherie » dans le cinéma de Kim Ki-duk, aussi bien dans la rudesse du style que dans le contenu du propos. Mais là, personnellement, le problème que j'ai rencontré avec ce film, c’est l'explosion du baromètre du too-much... Les situations sont vraiment trop grossières et c'est franchement souvent de la provocation, voire de la vulgarité gratuite. Moi ça m'a tellement pas parlé que je m'en suis endormi. Désolé Kim, la plupart du temps j'aime tes trips, mais là c'est sans moi...
    Fritz L
    Fritz L

    181 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 août 2014
    Piéta ou l’insoutenable dureté de l’être… Kim Ki Duk nous balance à la gueule un film radical, parfois à la limite du supportable, plus encore dans les mots que par l’horreur de certaines scènes. Et pourtant, ce pamphlet survolté contre une société qui se délite fait mouche ! Comme Van Sant avec son Promised land (en beaucoup mais alors beaucoup plus hard), la qualité tient moins ici à l’histoire qu’au propos et à la manière dont le réalisateur coréen choisit pour l’illustrer. Tout est écrit dans le moindre recoin des paysages, décors ou expression des acteurs. La mise en scène est redoutablement efficace et punchy, les sensations extrêmes… Il se dégage de Pieta une envie de révolte. Un cri de douleur pour dire halte au massacre, s’il est important de s’occuper de la planète, en ces heures noires et sombres, tentons de sauver l’homme. Idéaliste ? Il n’y aurait bien que les révolutionnaires de salon pour le penser ! Kim Ki Duk, lui s’engage et nous enrôle !
    shimizu
    shimizu

    9 abonnés 228 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 avril 2013
    Film extrêmement sombre et violent, c'est vraiment une épreuve que nous impose Kim Ki-Duk. Mais la fin est belle, et rachète tout ce monceau de cruauté du début.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 avril 2013
    Un film fort qui malgré quelques lenteurs m'a beaucoup plu
    Clingo
    Clingo

    58 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 avril 2013
    Piteux Pieta ( spoilers dans le texte ).

    Après Amour à Cannes l'année dernière, un autre film misanthrope sur l'humiliation rafle le plus prestigieux prix d'un grand festival de cinéma. Voici donc Pieta et son Lion d'Or obtenu à Venise ( où concourait également Spring Breakers, comme le disent les frères Coen, la vie n'a aucun sens ). Depuis une dizaine d'années a surgi une vague de films sud-coréens qu'on pourrait résumer - de manière un peu schématisée, certes - à une oeuvre stylisée sur la vengeance, à la violence extrême, graphique, passionnée. Là où le scénario habile et la mise en scène inspirée d'Oldboy sauvaient le film, où le point de départ et la virtuosité de J'ai rencontré le diable donnaient un intérêt au Kim Ji-woon, quasiment tout dans Pieta contribue à l'échec du nouveau Kim Ki-duk. Son scénario mal écrit par exemple, qui empile les situations misérabilistes et mélodramatiques ( les gens que va voir Kang-do sont tous des pantins pathétiques et inconsistants ) sans faire le moindre effort dans le développement de l'intrigue. Tout est traité sans finesse, à l'image de la relation mère-fils qui voit un bloc de violence déshumanisé soudainement s'attacher à un autre personnage. Et le film ne montre pas l'évolution de sa figure centrale, pas plus qu'il ne donne la possibilité au spectateur de se l'imaginer par le biais d'un hors-champ, lieu possible d'une réflexion personnelle. Sans prendre non plus la peine d'analyser ce qui se produit sous nos yeux, se contentant de l'asséner, de l'imposer sans autre solution pour le spectateur que de subir. On pourrait alors rétorquer à cette critique que le film ne cherche pas cela, qu'il est froid et donc détaché. Sauf que décrire froidement la naissance de sentiments " nobles " n'a aucun sens et que ce parti pris sonne la mort des personnages et l'intérêt que l'on pourrait leur porter. Que la froideur imprègne la première partie de Pieta est compréhensible, mais que le film prolonge cette approche au fil de son déroulement l'est beaucoup moins.

    Pieta ressemble à une ( mauvaise ) caricature du film de vengeance sud-coréen. La violence y est gratuite, et n'est motivée par rien d'autre qu'une esthétique choc qui se complaît dans son propre encrassement et dans une surenchère de mauvais goût. Le film semble constamment à la recherche du pire, les scènes malsaines ( mais vaines ) se succèdent, et l'on apprend que la Corée du Sud est un pays très sympathique où l'on passe son temps à se suicider, à gifler des gens, les mutiler, les masturber ( peu importe qu'il s'agisse de son propre fils, du moment qu'il a besoin d'affection ), violer sa mère ( le côté psychanalytique du film, raccourci très facile et degré zéro de la pensée ). Il y avait, dans les films cités plus haut, un autre rapport à la violence, qui faisait écho à la tragédie vécue par les deux personnages. Elle n'en demeurait pas soutenable pour autant ( aux deux sens du terme ), mais faisait sens. Ici, cette violence n'est qu'une démonstration de force, un jeu d'humiliation, où comme chez Haneke, l'amour n'est qu'une illusion qui masque la perversité du processus filmique et des sentiments humains. La seule bonne surprise de Pieta est une idée narrative qui s'éloigne pour le coup du film de genre : en déplaçant la vengeance du côté de la fausse mère, le film gagne enfin en subtilité après l'avoir si longtemps évitée. La machination à l'oeuvre sonne comme un refus du scénario de s'aventurer vers le terrain trop connu du déferlement de violence cathartique, qui n'a pas lieu d'être puisque Kang-do n'a à se venger de personne. Mais cette seule idée ne sauve même pas ce film grotesque et hideux, où la vengeance n'est plus un plat qui se mange froid, sinon une tambouille écoeurante sans aucune saveur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 avril 2013
    Pieta est un film incroyablement malsain, même si il ne verse jamais dans le grand-guinolesque. Kim ki-duk préfère en effet prendre son temps, poser sa caméra, poser ses personnages. Il n'y a pas de violence gratuite, tant toutes les scènes servent un propos très marqué sur la déshumanisation qu'entraine l'argent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 avril 2013
    Là où Kitano s'arrête en se demandant le sens de toute cette hémoglobine versée cruellement à l'écran, Ki-Duk commence. Là où tout le cinéma hollywoodien s'arrête lorsque les gangsters assassins brutaux laissent place aux pulsions froides à n'en plus finir des serials killers pour qu'on s'identifie à des charismes d'acteurs en jouant sur nos frissons, Ki-Duc commence. Ki-Duc avait commencé fort sa filmographie, puis s'était auto-parodié avec le temps, baissant le niveau, nous laissant le souvenir de ses meilleurs crus (bad guy, locataires), jusqu'au résultat: sa grosse déprime, d'après les rumeurs, et son documentaire inédit sur ça, façon joaquim phénix. Bref cette Pieta relève du miracle cinématographique sud coréen, meilleure nation du monde en 7ème art, après l'Italie qui en fut le premier flambeau suite à l'invention des frères Lumière, ayant passé la flamme ensuite aux USA, par la densité des talents et leur originalité inédite. Il revient en force, meilleur que jamais. Allah Akbar/Hallelujah. Cette Pieta tourne rond, et bien, mécanique huilée, à la précision infaillible. Acteurs merveilleux, crédibles, naturalistes, et beaux, fantastiques. Cette énième vengeance sud coréenne explore les émotions sous les motivations, les sensibilités, ou ce qu'il en reste derrière l'inexprimé, le ventre à nourrir chaque jour, l'inexprimable, la vie normale à bouffer son prochain parce que on vit une époque formidable où la hargne irascible semble être récompensée par la reconnaissance sociale si le regret en est absent. Ki-Duc s'est débrouillé pour n'être jamais trop manichéen, mélange bourreaux et victimes, brouille l'ange et la bête, condamnant tout le monde, et sauvant qui a le cœur assez puissant pour se sauver lui-même, oh la belle histoire que voilà, quitte à ce que cela n'ait aucun sens, ça fait une trace, c'est tout, là où règne le vide. C'est facile à faire, il suffit d'ouvrir le barrage de ses souffrances. Il est toujours trop tard, pas pour souffrir, on sait que c'est un peu beaucoup la vie, non, pour s'en sortir définitivement. Il y a toujours un moment où ça peut basculer. S'en prémunir est impossible. C'est l'ultime argument pour faire le bien. Pour faire le mal aussi. Ki-Duc avec sa Pieta, nous offre un bon bol de Bien. Il a créé un style qui surnage au-dessus de la mêlée. C'est trop d'effort pour vouloir aller y voir, ou pour qu'il y soit tranquille. Status quo. 1 partout. Bravo l'artiste.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 avril 2013
    Quelle déception ! Je n'ai pu tenir au bout des 1h44 que dure le film... Film répétitif et ennuyeux à souhait, les personnages ne communiquent rien, aucun empathie sans compter les nombreuses grossièretés scénaristiques. Certains passages font même sourire tellement c'est ridicule.
    Julien D
    Julien D

    1 196 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 avril 2013
    Derrière le thriller psychologique bien ficelé, le scénario de ce film choquant est un drame poignant. Aussi bien drame intime, à travers la rédemption de ce personnage inhumain, qu’un drame social dépeignant avec froideur la situation économique de la Corée. L’imagerie crépusculaire et la violence des rapports humains aident à créer un univers littéralement terrifiant, voir insupportable, que le rythme allongé du récit veut nous faire découvrir en profondeur au risque de perdre en chemin ses spectateurs qui, pour la plupart, ne profiteront pas du choc émotionnel escompté et ne feront qu'en conclure que Kim Ki-Duk ne s'est par remis de sa dépression nerveuse.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 avril 2013
    Kang-do est une belle ordure, l'archétype du salaud endurci et cupide. Dans le quartier de Cheonggyecheon à Séoul promis à la démolition, il mutile des pauvres ferrailleurs à qui son patron a prêté de l'argent à des taux usuraires afin de récupérer leur prime d'assurance, avec une insensibilité et un ennui qui nous font regretter la bonhommie perverse de Joe Pesci dans "Les Affranchis". Bon, si au moins il en profitait pour mener grand train et jouer son Tony Montana ; non, rien de ça, au contraire, il partage avec ses victimes une vie solitaire et morne dans un appartement minable, n'ayant ni ami ni famille. Ni famille ? C'est ce qu'il pensait jusqu'à ce qu'apparaisse Mi-sun, petite femme inexpressive qui lui demande pardon de l'avoir abandonné à la naissance, et le suit comme un toutou malgré la loghorrée de "connasse" et de "pétasse" que tant de dévouement lui vaut de la part de son rejeton.

    Car voyez-vous, s'il est un peu sauvageon, c'est qu"il a grandi sans amour", comme le rétorque la mater dolorosa à une victime de son bambin qui postulait qu'il était né avec le mal en lui. Et d'ailleurs, la preuve en est qu'à partir du moment où il a accepté l'idée de se découvrir une mère à 30 ans après de sympathiques rites initiatiques destinés à tester son Œdipe (viol incestueux, boulottage d'un morceau du chérubin), il se découvre une part d'humanité. Vous l'avez sans doute compris à ma façon de rapporter l'intrigue, j'ai détesté ce film, pris de plein fouet par un dégout pour le propos mais aussi pour la façon de filmer, alors que la bande-annonce m'avait plutôt alléché et que j'étais resté sur des impressions positives de Kim Ki-Duk, particulièrement de "Printemps, Eté, Automne, Hiver... et Printemps" et du "Locataire".

    Mais que veut nous raconter Kim Ki-Duk à travers la narration pénible et glauque de ce chemin de croix ? Que le capitalisme est brutal et que l'argent ne fait pas le bonheur ? Que tout individu a enfoui en lui une part d'amour ? La référence omniprésente à la dimension sacrificielle du catholicisme (le titre, l'immense croix de néon rouge visible dans un plan d'ensemble nocturne, l'Agnus Dei qui ponctue la scène finale) semble étayer le thème de la rédemption, mais encore faudrait-il pour que cela fonctionne qu'on puisse ressentir un peu d'empathie pour Kang-do ; las, le jeu atone de Lee Jung-Ji nous laisse complètement à l'extérieur de ses hypothétiques états d'âme, et la succession de scènes pesantes sur la fin quand il fait le tour de ses victimes ne nous arrache pas autre chose que de l'ennui.

    la suite sur les Critiques Clunysiennes
    etoile_du_jaguar
    etoile_du_jaguar

    3 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 avril 2013
    Inregardable.
    Il y avait 6 personnes dans la salle, au bout de 30 minutes 4 sont parties.
    A éviter. Sans intérêt, on ne va pas au cinéma pour tomber dans le sordide.
    JoRod
    JoRod

    58 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2013
    Lion d’or à Venise, Pieta, dernier film de Kim-ki-duk, déjà connu notamment pour Adresse inconnue, Printemps, été, automne, hiver... et printemps ou encore Locataires, raconte l’histoire d’un homme seul et monstrueux qui découvre sa mère pour la première fois de sa vie. Une œuvre immorale, complaisante et grossière.

    Il y avait de quoi espérer pas mal de choses de l’œuvre de Kim-ki-duk avant visionnage. Le lion d’or décerné par Michael Mann était l’une des principales raisons mais aussi un talent certain et affirmé. Mais dans ce Pieta rien ne va et c’est peu de le dire.

    Le film est un voyage mélangeant fantasmes et remords. Le propos tenu par le film est déjà très maladroit. Mais c’est surtout la mise en avant d’un manque de subtilité totalement consternant. Le film est bourrin, grossier et la violence mise à l’image ne trouve aucune justification.

    Kim-Ki-Duk fait souvent preuve d’amateurisme dans sa réalisation. La démonstration étant appuyée à outrance. L’œuvre s’accompagnant d’une immoralité constamment présente et prouve une certaine absurdité de l’œuvre du réalisateur Sud-Coréen.

    C’est un cinéma qui ne produit rien mis à part du négatif. On est déçu et consterné par tant de médiocrité.

    Le réalisateur semble perdu dans sa complaisance. A chaque plan on sent qu’il est persuadé de son talent et qu’il impose une vision profonde mais pourtant son symbolisme bidon et lourd est désolant le reste nous laissant totalement de marbre.

    On comprend mal qu'une distinction telle que le Lion d'Or vienne glorifier une oeuvre aussi maladroite et consternante et à quel point le Jury présidé par Michael Mann ait pu se laisser berner à ce point.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2013
    Le dix-huitième film du réalisateur sud-coréen, puisque c'est présenté ainsi dans le générique, est à la fois un thriller, un état des lieux d'un pays qui connait aussi la crise économique en jetant dans la misère une partie de la population et enfin une allégorie marquée par le pardon et la rédemption. Pas simple de faire tenir ces trois registres dans une même œuvre qui semble déjà se parer des atours d'une farce cruelle et morbide, avant de viser des objectifs plus nobles. Pour récupérer des primes d'assurances, des clients sont prêts à se mutiler et s'ils ne peuvent le faire eux-mêmes, le personnage principal du film s'en charge. Homme solitaire et violent, sans états d'âme, il voit son existence bousculer le jour où une femme, qui se prétend sa mère, qui l'aurait abandonné à sa naissance, le suit puis l'accoste. On entend dire que le réalisateur de Locataires se complait dans la violence, mais celle-ci n'est jamais frontale puisqu'elle est traitée hors-champ, souvent derrière le rideau de fer baissé d'un atelier qui, avec ses bruits monstrueux et ses machines anxiogènes, ressemble à une espèce d'antre de l'enfer. Donc, plus que la violence, c'est l'ambiance glauque d'un monde à part de bidonville appelé à disparaitre qui peut créer le malaise. Progressivement, le réalisateur se resserre sur l'étrange rapport entre le fils solitaire, dénué de tout sentiment, et sa mère supposée. Ce nouvel élan qui amène le film sur une autre piste est salutaire et relance l'intérêt. Le héros qui commence à ressentir quelque chose s'humanise et nous interpelle, alors que jusqu'alors sa cruauté aux actes répétitifs nous avait plutôt ennuyés. Vengeance, complexité des rapports humains et agonie d'une société qui conduit ses membres à des gestes dramatiques et assumés sont les composantes d'un long-métrage accrocheur, servi par une mise en scène minutieuse et toujours inventive.
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