Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film est techniquement remarquable. Au début, on s'y perd un peu. Ensuite, la magouille prend forme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Express
par Christophe Carrière
C'est somptueusement filmé, le rythme est soutenu (...). Felicidades !
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
En marge des ramifications de l’intrigue et de ses multiples rebondissements – ruses, chausse-trappes, jeux de dupes et de miroirs – le cinéaste stylisé met de côté ses tentations graphiques pour s’attacher, comme peu sont capables de le faire, à la solitude des forbans.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Porté la virtuosité d’une narration complexe qui retombe toujours sur ses pieds, un thriller jouissif qui éclaire avec brio cette zone sombre que constituent les jeux secrets du pouvoir et de l’argent.
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Le film d’Alberto Rodriguez restitue parfaitement ce mélange des genres qui fait le sel de Paesa, entre l’agent secret et le héros picaresque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film malin, captivant et brillamment réalisé.
Libération
par Marcos Uzal
Le mouvement le plus intéressant du film est invisible, c’est celui qui anime l’insondable Paesa, grisé par ses mensonges et ses mises en scène.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un "Arrête-moi si tu peux" ibère complexe et prenant.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Tel qu’il apparaît à l’écran incarné par Eduard Fernandez, un acteur qui sait se faire oublier quand, à la vérité, on ne voit que lui, il est habile, rusé, entraîné et surtout, il adore ça. Il adore imaginer des usines à gaz, emboiter des poupées gigognes et tirer la langue à la fin, quand la comédie est finie. Joli coup.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Samuel Douhaire
Cette arnaque de haut vol, Alberto Rodriguez la reconstitue comme un thriller plein de punch. Son récit, dopé à l'humour noir, est puissamment addictif, malgré sa complexité — c'est un tour de force scénaristique de réussir à ne pas égarer le spectateur dans un tel labyrinthe de manipulations croisées (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un thriller politique sinueux, dont la complexité ne désamorce jamais l’ingéniosité. Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Immersif et intelligent, ce thriller politique manque parfois de didactisme et d'ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Le réalisateur avoue signer délibérément ici "le plus artificiel de (ses) films"… et c'est vrai qu'on n'y retrouve pas la griffe subtile de "La Isla Minima", plus profonde, moins bavarde, et dont les personnages étaient autrement travaillés.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
L’ancrage dans les années 1990 et dans un univers d’escrocs bureaucrates vire au festival de postiches et de costumes ringards, et il faut s’accrocher pour tout comprendre. Mais n’est-ce pas le propre du cinéma, comme de la politique, de nous faire prendre pour des messies les gens ternes ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un thriller au rythme en dents de scie, passionnant par moments, répétitif parfois.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le style de Rodríguez est nerveux, dense, rapide (presque trop, on aimerait parfois appuyer sur pause) et il sait donner à ce monde interlope chic de la barbouzerie et de l’espionnage une consistance à l’américaine que pourraient lui envier bien des cinéastes français.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Amoureux du cinéma américain des années 70, Alberto Rodriguez joue des clichés du genre, en abuse même parfois un peu, transformant progressivement le thriller en exercice de style.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Benoît Smith
"L'Homme aux mille visages" s'échine à être un bon petit soldat aux faux airs malicieux, irréprochable exemplaire d'un genre bien connu : le "film d'arnaque", dont il reproduit consciencieusement et sans la moindre trace d'inspiration les tics les plus basiques.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Rodriguez court après le thriller, mais il n’arrive pas à rendre ces tours de passe-passe haletants.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On met au moins quarante minutes à entrer dans ce récit à tiroirs, extrêmement dense, qui multiplie les personnages et les intrigues parallèles. Une fois l’opacité levée, on est enfin embarqué dans la course folle de l’escroc flamboyant. Dommage que l’ensemble manque d’émotion.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Inspiré de la fin du règne de Felipe Gonzalez, le thriller d’Alberto Rodriguez reste presque indéchiffrable pour un spectateur qui méconnaît la période.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro
Le film est techniquement remarquable. Au début, on s'y perd un peu. Ensuite, la magouille prend forme.
L'Express
C'est somptueusement filmé, le rythme est soutenu (...). Felicidades !
La Voix du Nord
En marge des ramifications de l’intrigue et de ses multiples rebondissements – ruses, chausse-trappes, jeux de dupes et de miroirs – le cinéaste stylisé met de côté ses tentations graphiques pour s’attacher, comme peu sont capables de le faire, à la solitude des forbans.
Le Dauphiné Libéré
Porté la virtuosité d’une narration complexe qui retombe toujours sur ses pieds, un thriller jouissif qui éclaire avec brio cette zone sombre que constituent les jeux secrets du pouvoir et de l’argent.
Le Figaroscope
Le film d’Alberto Rodriguez restitue parfaitement ce mélange des genres qui fait le sel de Paesa, entre l’agent secret et le héros picaresque.
Le Parisien
Un film malin, captivant et brillamment réalisé.
Libération
Le mouvement le plus intéressant du film est invisible, c’est celui qui anime l’insondable Paesa, grisé par ses mensonges et ses mises en scène.
Studio Ciné Live
Un "Arrête-moi si tu peux" ibère complexe et prenant.
Sud Ouest
Tel qu’il apparaît à l’écran incarné par Eduard Fernandez, un acteur qui sait se faire oublier quand, à la vérité, on ne voit que lui, il est habile, rusé, entraîné et surtout, il adore ça. Il adore imaginer des usines à gaz, emboiter des poupées gigognes et tirer la langue à la fin, quand la comédie est finie. Joli coup.
Télérama
Cette arnaque de haut vol, Alberto Rodriguez la reconstitue comme un thriller plein de punch. Son récit, dopé à l'humour noir, est puissamment addictif, malgré sa complexité — c'est un tour de force scénaristique de réussir à ne pas égarer le spectateur dans un tel labyrinthe de manipulations croisées (...).
aVoir-aLire.com
Un thriller politique sinueux, dont la complexité ne désamorce jamais l’ingéniosité. Du grand art.
Ecran Large
Immersif et intelligent, ce thriller politique manque parfois de didactisme et d'ambiguïté.
Franceinfo Culture
Le réalisateur avoue signer délibérément ici "le plus artificiel de (ses) films"… et c'est vrai qu'on n'y retrouve pas la griffe subtile de "La Isla Minima", plus profonde, moins bavarde, et dont les personnages étaient autrement travaillés.
L'Obs
L’ancrage dans les années 1990 et dans un univers d’escrocs bureaucrates vire au festival de postiches et de costumes ringards, et il faut s’accrocher pour tout comprendre. Mais n’est-ce pas le propre du cinéma, comme de la politique, de nous faire prendre pour des messies les gens ternes ?
Les Fiches du Cinéma
Un thriller au rythme en dents de scie, passionnant par moments, répétitif parfois.
Les Inrockuptibles
Le style de Rodríguez est nerveux, dense, rapide (presque trop, on aimerait parfois appuyer sur pause) et il sait donner à ce monde interlope chic de la barbouzerie et de l’espionnage une consistance à l’américaine que pourraient lui envier bien des cinéastes français.
Paris Match
Amoureux du cinéma américain des années 70, Alberto Rodriguez joue des clichés du genre, en abuse même parfois un peu, transformant progressivement le thriller en exercice de style.
Critikat.com
"L'Homme aux mille visages" s'échine à être un bon petit soldat aux faux airs malicieux, irréprochable exemplaire d'un genre bien connu : le "film d'arnaque", dont il reproduit consciencieusement et sans la moindre trace d'inspiration les tics les plus basiques.
L'Humanité
Rodriguez court après le thriller, mais il n’arrive pas à rendre ces tours de passe-passe haletants.
Le Journal du Dimanche
On met au moins quarante minutes à entrer dans ce récit à tiroirs, extrêmement dense, qui multiplie les personnages et les intrigues parallèles. Une fois l’opacité levée, on est enfin embarqué dans la course folle de l’escroc flamboyant. Dommage que l’ensemble manque d’émotion.
Le Monde
Inspiré de la fin du règne de Felipe Gonzalez, le thriller d’Alberto Rodriguez reste presque indéchiffrable pour un spectateur qui méconnaît la période.