Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Soit par crainte d’être un peu trop secoué, on s’enfuit en courant, soit on trouve cette œuvre passionnante et d’une grande beauté. Nous sommes de ce radical parti.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Sur une mise en scène ascétique, le cinéaste autrichien dénonce la ferveur comme substitut du désir et montre la frontière très floue entre amour spirituel et charnel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
[L']inversion des clichés est assez plaisante, d'autant que l'acteur non professionnel qui interprète le mari, profil d'oiseau déplumé et zénitude opiniâtre, est absolument irresistible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ulrich Seidl poursuit son triptyque avec un récit fort et plus complexe qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Séguret
Isolant son héroïne (extraordinaire Maria Hofstätter) dans la bulle d'une mise en scène clinique et froide, le film ne peut lutter contre sa propre beauté, sourde et menaçante (...). Parfois, dans la sécheresse antilyrique du cinéma de Seidl surgissent un souffle et des passions insoupçonnables.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Ollivier Pourriol
Ce cinéma à la fois dérangé et dérangeant, mais rigoureux et subtilement pervers, invente une qualité de comique très nouveau, très étrange, qui naît précisément de ce désordre que les corps désirants font naître dans le cadre.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Philippe Rouyer
"Paradis : Foi" qui est peut-être la fiction de Seidl la plus formellement maîtrisée à ce jour, est aussi la plus désespérée.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Thomas Agnelli
Le réalisateur autrichien se montre toujours aussi percutant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Bouleversant toutes les certitudes de savoir, Seidl va à l'encontre de la tendance très actuelle aux raccourcis, aux archétypes et aux préjugés pour donner à voir et à penser différemment des rapports humains complexes (homme/femme, catholique/musulman, sado/maso).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
En tant que cinéaste, Ulrich Seidl est un technicien de surface : il se contente de passer des coups de serpillière sur des sols déjà dévoilés et usés par les détergents pourtant plus subtils de ses illustres et grands prédécesseurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Caroline Vié
Si le cinéma d'Ulrich Seidl n'est pas aimable, il est réjouissant pour peu qu'on ait l'âme chevillée au corps et le coeur bien accroché. Pourtant, Seidl révèle ici une humanité qui ne lui est pas habituelle (...).
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
"Paradis : Foi" est une charge parfois appuyée, mais c’est aussi le point de départ d’une étude humaine désabusée, violent écho de la préoccupation de son auteur face aux endoctrinements, ostracismes et abandon du libre-arbitre que promeuvent trop de cultes.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Nettement moins réussi [que "Paradis : Amour"], (...) c'est parfois loufoque : Ulrich Seidel fait alors mouche sur le manque de confiance en soi, l'égarement et les désillusions de l'adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Ouest France
par La rédaction
Des situations exacerbées qui, justement, perdent un peu de leur impact, de leur efficacité et de leur vibration à trop explorer l'extrême.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Transfuge
par Frédéric Mercier
Quand il ne révulse pas par sa méthode sadique et son esthétisme d'hôpital, le cinéma de Seidl agace à force de glisser sur toutes les généralités de son sujet pour arriver nulle part.
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Triste spectacle, en tout cas, que celui de cette radicalité primaire brandie en étendard, mais qui n'accouche que d'un discours de magazine féminin.
Critikat.com
par Alice Leroy
Portrait d'une apôtre acharnée de la parole divine lancée à l’assaut des quartiers déshérités de Vienne, armée d’un vaporisateur d’eau bénite et parée d’une statue de la Vierge.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
Soit par crainte d’être un peu trop secoué, on s’enfuit en courant, soit on trouve cette œuvre passionnante et d’une grande beauté. Nous sommes de ce radical parti.
Le Journal du Dimanche
Sur une mise en scène ascétique, le cinéaste autrichien dénonce la ferveur comme substitut du désir et montre la frontière très floue entre amour spirituel et charnel.
Le Monde
[L']inversion des clichés est assez plaisante, d'autant que l'acteur non professionnel qui interprète le mari, profil d'oiseau déplumé et zénitude opiniâtre, est absolument irresistible.
Les Fiches du Cinéma
Ulrich Seidl poursuit son triptyque avec un récit fort et plus complexe qu'il n'y paraît.
Libération
Isolant son héroïne (extraordinaire Maria Hofstätter) dans la bulle d'une mise en scène clinique et froide, le film ne peut lutter contre sa propre beauté, sourde et menaçante (...). Parfois, dans la sécheresse antilyrique du cinéma de Seidl surgissent un souffle et des passions insoupçonnables.
Marianne
Ce cinéma à la fois dérangé et dérangeant, mais rigoureux et subtilement pervers, invente une qualité de comique très nouveau, très étrange, qui naît précisément de ce désordre que les corps désirants font naître dans le cadre.
Positif
"Paradis : Foi" qui est peut-être la fiction de Seidl la plus formellement maîtrisée à ce jour, est aussi la plus désespérée.
Première
Le réalisateur autrichien se montre toujours aussi percutant.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Bouleversant toutes les certitudes de savoir, Seidl va à l'encontre de la tendance très actuelle aux raccourcis, aux archétypes et aux préjugés pour donner à voir et à penser différemment des rapports humains complexes (homme/femme, catholique/musulman, sado/maso).
Les Inrockuptibles
En tant que cinéaste, Ulrich Seidl est un technicien de surface : il se contente de passer des coups de serpillière sur des sols déjà dévoilés et usés par les détergents pourtant plus subtils de ses illustres et grands prédécesseurs.
Metro
Si le cinéma d'Ulrich Seidl n'est pas aimable, il est réjouissant pour peu qu'on ait l'âme chevillée au corps et le coeur bien accroché. Pourtant, Seidl révèle ici une humanité qui ne lui est pas habituelle (...).
TéléCinéObs
"Paradis : Foi" est une charge parfois appuyée, mais c’est aussi le point de départ d’une étude humaine désabusée, violent écho de la préoccupation de son auteur face aux endoctrinements, ostracismes et abandon du libre-arbitre que promeuvent trop de cultes.
Télérama
Nettement moins réussi [que "Paradis : Amour"], (...) c'est parfois loufoque : Ulrich Seidel fait alors mouche sur le manque de confiance en soi, l'égarement et les désillusions de l'adolescence.
L'Express
Voir le site de L'Express
Ouest France
Des situations exacerbées qui, justement, perdent un peu de leur impact, de leur efficacité et de leur vibration à trop explorer l'extrême.
Transfuge
Quand il ne révulse pas par sa méthode sadique et son esthétisme d'hôpital, le cinéma de Seidl agace à force de glisser sur toutes les généralités de son sujet pour arriver nulle part.
Cahiers du Cinéma
Triste spectacle, en tout cas, que celui de cette radicalité primaire brandie en étendard, mais qui n'accouche que d'un discours de magazine féminin.
Critikat.com
Portrait d'une apôtre acharnée de la parole divine lancée à l’assaut des quartiers déshérités de Vienne, armée d’un vaporisateur d’eau bénite et parée d’une statue de la Vierge.