Casting 3 étoiles (axé série) pour un téléfilm qui présentait une histoire de voyage dans le temps intéressante, mais la developpe mal. Le coup du dessin au tableau est piqué de retour vers le futur (incontournable), on retrouve les memes questions / débats. Et puis on pense toujours au petit garçon du sixième sens (role qui le marquera à vie)
Intelligence artificielle. Suis moi je te fuis. Papa est parti dans le passé. Aucun esprit d'équipe. Fiston et papy se sortent les doigts du cul pour retrouver le réel et maman fait du chocolat.
Malheureusement assez mou comme film. Pendant 1h10 il ne se passe pas grand chose et la fin n'est pas crédible il y a un problème de paradoxe.
spoiler: On ne peut pas changer le passé.... Si le père est mort dans le future, quoi qu'il arrive on arrive toujours au point que: le père est mort un point c'est tout. Si il vie, le fils ne serait jamais parti le prévenir et donc paradoxe
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2,0
Publiée le 20 novembre 2020
Le Chemin du passé est l'histoire d'un mari et d'un père aimant qui a disparu en l'an 2000 et qui a affecté à jamais sa femme et son fils. Le film reprend en 2012 avec la veuve Marika (Gillian Anderson), et le fils Erol (Haley Joel Osment), qui tentent de poursuivre leur vie jusqu'à ce que le grand-père d'Erol et Sal (Victor Garber) essaie de convaincre Erol qu'ils peuvent réparer la perte de son père. Défaire, réparer, corriger, changer le passé c'est le motif principal de tous les voyages dans le temps alors quoi de neuf. Rien si ce n'est que les raisons et les moteurs des voyages dans le passé ont été tellement concoctés. En plus des causes très ouvertement forcées le film avait un message trop simpliste famille ou travail il faut choisir. Je ne sais pas ce qui m'a le plus ennuyé la façon d'écrire à la main une raison de voyager dans le temps ou le message selon lequel une personne doit choisir son travail ou sa famille. Ces deux histoires ont été faites à plusieurs reprises. L'histoire qui modifie le passé est complètement exagérée. La deuxième hypothèse qui consiste à préférer le travail à la famille est également exagérée mais dans ce cas-ci elle a été appliquée de manière élémentaire. D'une certaine manière nous sommes menés à croire que toute personne qui passe beaucoup de temps à se concentrer sur son travail aussi important soit-il perdra sa famille. En substance tous les grands inventeurs, scientifiques et innovateurs qui ont contribué à changer l'humanité ont eu une vie familiale normale...
L'intrigue commence très rapidement, on est pris tout de suite dans les événements. On n'est pas embêté avec une mise en contexte interminable. Une fois le problème mis en route, ça devient beaucoup plus long. Il y a un léger côté psychologique sur la perte d'un proche. Il faut attendre une bonne moitié du film pour qu'une solution au problème commence à être cherchée mais au final, toutes les scènes ne sont que des affaires de famille les trois-quarts du film. Ce n'est pas si mal à suivre, mais ça détourne totalement le côté science-fiction qu'aurait pu avoir le film à la base. Toute la partie intéressante arrive dans les 20 dernières minutes. La conclusion est bien, on n'est pas déçu ou laissé sans épilogue.
Un film pas difficile à regarder, ce sont des acteurs connus et appréciés mais pour de la S.F. il ne se passe pas grand chose d'extraordinaire. C'est plutôt très verbeux et pas aussi intéressant qu'on le croirait, ce ne sont que supputations absurdes sur les trajectoires du temps. Une histoire un peu sombre avec des personnages plutôt gentils, rien de bien utile dans tout cela.
Principalement, parce que tous les acteurs jouent vraiment bien.
Le sujet est intéressant et bien prenant, après, c'est vrai que cela manque un petit peu de rythme, mais c'est vraiment pas mal du tout pour un film "passé inaperçu- sans tapage"...
Petit film de SF très décevant. Le voyage dans le temps reste un thème fascinant. Mais le réalisateur s'est embourbé dans un mélo pesant encombré d'explications pseudo scientifiques sans intérêt. Une seule scène est très réussie : la rencontre du père et du fils dans le passé, mais tout le reste est longuet et convenu. Sans compter un côté moraliste avec un discours individualiste : il faut s'occuper avant tout de sa famille, pas des problèmes du monde.
En français, le film s'intitule "le chemin du passé". Le thème des voyages temporels y est abordé de manière assez intelligente. L'histoire aurait pu être captivante mais trop de temps morts cassent un peu la progressivité du scénario.
"Le chemin du passé" n'est pas une oeuvre qui va révolutionner le thème du voyage dans le temps. Mais nous retrouvons avec plaisir dans ce long-métrage un bon casting notamment Gillian Anderson et Haley Joey Osment (qui a bien grandi depuis le fameux "Sixième Sens" de M. Night Shyamalan), ainsi qu'une bonne dose d'émotions. Malheureusement, la mise en scène s'avère bien trop paresseuse et le scénario trop simpliste pour pouvoir s'enthousiasmer devant ce film de science-fiction qui s'oublie aussitôt qu'on la visionner.
Un film qui marque le retour au premier plan de Haley Joel Osment le petit du film "Sixième Sens" retour oui et non car j'ai vu qu'il avait toujours plus ou moins tourné mais je n'ai vu aucun de ses films ou alors je n'y ai pas fait gaffe. Le film explore le thème des voyages dans le temps à travers des "trou de ver" c'est une chose difficile car beaucoup de films ont exploré ce sujet avec plus de moyens et de réussite. On sent que le réalisateur ne veut faire un simple film de SF puisqu'il fait durer encore et encore le suspens à propos du sort du père et pour combler tout ça il nous propose un drame familiale pas mauvais mais pas intéressant non plus avec comme question principal : "Est-ce que nous sommes prêt à changer le passé quitte à ne plus avoir le même avenir ?" mais une fois de plus le traitement n'est pas profond puis à vrai dire il manque un vrai rythme à ce film qui ne décolle jamais et même le final tant attendu est assez décevant.