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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 novembre 2016
    Film de belle reconstitution qui permet d'avoir différentes grilles de lecture : le conditionnement de l enfance qui est le terreau de ce que l'on devient une fois adulte, l'emprise des convictions qui amène à faire des choix qui peuvent être incompris pour des personnes ne partageant pas celles - ci ; ce qui renvoie au respect de la différence et au fait que celle -ci peut être source de richesse, le patriotisme qui trouve à s'exprimer sous différentes formes. ...Et le questionnement sur les conflits armés qui au nom d'une idéologie, de la captation de richesses détruisent des vies et des familles entières. Seul aspect dérangeant du film c'est le renvoi systématique à Dieu. Mel GIBSON comme tant d'autres n'en sorte pas.
    Fes77
    Fes77

    7 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2016
    film avec des scenes de vraiment tres realiste dans l horreur et au milieu de cet enfer un homme sans arme que sa foi venu sauver des vies la claque une lecon de vrai courage et d abnegation
    Fanadri123
    Fanadri123

    29 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2016
    Mel Gibson confirme qu’il est un grand réalisateur, son film Tu Ne Tueras Point (Hacksaw Ridge) passionne à tous les niveaux. Lors de la Seconde Guerre mondiale, le jeune Desmond Doss s’engage dans l’armée américaine pour sauver des vies sur le front du Pacifique à Okinawa tout en refusant de porter une arme. La première partie du film se concentre sur l’homme et ses convictions tandis que la deuxième partie est une mise en œuvre de ses idéaux. Et quelle claque ! La tension monte crescendo et plonge Andrew Garfield dans l’atrocité et le chaos de la guerre. Le réalisme est bluffant et l’immersion est totale. Poignant, violent, gore et qui prend aux tripes mais paradoxalement profondément humain. Du grand cinéma !
    this is my movies
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    722 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2016
    2016 est bien l'année du retour de M. Gibson ! On avait oublier, sans doute un peu vite, combien il restait un réal essentiel et passionnant. S'emparant d'une histoire vraie, il traite bien évidemment ça comme une allégorie christique mais pour peu qu'on en fasse abstraction et qu'on se concentre sur le récit, on se trouve face à un film de guerre qui restera dans les mémoires. Intense, c'est le mot qui vient à l'esprit devant des scènes de guerre d'une brutalité, d'une sauvagerie, d'une ultra-violence qui secoue les tripes. Mais le découpage virtuose de Gibson ainsi que l'implication des acteurs nous donne un spectacle total qui vous prend par la main pour ne plus vous lâcher. Épousant de bout en bout la vision de son héros, le film nous narre cette histoire avec une foi absolue en la magie du cinéma, sublimant chaque image. Si A. Garfield fait un peu de peine au début, sa façon de jouer devient vite un atout du film et comme il s'avère bien entouré, on déguste très vite certaines séquences dont l'indispensable numéro du sergent instructeur (V. Vaughn, hilarant). A noter du côté des acteurs un grand H. Weaving. Pour le reste, un film puissant, prenant, époustouflant, parfois irrespirable mais du cinéma à l'état pur par un de ses plus fervents défenseurs. D'autres critiques sur
    frederic-briones.com
    frederic-briones.com

    24 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2016
    Un film puissant et inspiré : des images fortes voire choquantes qui rappellent ce qu'est la réalité de la Guerre.
    Mel Gibson signe là un grand film servant ces themes de prédilection (la foi, la defense des convictions et la violence) se hisse un peu plus au rang des très grands acteurs passés avec succès de l'autre côté de la caméra.
    En regardant ce film, on pense a Eastwood, à Spielberg ou à Scorsese...
    Violent mais à voir...
    Flaw 70
    Flaw 70

    264 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2016
    Il aura fallu 10 ans à Mel Gibson pour repasser derrière la caméra, 10 ans après son Apocalypto qui l'avait propulser au rang d'esthète de talent et qui re-dynamisait l'intérêt qu'on pouvait avoir pour sa carrière de metteur en scène. Mais depuis, il a accumulé les problèmes au point que ces dernières années sa carrière fut déclinante mais il entend bien changer ça en 2016. Après le sympathique Blood Father où il prouvait qu'il avait rien perdu en badassitude devant la caméra, il cherche à prouver avec son Hacksaw Ridge qu'il est encore un faiseur d'image talentueux.

    On ne peut pas nier à Gibson qu'au cours de sa courte carrière de metteur en scène, il s'est aussi imposer comme un auteur. Fascination du martyr et de la violence dans un discours souvent pro-catholique, il accorde une place de choix sur la religion qui pourra généralement rebuté les détracteurs de celle-ci. Mais pourtant il va souvent au delà de ça. Même si il choisit un point de vue qui est le sien, il ne cède pas à la bête propagande religieuse mais il pousse généralement une réflexion sur la croyance elle-même, peut importe son origine. On pourra quand même lui reprocher de manquer d'objectivité sur son sujet, mais jamais de na pas essayer de nuancer le trait de ce qu'il veut montrer. Ici, se basant sur une incroyable histoire vraie, il adapte le point de vue de son héros américain le film se trouvant donc très vite cloisonné à une seule vision de la guerre. Pourtant malgré les propos des personnages, Mel ne se contente pas de filmer la céleste Amérique contre le satanique Japon. Il fera de son personnage une figure christique, appuyant bien la parallèle avec une imagerie très iconique notamment durant le dernier acte, mais il faut admettre que le personnage principal se prête à ce genre de parallèle. Mais au delà de ça, Gibson va surtout porter une réflexion sur la capacité de croyance des hommes, qui dépasse même la religion. Essayant de savoir où s'arrête la croyance personnelle et où commence le fanatisme. En ça, le personnage principal ne sera pas différent des japonais, étant près à mourir plutôt que de faire face à la défaite. Gibson traitant aussi les croyances des japonais avec finesse lors de la fin, montrant qu'il respecte leurs convictions.

    Il s'agit de ça au final, de force de conviction, c'est celui qui en aura le plus et qui y croira le plus fort qui remportera la bataille. Si les américains l'emporte, ce n'est pas par intervention divine ou par un miracle provoqué par le personnage principal mais parce qu'ils ont cru en leurs victoire à travers cette homme alors que leur premier assaut ils étaient apeurés et dans le doute causé par les témoignages du précédent bataillon. L'important ici n'étant pas de croire en dieu, mais d'avoir la foi en nos propres capacités à surmonter l'horreur. Il y a aussi une certaine intelligence à vouloir faire une ode au pacifisme au milieu d'une ode sur la violence, en ça le film devient fascinant et arrive à toucher quelque chose de juste sur l'aspect paradoxale de la nature humaine. D'ailleurs les paradoxes sont nombreux ici, car l'ascension ne mène pas au paradis mais en enfer, magistralement symbolisé par la séquence qui voit les soldats gravir une paroi pour accéder au champs de bataille. Où le mouvement de grue de la caméra et le traitement de la lumière laisse penser à une révélation divine mais s'arrête sur un no man's land qui évoque par sa force picturale certains tableaux sur l'Enfer de Dante. Ici, c'est la chute qui permet l'accès à une forme de paix divine. Mel Gibson ne se contente pas donc de souligner les évidences et d'imposer ses croyances mais au contraire de pousser une réflexion chez le spectateur et il le fait étonnamment bien. Même si on pourra lui reprocher une première partie de récit terriblement classique et ancré dans les clichés qui n'est pas aidé par sa lourdeur d'écriture et d'interprétation.

    Durant la première partie, les acteurs peinent à sortir des stéréotypes de leurs personnages, à l'image de l'interprétation beaucoup trop naïve et appuyée d'Andrew Garfield. Mais lorsque que ceux-ci se retrouve au cœur de l'action, ils offrent des performances plus justes et viscérales, la transformation du jeu de Garfield est alors impressionnante mais aussi de tout les rôles secondaires qui excelle dans leurs manières individuelles de montrer le trauma de l'après bataille. On notera aussi la performance impeccable de Sam Worthington, qui n'avait pas été aussi bon depuis un moment, et la prestation caricaturale mais jubilatoire de Vince Vaughn qui arrive avec justesse à transmettre l'humanité sous-jacente de son personnage. Mais ce qui impressionne le plus ici, c'est la capacité de Mel Gibson à mettre en scène la bataille qui fait le cœur de son film. Alors qu'il semblait en pilotage automatique durant la première heure de son récit, il se lâche totalement durant la dernière heure de film à travers des images qui évoquent les tableaux les plus célèbres de batailles. Picturalement fort, mise en scène inventive qui plonge au cœur de l'horreur comme rarement auparavant, toute les séquences de batailles sont des grands morceaux de cinéma qui vont même à réinventer ou du moins affiner l'impact que peut avoir la guerre sur les personnages et les spectateurs. Rare sont les films à retransmettre avec autant de justesse et de ferveur le désespoir, la peur et l'horreur présent sur un champ de bataille. On ressort essoufflé et admiratif de la précision de ses visions de l'apocalypse et de la virtuosité dont Gibson à fait preuve pour nous immerger dans une telle boucherie.

    Hacksaw Ridge est un grand film de guerre. Humainement fort, picturalement brillant notamment sur sa dernière heure, le film à du mal à laisser indifférent qu'on n'y voit une ode à l'Amérique catholique par un ego surdimensionné ou qu'on se laisse porter par les pistes de réflexions offertes par l'oeuvre. Car le film aura clairement ses détracteurs, Mel Gibson fait le choix d'un point de vue subjectif et donc limite par moments son sujet où les réflexion qui pourrait en découler mais il réussi à faire certaines entorses pour évoquer quelque chose de plus grand. Il arrive même en ça à s'émanciper du cadre du biopic pour offrir une oeuvre bouleversante et sidérante sur l'âme humaine et ce qu'il en coûte de la soigner. La croyance étant ici un moyen de réprimer ses bas instincts plus que d'accéder à une forme de spiritualité. On se retrouve donc face à un film plus intelligent et pessimiste que certains voudront l'admettre, un film qui malgré ses défauts évidents arrive à véhiculer une réflexion pertinente, un talent certains de la mise en scène et une vraie passion de cinéma.
    MediaShow
    MediaShow

    146 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2016
    « Tu ne tueras point » signe le grand retour de Mel Gibson derrière la caméra, après son excellent jeu d’acteur dans « Blood Father ». Un très bon biopic dramatique, sublimé par de puissantes scènes de combat et un scénario robuste ! L’horreur de la guerre est bien exposée au travers de supers effets spéciaux, ainsi qu’un casting fièrement porté par Andrew Garfield. Enfin, l’histoire de Desmond est bien détaillée et riche en contenu. A voir, même si vous n’êtes pas fan des films de guerre !

    Retrouvez notre critique en intégralité sur mediashowbydk.com ou via le lien ci dessous :
    Nicothrash
    Nicothrash

    383 abonnés 3 051 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 novembre 2016
    Mel Gibson en plus d'être un excellent acteur n'a pas son pareil pour imposer sa griffe lorsqu'il passe derrière la caméra, et son "Tu ne tueras point" ne déroge pas à la règle. 39-45, un jeune américain plein de valeurs qui désire défendre son drapeau sans avoir à tenir une arme, sur le papier ce scénario a tout d'un canular sauf que c'est une véritable histoire, celle de Desmond Doss, tiraillé entre sa foi et son devoir au front. Cette histoire extra-ordinaire débute par une mise en place qui prend son temps pour installer ses personnages dans un univers qui sent bon l'innocence, on frôle même fréquemment la mièvrerie avec un Andrew Garfield plein de fraîcheur et qui apparait presque simplet parfois. Une première partie un peu à contre-courant de ce que l'on attend mais qui va s'avérer être un véritable tampon pour nous préparer à la suite ... En effet, passée la difficile formation au combat du jeune Desmond, Mel Gibson nous plonge à corps perdu sur un champ de bataille aux allures de limbes où les corps déchirés s'effondrent tous les deux mètres sous le feu nourri des japonais et des américains. Rarement des scènes de guerre n'avaient atteint un tel degré d'intensité au cinéma, c'est d'une violence inouïe, sans aucun filtre, les images sont dures et superbes à la fois et toute cette partie prend véritablement aux tripes pour ne nous relâcher qu'en toute fin. Gibson, même s'il pare son métrage d'un aspect hautement religieux, met en avant un homme incroyable qui après avoir été rabaissé et traité comme un lâche s'avérera d'une exemplarité sans faille, d'un courage et d'une abnégation peu communs. A noter également la belle prestation de Vince Vaughn, enfin débarrassé de son image de clown. Un très grand film en somme, impressionnant sur le plan visuel, particulièrement profond et brutal à la fois, une fois de plus Mel Gibson ne fait pas dans la dentelle et signe ici un superbe film de guerre. A voir absolument.
    Jamon-de-Baiona
    Jamon-de-Baiona

    15 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2016
    Film difficile et beau à la fois. La guerre y est filmée dans ce qu'il y a de plus cru ( soldat Ryan largement dépassé ), l'histoire vraie qui y est racontée est incroyable, Une mise en scène superbe, des acteurs impeccables ( Andy Garfield, Vince Vaughn grandioses ) une photo efficace. Attention aux âmes sensibles. Les moments de combats sont très durs. L'émotion est au rendez-vous.
    Jean Marc Dinaut
    Jean Marc Dinaut

    22 abonnés 298 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 novembre 2016
    Selon moi, comme : Le soldat Ryan .Full métal jacket. Platoon. La chute du faucon noir.... Hacksaw Ridge de M.Gilbson entre direct dans le panthéon des plus grands films de guerre récents. La virtuosité brutale du montage et de la mise en scène confirme, s'il en était besoin, le retour incontestable du génie du faiseur de Breveheart. Un objecteur de conscience (Andrew Garfield, magnifique) veut participer à la guerre, non pas pour tuer, mais pour sauver des vies. Après beaucoup d'obstacles, et sans corrompre sa religion, il va combattre sans armes, mais en sauvant des soldats qui, sans lui, seraient morts. Dans son plus pur style, M. Gilbson nous raconte cette histoire et cette guerre, avec un réalisme effrayant, morbide, cruel, sans concession. Il nous oblige à regarder ces corps brûlés vifs, déchirés, meurtris, amputés,comme pour nous montrer combien l'homme est vulnérable, fragile. Et que sa vie ne tient pas à grand chose. Son histoire fusse t'elle simple ou compliquée, elle n'en n'est pas moins une épopée, un trésor, pour chacun de nous. La guerre ne tiens pas compte de ces paramètres, elle tue. Cet humanisme transpire tout le long du film. Dans l'enfer de la bataille d'okinawa, à chaque instant, la vie s'acharne avec la plus grand vigueur, elle relie les hommes et affronte dans dans un déluge de sang, l’incompréhension, le mystère de nos comportements. magnifique !!!
    Nathalie R
    Nathalie R

    24 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2016
    Il aura fallu attendre dix, après la claque Apocalypto, pour retrouver Mel Gibson derrière la caméra, toujours aussi vif et précis dans ses images qu'il compose comme un tableau de maître.
    Moi qui suis en général assez réfractaire aux films qui sont un peu trop porté sur la religion, je n'ai jamais été dérangée ici, car je respecte ce personnage qui puise sa force dans sa foi. Même si quelques images sont très clairement composées comme une métaphore du "divin". Jamais il n'essaie d'endoctriner personne, il veut simplement qu'on respecte son choix puisque lui respecte ceux des autres. Il n'est pas question de se battre au nom d'un Dieu, mais de se battre pour protéger son pays. D'ailleurs Desmond ne se bat pas, il veut simplement protéger son pays et donc ses proches. Ce récit atypique est tout simplement beau, respectueux et émouvant.
    Critique complète sur mon blog :
    benoitG80
    benoitG80

    3 437 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 novembre 2016
    "Tu ne tueras point" surprend énormément par la différence de ton entre une première partie faussement tendre et un peu fleur bleue, et celle qui s'enchaîne inévitablement parmi des combats insoutenables...
    C'est d'ailleurs là tout l'intérêt de ce biopic, où tout est fait pour que l'on saisisse dans son entité le personnage de Desmond Doss, aussi bien sur le plan psychologique que sur le plan de ses convictions religieuses...
    Personnage complexe, à la fois traumatisé par la violence, et pourtant d'apparence insouciante tel un poète amoureux, cet être va devenir particulièrement passionnant à observer et à suivre tout au long de ce parcours obstiné à refuser coûte que coûte le port d'arme...
    Objecteur de conscience dans l'âme, mais persuadé à fond de l'idée de devoir servir son pays, c'est là tout le paradoxe de Desmond, paradoxe qu'il assumera pour aller jusqu'au bout !
    La suite parmi les combats le révélera et le magnifiera comme jamais, quand ce soldat infirmier aura réalisé l'étendue de sa tache, voire sa raison d'être sur terre !
    Alors malgré une réalisation très américaine dans le genre, Mel Gibson a su intelligemment tirer parti de cette histoire vraie afin de brosser le portrait d'un homme hors du commun interprété avec finesse, humour et un certain détachement par Andrew Garfield...
    Force est de constater que l'on entre dans toute sa dimension humaine, dans tout son ressenti comme rarement...
    Et pour ce qui est du réalisme incroyable des combats entre les Américains et les Japonais, on resté bouche bée d'autant d'images dures, crues, et même difficiles à regarder dans leur description sans concession aucune !
    Efficace dans son fonctionnement, émouvant dans la démarche de ce jeune soldat, ce film ne peut que marquer les esprits !
    Le_Seigneur_Noir
    Le_Seigneur_Noir

    6 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2016
    Ce film marque le retour au 1er plan de Mel Gibson.
    Scénario en béton et images de guerre filmées en caméra style go-pro et surtout le 1er vrai grand rôle d'Andrew Garfield.
    Garfield est très convaincant et incarne à merveille ce soldat pacifiste et croyant qui refuse de se battre et d'utiliser des armes (ou même de les toucher du doigt).
    A voir pour découvrir l'extraordinaire engagement militaire de Desmond Dossier.
    tixou0
    tixou0

    712 abonnés 2 004 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2016
    On connaît le goût de Mel Gibson réalisateur pour les valeurs viriles ("Braveheart"), et l'importance de sa foi chrétienne ("La Passion du Christ"). Ce "Tu ne tueras point" (pour une fois un titre opportun pour la sortie française, au lieu du bien neutre "Hacksaw Ridge" original) est le point de rencontre entre ces deux thèmes, qui est tiré d'une histoire vraie (celle de Desmond Doss), ô combien édifiante. La première partie renseigne sur le pourquoi de l'engagement de l'"objecteur de conscience", au service de son pays en guerre, pour illustration par la seconde partie, sur le champ de bataille (Okinawa - 1945) : de la comédie dramatique (le jeune homme s'est tourné vers Dieu, pour lutter contre la violence de son père alcoolique - et sans doute la sienne propre.... comme une des premières scènes, retraçant un épisode de son enfance, nous le donne à penser) à l'épopée héroïque (sans arme, l'infirmier sauve de nombreuses vies, au coeur d'une boucherie sans nom - spoiler: ce qui lui vaudra plusieurs distinctions à titre militaire, dont la plus haute aux E-U, la "Medal of Honor").
    MG réussit dans les deux registres, sur le fond, et brillamment sur la forme, dans l'enfer de la "Crête de Hacksaw" (réalisme sans concession - la guerre, c'est laid et sale.... et lyrisme à la fois - très bonne musique à l'appui). Dans le rôle du "Redneck" de Virginie, citoyen ordinaire au destin extraordinaire, l'ancien "Boy A", l'Américano-britannique Andrew Garfield, est excellent. Et les seconds rôles seraient tous à citer... Citons seulement Hugo Weaving (Doss père) et la ravissante Teresa Palmer (Dorothy), parmi les "civils", et Luke Bracey ("Smitty"), ou Sam Worthington (le capitaine).... Une belle réussite que voilà pour MG - qui montre que "Make America Great Again" ne passe pas par seulement des airs martiaux, mais par un revigorant patriotisme XXL, contre vents et marées....
    littleplayer77
    littleplayer77

    76 abonnés 948 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2016
    Mel Gibson est un personnage controversé qui, à l'image de son premier film en tant que réalisateur, n'a pas toujours fait l'unanimité. 10 ans après "Apocalypto", il a choisi - comme beaucoup (Angelina Jolie avec "Invincible", Russell Crowe "la promesse d'une vie" etc ...) - un sujet consensuel et fédérateur sans oublier les valeurs qu'il tient à défendre. Autant le dire de suite : "Tu ne tueras point" mérite toutes les louanges lues ici et là mais a pourtant un défaut : Andrew Garfield (que personnellement je ne peux plus supporter). Le reste ? Un film viscéral et intense qui nous plonge dans l'horreur de la guerre comme rarement au cinéma, un héros extraordinaire dans un champ de bataille désespérant de sang, de chair mutilée et d'inhumanité et espérons le, une réflexion plus générale sur la paix et le bien fondé de ces confrontations ...
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