Derniers Avis : Tu ne tueras point - Page 21

Et bien mes amis , il y a bien longtemps que je n'avais pas vu un film autant réussi. Il y a tout , de la sensibilité qui peut vous mener à vous faire monter des larmes et une admiration sans faille du personnage principal. Un grand bravo à Melina Gibson. J'ai adoré, tout simplement. Un beau film de guerre assez sanglant. Âme sensible s'abstenir !!

Avec "Tu ne tueras point", Mel Gibson revient à la réalisation dressant un biopic de Desmond Doss, objecteur de conscience qui décide de rejoindre l'armée américaine en pleine deuxième guerre mondiale pour servir comme infirmier. Fidèle à ses engagements, il refuse toute formation au combat et se retrouve à l'assaut avec son régiment d'Hacksaw Ridge pendant la bataille d'Okinawa contre les forces japonaises.

Le film est clairement divisé en deux parties, l'une sur la jeunesse du personnage principal et son instruction militaire, l'autre consacrée à l'enfer de la guerre. J'ai personnellement été plus impressionné par la seconde partie du métrage, la réalisation immersive de Mel Gibson étant très efficace. Comme toujours avec l'australien, on ne lésine pas sur les effets mais la guerre c'est du sang et des tripes et pas une partie de plaisir dans un salon de thé. Le réalisateur australien m'a beaucoup ému dans sa description du sauvetage des hommes blessés par Desmond Doss, comme dans les réactions d'excuse de ceux qui l'avaient "brocardé" lors de son instruction en raison de ses convictions. Le film est profondément humain et pas du tout manichéen, c'est ce qui le rend fort. La réalisation est impeccable et authentique via des ralentis et des gros plans opportuns. Les scènes de combat ultimes entre les américains et les japonais sont chargées de tellement d'émotions (Hara Kiri...) le tout servi par une belle bande originale au milieu du bruit et de la fureur.

Le casting est 5 étoiles avec un Andrew Garfield très convaincant comme le sont également Vince Vaughn, Hugo Weaving, Luke Bracey ainsi que Sam Worthington et Theresa Palmer, l'atout charme du film remarquée notamment dans "Lights out".

Après "Braveheart" et "Apocalypto", Mel Gibson confirme tout son talent de réalisateur!

Jusqu’à présent j'étais lassé des films de guerres qui me donnaient l'impression de toujours voir la même chose, sans qu'il y a d'apport neuf par rapport au genre; mais cela c’était avant que je découvre " Tu ne tueras point". Mel Gibson a réussi l'exploit de faire un film lumineux sur un sujet des plus tragiques, il a apporté de la foi là ou l'on voyait les pires bassesses des hommes, et cela en suivant le parcours d'un homme qui a préféré sauver la vie de ses camarades plutôt que de tuer l'ennemi sur un champs de bataille. Là ou American Sniper montrait le coté sombre du héros américain, on assiste dans ce film à l'exploit hors norme quasi sur-humain d'un simple mortel qui parcourt le champs de bataille pour venir en aide à ses camarades blessés, et à ce moment est arrivé une chose très rare aux cinéma, que je n'ai pas ressenti depuis très longtemps : ce film m'a ému, m'a ressentir de la sympathie pour ce personnage et c'est toute la richesse qu'a su me prodiguer le film de Mel Gibson. Tout comme ils changent les hommes sur le personnage de Dos magnifiquement incarné par Andrew Gardfield dans
le film ( ses camarades, ses supérieurs), il fait de même avec le spectateur. Au final l'acteur aura été plus un véritable super héros dans ce film qu'il ne l'a été dans les deux amazing spider man. Quant aux film, il enterre facilement le soldat ryan, et montre que Mel Gibson tout comme George Miller seront toujours de la mêlée quand il s'agira de faire d'un film un vecteur d’émotion et de sensation.

Expendables 3 et Blood Father étaient des avant-goûts. Tu ne tueras point marque le retour triomphal de Mel Gibson. Le retour tant attendu du réalisateur de Braveheart, le réalisateur tantôt aimé, tantôt haï. Le réalisateur qui se préparait à claquer le Cinéma. Pari tenu ! Car oui, Tu ne tueras point est une claque. Une claque qui rappelle celle du film de Steven Spielberg "Il faut sauver le soldat Ryan". Une claque collée sur la joue du spectateur qui découvre la vie d'un homme exceptionnel au cœur des champs de bataille du Pacifique pendant la Seconde Guerre mondiale. Celui-ci est chrétien et au nom du 6ème commandement, il refuse de prendre part aux boucheries, préférant la vie de brancardier qui sauve des vies à celle du soldat qui en enlève. Le récit s'articule ainsi entre la vie sentimentale de cette homme, son enrôlement dans l'armée qui réprime durement ses choix, et les scènes de bataille, saisissantes de réalisme. Mel Gibson a su trouver le bon ton car, même si les histoires d'amour pullulent dans le cinéma, même si Full Metal Jacket avait déjà décrit la dureté de l'armée, Tu ne tueras point utilise l'humour, la joie, la tristesse, la colère... des passions qui enrichissent le film et lui donnent une portée particulière. Bien sûr, Mel doit cette justesse à ses acteurs, à des dialogues et une mise en scène on ne peut plus efficace. Et sur le fond, le film est une formidable leçon de morale, une critique adressée à la guerre et aux bourreaux qui la mènent, un éloge à la Foi chrétienne qui a porté ce petit américain à sauver plus de 75 vies. Donc bon, Tu ne tueras point est un film qu'il ne faut surtout pas rater.

Tu ne tueras point, un très bon film de guerre basé sur l'histoire vraie d'un vrai Héros Américain ! Bravo à Mel Gibson pour avoir réalisé ce biopic très intéressant ! Malgré quelques longueurs au début du film, les scènes de guerre sont sanglantes et prenantes, et les musiques sont magnifiques !! De plus, Andrew Garfield joue bien son rôle (parfois un peu niais) !

Pratiquement banni d’Hollywood à cause de ses antécédents de violence conjugale, d’abus d’alcool et de propos antisémites, le réalisateur et acteur Mel Gibson revient en force avec Hacksaw Ridge, l’un de ses meilleurs films en carrière. Il a lui-même déclaré espérer que ce film lui vaudrait le pardon et la rédemption de la communauté hollywoodienne ♥♥♥♥

Hacksaw Ridge relate une histoire vraie, celle de Desmond Doss, premier objecteur de conscience à recevoir la Medal of Honor pour sa bravoure lors de son engagement dans la deuxième guerre mondiale. Desmond Doss est un jeune américain qui désire s’engager dans l’armée pour aider son pays en temps de guerre. Toutefois, traumatisé par des souvenirs de jeunesse et guidé par ses convictions et sa foi religieuse, il refuse catégoriquement de tuer et même de tenir une arme à feu. Malgré ce paradoxe et l’opposition qu’il rencontre de la part des autorités militaires, Desmond réussira tout de même à se rendre sur le front sans aucune arme en tant qu’infirmier de guerre et, sous le feu ennemi, réalisera des actes de courage exceptionnels.

La première moitié du film est plutôt banale. Mel Gibson, recourant à une facture très − voire trop − classique, nous présente l’enfance de Desmond Doss puis sa rencontre et son histoire d’amour avec une jolie infirmière pour ensuite enchaîner avec son passage dans le camp d’entraînement militaire. Cette première moitié de film ressemble à un mélo militaire, très américain, patriotique à souhait, empreint de lourdes allusions religieuses, sur fond de violons trop appuyés.

Heureusement, le ton du film change complètement dès que les soldats se lancent sur le champ de bataille. La rupture est brutale. C’est à partir de ce moment que le film se transforme et devient spectaculaire. Mel Gibson y démontre le meilleur de son talent de réalisateur. Les scènes de guerre sont d’une intensité sans doute jamais vue au cinéma depuis le fabuleux Saving Private Ryan de Steven Spielberg en 1998. Elles sont terrifiantes, captivantes ; d’une puissance, d’une brutalité et d’une violence inouïes. Gibson n’a pas froid aux yeux et les réalise d’une main de maître, donnant l’impression au spectateur effrayé d’être lui aussi dans le feu de l’action.

Sur ce champ de bataille sanglant, il est fascinant, et surtout très angoissant, de suivre notre héros, interprété de façon très attachante par Andrew Garfield qui livre une performance solide, se faufiler à travers les obus, les explosions, les flammes et la fumée, sans aucune arme, tentant de sauver le plus de vies possible.

La séquence suivant la grande bataille est probablement la meilleure du film. Alors que son régiment a battu en retraite, Desmond décide de rester sur les lieux du combat, seul, pour secourir les blessés laissés derrière. Toute la nuit, en se cachant des soldats japonais qui guettent les lieux, il fera descendre un à un ses camarades blessés en bas de la fameuse falaise Hacksaw Ridge, qui donne son titre au film, où d’autres soldats les attendent pour les amener en lieu sûr. Cette séquence est très prenante et d’un suspense absolu. Malgré son héroïsme hollywoodien, on ne peut qu’être remué par son intensité dramatique.

Il est bien connu que Mel Gibson est un fervent catholique. Il n’est donc pas étonnant qu’il ait décidé de réaliser ce film dont la dimension religieuse est centrale. On sent presque une glorification de la foi et même une déclaration de supériorité morale des croyants sur les non-croyants. L’omniprésence des références et des représentations religieuses est agaçante par moment mais apparaît légitime pour rendre hommage au héros qu’était Desmond Doss. L’homme, comme on peut le constater par les témoignages à la fin du film, était réellement très religieux et c’est véritablement sa foi qui l’a poussé à poser ces actes d’héroïsme.

Malgré sa morale hollywoodienne, son patriotisme exacerbé et son caractère judéo-chrétien appuyé, Hacksaw Ridge reste une histoire poignante et, certes, inspirante par son message de non-violence et de courage. En plus d’être d’une rare intensité. Mel Gibson peut déclarer mission accomplie, il aura réalisé ce qui se fait de mieux dans le film à grand déploiement hollywoodien.

Réalisé à partir d’une histoire vraie, avec une sauce "romanesque à l’américaine", Mel Gibson, ici à la réalisation, signe un film de guerre pacifiste d’une beauté époustouflante et d’une intensité incroyable. Une histoire hallucinante qui n’aurait pas pu être crédible, si elle n’avait pas existé.

Un film très touchant puisqu'il est basé sur une histoire vraie. Du suspense, une réalité qui nous saute aux yeux pour les actions de guerre. Je le conseil à tout le monde un film à voir.

Très bon film de Mel Gibson. Un excellent film de guerre avec des acteurs qui jouent à merveille. La 1er heure du film est un peu long et puis quand le héro principal rentre dans l'armée sa commence à être vraiment très bien.

Mel Gibson revient derrière la caméra avec une base très forte, l'histoire de ce soldat souhaitant aider sur le front mais qui ne voulait pas porter d'armes et ainsi ne pas tuer. Rien qu'avec cela le film est intéressant à regarder, il est magnifique. Le casting est excellent à mon sens: Andrew Garfield, enfin son personnage, peut paraître bêta voir trop je l'accorde mais c'est seulement qu'au début du film, ensuite son jeu est très bon. Le colonel interprété par Vince Vaughn n'est pas top, premièrement l'acteur me semble par crédible pour ce rôle et deuxièmement avec une pseudo-scène à la Métal Jacket trop ressemblante, sa conclusion reste assez drôle. Une incohérence je trouve, le frère du personnage principal est trop absent, dès qu'il a pris sa décision nous avons plus de nouvelles et nous connaissons pas son destin, un peu dommage. Le film repose sur un scénario fort mais surtout sur ses scènes de combat! Un bain de sang plus que réaliste, des explosions et des hommes qui souffrent, une des meilleures séquences de film de guerre que j'ai pu voir. Et là le moment où tu réalise que Desmond Doss est un véritable héros avec un courage extraordinaire en sauvant tous les blessés un par un. J'ai eu peur d'une chose: comment va être tourné la fin ? Et je suis encore touché par cette dernière qui est formidable. Un grand bravo au réalisateur et n'hésitez pas pour aller le voir!

Très beau film à voir. Attention aux coeurs sensibles. Une belle preuve de courage et de détermination.

Film excellent en tous points. Les sentiments sont bien rendus, la prise de vue est impressionnante, on se laisse porter par ce jeune, ses joies, ses souffrances et ses peurs.
Attention destiné à un public averti, adulte qui n'ont pas peur de voir des boyaux et autre mutilations.
Le meilleur film de guerre que j'ai vu, vraiment impressionnant.

"Tu ne tuera point" est un très bon film, qui parvient quand même à se hisser à la cheville de de la référence en la matière : Il faut sauver le soldat Ryan. Certes, l'histoire n'est pas la même, mais c'est le premier film auquel j'ai pensé en voyant "Tu ne tuera point". Sans spoiler, la première heure du film est quelque peut lente, tantôt entrecoupée de clichés un peu trop surjoués à mon gout mais également de passages humoristiques très réussit.
La seconde heures du film est beaucoup plus intense, dramatique et impressionnant, tant dans la réalisation que dans les faits qui s'y produisent. La baitaille fait rage et n'a rien à envier à la fameuse scene du débarquement présente dans le film cité plus haut. Toutefois, "Tu ne tuera point" finit par trainer un peu trop en longueur malgré tout... et je me rend compte que finalement toute l'histoire est dans la bande annonce, jusqu'à la dernière scene du film. Cela n'en reste pas point un excelent film, qui a encore le pouvoir de nous sensibiliser sur les horreurs de la guerre, et du courage dont certains ont fait preuve. A voir absolument, tant pour la beauté (et l'horreur) des images que pour le message véhiculé.

Tu ne tueras point est un classique du genre à voir en salle. C’est en plus l’occasion de célébrer le grand retour de Mel Gibson derrière la caméra, qui revient avec panache sous des coups de canon tonitruants. Car après dix ans d’absence, tout ce qu’on espère c’est qu’il rattrappe le temps perdu… avec plus de films! Et après Hacksaw Ridge, on attend le prochain avec impatience…

Wahou ! Quelle claque !
Mel Gibson nous fait découvrir l'histoire de cet américain qui, pendant la guerre du Pacifique en 39-45, veut aider son pays mais sans porter d'arme. Il veut sauver des vies et non en prendre, une idéologie louable mais compliquée à expliquer à l'armée US !
Le film se divise en 2 parties bien distinctes : une première plutôt longue (le seul défaut d'après moi) dans laquelle on apprend à mieux connaître Desmond Doss, puis une seconde sur le champ de bataille où l'on en prend plein la tête !!
Et c'est dans cette partie finale que le film prend toute sa dimension et sa puissance ! Car aller faire la guerre avec pour seule arme sa foi force l'admiration !
C'est dur, cru, violent, beau et émouvant à la fois, un véritable message de paix au milieu de cette boucherie.
Magnifique !