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    Tu ne tueras point
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    Kivodulh
    Kivodulh

    37 abonnés 342 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2017
    J'aime les héros ! J'aime les gens bons ! J'aime les gens altruistes ! J'aime les gens qui assument leur différence !
    J'aime Desmond Doss !
    Mel Gibson revient derrière la camera pour une histoire (vraie) à la fois proche et loin de Bravehearth et ses autres films. Il sait toujours aussi bien réaliser les batailles, quelque soit leur contexte. Andrew Garfield est parfait dans son rôle de bon au grand coeur (les images d'archives prouvent qu'il a su s'imprégner du vrai Desmond Doss).
    Loic G
    Loic G

    13 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2017
    Lun des meilleurs film de guerre que j'ai vu , l'histoire raconter par ce films donne le frisson . Un homme comme sa , depasse tous les autres et de loin . Réalisation incroyable , jeu d'acteur , film plein d'émotions . Bande sons juste magnifique ! Rien à dire un films à montré dans les écoles au lieu de nous apprendre juste les plus grands dictateur ou généraux, que l'école montre les vrais héros de la guerre ! Bravo :')
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 novembre 2016
    Tu ne tueras point, l'un des commandements énoncer par Dieu tiré de la Bible. C'est à travers cette phrase, et une conviction que se situe l'histoire de ''Tu ne tueras point''. 1944-45 Desmond Doss un jeune de Virginie qui veut s'engager dans l'armée pour servir son pays avec une conviction qui ne le quittera jamais. '' tu ne tueras point ''. Juger en cour martiale où il obtiendra gain de cause. Doss veut servir son pays en sauvant des vies, ses fils de la patrie et non tuer un homme. C'est grâce à ''ce lâche '' comme certains l'on appeler que 57 soldats blesser ont pu descendre de la falaise d'Okinawa pour y être soigner après sue Doss, seul les fit descendre de la falaise.
    Un héro de guerre, un objecteur de conscience qui sauva des soldats sans aucunes armes pour les protéger.
    Mel Gibson signe son retour avec sagesse, poésie, violence et croyances à travers l'histoire d'un héro que personne n'a jamais raconter. Un film qui mérite la nomination aux oscars. Un film qui nous confirme que Mel Gibson est un grand et qu'il a fait naître un Andrew Garfield dans la position de grand acteur.
    La bande originale est extraordinaire ( comme toujours jouer avec goût). Je suis rester sans voix une demie heure après la fin du film.

    Je vous le conseil, car dans ce monde de violence et de haine, ce film nous rappelle que il y a pas si longtemps les croyances d'un homme lui on permit de faire le bien, juste en y croyant assez fort. Sans haine ni violence, ni armes. ''Seigneur laissez moi en sauver un de plus '' DOSS
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    100 abonnés 1 554 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2017
    J'avais oublié que ce film avait été réalisé par Mel Gibson jusqu'à ce que son nom apparaisse dans le générique de fin. "Tu ne tueras point" est l'oeuvre d'un très grand réalisateur qui maîtrise les codes du film de guerre suffisamment bien pour les respecter quand il y en a besoin mais aussi pour s'en éloigner lorsque ce dernier peut mieux faire.

    J'ai donc été véritablement surpris par la capacité de Mel Gibson à insuffler autant d'émotions au milieu de toutes ces explosions et ces mutilations. Il a probablement su bien s'entourer puisque la photographie est grandiose et la musique est épique mais cela ne justifie pas tout. Gibson démontre bien qu'il a du talent derrière la caméra.

    Il n'a pas trahi l'histoire vraie de Desmond Doss, un véritable héros de la 2nde guerre mondiale qui sauva des dizaines et des dizaines de soldats sans tirer la moindre balle, par son courage et ses connaissances en soins infirmiers de guerre. Aussi le premier objecteur de conscience à obtenir la Medal of Honor.
    Grande histoire, grand monsieur. Il y avait de quoi se casser les dents à l'adapter sur grand écran. Pourtant, c'est très réussi.

    Et puis le choix d'Andrew Garfield dans ce rôle est une bonne idée puisqu'il est tellement à l'aise et convaincant qu'il semble presque naturel que ce soit lui qui soit choisi pour interpréter Doss.

    Bien sûr, le film n'est pas dénué de défauts et notamment le fait qu'il tire parfois un peu en longueur mais ses qualités surpassent largement ses défauts. Une vraie bonne surprise !
    Chevalier du cinéma
    Chevalier du cinéma

    258 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 novembre 2016
    Présentée dans la catégorie hors-compétition à la Mostra de Venise, la cinquième réalisation du grand Mel Gibson fut ovationnée pendant près de dix minutes par le public. Une preuve que son nouveau film Tu ne tueras point est bel et bien celui de sa résurrection en tant que metteur en scène. Avec cette incroyable histoire vraie prenant place durant la Seconde Guerre mondiale et dans le cadre de la guerre que menèrent les Etats-Unis contre l’Empire japonais dans l’océan Pacifique, Mel « Mad Max » Gibson livre en effet un impressionnant film de guerre, un choc brutal et terrassant, une expérience de cinéma éprouvante et bouleversante, bref un des films les plus bluffants qu’on ait vu de l’année 2016 ! Quand la Seconde Guerre mondiale éclate, Desmond Doss, un jeune américain, se retrouvé confronté à un dilemme : comme n’importe lequel de ses compatriotes, il veut servir son pays, mais la violence est incompatible avec ses croyances et ses principes moraux. Il s’oppose ne serait-ce qu’à tenir une arme et refuse d’autant plus de tuer. Il s’engage tout de même dans l’infanterie comme médecin. Son refus d’infléchir ses convictions lui valut d’être rudement mené par ses camarades et sa hiérarchie, mais c’est, armé de sa seule foi, qu’il est entré dans l’enfer de la guerre. Lors de la bataille d’Okinawa sur l’imprenable falaise de Maeda, il réussit à sauver des dizaines de vies seul sous le feu de l’ennemi, ramenant en sureté, du champ de bataille, un à un les soldats blessés. Il aura donc fallu attendre dix ans pour que le fascinant réalisateur qui sommeille en Mel Gibson se réveille pour nous offrir un tout nouveau film. Après le très réussi et immersif Apocalypto qui nous plongeait dans la décadence de la civilisation maya et la traque d’un jeune guerrier, l’acteur-réalisateur nous revient avec un nouveau film forcément évènement, en cette année 2016 placée pour lui sous le signe d’un incroyable come-back ! En effet, il se trouve qu’à la fin de l’été, Mel Gibson a su briller pour certains dans le film du réalisateur français Jean-François Richet intitulé Blood Father, initiant ainsi un joli retour sur le devant de la scène en tant qu’acteur. Mais le come-back de cette personnalité aussi déviante et incontrôlable que Mel Gibson ne pouvait être aussi réussi sans un retour derrière la caméra pour une cinquième réalisation et prouver qu’il n’a pas totalement disparu des radars. Et désormais, après avoir vu Tu ne tueras point, nous pouvons dire que oui, Mel Gibson est bel et bien de retour, un retour fracassant qui fait à la fois plaisir mais qui fait aussi très mal tant son dernier film est éprouvant pour le spectateur car rempli d’images chocs ! L’acteur des franchises cultes Mad Max et L’Arme Fatale est en effet connu, depuis qu’il est devenu réalisateur, pour aborder des sujets forts et puissants où la violence occupe une place centrale, quitte à entraîner des polémiques. Mel Gibson réalisateur c’est ça : une première petite réalisation sortie en 1994, L’Homme sans Visage, puis vint l’énorme succès qui lui a apporté la gloire et les Oscars du Meilleur film et du Meilleur réalisateur en 1995, Braveheart probablement son meilleur film. Après, il fallut attendre 2004 pour que Mel Gibson sorte son troisième film, le très polémique et rentable La Passion du Christ qui lança la mode du film religieux à Hollywood. Après le gros succès de son adaptation des dernières heures de la vie de Jésus, Mel Gibson livra en 2007 son Apocalypto centré sur les Mayas et impressionna une fois de plus dans la reconstitution et la mise en scène d’une époque perdue. Et donc dix ans plus tard, avec Tu ne tueras point, Mel Gibson prouve qu’il n’a rien perdu de son talent et propose un vrai grand film de guerre qui marquera les esprits encore et encore dans les années à venir. Lorsque la bande-annonce, magnifique, est sortie j’ai rapidement compris que Mel Gibson allait signer un film choc et éprouvant en adaptant une histoire vraie qui ne pouvait au final n’être mise en scène que par lui-même. Pourquoi ? Car nous retrouvons les grands thèmes qui obsèdent le réalisateur : la violence et la religion. Et ce qui frappe dans Tu ne tueras point c’est cette simplicité et modestie avec laquelle le réalisateur nous raconte cette histoire vraie méconnue qui prend aux tripes comme jamais. Pas d’excès de violence, pas de glorification de l’armée américaine, pas de sous-texte religieux dégoulinant et pompeux, non, Tu ne tueras point est un film de guerre puissant certes mais qui sait conserver la parfaite justesse et efficacité pour illustrer les propos de Mel Gibson. Le metteur en scène à divisé son film en deux partie bien distinctes : la première se concentrant sur la vie de Desmond Doss, adventiste et objecteur de conscience, qui s’engage dans l’armée américaine pour non pas prendre des vies comme il l’explique mais pour en sauver. Le film réussit à nous emporter dans le procès qui est fait au personnage et nous présente parfaitement bien ses croyances et le pourquoi de son engagement. Desmond Doss est effet le premier objecteur de conscience américain à avoir été décoré de la Medal of Honor pour ses actes héroïques durant cette bataille d’Hacksaw Ridge (titre original du film). L’objection de conscience est en effet une attitude individuelle de refus d’accomplir certains actes requis par une autorité lorsqu’ils sont jugés par l’individu en contradiction avec des convictions intimes de nature religieuse, philosophique ou sentimentale. L’objection de conscience intervient principalement dans le cadre militaire où elle désigne plus précisément le refus d’accomplir ses obligations militaires comme l’enrôlement ou le service militaire lui-même en s’appuyant sur des opinions philosophiques, morales ou religieuses, qui prônent le respect de la vie humaine. Un sujet passionnant et beau qui donna donc matière à Mel Gibson pour adapter la vie incroyable de cet homme hors du commun que fut Desmond Doss, objecteur de conscience plus que courageux qui s’engagea volontairement dans l’armée et sauva 75 vies durant la terrible bataille d’Hacksaw Ridge sans porter une seule arme. Un sujet qui semblait compatible avec les thèmes chers à Mel Gibson dans sa filmographie. Après une première partie teintée de sentimentalisme (un peu mièvre par moment je vous l’accorde) et d’un débat très intéressant et virulent au sein de l’armée sur la conscience d’un homme motivé pour servir son pays sans toucher un fusil, la deuxième partie se distingue fortement avec l’ambiance de la première. Place en effet à l’horreur pure de la guerre comme si nous étions pour de vrai avec une vision impressionnante de cette bataille qui fut très meurtrière. Beaucoup de films ont su montrer le caractère extrêmement brutal de cette Seconde Guerre mondiale, nous savons qu’il s’agissait d’une boucherie comme nous l’a montré Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg par exemple. Et Mel Gibson, par respect et pour renforcer la reconstitution historique, décide également de montrer l’extrême violence des combats qui, malgré l’hémoglobine très fréquente, n’entrent pas dans un trop plein de gore et de violence gratuite pour le fun mais qui sont montrés avec réalisme, gravité et respect pour tous ces hommes morts dans l’enfer le plus total et inimaginable. Avec ses scènes de guerre à nous décoller la mâchoire, Tu ne tueras point se hisse parmi les films de guerre les plus impressionnants jamais vu sur grand écran. La mise en scène de Mel Gibson est incroyable et réussi à nous immerger dans l’horreur d’Hacksaw Ridge. Par exemple, l’arrivée des soldats américains que nous suivons durant tout le film devant la falaise est juste parfaite pour l’immersion du spectateur. Mel Gibson fait en effet petit à petit monter la tension et le suspense en nous montrant d’abord l’immense falaise avec au-dessus d’elle un ciel sombre inquiétant. Les bombardements de la marine de guerre embrasent ensuite le champ de bataille tels les feux de l’enfer qui se déchaînent sur terre. Et vient ensuite le moment de l’escalade où les soldats découvrent que les gouttes qui tachent leur uniforme ne sont pas de la pluie mais du sang. Le spectateur commence alors à ressentir une forme d’angoisse en découvrant un champ de bataille fumant, silencieux et lunaire peuplé de cadavres, de tripes, de membres arrachés et de rats. Puis tel un coup de tonnerre la guerre éclate sous nos yeux. Des balles sifflent, des explosions assourdissantes, des flammes, des corps réduits en charpie, des soldats transpercés par les balles, des cris de peur et de désespoir, du sang qui se répand sur le sol,… bref Mel Gibson nous entraîne dans une bataille éprouvante, d’une extrême violence et offre des scènes de guerre saisissantes de réalisme et complètement psychopathes avec une intensité comme on n’en avait pas vue depuis Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg. La deuxième partie de Tu ne tueras point est véritablement un déchaînement de violence inouïe comme sait si bien le faire Mel Gibson mais c’est aussi le moment de l’illustration du courage de Desmond Doss qui, sans une seule arme, parviendra à sauver 75 soldats, japonais et américains, de cet enfer. Le réalisateur de Braveheart retrouve ainsi tout son souffle dans cette bataille d’Hacksaw Ridge et traite brillamment l’acte héroïque de Desmond Doss qui guidé par sa foi fit quelque chose que l’on pourrait qualifier de surhumain. Or il s’agit d’un homme, un simple infirmier et objecteur de conscience, qui motivé par ses croyances sauva toutes ses vies de l’horreur, et le film nous le montre d’une manière admirable et prouve dans ses dernières minutes avec les témoignages des vrais protagonistes de la bataille que tout était vrai. Poignant. Porté par un Andrew Garfield habité qui compose une très belle interprétation de Desmond Doss pleine d’innocence et de volonté ainsi que par de très bon seconds rôles en les personnes de Teresa Palmer, Vince Vaughn et Sam Worthington, Tu ne tueras point est un véritable retour en grâce de Mel Gibson qui offre au cinéma un film choc et puissant où le courage et la foi d’un homme surpassent la barbarie de la guerre. Un film marquant par ses scènes de guerre impressionnantes mais aussi par ses propos et l’histoire vraie incroyable qu’il nous raconte. Un grand film tout court, presque un vrai chef-d’œuvre de cinéma, qui nous reste en mémoire après l’expérience ahurissante et traumatique qu’il nous a fait vivre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 février 2017
    Magistral! Une réelle opposition entre une première partie calme, loin du champ de bataille, et une seconde partie où règne violence et barbarie. Le vrai visage de la guerre est incroyablement bien montrée au spectateur. Andrew Garfield est exceptionnel dans son rôle.
    Thomas G
    Thomas G

    18 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 novembre 2016
    holalalalalalalala la claque que je me suis pris.Mel nous avais épater avec braveheart.troubler avec la passion du christ et ébloui avec apocalypto. et la ce film ma bouleversé la musique l image le eux d acteur tout y est on est plonger dans ce massacre et on en ressort pas indemne. a voir et revoir. belle histoire vrai.
    thebest76
    thebest76

    47 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 janvier 2017
    Après Apocalypto Mel Gibson oublie les Mayas et revient en pleine seconde guerre mondiale dans l'enfer d'Okinawa au côté des GI. Tout simplement un pur chef d'œuvre ! La mise en scène et les acteurs sont fantastiques ! A voir et revoir mais public sensible s'abstenir !
    BeatJunky
    BeatJunky

    156 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2017
    Boucherie Gibson bonjour! Et beh, c'est quand même bien bourrin tout ça, je ne m'attendais à ce que ce le soit autant ... Ça m'a fait penser à sa "passion du christ" ou "Braveheart" qui ne faisaient pas non plus dans la dentelle dans les certaines scènes. Par contre, l'histoire est tout aussi captivante et émouvante...Même si j'ai trouvé un peu dérangeant/malsain de regarder ce carnage filmé comme un ballet avec la p'tite musique qui va bien pendant de longues minutes... Mais c'est qd même vachement bien filmé il faut l'avouer! L'histoire de ce ptit gars est vraiment prenante grâce au personnage de Desmond Doss (impeccablement interprété par Andrew Garfield - parfait pour ce rôle!) qui est immédiatement attachant. Mis à part l' originalité du héros, ça reste assez classique avec l'intégration difficile à l'école militaire suivi de l' arrivée à la guerre et l'acte héroïque sur le champ de bataille pour finir... Pourtant, j'ai trouvé ça différent, original et captivant . Un très bon come-back du Mel en metteur en scène.
    Santu2b
    Santu2b

    257 abonnés 1 795 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2016
    "Tu ne tueras point" marque le retour de Mel Gibson derrière la caméra presque dix ans après le puissant "Apocalypto". Ce retour, on le doit à Andrew Garfield, acteur principal et producteur , qui imposa Gibson comme réalisateur. Choix judicieux tant l'histoire de l'objecteur de conscience Desmond Doss s'insère pleinement au cœur des thèmes de prédilection du cinéaste. Il en profite pour signer un bon film de guerre humaniste à la spiritualité chrétienne. Néanmoins une œuvre davantage formatée à l'hollywoodienne sans véritable touche personnelle. Un peu long à démarrer, "Tu ne tueras point" s'avère époustouflant dans sa seconde partie où Gibson reste le roi des scènes d'action. Le cinéaste signe des batailles dantesques rappelant les plus belles heures de "Braveheart". Garfield est impeccable. Dommage au final que le scénario desserve la réalisation ; mais il fait espérer que ce film de commande puisse permettre à Gibson de s'atteler à des projets plus personnels.
    Pascal A
    Pascal A

    6 abonnés 145 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 février 2018
    Cette histoire était faite pour Mel Gibson. On y retrouve tous les ingrédients où il excelle : religion, courage, violence, émotions, attachement aux personnages. Les graphismes sont magnifiques, l’intensité est juste, la musique est envoûtante. Un film complet qui ne laisse pas indifférent.
    Sheppard27
    Sheppard27

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2017
    Excellent film. A.Garfield est super dans ce rôle.Le meilleur film que j'ai vue jusqu'à maintenant 😊
    tony-76
    tony-76

    1 085 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 décembre 2016
    « Les vrais héros sont enterrés là-bas. » Double retour gagnant pour Mel Gibson en cette année 2016, qu'on retrouvait également dans un rôle charismatique devant la caméra dans le film de Richet intitulé Blood Father (pendant l'été) et le voici à la réalisation pour Hacksaw Ridge. Son retour en tant que réalisateur (dix ans après son Apocalypto) était un défi de taille que M. Gibson a su maîtriser avec intelligence et efficacité ! Ce film de guerre risque d'impressionner plusieurs personnes au cinéma dans son traitement édifiant. Une histoire vraie qui célèbre les exploits de Desmond T. Doss, un soldat américain adepte de la non-violence - il a toujours refusé de tuer ou de porter une arme - qui a secouru et soigné plusieurs de ses camarades pendant la Seconde Guerre mondiale. Le développement du récit est plaisant à suivre, et est pratiquement identique à celui de Braveheart. Le film aborde deux parties de manière à inverser la tendance : une première partie spoiler: sur l'enfance difficile du personnage principal et une romance assez niaise mais nécessaire (le cinéaste offre quelques airs de Pearl Harbor)
    , puis vient une deuxième partie où spoiler: la guerre ne fait pas de cadeau !
    C'est visuellement impressionnant et tellement réaliste dans ces images choquantes et poignantes. L'action se transporte en sol japonais où les affrontements font rage. Cela nous prend aux tripes !! Le public a le souffle coupé face à cette sombre et horrible bataille. Gibson excelle dans les séquences de testostérone et il offre des moments spectaculaires en limitant les fautes de goût spoiler: (comme ce lance-flamme qui semble provenir de Lethal Weapon 4).
    La chaleur monte n'épargnant rien ni personne sur son passage. Rapporter des soldats avec courage et bravoure peut faire penser à l'oeuvre de Robert Zemeckis spoiler: - Forrest Gump - au passage de la guerre du Vietnam quand Forrest retourne sans cesse chercher des compagnons qui sont blessés et abandonnés.
    De magnifiques explosions avec un lot de ralentis brillant. Le film devient également intéressant lors des séances d'entraînement qui ne manquent pas d'humour. Une trame sonore saisissante, bien amenée au bon moment de l'histoire. Il n'y a aucune longueur, le rythme est trépidant ! La distribution des acteurs est tout simplement EXCELLENTE !! Avec Andrew Garfield qui peut enfin abandonner son costume de Spider-Man sans se retourner. Le comédien offre enfin un rôle adulte et il est tout à fait à l'aise entre le jeune premier innocent et celui plus courageux qui sauve des soldats de la boucherie et en vivant avec ses propres convictions. Une performance digne des Oscars ! Teresa Palmer (Lights Out) est délicate et bouleversante dans la peau de cette infirmière et compagne de ce soldat. Habitué à jouer dans des rôles comiques, l'acteur Vince Vaughn est très bon en sergent exigeant et Sam Worthington (Avatar) surprend en capitaine... Quel plaisir de revoir Hugo Weaving qui avait interprété l'agent Smith dans la trilogie Matrix, il s'avère épatant en ancien vétéran de la guerre et en faisant le père de Doss. Et puis, Luke Bracey (remake du potable Point Break) est à son tour renversant dans ce personnage à la fois violent et froid. La morale hollywoodienne peut paraître inévitable mais elle est bien rendue avec spoiler: des photos et des témoignages de ces proches et de ces camarades de guerre pour Desmond T. Doss.
    En conclusion, Tu ne tueras point est LE meilleur film de guerre à ce jour et peut être LE meilleur film de l'année. Mel Gibson est bien de retour ! On ne peut que s'incliner et rendre hommage à cet homme hors du commun qui méritait amplement qu'on lui consacre ce long métrage puissant et terriblement émouvant. Nul doute que le film se présentera aux Oscars ! Chef d'oeuvre du 7e art.
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