AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
4,4
27249 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Tu ne tueras point ?
5
473 critiques
4
414 critiques
3
138 critiques
2
53 critiques
1
24 critiques
0
20 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Un film de guerre avec toute la violence et l'horreur du thème. Mais un film sur l'amour d'un homme pour son prochain. Magnifique et vrai !
Mel Gibson nous livre un film de guerre à la violence inouïe et émouvant aux larmes grâce au jeu d'Andrew Garfield. Pour son retour derrière la caméra, Mel Gibson raconte une histoire vraie. Celle d'un infirmier plongé dans la Guerre du Pacifique dont la religion lui interdit de porter une arme et qui sauva plus de cent personnes blessées, à la bataille d'Okinawa . Au cœur de l'enfer de la guerre et sans une arme à la main. Incroyable et vrai. Une stupéfiante histoire où Andrew Garfield y est parfait dans le rôle principal. Quelques part entre " Il Faut sauver le Soldat Ryan " et " La Ligne rouge " , un très beau film de guerre d'une rare intensité et qui fait preuve d'audace et de réalisme. Le meilleur film émouvant signé de la main de l'Acteur- Réalisateur.
Les 30 premières minutes sont lourdingues au possible. On est dans du USA Disney complètement fantasmé et caricatural dans lequel notre héro tête à claque tombe amoureux d'une infirmière sans aspérité.
spoiler:
La cour qui s'ensuit à grand renfort de sourire ultra bright sur gros plans jaune filtre instagramm et de galipette dans les montagnes est grotesque. On n'y croît pas une seconde. Le couple dégageant en plus le charisme d'un couple de Ned Sanders homo, on se fout pas mal de savoir si l'un ou l'autre va mourir. Tout est trop propre, caricatural, simplet et disons le franchement, très con-trariant. Ouf j'ai échappé de justesse au modérateur tatillon. Je précise que j'aurai pu simplement écrire que
"l'introduction du récit est très académique", spoiler: sauf qu'imager mon propos permet au plus grand nombre de savoir précisément ce à quoi il expose son cerveau innocent. Enfin la guerre éclate et notre héro patriote ne peut résister aux doux yeux de l'oncle Sam qui le veut lui ! "I want you" (mais aussi toi à coté). La seconde partie, l'instruction militaire, lorgne allègrement sur ses prédécesseurs (on pense forcément à Full metal jacket) mais suscite davantage d'intérêt.
J'aime les ambiances de vestiaires spoiler: à base d'hommes à moitié nu aux muscles saillants et torses virils, de nettoyage de chiottes à la brosse à dent et de souffre douleur au maquillage exagéré. La troisième partie est la plus intense et même ponctuellement habitée par une certaine force. Voir ce zouave porter secours à tous ces mutilés au péril du bon sens et de sa vie a quelque chose d'assez exaltant. On peut tout de même s'interroger sur le paradoxe de réaliser l'hagiographie d'un objecteur de conscience en alignant un nombre incalculable de plans sur cette boucherie souvent esthétisée mais bon.
Un film spoiler: dont le succès ne surprend personne puisqu'il arrive à réconcilier dans une même oeuvre les deux boules sacrées de la verge Etats-Unienne : la religion et la guerre. Hacksaw Ridge est en cela un miracle. Vous en voulez un autre ? Que personne ne relève l'hypocrisie de ce héro christique (il rend la vue à un aveugle) qui fait la guerre sans tuer et se contente de sauver la vie de soldats... qui retourneront finir le boulot à sa place. Ben oui ça à rien à voir puisqu'il ne tire pas directement sur les jap' d'en face. Hacksaw Ridge est donc l'histoire d'un homme à la fois courageux et lâche, comme sa petite mèche le laissait deviner.
Hallelujah !
"l'introduction du récit est très académique", spoiler: sauf qu'imager mon propos permet au plus grand nombre de savoir précisément ce à quoi il expose son cerveau innocent. Enfin la guerre éclate et notre héro patriote ne peut résister aux doux yeux de l'oncle Sam qui le veut lui ! "I want you" (mais aussi toi à coté). La seconde partie, l'instruction militaire, lorgne allègrement sur ses prédécesseurs (on pense forcément à Full metal jacket) mais suscite davantage d'intérêt.
J'aime les ambiances de vestiaires spoiler: à base d'hommes à moitié nu aux muscles saillants et torses virils, de nettoyage de chiottes à la brosse à dent et de souffre douleur au maquillage exagéré. La troisième partie est la plus intense et même ponctuellement habitée par une certaine force. Voir ce zouave porter secours à tous ces mutilés au péril du bon sens et de sa vie a quelque chose d'assez exaltant. On peut tout de même s'interroger sur le paradoxe de réaliser l'hagiographie d'un objecteur de conscience en alignant un nombre incalculable de plans sur cette boucherie souvent esthétisée mais bon.
Un film spoiler: dont le succès ne surprend personne puisqu'il arrive à réconcilier dans une même oeuvre les deux boules sacrées de la verge Etats-Unienne : la religion et la guerre. Hacksaw Ridge est en cela un miracle. Vous en voulez un autre ? Que personne ne relève l'hypocrisie de ce héro christique (il rend la vue à un aveugle) qui fait la guerre sans tuer et se contente de sauver la vie de soldats... qui retourneront finir le boulot à sa place. Ben oui ça à rien à voir puisqu'il ne tire pas directement sur les jap' d'en face. Hacksaw Ridge est donc l'histoire d'un homme à la fois courageux et lâche, comme sa petite mèche le laissait deviner.
Hallelujah !
Ce film est excellent en tout point. Du visuel à la soldat Ryan, ainsi qu'une histoire tirée de faits réels. On adorera le rôle principal, sa simplicité, les effets et les scènes de combat. A voir absolument.
Difficile de critiquer un (rare) Chef d'oeuvre du cinéma, Mel Gibson revient avec brio et confirme ses talents derrière la caméra avec un film poignant, violent et terriblement efficace à l’écran. Tiré d'une histoire vraie, toutes les ficelles d'un film à multi récompenses sont exploitées, l'émotion est intense, la rage, la peur de l'injustice, l'amour et surtout la Guerre dans toute son horreur et ses images incroyablement authentiques et terrifiantes. Gibson signe là l'un des meilleur film de Guerre réaliste amenant le spectateur sur le terrain dans le sang et les tripes, (même les scènes de guerre du film Il faut sauver le soldat Ryan semblent dépassées).
Une superbe histoire mise en lumière par une excellent metteur en scène.
Une superbe histoire mise en lumière par une excellent metteur en scène.
Soyons clairs : la seule chose qui justifie cette étoile est le fait qu'il s'agisse d'une histoire vraie. Et c'est en soi une histoire assez épatante. En revanche, ce n'est pas y avoir fait honneur que de proposer une adaptation pareille.
Les personnages : caricaturaux et sans profondeur. On ne s'attache à aucun d'eux ni à leur histoire car concrètement : ils n'en ont pas, ni les gentils ni les méchants. Ils sont tous superficiels et prévisibles. Le seul qui soit un tant soit peu creusé est le héros, dépeint comme un benêt au sourire débile mais forcément plein de bonne volonté car patriote américain. Ou "Quand Forrest Gump va sauver le soldat Ryan". On retrouve le classique formateur militaire humiliant et intransigeant aux vannes bien beaufs, le meilleur ennemi qui a décidé de détester le héros spoiler: mais qui comme par hasard va lui sauver la vie parce que bon en fait il s'est aperçu qu'il était sympa sur la fin.
Des dialogues et un scénario globalement sans aucune subtilité ni originalité. Des phrases toutes faites ("en temps normal c'est les fils qui enterrent leurs pères, en temps de guerre c'est les pères qui enterrent leurs fils". Non mais franchement...), du vu, revu et rerevu.
Les scènes de guerre frôlent parfois le grotesques. De patriotisme américain tellement gros qu'on a du mal à voir autre chose (ah si, la religion là encore affichée si peu subtilement), du sang pour du sang. Aucune psychologie de la guerre et parfois aucune crédibilité.
Bref, j'ai un mal fou à comprendre pourquoi ce film a obtenu une note si haute ici, mais encore plus à comprendre comment il a pu être nominé pour l'oscar du meilleur film. Si celui-ci fait partie des meilleurs films américains alors Hollywood est devenu une vaste plaisanterie.
Les personnages : caricaturaux et sans profondeur. On ne s'attache à aucun d'eux ni à leur histoire car concrètement : ils n'en ont pas, ni les gentils ni les méchants. Ils sont tous superficiels et prévisibles. Le seul qui soit un tant soit peu creusé est le héros, dépeint comme un benêt au sourire débile mais forcément plein de bonne volonté car patriote américain. Ou "Quand Forrest Gump va sauver le soldat Ryan". On retrouve le classique formateur militaire humiliant et intransigeant aux vannes bien beaufs, le meilleur ennemi qui a décidé de détester le héros spoiler: mais qui comme par hasard va lui sauver la vie parce que bon en fait il s'est aperçu qu'il était sympa sur la fin.
Des dialogues et un scénario globalement sans aucune subtilité ni originalité. Des phrases toutes faites ("en temps normal c'est les fils qui enterrent leurs pères, en temps de guerre c'est les pères qui enterrent leurs fils". Non mais franchement...), du vu, revu et rerevu.
Les scènes de guerre frôlent parfois le grotesques. De patriotisme américain tellement gros qu'on a du mal à voir autre chose (ah si, la religion là encore affichée si peu subtilement), du sang pour du sang. Aucune psychologie de la guerre et parfois aucune crédibilité.
Bref, j'ai un mal fou à comprendre pourquoi ce film a obtenu une note si haute ici, mais encore plus à comprendre comment il a pu être nominé pour l'oscar du meilleur film. Si celui-ci fait partie des meilleurs films américains alors Hollywood est devenu une vaste plaisanterie.
Un film magnifié par une performance exceptionnelle d'Andrew Garfield. L'histoire est superbe, les choix de réalisation très bons. Et un réalisme incroyable.
Film magnifique sur le courage d'un homme animé par ses convictions religieuses,il n'est pas étonnant que notre presse ait dénigré ce film,pleine de gauchistes vegans, feministes, athées et pro-sioniste,avec Mel Gibson à la réalisation,qui s'est déjà cramé avec le très beau "La passion du Christ" et ses déclarations dans la presse,tout ce qu'il fait depuis, est fustigé.
Tu ne tueras point est un film à voir absolument.
Il met en avant un Héros de la seconde guerre "objecteur de conscience".
Ses croyances en tête, Mel Gibson a su donner à cet Homme sa noblesse, spoiler: car Desmond Doss a bel et bien été au front et a sauvé environ 75 vies
.
On pourrait néanmoins dénigrer cette réalisation pro-américaine qui fait la part belle au patriotisme "nous sommes les plus forts, les meilleurs" et un certain prosélytisme.
Mais tout de même, les effets spéciaux sont poignants et cet Homme a existé.
spoiler: Deux parties sont vraiment distinctes avec un côté qu'on pourrait reprocher un peu niais avec une belle histoire d'amour... D'autre part, les scènes de guerre sont impressionnantes. Rarement vu à l'écran une telle violence qui pourrait qualifier les horreurs de la guerre. C'est superbement mis en scène,
Andrew Garfield rempli amplement son rôle... Sans trop en faire, il sait montrer qu'on peut être un héros avec la fleur au fusil.
Il met en avant un Héros de la seconde guerre "objecteur de conscience".
Ses croyances en tête, Mel Gibson a su donner à cet Homme sa noblesse, spoiler: car Desmond Doss a bel et bien été au front et a sauvé environ 75 vies
.
On pourrait néanmoins dénigrer cette réalisation pro-américaine qui fait la part belle au patriotisme "nous sommes les plus forts, les meilleurs" et un certain prosélytisme.
Mais tout de même, les effets spéciaux sont poignants et cet Homme a existé.
spoiler: Deux parties sont vraiment distinctes avec un côté qu'on pourrait reprocher un peu niais avec une belle histoire d'amour... D'autre part, les scènes de guerre sont impressionnantes. Rarement vu à l'écran une telle violence qui pourrait qualifier les horreurs de la guerre. C'est superbement mis en scène,
Andrew Garfield rempli amplement son rôle... Sans trop en faire, il sait montrer qu'on peut être un héros avec la fleur au fusil.
"Tu ne tueras point" est une œuvre cinématographique exceptionnelle qui réussit à captiver et émouvoir dès les premières minutes jusqu'à la fin. Réalisé par Mel Gibson, le film raconte l'histoire vraie de Desmond Doss, un objecteur de conscience pendant la Seconde Guerre mondiale qui a servi en tant qu'infirmier de combat sans jamais porter d'arme.
Andrew Garfield offre une performance incroyable dans le rôle de Doss, incarnant avec justesse la détermination, la foi et la bravoure du personnage. La mise en scène de Mel Gibson est à couper le souffle, avec des scènes de bataille d'une intensité visuelle impressionnante. Les effets spéciaux et la direction artistique contribuent à créer un réalisme frappant, plongeant le spectateur au cœur de l'action.
Ce qui rend ce film particulièrement puissant, c'est la manière dont il explore les convictions profondes de Doss et sa volonté inébranlable de sauver des vies sans prendre celle de quelqu'un d'autre. "Tu ne tueras point" est un hymne à la résilience, à la compassion et à la force intérieure.
En fin de compte, ce film offre bien plus qu'une simple histoire de guerre. Il nous pousse à réfléchir sur la nature de l'héroïsme, la persévérance face à l'adversité et la puissance de la conviction personnelle. Un chef-d'œuvre cinématographique à ne pas manquer, qui laisse une empreinte durable longtemps après la fin du générique.
Andrew Garfield offre une performance incroyable dans le rôle de Doss, incarnant avec justesse la détermination, la foi et la bravoure du personnage. La mise en scène de Mel Gibson est à couper le souffle, avec des scènes de bataille d'une intensité visuelle impressionnante. Les effets spéciaux et la direction artistique contribuent à créer un réalisme frappant, plongeant le spectateur au cœur de l'action.
Ce qui rend ce film particulièrement puissant, c'est la manière dont il explore les convictions profondes de Doss et sa volonté inébranlable de sauver des vies sans prendre celle de quelqu'un d'autre. "Tu ne tueras point" est un hymne à la résilience, à la compassion et à la force intérieure.
En fin de compte, ce film offre bien plus qu'une simple histoire de guerre. Il nous pousse à réfléchir sur la nature de l'héroïsme, la persévérance face à l'adversité et la puissance de la conviction personnelle. Un chef-d'œuvre cinématographique à ne pas manquer, qui laisse une empreinte durable longtemps après la fin du générique.
Tres bon film , retraçant cette bataille et montrant le côté impensable que la fois peut avoir sur un etre humain durant la guerre .
Mel Gibson joue aux petits soldats en revenant de la messe.
C'est gros, c'est gras, ça déborde de complaisance. Ce film est porteur d'une philosophie douteuse et d'une sorte de schizophrénie: Gibson veut dépeindre le portait de ce soldat pacifique, mais il prend lui même un malin plaisir à orchestrer ces gigantesques orgies militaires et ces bains de sang, dans lesquels il semble trouver une sorte de jouissance. Mais ne vous en fait pas, il ne manquera pas non plus de vous appuyer lourdement au possible sa morale religieuse.
Néanmoins, Andrew Garfield convint plus que d'accoutumée, il est par ailleurs drôle de voir qu'il ai participé aux deux plus grosses messes (littéralement) cinématographiques sorties cette année: ce film et Silence, de Scorsese.
Tu ne tueras point semble être la quintessence de ce en croit Mel Gibson, et de ce qu'il aime, et c'est pourquoi il est mauvais.
C'est gros, c'est gras, ça déborde de complaisance. Ce film est porteur d'une philosophie douteuse et d'une sorte de schizophrénie: Gibson veut dépeindre le portait de ce soldat pacifique, mais il prend lui même un malin plaisir à orchestrer ces gigantesques orgies militaires et ces bains de sang, dans lesquels il semble trouver une sorte de jouissance. Mais ne vous en fait pas, il ne manquera pas non plus de vous appuyer lourdement au possible sa morale religieuse.
Néanmoins, Andrew Garfield convint plus que d'accoutumée, il est par ailleurs drôle de voir qu'il ai participé aux deux plus grosses messes (littéralement) cinématographiques sorties cette année: ce film et Silence, de Scorsese.
Tu ne tueras point semble être la quintessence de ce en croit Mel Gibson, et de ce qu'il aime, et c'est pourquoi il est mauvais.
On pense toujours que tout a été dit sur la Première et la Seconde Guerre Mondiale et pourtant, des réalisateurs arrivent encore à trouver des angles ou des sujets qui permettent de découvrir une partie méconnue de ces conflits. Ici, c’est le mouton noir d’Hollywood Mel Gibson qui s’y colle en nous ressortant un personnage incroyable. Car la vie de Desmond Doss si on l’avait inventée aurait paru invraisemblable. Cet homme très croyant est par conviction Objecteur de Conscience, droit reconnu par la loi américaine et qui le dispense de la conscription. Pourtant, il lui paraît inconcevable, alors que tant d’hommes de son âge combattent, de ne pas d’engager et les rejoindre. Or faire la guerre c’est tuer et lui respecte à la lettre le 5ème commandement : Tu ne tueras point et refuse donc de même toucher une arme. Avant même de rejoindre le front le voilà livrant sa première bataille, ne pas être renvoyé de l’armée, ou emprisonné pour ce refus. Parvenant à ses fins, il va faire preuve d’un courage incroyable et par là même réussira à sauver 56 hommes blessés qui sans lui auraient agonisé ou auraient achevé par les Japonais sur le champ de bataille. On connaît la foi tonitruante de Gibson, il n’y a donc nul doute que la vie de cet homme a trouvé un écho en lui. Il le filme donc avec beaucoup d’admiration, mais sans jamais faire dans le larmoyant, il en fait un homme attaché à ses principes qui à travers une voie médiane veut accomplir son devoir. Les images sont à la fois belles et terriblement sanguinaires, dans ces scènes d’assaut où les hommes sont tués et les corps mutilés. Néanmoins ce qui reste c’est plutôt l’acharnement bienveillant d’un homme à combattre en essayant de sauver ses camarades blessés plutôt que d’essayer de les venger en tuant le maximum de combattants japonais. Cette rigueur morale est la meilleure publicité fait à la foi chrétienne et un exemple qui n’est pas sans évoquer celui de Gandhi qui faisait de la non-violence un impératif indépassable. Un fil à la fois spectaculaire, passionnant et éblouissant d’humanisme et ce dans une période historique où la barbarie était partout présente. Un très grand film sur une personnalité hors du commun qui aura réussi à toucher tous ceux qui l’ont côtoyé et probablement tous ceux qui auront vu le film.
J'ai adoré l'histoire de ce héros de guerre passifiste et les scène de guerre sont impressionnantes, elles rendent bien compte de la boucherie des combats.
La seul chose qui m'a agacé c'est tout ce laïus autour de la religion (gros plan serré au ralentie, "Seigneur que dois-je faire ? ". Quel lourdeur )
Bon le soldat en question était réellement croyant et cela devais figurer dans le film mais j'imagine bien que Mel Gibson n'aurais pas réalisé ce film si le soldat avait été Athé ou Musulman.
La seul chose qui m'a agacé c'est tout ce laïus autour de la religion (gros plan serré au ralentie, "Seigneur que dois-je faire ? ". Quel lourdeur )
Bon le soldat en question était réellement croyant et cela devais figurer dans le film mais j'imagine bien que Mel Gibson n'aurais pas réalisé ce film si le soldat avait été Athé ou Musulman.
C'est dur, c'est puissant, c'est fort, c'est intense, c'est violent, c'est sauvage, c'est sanglant, c'est prenant, c'est vrai. C'est un chef d'œuvre de Mel Gibson avec une mise en scène parfaite, des acteurs incroyables, une histoire magnifique et originale, des décors d'un réalisme bluffant, une BO vraiment géniale, des scènes réalistes et de l'émotion. Mel Gibson nous fait passer des messages, parmi lequel, celui de la paix, d'aider son prochain.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse