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jiji1459
18 abonnés
125 critiques
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5,0
Publiée le 21 novembre 2016
Scénario excellent, acteurs au top, film admirable qui réussit, malgré l'horreur de la guerre ... au combien retranscrite de manière réaliste, à faire passer une grosse palette d'émotions.
Les films de guerre se ressemblent souvent, de ce fait je n'ai jamais été attiré par ce film avant. Et bien j'étais passé à côté de quelque chose, aujourd'hui comme ces dernières années la qualité du cinéma a baissé, j'ai regardé ce film plus par ennuis. Pourtant j'adore Andrew Garfield et Gibson est un prodige derrière la caméra, je ne pouvais pas être déçu. Et c'est une claque, tout est millimètrement parfait. Casting, répliques, scènes d'actions, scénario, mise en scène, violence et émotion, le tout réunis dans une incroyable histoire vraie. C'est un chef-d'œuvre.
Impressionnant !!!! Comme d'habitude je suis allé voir ce film car les critiques presse l'ont égratigné et encore une fois j'ai bien fait. Une réalisation à couper le souffle, un réalisme bluffant, un premier rôle très bien interprété, un très grand film.et en plus tiré d'une histoire vraie ....Gibson on peut dire ce que l'on veut, c'est un excellent réalisateur
Après plus de 4 mois sans critique, je me suis dit que j'aillais laisser tomber Allociné et que j'allais arrêter mes critiques mais "Tu ne tueras point" est sorti ! Ce film marque le grand retour de Mel Gibson à la réalisation, 10 ans après avoir réalisé le superbe Apocalypto et franchement c'est une tuerie ! Je n'ai pas d'autres mots ! Ce qui saute aux yeux c'est la propreté de la mise en scène. C'est absolument nickel, tout les plans sont très soignées pour un rendu final absolument bluffant. L'histoire quant à elle (tirée de faits réels) est sublime. Elle est divisé en 2 parties: la première avec la vie de Desmond dans un famille en Virginie et la seconde lorsqu'il s'engage dans l'armée avec la bataille d'Okinawa. Dans ce genre de film, on serait tenté de dire qu'une partie est forcément meilleure que l'autre mais pour le coup ce n'est pas le cas, les deux parties sont parfaites. Les acteurs sont magiques et mention spéciale pour Andrew Garfield que je n'avais pas aimé dans The Amazing Spiderman et qui m'a prouvé que je m'étais trompé sur son compte car sa prestation est incroyable. A côté de lui on retrouve notamment Vince Vaughn qui nous offre une prestation mémorable qui tranche complètement avec ses rôles habituelles. Sam Worthington et Hugo Weaving interprètent également leurs rôles à la perfection avec une justesse hallucinante. L'énorme point fort du film c'est également la bataille d'Hacksaw Ridge qui est juste une des plus belles batailles de l'histoire du cinéma ! Les effets spéciaux sont incroyables, la musique est dantesque, c'est brutal, c'est violent, enfin bref il y a tout ce qu'il faut ! Et la cerise sur le gateau c'est que ce film n'est même pas manichéen ! Les japonais sont désignés comme étant les méchants mais à un moment spoiler: le héros va même aider des soldats japonais !
En bref ce film est d'une richesse incroyable et on pourrait en parler pendant des heures tant il y a de choses à raconter. J'ai été littéralement scotché à mon siège. Pour le moment c'est de loin un des meilleurs films de guerre qui existent. Un vrai chef d'oeuvre !
Je sors de la salle à la fois bouleversé et subjugué. Franchement, c'est un des meilleurs films de guerre que j'ai eu la chance de voir ! C'est tellement prenant!! A la fois une leçon de moral mais également une gifle visuellement et artistiquement ! La performance des acteurs est juste époustouflante. C'est léger, pile ce qu'il faut ! Revient souvent dans le scénario l'évocation de Dieu, qui serait au fait à l'origine de tout le courage que porte notre jeune héros dans son cœur en accomplissant ces actes héroïques. Cela montre bien à quel point la foi chez nos soldats d'avant étaient très précieuse et très présente ! J'ai aussi trouvé que (meme si je ne l'ai jamais vécu (dieu merci)) les conditions de la guerre la étaient extrêmement réalistes, ça faisait froid dans le dos, à tel point que ca en était effrayant, étouffant voire choquant ! J'ai eu du mal à affronter ces montagnes de cadavres réduits en bouilli... bref, Mel Gibson signe la l'un de ses meilleurs films !
Il aura donc fallu attendre 10 ans pour retrouver le réalisateur Mel Gibson. Et ce fut bien long. Parce que derrière la très controversée Passion du Christ, il ne faut pas oublier que le cinéaste est aussi l'homme de Braveheart ou Apocalypto. Un conteur particulièrement sensible au sens donné aux images mais un metteur en scène qu'on associe fréquemment à la violence et au catholicisme. Plutôt que de biaiser avec une image qui lui colle à la peau, M.Gibson a sciemment choisi de revenir avec une histoire qui combine les deux. À ce titre, Tu ne tueras point est donc autant une continuation qu'un retour dans sa carrière. En racontant le destin de Desmond T. Doss, objecteur de conscience envoyé dans le pacifique pendant la 2nde Guerre Mondiale, Gibson trouve le sujet idéal pour conceptualiser la foi non pas comme un moyen mais une fin. Ici, il n'est pas question d'occulter l'horreur et la rage d'un conflit impitoyable, mais d'accepter qu'un sol jonché de corps suppliciés et de cendres ne recouvre pas forcément la voie d'un humanisme. La première partie me parait maladroite, voire peu finaude (quoique sincère), mais il est difficile de rester insensible à la force de la deuxième. Plus viscérale et complexe, elle dresse brillamment la dualité de son héros, déterminé à sauver des vies tout en réfrénant ses pulsions de mort, et celle de son réalisateur, qui observe la cruauté guerrière et rend hommage à ceux qui ont du y participer. Malgré un récit chargé en symboles, le film ne s'adresse pas à un public défini et chacun pourra en apprécier ou abhorrer la portée.
Ce film est un chef d’œuvre, les scènes de combats sont magnifiquement filmées. C'est une histoire superbe et tellement touchante que l'on en verse sa larme. Il est à souhaiter qu'à travers ce film, Mel Gibson, très bien inspiré avec ce sujet tiré d'une histoire vraie, se voit revenir brillamment à Hollywood. Il mériterait d'être oscarisé, c'est un film de guerre magnifique. Nous n'avions rien vu de tel depuis le soldat Ryan.
Une histoire puissante centrée sur Desmond Doss, idéaliste et objecteur de conscience porté par ses convictions mais néanmoins désireux, au printemps 1942, de servir son pays alors plongé dans la Seconde Guerre Mondiale. Divisé en deux parties distinctes, voilà un biopic percutant aussi bien dans le fond que dans la forme. Maitrisant parfaitement l'art de la mise en scène, Mel Gibson ne nous lâche pas une seule seconde, nous offrant du répit qu'au générique de fin. Après une première heure sympa mais assez classique toutefois, « Tu Ne Tueras Point » bascule inexorablement, devenant dès lors un film véritablement éprouvant, tant la dureté des images impressionnent. Au milieu des scènes de carnage d’un réalisme saisissant qui m’ont fait penser au Débarquement du «Soldat Ryan», la volonté de cet homme de porter assistance à son prochain est profondément belle. La performance d’Andrew Garfield est à cet effet tout bonnement remarquable et les seconds rôles parfaitement servis. Un très grand moment de cinéma.
Ca faisait longtemps qu'on avait pas eu un bon film du genre,qui plus est d'une histoire vraie qui ajoute son authenticité au film.La violence est présente comme dans tous les films de ce genre,mais on la voit à travers un personnage qui est contre la violence,contre le fait de tuer. Ca donne tout le charme au film,aggrémenté par une belle performance d'Andrew Garfield.
Mel Gibson en plus d'être un excellent acteur n'a pas son pareil pour imposer sa griffe lorsqu'il passe derrière la caméra, et son "Tu ne tueras point" ne déroge pas à la règle. 39-45, un jeune américain plein de valeurs qui désire défendre son drapeau sans avoir à tenir une arme, sur le papier ce scénario a tout d'un canular sauf que c'est une véritable histoire, celle de Desmond Doss, tiraillé entre sa foi et son devoir au front. Cette histoire extra-ordinaire débute par une mise en place qui prend son temps pour installer ses personnages dans un univers qui sent bon l'innocence, on frôle même fréquemment la mièvrerie avec un Andrew Garfield plein de fraîcheur et qui apparait presque simplet parfois. Une première partie un peu à contre-courant de ce que l'on attend mais qui va s'avérer être un véritable tampon pour nous préparer à la suite ... En effet, passée la difficile formation au combat du jeune Desmond, Mel Gibson nous plonge à corps perdu sur un champ de bataille aux allures de limbes où les corps déchirés s'effondrent tous les deux mètres sous le feu nourri des japonais et des américains. Rarement des scènes de guerre n'avaient atteint un tel degré d'intensité au cinéma, c'est d'une violence inouïe, sans aucun filtre, les images sont dures et superbes à la fois et toute cette partie prend véritablement aux tripes pour ne nous relâcher qu'en toute fin. Gibson, même s'il pare son métrage d'un aspect hautement religieux, met en avant un homme incroyable qui après avoir été rabaissé et traité comme un lâche s'avérera d'une exemplarité sans faille, d'un courage et d'une abnégation peu communs. A noter également la belle prestation de Vince Vaughn, enfin débarrassé de son image de clown. Un très grand film en somme, impressionnant sur le plan visuel, particulièrement profond et brutal à la fois, une fois de plus Mel Gibson ne fait pas dans la dentelle et signe ici un superbe film de guerre. A voir absolument.
Tout ce que je cherche. Dès la première minute je suis emballé, prêt à passer deux bonnes heures. Celles-ci d'ailleurs , on ne les voient pas passer. Première heure , amour et religion font parfaite communion. Avec des acteurs d'un haut niveau , la fiction disparaît et nous nous sentons très proche d'eux , comme si l'écran disparaissait. Pour une fois durant des classes militaires , on essaie pas de nous en mettre plein la vue par des supérieurs hiérarchiques impitoyables , ceux-là sont durs mais humain. Andrew Garfield équilibre parfaitement la balance sans trop en faire , sur de ses convictions il n'est ni hautain ni soumit. Il est lui même ! Et cela se sent énormément ! On a envi de l'écouter et d'être proche de lui. Mention spéciale pour son rôle Tout au long du film, il mérite l'Oscar. Au niveau des scènes de guerre , "Il faut sauver le Soldat Ryan" est détrôné , même si les moyens ne sont pas les mêmes. Un chef d'œuvre plein de sang et de larmes sur la deuxième partie.
Ce film se distingue en cette fin d'année , que l'on aime du Gibson ou pas, on ne peut qu'aimer cette proposition quand on se dit dans un coin de la tête durant le film, que c'est une histoire vraie.
Desmond Doss était sans aucun doute un héros américain hors du commun, puisqu’il a fait la Seconde Guerre Mondiale sans porter d’arme, en tant qu’infirmier. Qui d’autre que Mel Gibson pouvait porter les croyances si fortes de cet homme qu’elles deviennent hallucinations pour le spectateur. Au final il idéalise tellement les actes de bravoure de Doss que cela en devient ridicule. Ne parlons pas des scènes de boucherie exaspérantes là où Steven Spielberg marquait durablement les esprits avec "Saving Private Ryan", Mel Gibson agace à montrer un tel étalage de membres déchiquetés.
Ce film est absolument magnifique. Il montre ce qu'il y a de plus beau dans l'âme humaine, lorsque les convictions et les valeurs que l'on défend dépassent notre propre personne pour se mettre au service des autres . Refuser de prendre les armes ce n'est pas, dans ce cas, faire preuve de lâcheté ; c'est au contraire faire preuve d'un grand courage et d'une grande force de caractère ! Plus qu'un réquisitoire contre la guerre, ce film est aussi et avant tout un plaidoyer pour l'objection de conscience.
Retour en disgrâce pour un Mel Gibson réalisateur ici complètement phagocyté par ses velléités de prêcheur Catholique (qu'il avait jusque là réussit à tenir en respect) avec cette histoire rocambolesque du bon Yankee partagé entre sa vocation religieuse et son devoir de patriote aspirant à prendre part au combat contre les méchants "Niakoués" du soleil levant.
Empruntant autant à Full metal Jacket de Kubrick qu'à Hamburger Hill de John Irvin, Hacksaw Ridge (du nom éponyme de la falaise du film) contient tous les clichés possibles en la matière, du bon gars rencontrant l'amour idéalisé de sa vie en préalable à son devenir de troufion atypique, de la présentation des potes de caserne et du sergent chef instructeur peau de vache mais vaillant comme pas possible, jusqu'aux scènes de morts sur le champ de bataille, le film ne propose rien de neuf d'un point de vue cinématographique tant son objectif n'est que de nous vendre du semi Jésus Christ se sacrifiant pour le bien de l'humanité (à majorité Américaine, soyons sérieux quand même!) avec tout ce qu'il faut d'allusion directe pour que tout forme d'ambiguïté sur la réelle teneur du personnage soit levée (le type qui rend symboliquement la vue à un aveugle).
Un mélange des genres adroitement vendu par du "tiré de faits réels", permettant à l'ex Mad Max de Georges Miller non seulement de réunir ses deux marottes (religion et nation) au sein du slip bien confortable de la conformité idéologique de l'Oncle Sam et ses alliés, mais également de se racheter une respectabilité médiatique chez ceux là même qui, hier encore, lui crachaient dessus. Alléluia!!