AlloCiné
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Votre avis sur 3 Days to Kill ?
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selenie
Ce film a deux atouts, l'un est l'espoir de vivre un réel retour de Kevin Costner en haut de l'affiche, l'autre c'est la beauté vénéneuse de Amber Heard... Cette dernière joue la femme fatale avec délectation tandis que Costner à la malchance de tomber sur une production signée Luc Besson... Le soucis avec le nabab français c'est que tous ses films sont basés sur le même canevas d'où la désagréable sensation de revoir le même film à quelques nuances près. Ce film-ci est l'exact mélange entre "Taken" (2008) de Pierre Morel et la série "No Limit" créée par Besson, je n'entrerais pas plus dans le détail mais le spitch des deux en dit long sur le foutage de gueule de Besson (il est loin le temps des "Nikita" et "Léon")... Le réalisateur est connu pour être le responsable de l'adaptation de "Charlie's Angels" (2000) et dernièrement de "Terminator : renaissance" (2009) et "Target" (2012), bref un tacheron qui sait mener l'action un minimum. Non pas que ce soit désagréable ou très râté mais ce film est sans ambition aucune, cousu de fil blanc et finalement se regarde sans intérêt. Ca se regarde comme on dit...
Attention, grosse tromperie sur la marchandise, on nous promettait un film d'action avec Kevin Costner en dezingueur, or ce n'est pas vraiment ça, certes le film comporte certains scènes violentes qui ont de la gueule mais le cœur du film est ailleurs, il réside dans les relations entre Costner et sa fille, nous avons droit du coup a des scènes intimistes mièvres au possible en plus d'être joués de façon agaçante. Ajoutons que l'intrigue est très mal écrite (on se demande même si elle est écrite) et il nous reste à nous demander avec quoi se consoler : Kevin Costner bien sûr qui tient le film à lui tout seul et la ravissante Amber Heard. Difficile néanmoins d'attribuer la moyenne.
defleppard
Les productions Europa Corp, sont assez tartignolles. Celui ci un peu moins. 2 étoiles.
Il n'y a que Luc Besson pour faire ça. Aller piocher dans son carnet d'adresse bien rempli pour aller chercher un grand nom pour son nouveau film d'action. Après Liam Neeson pour Taken, John Travolta pour From Paris With Love, c'est Kevin Costner qui s'y colle. Certains diront, et j'en fais partie, que l'acteur-réalisateur culte de Danse avec les loups est tombé bien bas. Qu'il ne s'est jamais vraiment remis de l'échec de Postman en 1997. Et ils auront raison. Ça fait mal de revoir l’interprète de Robin des Bois ou Waterworld, deux films pour qui on a de la sympathie et qui font partie du patrimoine du cinéma de divertissement du début des années 90, se reposer uniquement sur son charisme en se disant que de toute façon, vu l'intrigue, ce sera largement suffisant. Parce que le père Besson nous a encore mitonné une histoire à base de cancer qu'on peut guérir miraculeusement grâce à un sérum en y mêlant terrorisme international, conflits familiaux et tentatives d'humour. Si le film s'en sort sur ses fusillades grâce à un bon McG qui connaît son affaire entre Charlie et ses drôles de dames et Terminator Renaissance, le film se plante lamentablement dans ses scènes père/fille d'une naïveté qui en devient presque gênante, ses blagues idiotes, intervenant au milieu de l'action, qui achèvent de le décrédibiliser et enfin ses personnages secondaires particulièrement caricaturaux. Si le Luc Besson réalisateur est tout à fait recommandable, le Luc Besson scénariste ne gagnera pas le César pour 3 Days to Kill. Qu'importe. Ça ne l'empêchera pas de nous en pondre un autre bientôt. Et encore un autre. Etc, etc.
Nicolas V
il y avait tout dans ce film pour en faire quelque chose de charismatique, d'inoubliable et de classique mais kevin costner fait le minimum, et la patte besson est bien trop présente. le potentiel est enorme dans ce film mais aucune scène n'est heros vagabonde a l'air triste de ruelle en ruelle sans transmettre d'émotion et trouve quand meme la force de foutre des coups de poings . et meme dans ces moments, il n'y a aucun suspence ni tressaillement.
un gros gachi.
un gros gachi.
Apres avoir gentiment surpris en 2000 avec une adaptation déjanté et décomplexée de "Charlie et ses drôles de dames", le réalisateur n'a cessé de décevoir en enchaînant les films ratés, au point de finir sa carrière à la télévision. Dernier coup d'essai avant l'anonymat complet, ce film, produit par Besson (qui tente de reprendre la formule de Taken en ressuscitant en héros d'action Kevin Costner comme il l'avait fait avec Liam Neeson), est une fois de plus un coup d'épée dans l'eau. Tout sent le réchauffé, et ce n'est pas la réalisation transparente du réalisateur et le montage approximatif (entre faux raccords qui piquent les yeux et plans syncopés) qui apportent du charme à cette histoire de rédemption d'un père agent de la CIA qui a laissé tombé sa famille pour son métier et qui, au seuil de la mort, décide d'y remédier... se laissant malgré lui entraîner dans la fameuse "dernière affaire qui mettra sa famille a l'abri du besoin" (et qui entre parenthèses vu la taille de l'appartement parisien ne semble pas vraiment l'être, dans le besoin). Bref, c'est assez mauvais dans l'ensemble, et si Costner ne démérite pas trop, il semble ne pas trop y croire lui non plus et faire le minimum syndical.
Ça commence fort avec ce film d’action à l’américaine, Kevin Costner est agent secret pour la CIA, un assassin opérant ses missions secrètes en France, sa capitale sur Paris carte postale pour touristes américains.
Sa famille, une femme et une fille téléphone pour le redoutable qui marque son retour fracassant, beaucoup de danse avec l’action made in MgG production pour Kevin, connaisseur des jeux de rôle, pour le compte infiltré au service de l’état manigance.
Les voitures de coffres de ces assassins de fiction..... apprend à connaître l’histoire de France, en entrant dans ce commissariat, accueil agents dépôt de plainte main courante rapport football européen, à travers ses clichés.
Squattés par les médiatisations sociales, tout le monde parle l’anglais international, comme les hôtesses et Stewards d’Air France arrivée destination Orly, prend le taxi parisien sur l’autoroute périphérique, et de l’autre côté de l’Atlantique.
Les cowboys Costner gavés de ciné américain à Oscars, l’université américaine à Paris, Trocadéro, la Tour Eiffel, place de l’opéra lyrique, rue de la Paix, Place Vendôme, Rue de Castiglione hôtel de ministres présidentiels.
Palais royal, que de monument à visiter sous le feu de l’action réaction castagne, l’effet de la drogue femme fatale, Amber Heard, est redondant, la vodka provoque la chimie réactive corps déboussolé, ça devient pas terrible ce film d’action trop c’est trop.
Pas très amusant l’histoire, il n’y en aura pas assez, non pas de jeu incroyable, saoulant l’alcool à profusion, cool l’acteur de danse avec les loups, JFK excellent plaidoyer plot, Bodyguard de Whitney Houston, Waterworld désastre écologique océanique recouvert, le top des acteurs américains.
Sa famille, une femme et une fille téléphone pour le redoutable qui marque son retour fracassant, beaucoup de danse avec l’action made in MgG production pour Kevin, connaisseur des jeux de rôle, pour le compte infiltré au service de l’état manigance.
Les voitures de coffres de ces assassins de fiction..... apprend à connaître l’histoire de France, en entrant dans ce commissariat, accueil agents dépôt de plainte main courante rapport football européen, à travers ses clichés.
Squattés par les médiatisations sociales, tout le monde parle l’anglais international, comme les hôtesses et Stewards d’Air France arrivée destination Orly, prend le taxi parisien sur l’autoroute périphérique, et de l’autre côté de l’Atlantique.
Les cowboys Costner gavés de ciné américain à Oscars, l’université américaine à Paris, Trocadéro, la Tour Eiffel, place de l’opéra lyrique, rue de la Paix, Place Vendôme, Rue de Castiglione hôtel de ministres présidentiels.
Palais royal, que de monument à visiter sous le feu de l’action réaction castagne, l’effet de la drogue femme fatale, Amber Heard, est redondant, la vodka provoque la chimie réactive corps déboussolé, ça devient pas terrible ce film d’action trop c’est trop.
Pas très amusant l’histoire, il n’y en aura pas assez, non pas de jeu incroyable, saoulant l’alcool à profusion, cool l’acteur de danse avec les loups, JFK excellent plaidoyer plot, Bodyguard de Whitney Houston, Waterworld désastre écologique océanique recouvert, le top des acteurs américains.
Pas du grand cinéma mais un film qui se regarde sans souci. assez distrayant même si un peu trop "bessonesque" parfois.
Une production Besson honorable. Pas la film d'action de l'annee car assez convenu mais quelques traits d'humour font passer le tout.
Loin d'être un film exceptionnel, la présence de Kévin Costner m'avait motivé pour aller le voir, mais le scénario au final avec beaucoup de scène improbables m'auront laissé un arrière goût de travail brouillon
Au premier regard, et sous une période de déprime, je dois avouer que j'ai pendant un laps de temps apprécié "3 Days to Kill". Et pourtant, après avoir pris du recule et en me remémorant des passages du film qui m'ont marqué, j'en ai dédié que j'étais en train d'assister à une bouzasse, sans aller dans les extrêmes. 3 Days to Kill est à la base un film au scénario sérieux (qui ne tient pas la route une seconde) pour finalement partir sur des délires humoristiques totalement cons et dénués de sens. Et jamais le cliché Français n'aurait autant été présent ! Film a éviter, si vous tenez à ne pas prendre honte en regardant ce "pseudo" divertissement qui aurait pu avoir le mérite d'être plus réussi dans le fond.
Pas si ennuyeux mais l'intrigue ridicule et les clichés à répétition font de ce sous-Taken un film à éviter malgré la prestation plutôt correcte de Kevin Costner. Il serait vraiment temps que Luc Besson passe la main...
Une avant première a 3,5 et malheureusement c'est bien le prix que vaut ce film. Action ? Oui mais très très peu
Nouvelle production estampillé "Europa Corp" (Et scénarisé par "Luc Besson"), "3 Days to Kill" est une Comédie D'action dans la veine des dernières productions en date de "Luc Besson" (La série des "Taken", "From Paris with Love", "Le Transporteur") avec en tête d'affiche un certain "Kevin Costner" dans le rôle titre de "Ethan Renner". Alors qu'il rentre sur Paris pour vivre ses derniers instants avec sa famille qu'il à par le passé abandonné, l'agent secret "Ethan Renner" s'engage dans une dernière mission pour obtenir l'antidote expérimental au mal dont il souffre. Il devra lutter contre les effets hallucinatoires et narcoleptiques de ce traitement et devra concilier à la fois vie d'agent secret et vie de famille. Situations cocasses, Action à l'ancienne et une pointe de Drame sont clairement les atouts majeurs de "3 Days to Kill". Mais le métrage à du mal à trouver son rythme de croisière en se focalisant trop sur les états d'âmes du héros principal (Parfaitement interprété par "Kevin Costner") sacrifiant du coup le coté Action au détriment de la Comédie douce et du Drame (Malgré une introduction assez explosive). Mais quel bonheur de retrouver "Kevin Costner" dans un rôle de casse bras à l'ancienne, pour ma part trop souvent cantonné aux films Romantique et Dramatique (Pourtant crédible dans la peau de "L'Action Star" à l'image du sous-estimé "Waterworld"). "3 Days to Kill" s'avère assez sympathique dans l'ensemble, mais manque clairement de piment pour vraiment faire la différence. Dans tous les cas, force est de constater que "Luc Besson" continue de nous proposer des "Blockbusters" à la Française loin des traditionnels Drame et Comédie qui pullulent depuis déjà de trop nombreuses années dans notre hexagone !
Besson a trouvé le bon filon, producteur, ou scénariste, ou les deux, avec la même recette, faire la même cuisine, mais tout le monde n’est pas un bon chef, voir avec de réalisateur aux 3 initiales. Avoir un atout ne suffit pas, la preuve avec ce thriller où la présence de Kevin Costner ne sauve pas l’ensemble du naufrage, les incohérences pleuvent comme les scènes inutiles, comme un Taken mais en moins sur vitaminé, guérir d’un cancer avec un produit miracle, on repasse…le film aurait gagné à être couper de 20 minutes et de ce concentrer sur l’action, cela n’aurait certainement pas aidé le côté psychologique du personnage, mais il aurait gagné en efficacité. La belle espionne sortie tout droit d’une Bd n’a rien de réelle et on se demande parfois ce qu’elle fait là, on se dit même qu’elle aurait pu faire le boulot, mais là autant se repasser Nikita et au moins on ne sera pas déçu. La maladie du héros qui le met à terre si souvent, il devrait déjà être mort depuis belle lurette, alors qu’est-ce qui reste…quelques scènes par ci, par là, qui sont forte en intensité mais si courte, et puis Costner qui tient son rôle, est-ce que celui-ci rempilera pour une suite, rien n’est moins certain, et c’est tant mieux.
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