Avis : 3 Days to Kill - Page 2

Ce film d'action dans lequel le héros s'attache à concilier métier de tueur et rôle de père de famille est d'une bêtise à peine croyable. Le scénario est complètement grotesque, les passages censés être humoristiques absolument pas drôles et quant au reste.. je ne m'en souviens déjà plus. Ces deux heures dans la salle de cinéma furent pour ma part ennuyeuses à mourir, et le seau abondamment garni de pop-corns qui m'accompagnait n'a pas suffi à contrer mon désarroi. Alors oui Kevin Costner est encore bel homme malgré son âge, oui il porte bien la veste en cuir, oui le tout Paris lui sied à merveille, oui il peut conduire une peugeot (et là on tombe vite dans le ridicule)...mais il n'a pas le charisme d'un Liaam Neeson dans Taken, loin de là. Nous le retrouverons avec plaisir dans des films plus fidèles à son image, dansant au milieu des loups sauvages ou encore protégeant amoureusement une belle chanteuse ébènique.

Bidon ! Besson ne s'est pas trop creusé, un pot pourri de ce qu'il nous a déjà montré maintes fois... un film marketing avec ses clichés et ses 20 plans de la tour Eiffel... Le scénario est ridicule et certains acteurs, Marc Andreoni en tête, sont pathétiques. A éviter.

Décueeeeee
Un sous sous sous sous Taken !! Kevin t'avais besoin de vacances à Paris d'où le choix de ce navet ?

Franchement rien n'est crédible, l'histoire est bidon, plein d'incohérences, au mieux vous allez trouver ce film passable.

1,5/5

Dix minutes de clichés ridicules, petit espoir de voir autre chose, mais rien de mieux ne vient par la suite... Bouh, même pas drôle !

Si vous avez aimé Taken 1&2 et la série des Transporteur … n'allez pas voir ce film ! Besson et cie empilent les scènes d'action sans queue ni tête avec un Costner qui n'arrive pas à cacher le fait qu'il ne sait pas se battre comme Statham ou Neeson savent le faire.
Une histoire abracadabrante qui n'arrive pas le tiers de d'originalité dont font preuve les équipes de Besson sur ce genre de film, ni le lien à la réalité comme les Albanais et princes Arabes qui achètent ou vendent de jeunes prostituées dans Taken. Ici on nous place de gentils africains squatteurs en plein Paris. Et ce n'est qu'un cliché parmi tant d'autres qui font lever les yeux au ciel à chaque fois. A la cinquième on ne s'étonne plus mais on est navré.Un flop.

Une « bessonerie » indigeste qui se moque complètement de son intrigue pour y préférer une relation père-fille niaise. Les quelques tentatives d’humour provoquent plus la gêne que le rire et les scènes d’action sont quelconques. Mais qu’est-ce que Kevin Costner est venu faire là-dedans ?

Maintenant que la France s'est équipée de somptueux plateaux de cinéma susceptibles de concurrencer les plus grands studios Hollywoodiens ou Anglais, il faut les remplir ! Pour cela il faut trouver des super-productions qui auraient envie de s'expatrier. En attendant c'est Luc Besson et sa boite de production EuropaCorp qui remplissent le planning de cette Cité du Cinéma. Avec son nouveau scénario, Luc Besson a cette fois réussi à appâter le réalisateur McG pour un grand film d'action Franco Américain.

Agent secret très efficace, Ethan Renner a consacré sa vie à son métier délaissant sa femme et sa fille qui ne l'ont quasiment pas vu depuis une dizaine d'année. Atteint d'une maladie qui ne lui laisse plus longtemps à vivre, il décide de retourner auprès d'eux à Paris et jure de raccrocher. Une dernière mission va cependant s'imposer à lui accompagnée d'un traitement qui pourrait lui sauver la vie et d'un gros chèque pour mettre sa famille à l'abris.

Même si ses producteurs s'en défendent le projet 3 Days To Kill ressemble fort à un nouveau Taken : un acteur américain charismatique spécialement venu en France et Luc Besson au scénario, tout pourrait y laisser croire. La différence majeure entre les deux films est en fait que 3 Days To Kill ne vient pas relancer la carrière de Kevin Costner qui n'en a pas besoin mais plutôt celle de son réalisateur McG. Promis à une grande carrière après son adaptation vitaminée de la sérié télé Drôles De Dames, le metteur en scène n'a fait que décevoir et n'a signé au total que cinq films en 14 ans s'orientant vers de plus en plus vers les séries télé.

Question scénario nous sommes en effet toujours très proche de Taken, Luc Besson a de nouveau sorti sa mallette à clichée pour inventer encore une histoire de super agent / super papa dépassé par les événements qui rappellera forcement Taken mais aussi la série TF1 No Limit. Quand on parle scénario, on a l'impression que Luc Besson n'a plus que des agents secrets en tête. Une histoire vraiment idiote et totalement improbable qui mélangent scènes d'actions pétaradantes et tentative larmoyante de réunion entre un père et une fille. Tout le film repose sur une quête plus qu'improbable d'un méchant Allemand que personne n'a jamais vu et qui n'est même pas reconnu dans un hall d'hotel bourré d'agents malgré un acteur avec une tête de nazi machiavélique qu'on ne pourrait que suspecter d’être le grand méchant de l'histoire.

3 Days To Kill a un ton vraiment particulier qui prête souvent à rire. Difficile de dire si cela est vraiment voulu puisque le film ne se revendique pas comme une comédie, mais l'ensemble est tellement risible que l'on peut s'en empêcher. Un long métrage aussi énervant par le nombre de clichés sur Paris et la France. assez étonnant de la part d'un scénariste pourtant Français. On ressent bien la volonté de vendre le film à l'international avec son Paris de carte postale avec des plans sur la Tour Eiffel toutes les deux minutes. Si ces clichés pouvaient être amusants dans Malavita car l'histoire s'y prêtait vraiment, ils sont ici pour le moins navrants. Et que dire de cette bande originale qui réunit artificiellement tous les tubes du moment qu'on entend déjà dans plein de publicités. Ça sent l'arrangement avec la maison de disques à plein nez plus que le réel choix artistique.

On se demande bien comment McG et Luc Besson ont réussi à réunir autant de prestigieux acteurs dans cette galère. En plus d'un Kevin Costner très efficace, on trouve la sublime Amber Heard dans un rôle purement esthétique : Une tenue différente à chaque apparition plus improbable les unes que les autres. Elle est vraiment là pour faire jolie à l'écran et le fait très bien. Hailee Steinfield, la découverte de True Grit joue l'adolescente en péril et Connie Nielsen la femme délaissée. C'est Richard Sammel qui joue le bad guy allemand, les fans de Taxi le reconnaîtront forcement tout de suite puisqu'il y jouait déjà le chef des braqueurs allemands.

3 Days To Kill évite de justesse le zéro pointé grâce à ses acteurs impeccables malgré la pauvreté du scénario de ce piège à fric. Avec ce nouveau ratage, le réalisateur McG n'a plus qu'a aller postuler chez AB production pour la prochaine saison des Mystères De L'Amour. Quand à Luc Besson, si il ne compte finalement pas arrêter le cinéma, il devrait au moins avoir la décence d'arrêter de se prendre pour un scénariste.

À sa sortie ce film a réussi à faire la quasi unanimité quant à sa médiocrité, malheureusement je ne serais pas celui qui s’élèvera pour dénoncer une incompréhension, voire de la malveillance de la part des critiques, tant le long-métrage est effectivement médiocre. On le sait dans ce genre (action/thriller) l’histoire n’est pas vraiment la préoccupation majeure, mais même en en prenant son parti et en se disant qu’après tout on est là pour se distraire pas vraiment pour réfléchir, le film nous sort une histoire tellement tirée par les cheveux qu’elle en finie par être grotesque. De plus elle est constituée de scènes d’action (ou d’humour) entrecoupées de séquences familiales où le héros tente de reconstruire le lien avec sa fille. Ces séquences auraient pu être un plus du film, or en fait elles en sont le principal point faible, tant l’invasion de la vie privée de l’ex-agent de la CIA dans son boulot entraîne un ralentissement de l’action qui donne l'impression que le film s’éteint entre deux poursuites ou bastons. Du coup le film avance dans un faux rythme qui tue l’aspect thriller et toute nervosité au niveau de l’intrigue. Par ailleurs les scènes d’action ne sont pas vraiment des plus transcendantes et, si elles se laissent regarder avec un certain plaisir, elles n’offrent pas grand-chose de palpitant. Je passe sur le personnage d’Amber Heard aussi ectoplasmique qu’inutile voire grotesque, juste bon à offrir un visuel agréable avec des tenues étudiées pour faire fantasmer le gameurs lambda. Un film qui lorgne du côté de Taken, mais dont la faiblesse du scénario (qui chez le précédemment cité n’était pas déjà bien riche), la dilution de l’action et la faiblesse des personnages donne un long-métrage très long et vraiment ennuyeux. À éviter sans regret.

Comme souvent, voire toujours, avec les derniers scénarii de Luc Besson, l'histoire est complètement stupide, insensée, improbable et truffée d'incohérences. Du coup, les (rares) bonnes idées passent à la trappe, le suspense est inexistant et le plaisir pour le spectateur également. Un film qui n'en vaut pas la peine !!

Taken a lancé une mode pour le cinéma d’action franco-américain signé par Luc Besson (scénariste/producteur) : faire venir dans notre chère capitale une star hollywoodienne pour que cette dernière « s’amuse » comme il se doit, flingue à la main. Après Liam Neeson et John Travolta (ce dernier dans From Paris with Love), c’est au tour de Kevin Costner ! L’acteur emblématique des années 80 (Les Incorruptibles, Sens unique) et 90 (Danse avec les Loups, Robin des Bois : Prince des Voleurs, JFK, Bodyguard, Un monde parfait, Waterworld) qui s’est fait bien rare ces dernières années (son dernier film connu en date étant Mr. Brooks, de 2007). Et qui tente de revenir via les seconds rôles (Man of Steel, The Ryan Initiative) et la télévision (Hatfields & McCoys). Premier rôle principal au cinéma depuis longtemps donc ! Mais un retour gagnant ?

Ce qui a de bien avec une production Besson, c’est le visionnage du générique du film. Notamment lorsque l’on s’attarde du côté des scénaristes, et qu’apparaît la mention « d’après une idée originale de Luc Besson ». 3 Days to Kill, c’est l’histoire d’un tueur d’élite qui va devoir rempiler contre son gré tout en le cachant à sa fille, avec qui il désire de passer un peu de temps sans pour autant lui dévoiler sa double-identité. Une idée originale ? Du déjà-vu, oui ! Et ce n’est pas l’apport d’un enjeu anecdotique (le héros, atteint d’une forme de cancer avancée, n’a plus que quelques semaines à vivre et exécute à nouveau des contrats pour subir un traitement expérimental qui lui rallonge l’existence) ni d’une relation père-fille déjà exploitée par la saga Taken qui vont y changer quoique ce soit !

En même temps, c’est une production Besson, rappelons-le ! Et donc, ce n’est pas du côté du scénario qu’il faut critiquer ce film mais plus vers le divertissement annoncé sur le papier. Avec son lot de fusillades, de bastons et de courses-poursuites. À l’instar du tout premier Taken (eh oui, ce film est le modèle de base !), qui ne perdait pas de temps en blabla ni séquences dramatiques, allant directement à l’essentiel : un protagoniste dangereux qu’il ne faut pas énerver, qui en fait vraiment voir de toutes les couleurs à ceux qui croisent sa route (même la réplique « je vais vous retrouver et vous tuer » sonnait admirablement bien !). Malheureusement, 3 Days to Kill prend tellement de temps mettre en valeur cette relation père-fille mille fois vues qu’il en oublie le principal : divertir !

D’accord, il faut bien avouer qu’on peut se laisser toucher par quelques moments dramatiques pourtant fort appuyés et qui font clichés. Mais ce que nous désirons avant toute chose, c’est de l’action ! Or, ce genre de séquences se fait rare dans ce film, un comble ! Une fusillade au début, une autre à la fin, et une course-poursuite en voiture au milieu de tout cela. Rien d’autre ! Alors que le film fait pourtant pas loin d’1h50, ce qui est largement au-dessus de la moyenne (1h30). Et pourtant, il y avait matière à titiller notre attention quand on voit la séquence en voitures, filmée de manière énergique. Mais non, l’ensemble préfère rester paresseux, alambiqué par un montage anarchique (nous avons souvent l’impression de passer du coq à l’âne, certaines scènes ayant l’air incomplètes) et se contentant d’invraisemblances (le héros tirant à travers un épais bloc en béton servant de toit à un hall d’hôtel, qui a encore la force de tirer un mec au-dessus de lui alors qu’il gît mourant à terre…) qui ne peuvent passer inaperçues.

Sans oublier que 3 Days to Kill se veut être un film cool, voulant flirter avec l’humour. Mais en vous rappelant une nouvelle fois Taken, le long-métrage de Pierre Morel allait à l’essentiel, avec sérieux. Et ça marchait ! Là, le film de McG traîne tellement des pieds que les moments comiques ne font que trop rarement mouche. Si au début on peut se marrer d’une séquence où notre héros compte passer à l’action mais qui se retrouve freiner par la sonnerie de portable de sa fille, ou encore du délire du vélo violet, ces passages s’alourdissent à force d’être répétés sur toute la durée du film. Ponctués par d’autres moments tellement débiles (le héros demandant la recette de sauce tomate au mec qu’il torture, un autre à qui il demande des conseils pour comprendre sa fille, ou qui doit calmer ses vertiges avec de la vodka…) qu’on se retrouve obligé de rigoler devant tant de ringardise non voulue. Au moins, 3 Days to Kill fait sourire, mais pas de la manière dont l’avait prévue Besson ni McG. Et quand ça tombe dans le sujet d’actualité (les squatteurs), on reste impassible devant tant d’intérêts à un thème qui, finalement, n’en a aucun pour ce film.

De trop rares scènes d’actions arrivant à redorer le blason de ce film ? Pas tout à fait… Car d’un point de vue technique, 3 Days to Kill n’est pas une franche réussite. Que ce soient les effets visuels (un décor de fond comme une vue panoramique de Paris en pleine nuit depuis à balcon) qui sentent bons l’écran vert, les effets de styles foireux de la caméra (notamment quand le héros tombe dans les vapes, comme si la mise en scène passait par le found footage à la Projet X) et des défauts de tournage qui sautent aux yeux (les figurants continuant de passer comme si de rien n’était alors qu’un accident de la route vient tout juste de se dérouler). Après avoir pourtant réalisé Terminator Renaissance, McG fait preuve d’amateurisme sur bien des points. Et également d’une grande négligence !

Bref, 3 Days to Kill, c’est un divertissement loupé, ni plus ni moins ! Qui ne peut compter que sur le charisme de Kevin Costner (toujours la classe, ce mec !) et sur le ton de légèreté qui rend ce film beaucoup plus regardable qu’un ennuyeux et soporifique 300 : la Naissance d’un Empire. Quoiqu’il en soit, Costner méritait mieux que cela pour revenir sur le devant de la scène. Peut-être qu’un futur projet, qui sait, lui redonnera sa gloire d’antan !

Que dire d'une énième production Besson qui passe son temps à recycler les mêmes recettes éculées depuis trop longtemps. Paris de carte postale, scènes d'action violente sans originalité... Mais que vient faire Kevin Costner (la même question pouvait déjà se poser pour John Travolta, Liam Neeson ou Scarlett Johansson etc...) ? L'entreprise est consternante de bout en bout. Sans surprise. Ridicule.

Grosse déception que ce film. Pourtant le premier quart d'heure est emballant et on pense voir un bon film d'espionnage. Et puis, plus rien. Le film se perd, hésite et ne trouve jamais son genre. Est-ce un film d'espionnage, une comédie, on se sait pas. Costner surjoue et la plupart des personnages sonnent faux. Reste une ou deux scènes d'action pas trop mal filmée. Mais c'est tellement peu. On s'ennuie plutôt devant ce film et on est ib peu triste pour Costner qui a l'air à la dérive dans ce film. A éviter.

C’est après avoir vu ce thriller bas de gamme qu’on se posera la question du pourquoi Kevin Coster a accepter de jouer dedans. On pourrait pourtant penser que le scénario avec Luc Besson aux commandes serait un gage de qualité. Même pas. 3 Days to Kill met en scène un Coster vieux, au service de sa fille qui en option joue au héros dans les rues de Paris. Ce côté agent secret est extrêmement brouillon et on a du mal à comprendre où cette histoire nous mène. On trouvera aussi le lien entre le boulot et sa fille un peu facile. Bref 3 Days to Kill ne casse pas trois briques et va même jusqu’à blesser l’image d’un grand acteur.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44

Ce film a suscité pas mal de question chez moi : qu'est venu faire Kevin Costner dans ce navet? Que se dit-on quand à a payé 10€ pour voir cette série Z (personnellement j'ai un abonnement, j'ai donc "juste" perdu mon temps)? Les gens qui font ce genre de film les trouvent-ils bons?
Vous aurez compris que je n'ai pas aimé. Tous les défauts sont là : personnages caricaturaux, humour lourd, scénario minimaliste, ... Heureusement Kevin relève un peu le niveau mais c'est vraiment trop peu.

A vouloir conjuguer tous les registres (espionnage, action, comédie, comédie dramatique), McG donne soit l'impression de ne pas avoir vraiment su quoi faire, soit d'avoir voulu trop en faire. Quelle que soit la réponse, le résultat est assez indigeste et le scénario donne l'impression de ne pas savoir où aller. Reste la performance d'acteur de Kevin Costner qui tient bien le personnage. Pour le cadre parisien, on repassera : ce n'est qu'un monceau de clichés géographiques et sociaux où les Français sont globalement que des jeunes sans cervelle et qui ne savent que se moquer des américains.