Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Positif
par Nicolas Bauche
(...), un bon film où tout ce qui distrait l'oeil réveille l'esprit, interroge et émeut. Sans cliché.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Florence Raillard
Un premier long-métrage resserré. Sa caméra ne s’égare pas en fioritures. Il [Michael Mayer] filme de façon crue, directe, en lumière naturelle, une violence omniprésente, masquée ou éclatante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le film échappe à la banalité grâce au contraste entre l'histoire d'amour presque mièvre et l'environnement oppressant dans lequel l'homophobie est mise au service des forces en présence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Avec une retenue un peu frustrante, "Alata" raconte une histoire d'amour contrariée par l'intolérance et le cynisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Frédéric Strauss
Le réalisateur israélien Michael Mayer exagère les tensions, mais il saisit des personnages convaincants, attachants, qui apportent une part de réalité intéressante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une première oeuvre touchante sur la difficulté d’être palestinien et gay, qui manque parfois d’un vrai lexique cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ferhat Abbas
(...) si l’interdit amoureux possède ici des airs de tragédie, c’est moins dans l’intensité des obstacles qu’il entraîne (fatalement) que dans l’artificialité de son traitement dramaturgique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par La rédaction
(...) Le cinéaste a préféré rester entre deux, entre réalisme et stylisation, entre bluette et violence sociale. Bref, même si la situation est cruelle et crédible, le film lui-même reste lisse et inexpressif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Isabelle Danel
Incarnés par des acteurs au physique de top models, les personnages sont bien trop lisses. Pire : le scénario ne recule devant aucune énormité.
L'Express
Voir le site de L'Express
Positif
(...), un bon film où tout ce qui distrait l'oeil réveille l'esprit, interroge et émeut. Sans cliché.
TéléCinéObs
Un premier long-métrage resserré. Sa caméra ne s’égare pas en fioritures. Il [Michael Mayer] filme de façon crue, directe, en lumière naturelle, une violence omniprésente, masquée ou éclatante.
Le Monde
Le film échappe à la banalité grâce au contraste entre l'histoire d'amour presque mièvre et l'environnement oppressant dans lequel l'homophobie est mise au service des forces en présence.
Les Fiches du Cinéma
Avec une retenue un peu frustrante, "Alata" raconte une histoire d'amour contrariée par l'intolérance et le cynisme.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Le réalisateur israélien Michael Mayer exagère les tensions, mais il saisit des personnages convaincants, attachants, qui apportent une part de réalité intéressante.
aVoir-aLire.com
Une première oeuvre touchante sur la difficulté d’être palestinien et gay, qui manque parfois d’un vrai lexique cinématographique.
Critikat.com
(...) si l’interdit amoureux possède ici des airs de tragédie, c’est moins dans l’intensité des obstacles qu’il entraîne (fatalement) que dans l’artificialité de son traitement dramaturgique.
L'Humanité
(...) Le cinéaste a préféré rester entre deux, entre réalisme et stylisation, entre bluette et violence sociale. Bref, même si la situation est cruelle et crédible, le film lui-même reste lisse et inexpressif.
Première
Incarnés par des acteurs au physique de top models, les personnages sont bien trop lisses. Pire : le scénario ne recule devant aucune énormité.