Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Charlotte Gainsbourg épatante en colonelle, Anémoneen dictatrice et Didier Bourdon en bonniche sont entrés dans son délire avec gourmandise.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Fabrice Pliskin
Par la violence mate de ses bastonnades, souvenir autobiographique des châtiments corporels des écoles syriennes (...), par son inquiétante étrangeté, "Jacky" excède la simple pochade à la "Groland".
Libération
par Eric Loret
Faille et détournement sont les deux mamelles du rire de ce second film de Riad Sattouf, après "Les Beaux Gosses", alors que le simple renversement des rôles (...) eût été lassant, voire lourd. Là, au contraire, c’est «Ubu et la théorie du genre», tout le monde passe à la trappe, (...), la perversité polymorphe de Sattouf nous fait le retrouver partout où on ne l’attend pas, moyennant plusieurs saltos arrière de l’intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Fort de ses décors soignés et de ses dialogues qui détonnent, le cinéaste signe une satire sur les régimes dictatoriaux qui ne se voile pas la face. Bien qu'imparfait, le résultat a le mérite de son audace et de sa créativité, deux vertus qui manquent cruellement au cinéma français actuel.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Novlangue hilarante, parodie grinçante et partition rêvée pour son acteur des "Beaux Gosses", l’excellent Vincent Lacoste, Riad Sattouf exploite l’éventail comique déployé par ce drôle de postulat avec une malice et une précision remarquables. D’accord, tout n’est pas réussi (...), mais rien que pour l’audace du geste et la myriade d’idées poilantes, on reste mille fois preneur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Ferenczi
POURLe film s'empare de situations contemporaines — principalement la résistance à la privation de liberté — et les passe dans une moulinette d'une grande puissance burlesque. Ce n'est pas la manière la plus sotte de parler du monde d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Guillaume Orignac
Tentative ambitieuse que de vouloir plonger le comique de portrait des "Beaux gosses" dans le bain littéraire du conte philosophique. Ambitieuse mais, disons-le d'emblée, partiellement ratée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Reste la belle troupe de comédiens, avec Anémone et Hazanavicius au palmarès des idées étincellantes, et quelques instants de grâce dans le décor du palais.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Riad Sattouf fait fi de tous les poncifs pour dénoncer le patriarcat dominant, en traitant d’une société matriarcale imaginaire. Drôle et édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le film déploie un burlesque noir audacieux, à défaut d'être toujours drôle. Le résultat (est) inégal (et) traduit l'attitude de Riad Sattouf vis à vis de son film. Une claque salutaire à la frilosité ambiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Si "Jacky au royaume des filles" (beau titre) n’accomplit pas toutes ses potentialités, notamment comiques, et semble parfois s’aventurer sur les rives de la “zèderie” heureuse – quoiqu’un dialogue, très drôle, sur la culture du navet laisserait penser que son auteur n’est pas dupe –, il finit par emporter l’adhésion.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
Le béaste/cinéaste Riad Sattouf retrouve son partenaire de crime Vincent Lacoste pour une fable uchronique qui tranche radicalement avec ce que la comédie franchouillarde a pour habitude de proposer.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Première
par Christophe Narbonne
Mieux vaut en rire qu'en pleurer.
aVoir-aLire.com
par Bruno Rit
Plaisant à regarder, Jacky au royaume des filles pèche cependant dans une course aux gags obsessionnelle qui désamorce hélas sa portée politique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
L’attente était forte, et le résultat sans être déshonorant a du mal à soulever l’enthousiasme. (…) le film se retrouve ainsi dans un étrange entre-deux, à peine plus poussé que le sketch surproduit, encore trop loin du conte voltairien.
Critikat.com
par Antoine Oury
Toujours inspiré de son œuvre de dessinateur et scénariste BD, "Jacky au royaume des filles" incarne une louable ambition de satiriste athée, minée par des mises en situation déceptives.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ça amuse cinq minutes parce que la dictatrice est incarnée par Anémone et sa fille par Charlotte Gainsbourg, mais c’est laborieux à la longue. Brillant auteur de BD, Riad Sattouf confirme qu’il n’a pas l’étoffe d’un metteur en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Après Les Beaux gosses, Riad Sattouf imagine un royaume où les femmes font la loi et les hommes portent la burqa. La satire est amusante au début puis assez laborieuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Plus potache que satirique, sans réussir à faire rire, Jacky donne, sans cesse, le sentiment que son réalisateur a trop fait confiance à son idée.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Riad Sattouf, figure de proue de la nouvelle BD française, a laissé libre cours à son imaginaire décapant. Mais un argument prometteur doublé d’un casting épatant ne tient pas forcément la longueur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Le scénario est original, amusant. La réalisation, un peu moins. Est-ce le trop grand écart entre l'ambition du sujet et la trivialité du ton ? On touche là peut-être aux limites du genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Sébastien Dalloni
Riad Sattouf s'essaie au débat sur le gender avec ses deux armes : l'absurde et le sexe. Grinçantes, gênantes, parfois un peu longues, les péripéties de Jacky sont également drôles. Un étrange ovni.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yann Tobin
L'exercice devient vite laborieux, s'arrêtant à la frontière du franc délire pour cause de platitude visuelle et de redondance d'effets comiques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Transfuge
par Louis Séguin
Malheureusement, les gags, parfois bons quoique enchaînés un peu mécaniquement, semblent flotter dans ce film trop produit, comme les personnages flottent dans leurs tuniques. Et pour ce qui est de l'imaginaire fantaisiste du film (...), il se révèle aussi pesant qu'une suite de trop des "Visiteurs" ou qu'un énième opus des aventures d'Astérix (....).
Télérama
par Frédéric Strauss
CONTRETout est à l'avenant dans cette comédie qui, tout à la fois, multiplie les bonnes idées et cultive l'inconsistance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
TF1 News
par Romain Le Vern
Là où le bât blesse, c'est que sa blague est amusante cinq minutes. Etirée sur une heure trente, elle devient assez embarrassante (...).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
20 Minutes
Charlotte Gainsbourg épatante en colonelle, Anémoneen dictatrice et Didier Bourdon en bonniche sont entrés dans son délire avec gourmandise.
L'Obs
Par la violence mate de ses bastonnades, souvenir autobiographique des châtiments corporels des écoles syriennes (...), par son inquiétante étrangeté, "Jacky" excède la simple pochade à la "Groland".
Libération
Faille et détournement sont les deux mamelles du rire de ce second film de Riad Sattouf, après "Les Beaux Gosses", alors que le simple renversement des rôles (...) eût été lassant, voire lourd. Là, au contraire, c’est «Ubu et la théorie du genre», tout le monde passe à la trappe, (...), la perversité polymorphe de Sattouf nous fait le retrouver partout où on ne l’attend pas, moyennant plusieurs saltos arrière de l’intrigue.
Metro
Fort de ses décors soignés et de ses dialogues qui détonnent, le cinéaste signe une satire sur les régimes dictatoriaux qui ne se voile pas la face. Bien qu'imparfait, le résultat a le mérite de son audace et de sa créativité, deux vertus qui manquent cruellement au cinéma français actuel.
TéléCinéObs
Novlangue hilarante, parodie grinçante et partition rêvée pour son acteur des "Beaux Gosses", l’excellent Vincent Lacoste, Riad Sattouf exploite l’éventail comique déployé par ce drôle de postulat avec une malice et une précision remarquables. D’accord, tout n’est pas réussi (...), mais rien que pour l’audace du geste et la myriade d’idées poilantes, on reste mille fois preneur.
Télérama
POURLe film s'empare de situations contemporaines — principalement la résistance à la privation de liberté — et les passe dans une moulinette d'une grande puissance burlesque. Ce n'est pas la manière la plus sotte de parler du monde d'aujourd'hui.
Chronic'art.com
Tentative ambitieuse que de vouloir plonger le comique de portrait des "Beaux gosses" dans le bain littéraire du conte philosophique. Ambitieuse mais, disons-le d'emblée, partiellement ratée.
Ecran Large
Reste la belle troupe de comédiens, avec Anémone et Hazanavicius au palmarès des idées étincellantes, et quelques instants de grâce dans le décor du palais.
Franceinfo Culture
Riad Sattouf fait fi de tous les poncifs pour dénoncer le patriarcat dominant, en traitant d’une société matriarcale imaginaire. Drôle et édifiant.
Le Monde
Le film déploie un burlesque noir audacieux, à défaut d'être toujours drôle. Le résultat (est) inégal (et) traduit l'attitude de Riad Sattouf vis à vis de son film. Une claque salutaire à la frilosité ambiante.
Les Inrockuptibles
Si "Jacky au royaume des filles" (beau titre) n’accomplit pas toutes ses potentialités, notamment comiques, et semble parfois s’aventurer sur les rives de la “zèderie” heureuse – quoiqu’un dialogue, très drôle, sur la culture du navet laisserait penser que son auteur n’est pas dupe –, il finit par emporter l’adhésion.
Mad Movies
Le béaste/cinéaste Riad Sattouf retrouve son partenaire de crime Vincent Lacoste pour une fable uchronique qui tranche radicalement avec ce que la comédie franchouillarde a pour habitude de proposer.
Première
Mieux vaut en rire qu'en pleurer.
aVoir-aLire.com
Plaisant à regarder, Jacky au royaume des filles pèche cependant dans une course aux gags obsessionnelle qui désamorce hélas sa portée politique.
Cahiers du Cinéma
L’attente était forte, et le résultat sans être déshonorant a du mal à soulever l’enthousiasme. (…) le film se retrouve ainsi dans un étrange entre-deux, à peine plus poussé que le sketch surproduit, encore trop loin du conte voltairien.
Critikat.com
Toujours inspiré de son œuvre de dessinateur et scénariste BD, "Jacky au royaume des filles" incarne une louable ambition de satiriste athée, minée par des mises en situation déceptives.
L'Humanité
Ça amuse cinq minutes parce que la dictatrice est incarnée par Anémone et sa fille par Charlotte Gainsbourg, mais c’est laborieux à la longue. Brillant auteur de BD, Riad Sattouf confirme qu’il n’a pas l’étoffe d’un metteur en scène.
Le Figaroscope
Après Les Beaux gosses, Riad Sattouf imagine un royaume où les femmes font la loi et les hommes portent la burqa. La satire est amusante au début puis assez laborieuse.
Le Journal du Dimanche
Plus potache que satirique, sans réussir à faire rire, Jacky donne, sans cesse, le sentiment que son réalisateur a trop fait confiance à son idée.
Le Parisien
Riad Sattouf, figure de proue de la nouvelle BD française, a laissé libre cours à son imaginaire décapant. Mais un argument prometteur doublé d’un casting épatant ne tient pas forcément la longueur.
Le Point
Le scénario est original, amusant. La réalisation, un peu moins. Est-ce le trop grand écart entre l'ambition du sujet et la trivialité du ton ? On touche là peut-être aux limites du genre.
Les Fiches du Cinéma
Riad Sattouf s'essaie au débat sur le gender avec ses deux armes : l'absurde et le sexe. Grinçantes, gênantes, parfois un peu longues, les péripéties de Jacky sont également drôles. Un étrange ovni.
Positif
L'exercice devient vite laborieux, s'arrêtant à la frontière du franc délire pour cause de platitude visuelle et de redondance d'effets comiques.
Transfuge
Malheureusement, les gags, parfois bons quoique enchaînés un peu mécaniquement, semblent flotter dans ce film trop produit, comme les personnages flottent dans leurs tuniques. Et pour ce qui est de l'imaginaire fantaisiste du film (...), il se révèle aussi pesant qu'une suite de trop des "Visiteurs" ou qu'un énième opus des aventures d'Astérix (....).
Télérama
CONTRETout est à l'avenant dans cette comédie qui, tout à la fois, multiplie les bonnes idées et cultive l'inconsistance.
TF1 News
Là où le bât blesse, c'est que sa blague est amusante cinq minutes. Etirée sur une heure trente, elle devient assez embarrassante (...).