Derniers Avis : Need for Speed - Page 11

t'aimes le jeu, t'aimes les belles voitures, t'aimes les courses quelque peu surréaliste, t'as trouvé ton film.pour les autres attendez qu'il passe à la TV.

Moins tartignole qu'un Fast and furious, scènes de course bien filmée, le reste sans grand intérêt. 1 étoile et demie.

C'est dommage de devoir casse autant de belle voiture pour finalement faire un films sans grandes conviction et histoire intéressante mais sinon un non films pour les amateurs de grosse caisse de prestige comme moi

Évidemment, en regardant Need for Speed, je ne m'attendais pas à voir le chef d’œuvre du siècle. Non, je désirais tout simplement passer un bon moment en regardant des bagnoles tuning se fracasser sur les highways de San Francisco. Car oui, parfois, ça fait du bien de regarder des films de baufs, des longs métrages dans lequel les héros ont du charisme et des grosses cylindrées. Ça nous rappelle notre enfance, l'époque où on affirmait sans honte vouloir devenir un superhéros, conduire des navions de chasse et battre tout le monde à la bagarre. Une fois adulte, on n'a plus le droit de dire des choses comme ça...Et pourtant, au fond de nous les mecs, on reste toujours ce gamin naïf qui veut être musqué comme Schwarzy et qui rêve encore de piloter la moto de Tonnerre Mécanique. Pour nous permettre de revivre ses délicieuses émotions enfantines, il existe une catégorie de films, les films de baufs, des longs métrages qui sont de véritables petits plaisirs coupables. C'est donc dans cet esprit que je me suis maté Need for Speed, et là, le film de Scott Waugh brisa net tous mes espoirs de passer une bonne après midi...Un coup de pute vraiment impardonnable. Need for Speed, c'est le Fast and Furious version Lidl (ou Aldi, c'est au choix). Le film n'est jamais impressionnant, les poursuites sont shootées sous tranquillisant, les héros sont nazes, le méchant est tout tout pourri, donc le film est une belle merde comme seule l'Amérique sait les pondre. Jamais Need for Speed parvient à flatter les plus bas instincts du mâle primaire. Pas un seul plan sur une pédale d’accélération!!! Le montage est catastrophique, il n'y a aucune sensation de vitesse, le comble pour un film qui s'appelle Need for Speed. Bref, on sort les chips et les olives et on se refait Fast 5, car dans le genre, ce film reste indétrônable.

ce film est un montre il est au top cet histoire est hacrocheuse les voiture son tres rapide et super.

Depuis son annonce en 2012 je n'y croyais pas un seul instant. Bon dieu adapter un jeu sans scénario en film fallait le faire ! Et puis faut dire que les adaptations de jeux vidéos ne brillent pas par leur qualité et se contentent de simplement remâcher un scénario générique en essayant de faire passer ça pour quelque chose d'épique. En gros on prend une licence qui tient à cœur aux gamers comme moi et on la massacre en faisant un film médiocre (pour les meilleurs d'entre eux), envoyant totalement se faire foutre les jeux originaux (cf. Resident Evil --') qui laisse un arrière goût amer à la fin. Les deux seuls qui s'en sortirons admirablement bien sont Silent Hill (PREMIER DU NOM HEIN !) pour son ambiance et Mortal Kombat parce que je t'emmerde touche pas à ce film de mon enfance :) ... Et puis ... attendez ... Mais oui ! Need For Speed s'en sort aussi avec les honneurs ! Alors qu'on soit bien d'accord hein, bien sûr que le scénar tient sur un timbre et est cliché à souhait, bien sur que les personnages sont des stéréotypes vu, revu, et déjà-vu mais au moins le film est honnête envers le spectateur ! Je m'explique : ce que je reproche aux films adaptés de jeux vidéos souffrent ce que j'appelle le syndrome de "l'épique prétentieux" (on nous vent un film comme étant bourré d'action/sombre/épique alors que c'est au final une violente bouse qui ne tient pas ses promesses et est chiant comme un rat mort) alors ce film là n'en souffre pas ! Comment nous la t-on vendu dans les trailers ? Comme étant un bête film de course auto avec un scénar passable. Et oui il a été donc vendu honnêtement, sans vouloir en faire trop : premier point en sa faveur. Venons-en au film en lui-même. Commençons par le scénario : spoiler: Tobey Marshall (le gentil), un jeune garagiste/pilote de rodéos accepte une course contre Dino (le riche méchant qui a visiblement un GROS problème d’ego) pour de l'argent ... beaucoup d'argent. Or ce dernier ne voulant pas perdre, se sent obligé d'emboutir et de tuer par accident l'ami du gentil qui participait aussi à la course. Or évidement le gentil se retrouve en prison car le méchant à nettoyer toutes les preuves l'incriminant, et il sort de taule 2 ans plus tard avec pour objectif de se rendre avec Julia (la pétasse blonde) à la DeLeon (le grand prix des rodéos urbain) en espérant gagner contre le méchant, tout en cherchant des preuves pour prouver son innocence et laver l'honneur de son défunt ami.
Scénario simple, certes, mais bien amené. Je dis toujours qu'un scénar simple et bien raconté vaut mieux qu'un scénario complexe mal raconté qui part dans tous les sens pour au final perdre le spectateur en dialogues incipides. Et c'est là un des force de ce NFS : il ne s'est pas cassé le cul à chercher un scénario casse gueule, ce qui laisse beaucoup de place au thème central de ce film : les courses auto !Et bon dieu que c'était fun de matter des scènes d'actions avec des caisses que toi-même tu verra peut-être jamais dans ta vie qui sont en plus superbement bien réalisées. Ah oui ! Ce film est BIEN réalisé ! Une palette de couleur chaudes à la Michael Bay, avec des mouvements de caméra millimétrés pendant les scènes d'action, avec une mention spéciale aux nombreux plan "PoV" qui dynamise l'action et immerge vraiment plus le spectateur qu'un simple plan sur la tête de l'acteur qui conduit. L'absence de musique contribue aussi à l'immersion.Pour finir un petit tour du côté des persos qui sont, certes, clichés mais qui ont le mérite d'être attachant et chaque acteur à une gueule facilement reconnaissable. Mention spéciale à la "pétasse blonde" qui n'en est pas vraiment qui s'éloigne du cliché de la BBB (Bimbo Bonne à Baiser) et qui à un caractère fort mais qui reste fragile.Au final on se retrouve avec un très bon film de divertissement et une des meilleurs adaptations de licences de jeu vidéo qui offre au spectateur ce qu'il promet : de la grosse action bien maîtrisée et bien réalisée. Mention spécial au réalisateur qui à réussi le tour de force de réaliser son film presque sans trucage numérique avec "seulement" 66 millions $ dont la moitié est sûrement été mangée par le coût des caisses ! Ah oui et ce film évite le cliché énervant du : monde automobile = pétasses en mini short qui se dandinent sur du gros Rap US ... et c'est plaisant à voir :Achetez ce film vous ne serez pas déçu ! Réalisateur à surveiller de TRES près !

La franchise vidéoludique "Need For Speed" est adapté au cinéma pour devenir un ersatz et un concurrent direct à Fast And Furious".Malgré un scenario qui très creux qui tombe vite à plat, le film se concentre avant tout sur les voitures et les poursuites qui sont remarquablement réussis et immersives.S'inspirant de la vue cockpit du jeu de course, le film nous fait vivre de l’intérieur et de façon très intense les courses qui sont le principal atout du film.C'est d'ailleurs un des rares films où il est question de courses poursuites dans lequel le réalisateur a compris qu'en filmant du cockpit cela apporterait beaucoup plus de viscéralité et d'intensité à la scène.Quant à Aaron Paul qui effectuait son premier rôle après "Breaking Bad", il s'en sort plutôt bien.

Une trame de fond qui aurait pu être sympathique mais un scénario qui la rend très très mauvaise!!! Doit on parler des dialogues? De cette "intensité" dans des émotions très banales? Des ""cascades""?Bref un navet mais même pas le genre de navet qu'on aime ou le mal fait est assumé... Le réalisateur ferait mieux de redevenir cascadeur...

Histoire on ne peu plus classique, mais ce film à un avantage, les scènes de voitures sont BIEN meilleur que celles de fast and furious, très bien filmé. Quelques passages en vue subjective très sympa et des bons moments d'action. 2h qui sont passés vite ;)

Entre Cannonball et Point Limite Zéro mais sans le charme des années 70......... A voir si vous êtes fan de courses automobiles mais surtout pas pour le jeu des acteurs qui jouent tous comme des roues crevés....... sur un scénario... non c'est pas le but. La bimbo blonde de race blanche (sic) comme y disent dans le film a un rôle un peu étoffé, ils lui ont mis quelques neurones qu'ils ont dû prendre à tous les autres acteurs......... Bref, on a compris, le film remplit tout à fait sa feuille de route mais il faut fermer son cerveau et faire abstraction du fait qu'ils roulent sur des routes ouvertes........ y en a encore qui vont les imiter.........

Il est de nos jours très rare de tomber sur des films du tel ampleur. Les adaptations jeux vidéos sont très peu fréquentes ( à l'image de " Resident Evil " et surement d'autres dont je n'ai pas eu vent ) et souvent légèrement différentes de ce à quoi on s'attendait.En adaptant un jeu de course sans avoir réellement de scénario il était donc évident que les choix quand à la tournure de l'intrigue étaient multiples. On se rend très vite compte qu'on va tomber dans un duel entre deux pointures de la course automobile, l'un qui est à la recherche de célébrité et l'autre à la recherche du vengeance. C'est poignant, tout du long on est prit dans ce monde de courses automobiles et même si à la base je n'en suis pas amateur, je peux facilement dire que ces bolides restent impressionnantsLes effets visuels sont magnifiques, le casting fabuleux ( que ce soir premier rôles et second rôles )On reste scotché sur notre siège un peu comme si on était nous même dans la voiture.Un chef d'oeuvre qui n'en finira pas de plaire. .

"Need for Speed" est un film D'Action Américain en 3D de "Scott Waugh". C'est l'adaptation cinématographique de la série de jeux vidéo "Need for Speed" édité par "Electronic Arts" dès 1994. Suite à la mort de son père, "Tobey Marshall" doit gérer son garage automobile avec l'aide de "Pete", "Monarch", "Finn" et "Benny", dans lequel il finira la construction de la "Ford Shelby GT 500" pour "Dino". Lors d'une course avec "Pete" et "Dino", ce dernier tue "Pete", mais niera avoir été présent lors du drame, ce qui entraînera l'emprisonnement de "Tobey". 2 ans plus tard, "Tobey" sort de prison et est prêt à tout pour prouver la culpabilité de "Dino" et gagner la "De Leon", une course de voiture illégale, en mémoire de son ami "Pete". Bien-sûr on pense forcement à la franchise "Fast & Furious" mais "Need for Speed" s'en éloigne quelque peu et s'avère même un poil plus réaliste que son concurrent. On retrouve notamment la marque de fabrique du célèbre jeux vidéo avec ses courses poursuites tonitruantes (Entre concurrents et force de l'ordre) en commençant par des bolides assez classiques pour finir avec des fusées derniers cris. Pilotes "Kamikazes", moteurs vombrissant et casses à grande échelle sont les atouts majeurs de cette adaptation qui se paye en plus le luxe de nous proposer une histoire certes assez classique, mais finalement plutôt efficace. "Need for Speed" s'avère une honnête transposition de l'œuvre éponyme et résonne comme un "Blockbuster" spectaculaire et assourdissant, qui risque bien de faire de l'ombre à la série des "Fast & Furious" !

Un blockbuster complètement assumé bourré d’invraisemblances et cousu de film blanc. Un pilote vengeur voulant prouver son innocence de la mort de son ami, participe à une course interdite sur les routes des états unis occasionnant des carambolages. Le héro met en danger les usagés de la route sans aucun état d’âme. Sinon dans les points positifs les scènes d'action sont spectaculaire et le personnage principal est étonnamment assez consistant. Une bonne dose d'humour fait passer la pilule et on passe un moment plutôt agréable à l'arrivé.

A Hollywood comme dans d’autres endroits où l’on produit du cinéma, ça a finalement toujours été pareil. Pas bien différents des opportunistes et totalement sans vergogne créateurs du Studio Asylum dont je vous laisse découvrir ou redécouvrir les perles, on se dit que récupérer une idée qui marche sans trop se casser le cul à inviter un scénario, c’est plutôt cool, et que si en plus c’est tiré d’un franchise vudéo-ludique qui fait vibrer le geek moyen pour lui donner envie de rentrer dans la salle sans se poser de question ça va cartonner. Non seulement ça ménage d’intenses efforts intellectuels que de toute façon on est incapable de fournir pour trouver une fin digne de ce nom mais avec un peu de chance, on aura peut-être même des stock-shots dans les tiroirs pour économiser quelques dollars.C’est vrai quoi, la vie c’est comme une boite de cassoulet ! Si si ! Quand on achète une sous-marque de cassoulet, on a les saucisses, des morceaux de lard, les fayots et la sauce épaisse comme le sang d’un Texan shooté aux hormones. Le tout a une vague odeur de pâtée pour chat aux bons morceaux de saumon avec une saveur un peu plus dégueulasse que la moyenne, mais somme toute assez proche pour que l’amateur peu éclairé qui ne fait généralement pas tellement la différence entre un Twix™ et un Carambar™ y trouve son bonheur. Pourquoi se vriller les méninges à essayer de développer une intrigue que le vulgum pecus écoutera d’un œil discret avant de râler à la fin du film en disant, « bouh, c’est compliqué cette histoire, moi je venais juste voir des mecs dans des caisses ».Dont acte.Need For Speed est une boite de sous-marque de cassoulet. Enfin plusieurs boites de sous-marque de cassoulet en ferraille qui roulent très vite sur les routes américaines. Des boites de sous-marque de cassoulet dont certains conducteurs finissent dans une boite en bois entre quatre planches. Ce qui est bien pour l’exportation des boites de sous-marque de cassoulet parce que ça conserve bien pendant le voyage, mais un peu moins bien pour les conducteurs parce qu’ils sont morts, mais en même temps, ils n’ont pas besoins d’être conservés contrairement à la sous-marque de cassoulet. Vous me suivez ?Avec Need For Speed, les studios se paient le luxe d’être encore moins transparents que d’habitude et piétinent le cadavre encore chaud de la franchise Fast and Furious qui s’éteindra certainement après que le départ de Paul Walker en ait précipité involontairement la chute. Même générique de début, mêmes lumières clinquantes, mêmes plans décadrés, mêmes musiques électro-hip-hop-j’écoute-que-de-la-daube-en-barre et même tentative d’humour ras le bitume, mais sans l’abus totalement dégressif que certaines scènes d’action de la saga Vin Dieselesque nous a servi quelquefois en allant lorgner du côté hyper testostéronique de certains actionners 80's totalement abrutis mais diablement jouissifs.N4S est une sous-marque, un produit low cost produit avec des moyens considérables pour nous offrir un résultat considérablement low-cost voire même bien pire que moyen. On reprend les mêmes ingrédients, des grosses bagnoles qui font beaucoup de bruit en brassant du vent, des méchants qui font beaucoup de bruit et qui brassent du vent, des gentils un peu méchants qui font beaucoup de bruit et de blagues pourries et des pouffes qui brassent du vent et font les pouffes et des pouffes qui s’y connaissent en mécanique pour exciter la libido des méchants et des gentils qui font des blagues pourries et conduisent des caisses de rêve. Perso, je suis plus vieille mustang que Bugatti Veyron.On a donc le White Rebel « King so bankable depuis Breaking Bad », le white bad guy, le White dead too young to die, le je sers à rien black side-kick dis-moi connard dans ton avion si tu pouvais fermer ta gueule ça me ferait des vacances, les whites side-kicks trop sympas et les pouffes au milieu pour faire triangle voire rectangle amoureux.On colle par-dessus un scénar pseudo shakespearien torché à la Téquila frelatée, un Michael Keaton en speaker sorti d’on ne sait où mais Michael Keaton il est cool, une dramatique tragédie familiale vraiment dramatique il faut le dire deux fois et une image du père pesante et trébuchante façon La Fête A La Maison et on crashe le tout dans le décor à pleine vitesse en précipitant le film dans un abîme d’ennui sidéral dont les enjeux et le dénouement nous importent autant que le crash en flammes du prochain morceau de Magali Vaé. Sincèrement, l’huile de moteur ne lubrifie décidément plus assez et ça ne passe pas.

Aaron Paul joue assez bien....Très bon film issu d'un jeux vidéo..et il y a de belles voitures!!!