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L'atout du film est bien la partition bouleversante de Joel Edgerton, jamais aussi bon acteur que lorsqu'il est dirigé par Gavin O'Connor. Un rôle qui lui a échu un peu dans la panique. Mais une preuve que finalement Jane Got a Gun a vraiment bien tourné.
On sent dans la manière de filmer ce western, dont ses longs plans panoramiques, que le réalisateur Gavin O'Connor a vu "Il était une fois dans l'Ouest". Mais il n'a pas le talent de Sergio Leone. Reste que le plus intéressant, c'est Natalie Portman, dans la peau d'une cow-girl qui se bat bec et ongles et flingue aussi à tout-va pour défendre les siens.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Un western qui s’essaie à retrouver la force des paysages et des affrontements : mais Natalie Portman a les épaules un peu tendres pour la tâche qu’on lui assigne.
À l'écran restent les ruines de cette aventure : un scénario incohérent, une mise en scène sans idées, des comédiens tétanisés... Et McGregor qui se tire du carambolage avec un brio stupéfiant.
20 Minutes
Ce western original démontre en tout cas qu’il est possible de créer de beaux rôles féminins dans un univers encore un peu machiste.
CinemaTeaser
L'atout du film est bien la partition bouleversante de Joel Edgerton, jamais aussi bon acteur que lorsqu'il est dirigé par Gavin O'Connor. Un rôle qui lui a échu un peu dans la panique. Mais une preuve que finalement Jane Got a Gun a vraiment bien tourné.
Les Fiches du Cinéma
Sur fond de western réaliste et plutôt subtil, l'histoire de l'émancipation d'une femme.
Franceinfo Culture
Une reconstitution appliquée et esthétique mais peu réaliste pour un film modeste, éloigné des meilleures œuvres du néo-western.
Le Journal du Dimanche
À défaut de révolutionner le genre et en dépit d'une intrigue prévisible, ce western sombre se révèle aussi réaliste qu'esthétiquement réussi.
Le Parisien
On sent dans la manière de filmer ce western, dont ses longs plans panoramiques, que le réalisateur Gavin O'Connor a vu "Il était une fois dans l'Ouest". Mais il n'a pas le talent de Sergio Leone. Reste que le plus intéressant, c'est Natalie Portman, dans la peau d'une cow-girl qui se bat bec et ongles et flingue aussi à tout-va pour défendre les siens.
aVoir-aLire.com
Tentative aboutie de western crépusculaire féministe, qui évoque le cinéma de Sam Peckinpah.
Critikat.com
L’art de mettre dans le même sac un western soi-disant féministe et "La Petite Maison dans la prairie".
L'Express
A l'arrivée, rien d'original, si ce n'est Ewan McGregor, méconnaissable.
Le Dauphiné Libéré
Un western qui s’essaie à retrouver la force des paysages et des affrontements : mais Natalie Portman a les épaules un peu tendres pour la tâche qu’on lui assigne.
Studio Ciné Live
Hélas, ce qui débute comme un western féministe post-True Grit se noie peu à peu dans les eaux du mélo.
Le Monde
Ici, le western n'est plus un genre, mais un habillage : le véhicule d'une comédienne qui se plaît à poser en Mère Courage.
Positif
À l'écran restent les ruines de cette aventure : un scénario incohérent, une mise en scène sans idées, des comédiens tétanisés... Et McGregor qui se tire du carambolage avec un brio stupéfiant.