Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Antoine Fuqua livre un remake vitaminé d’un classique du western signé par John Sturges en 1960.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un film agacé et politique sous les beaux atours d'un produit de studio.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par La Rédaction
Un western sous stéroïdes avec un casting trois étoiles.
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Ne boudons pas notre plaisir devant ce divertissement sur écran extra-large.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La mise en scène d’Antoine Fuqua ne mollit pas une seconde tout en étant respectueuse des codes westerniens en général, et de son illustre modèle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Positif
par Hubert Niogret
Antoine Fuqua (...) fait preuve d'une grande maîtrise. Le rythme du film donné dès la structure du scénario est maintenu grâce au mode d'enchaînement des séquences.
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Si la relecture proposée par Antoine Fuqua n’innove pas franchement côté scénario, son traitement visuel est un vrai tour de force. Soucieux du détail (costumes, décors baignés de lumière, atmosphère poussiéreuse propre au genre…), le réalisateur soigne ses plans et le rythme global du film.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télérama
par Guillemette Odicino
Ça dégaine aussi vite que dans un jeu vidéo et les chorégraphies des gunfights lorgnent vers Tarantino, mais c'est bien cette union interraciale qui fait la force du tableau. Les visages des trois survivants de cette guerre contre le pouvoir de l'argent ? Un joli pied de nez à l'Amérique wasp...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Hugo Maurie
(...) on est loin de la sauvagerie crue et poétique de ce qu’a pu nous proposer l’auteur de La Horde Sauvage, ou même des gueules cassées propres au cinéma de Sergio Leone, mais c’est tout de même l’image d’un Far West sale et loin d’être glamour qui nous est donné ici.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La Rédaction
Sans doute que ce remake ne laissera pas de traces indélébiles dans l’histoire du septième art. Mais on peut reconnaître à Antoine Fuqua, réalisateur connu pour l’oscarisé "Training Day" (2001), une certaine maîtrise du blockbuster.
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
La recette est évidemment efficace, mais peu approfondie et un brin artificielle.
LCI
par Marilyne Letertre
Si vous n'êtes pas accro à la version culte de John Sturges, ce remake porté par le toujours charismatique Denzel Washington devrait vous plaire (...). Si vous êtes au contraire fan de l'original, vous risquez de ne trouver que peu d’intérêt à cette relecture (...).
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
On est quand même loin du chef-d’œuvre de John Sturges (1960). Steve McQueen, Charles Bronson, Yul Brynner, James Coburn… Difficile de faire mieux. Les remplaçants réunis par Fuqua ne déméritent pas. Ethan Hawke, Chris Pratt, Vincent D’Onofrio et surtout le toujours digne Denzel Washington font le job.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Thierry Dague
Efficaces et divertissants, sans être ébouriffants, ces sept mercenaires version 2016 innovent davantage par leur casting à la parité ethnique irréprochable, qui mêle acteurs noir (Denzel Washington), asiatique (Byung-Hun Lee), latino (Manuel Garcia-Rulfo), indien (Martin Sensmeier) aux Blancs Chris Pratt, Ethan Hawke et Vincent D'Onofrio.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Antoine Fuqua propose une adaptation élégante et réaliste, au rythme inégal, mais qui offre un beau rôle à Denzel Washington. Le film souffre néanmoins de la comparaison avec le classique de John Sturges.
Paris Match
par Alain Spira
Tout en respectant les codes du genre, ce réalisateur de films d'action (...) s'en donne à coeur joie dans la surenchère flingueuse. La bataille finale, magistralement mise en scène, donne dans la surenchère façon Fort Alamo. À vrai dire, ça tire tellement qu'à la fin, cela en serait presque plombant...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Benjamin Rozovas
Après un été américain tartiné de films approximatifs et d'effets spéciaux pas finnis, "Les 7 Mercenaires" offre une thérapie non néglieable : un western bien éclairé et bien cadré.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Ce film d'aventures efficaces ne s'embarrasse pas de psychologie, mais joue la carte des grands espaces et de l'action, porté par un casting d'élite. Bref, on se régale avec ce bon vieux western.
Voici
par Lola Sciamma
Remake du classique de John Sturges, ce film d'action en mode speed ne transcende pas grand-chose. Mais est tout de même sauvé par Denzel Washington.
Ecran Large
par Simon Riaux
Cyniques dans leur propos, rachitiques en termes de spectacle, ces "7 Mercenaires" font long feu.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Thierry Cheze
Seul Denzel Washington tire son épingle du jeu.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une reprise de deux films cultes, qui s’efforce de remettre le western au goût spectaculaire du jour et qui en fait un produit formaté de série.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les fans du western d’anthologie seront forcément déçus, la jeune génération devra se contenter d’un film qui remplit juste son contrat côté action, mais où le Stetson n’est qu’un déguisement
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Fuqua, peu connu pour sa façon de transcender l'art cinématrographique, filme platement ce western et adopte un montage nerveux en guise de cache-misère.
Critikat.com
par Josué Morel
Ni le petit film d’action rétro que l’on était en droit d’attendre, ni le western post-moderne sanglant et réjouissant auquel le film semble vouloir parfois donner vie, cette resucée n’est qu’une succession de plans désinvestis ne portant en eux que l’académisme d’un projet sans âme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Dans la version de John Sturges (1960), le casting était génial (...). Dans le western de 2016, c’est le contraire : il n’y a rien de cette électricité, et il est impossible de croire que Denzel Washington est un cow-boy d’enfer, il est complètement hors de son bocal (pressenti, Tom Cruise a refusé, mais il n’aurait pas été mieux).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Galerie de personnages, juste cause et tourbillon de violence, que demander de plus ? Que l’on ne mette pas la recette entre les mains d’Antoine Fuqua, par exemple.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Antoine Fuqua livre un remake vitaminé d’un classique du western signé par John Sturges en 1960.
CinemaTeaser
Un film agacé et politique sous les beaux atours d'un produit de studio.
Closer
Un western sous stéroïdes avec un casting trois étoiles.
Femme Actuelle
Ne boudons pas notre plaisir devant ce divertissement sur écran extra-large.
Franceinfo Culture
La mise en scène d’Antoine Fuqua ne mollit pas une seconde tout en étant respectueuse des codes westerniens en général, et de son illustre modèle.
Positif
Antoine Fuqua (...) fait preuve d'une grande maîtrise. Le rythme du film donné dès la structure du scénario est maintenu grâce au mode d'enchaînement des séquences.
Télé 2 semaines
Si la relecture proposée par Antoine Fuqua n’innove pas franchement côté scénario, son traitement visuel est un vrai tour de force. Soucieux du détail (costumes, décors baignés de lumière, atmosphère poussiéreuse propre au genre…), le réalisateur soigne ses plans et le rythme global du film.
Télérama
Ça dégaine aussi vite que dans un jeu vidéo et les chorégraphies des gunfights lorgnent vers Tarantino, mais c'est bien cette union interraciale qui fait la force du tableau. Les visages des trois survivants de cette guerre contre le pouvoir de l'argent ? Un joli pied de nez à l'Amérique wasp...
aVoir-aLire.com
(...) on est loin de la sauvagerie crue et poétique de ce qu’a pu nous proposer l’auteur de La Horde Sauvage, ou même des gueules cassées propres au cinéma de Sergio Leone, mais c’est tout de même l’image d’un Far West sale et loin d’être glamour qui nous est donné ici.
CNews
Sans doute que ce remake ne laissera pas de traces indélébiles dans l’histoire du septième art. Mais on peut reconnaître à Antoine Fuqua, réalisateur connu pour l’oscarisé "Training Day" (2001), une certaine maîtrise du blockbuster.
Charlie Hebdo
La recette est évidemment efficace, mais peu approfondie et un brin artificielle.
LCI
Si vous n'êtes pas accro à la version culte de John Sturges, ce remake porté par le toujours charismatique Denzel Washington devrait vous plaire (...). Si vous êtes au contraire fan de l'original, vous risquez de ne trouver que peu d’intérêt à cette relecture (...).
Le Figaroscope
On est quand même loin du chef-d’œuvre de John Sturges (1960). Steve McQueen, Charles Bronson, Yul Brynner, James Coburn… Difficile de faire mieux. Les remplaçants réunis par Fuqua ne déméritent pas. Ethan Hawke, Chris Pratt, Vincent D’Onofrio et surtout le toujours digne Denzel Washington font le job.
Le Parisien
Efficaces et divertissants, sans être ébouriffants, ces sept mercenaires version 2016 innovent davantage par leur casting à la parité ethnique irréprochable, qui mêle acteurs noir (Denzel Washington), asiatique (Byung-Hun Lee), latino (Manuel Garcia-Rulfo), indien (Martin Sensmeier) aux Blancs Chris Pratt, Ethan Hawke et Vincent D'Onofrio.
Les Fiches du Cinéma
Antoine Fuqua propose une adaptation élégante et réaliste, au rythme inégal, mais qui offre un beau rôle à Denzel Washington. Le film souffre néanmoins de la comparaison avec le classique de John Sturges.
Paris Match
Tout en respectant les codes du genre, ce réalisateur de films d'action (...) s'en donne à coeur joie dans la surenchère flingueuse. La bataille finale, magistralement mise en scène, donne dans la surenchère façon Fort Alamo. À vrai dire, ça tire tellement qu'à la fin, cela en serait presque plombant...
Première
Après un été américain tartiné de films approximatifs et d'effets spéciaux pas finnis, "Les 7 Mercenaires" offre une thérapie non néglieable : un western bien éclairé et bien cadré.
Télé 7 Jours
Ce film d'aventures efficaces ne s'embarrasse pas de psychologie, mais joue la carte des grands espaces et de l'action, porté par un casting d'élite. Bref, on se régale avec ce bon vieux western.
Voici
Remake du classique de John Sturges, ce film d'action en mode speed ne transcende pas grand-chose. Mais est tout de même sauvé par Denzel Washington.
Ecran Large
Cyniques dans leur propos, rachitiques en termes de spectacle, ces "7 Mercenaires" font long feu.
L'Express
Seul Denzel Washington tire son épingle du jeu.
Le Dauphiné Libéré
Une reprise de deux films cultes, qui s’efforce de remettre le western au goût spectaculaire du jour et qui en fait un produit formaté de série.
Le Journal du Dimanche
Les fans du western d’anthologie seront forcément déçus, la jeune génération devra se contenter d’un film qui remplit juste son contrat côté action, mais où le Stetson n’est qu’un déguisement
Studio Ciné Live
Fuqua, peu connu pour sa façon de transcender l'art cinématrographique, filme platement ce western et adopte un montage nerveux en guise de cache-misère.
Critikat.com
Ni le petit film d’action rétro que l’on était en droit d’attendre, ni le western post-moderne sanglant et réjouissant auquel le film semble vouloir parfois donner vie, cette resucée n’est qu’une succession de plans désinvestis ne portant en eux que l’académisme d’un projet sans âme.
L'Obs
Dans la version de John Sturges (1960), le casting était génial (...). Dans le western de 2016, c’est le contraire : il n’y a rien de cette électricité, et il est impossible de croire que Denzel Washington est un cow-boy d’enfer, il est complètement hors de son bocal (pressenti, Tom Cruise a refusé, mais il n’aurait pas été mieux).
Le Monde
Galerie de personnages, juste cause et tourbillon de violence, que demander de plus ? Que l’on ne mette pas la recette entre les mains d’Antoine Fuqua, par exemple.