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Votre avis sur The Grand Budapest Hotel ?
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Chef d'oeuvre, ni plus ni moins !
Colorimétrie léchée, casting, rythme, émotions incroyables.
Du très très grand Cinéma.
Ce film réalise le tour de force d'être hors norme et grand public à la fois...
Comment est-ce possible ?
De la magie pure.
Colorimétrie léchée, casting, rythme, émotions incroyables.
Du très très grand Cinéma.
Ce film réalise le tour de force d'être hors norme et grand public à la fois...
Comment est-ce possible ?
De la magie pure.
Un script où on entend : « Tu vois, il reste encore de vagues lueurs de civilisation dans cet abattoir barbare connu autrefois sous le nom d’humanité ».
Le souci pathologique du détail de Wes Anderson, la folie symétrique de l’arrière-plan, où même après 118 visionnages, on en redécouvre encore et toujours, ces couleurs folles et pétaradantes, le rose bonbon et le bleu bébé ciel, c’est un poème et un cartoon à la fois. La beauté formelle atypique du génie cinéaste.
Car oui, ça foisonne, ça ruisselle, ça explose, invente et crée toutes les 2 minutes 30 grand max. Le reste du temps, l’humour est bravache, l’intelligence au scalpel, la générosité débordante, le casting au talent interminable et quasi jamais vu depuis des siècles… Quand un personnage dit « Ca dépend », réponse de Monsieur Gustave : « Mais tu peux dire ça pour à peu près tout !! »
Le sens du décalage burlesque est omniprésent, jouant sur l’inexpressivité de certains personnages, se trouvant pourtant dans des situations complétement dingues. Le tout avec une mise en scène effrénée de folie, qui ne nous laisse aucun répit. Mais c’est aussi un chef d’œuvre de romantisme, de poésie, d’humanité, c’est une juxtaposition de tous les arts.
C’est un film sur la grâce merveilleuse, le poids des passés dans les histoires portées par les anonymes fabuleux, et finalement, comme d’habitude, l’essentiel, l’inaccessible étoile, tout en haut du Grand Budapest Hôtel, sur le toit du monde : l’amour…
Le souci pathologique du détail de Wes Anderson, la folie symétrique de l’arrière-plan, où même après 118 visionnages, on en redécouvre encore et toujours, ces couleurs folles et pétaradantes, le rose bonbon et le bleu bébé ciel, c’est un poème et un cartoon à la fois. La beauté formelle atypique du génie cinéaste.
Car oui, ça foisonne, ça ruisselle, ça explose, invente et crée toutes les 2 minutes 30 grand max. Le reste du temps, l’humour est bravache, l’intelligence au scalpel, la générosité débordante, le casting au talent interminable et quasi jamais vu depuis des siècles… Quand un personnage dit « Ca dépend », réponse de Monsieur Gustave : « Mais tu peux dire ça pour à peu près tout !! »
Le sens du décalage burlesque est omniprésent, jouant sur l’inexpressivité de certains personnages, se trouvant pourtant dans des situations complétement dingues. Le tout avec une mise en scène effrénée de folie, qui ne nous laisse aucun répit. Mais c’est aussi un chef d’œuvre de romantisme, de poésie, d’humanité, c’est une juxtaposition de tous les arts.
C’est un film sur la grâce merveilleuse, le poids des passés dans les histoires portées par les anonymes fabuleux, et finalement, comme d’habitude, l’essentiel, l’inaccessible étoile, tout en haut du Grand Budapest Hôtel, sur le toit du monde : l’amour…
Un film avec une mise en scène absolument dingue et originale. On retrouve ici bien une réalisation de Wes Anderson et les couleurs, disign que l'on retrouve dans ses films. Absolument touts les acteurs sont excellents, Ralph Fiennes est magistral et très drôle, Edward Norton, Bill Murray, Willem Dafoe, Jeff Goldblum, Tilda Swinton, Harvey Keitel, Tony Revolori, Owen Wilson, Jude Law, Adrien Brody et Mathieu Amalric sont tous incroyables, mais quel casting. Chaque scène est absolument nécessaire et chronométrée, le rythme est fou, on ne s'ennuie pas a un seul moment. L'histoire est très bien racontée et bien écrite.
Digne d'un Wes Anderson. Une histoire qui sort de l'ordinaire, du quotidien, avec la qualité d'un film de son réalisateur : toujours aussi spectaculaire. Tout de même, une pointe d'humour et une histoire tenue, on se laisse prendre sans être pour autant captivé à 100%. Je recommande donc, oui pour sûr, sans qu'il en soit mon film préféré.
L'Histoire des deux héros est vraiment touchante, l'animation et les angles de caméras sont très bien réalisés. C'est un véritable Chef-d'œuvre !
Honnêtement, je ne suis pas particulièrement fan des films de Wes Anderson même si je salue évidemment son fabuleux travail de réalisateur, son jeu sur les décors, les plans et les couleurs. Parmi les 3 films que j'ai vu ce réalisateur (Fantastic Mr Fox, L'île aux chiens et celui-ci) The Grand Budapest Hotel me semble être le moins bon.
J'adore,j'adore,j'adore.Wes Anderson est un des meilleurs réalisateurs au monde,tous ces plans sont travaillés a la perfection,encore plus que David Fincher ,Ralph Fiennes est incroyable.Le casting est a coupé le souffle (Ralph Fiennes,Adrien Brody,Bill Murray,Tilda Swinton,Willem Dafoe,Edward Norton,Jude Law) dans cette rocambolesque histoire,ce film est magistral,Wes Anderson est incroyable.
J'ai trop aimé !! C'était trop mignon et j'ai bien apprécié l'histoire, ce que j'ai le plus aimé c'est la façon dont le film est "filmé" genre les caméras (leurs positions) et les transitions !
Un film très classique dans la filmographie du réalisateur Wes Anderson qui nous livre ici un film àssez similaire dans sa conception qui en est même sa marque de fabrique de découper en chapitre et d'aborder les sujet , les choses , les chapitres de la façon dont laquelle il le fait. Un film plutôt intéressant avec une histoire assez forte même si c'est pas toujours le cas dans ses précédents films qui des fois sont pénible ou chiant , ici seulement le début est un peux long car sincèrement on a l'impression que ça fait 1h ou 30 minutes que l'on regarde The Grand Budapest hôtel mais enfaite ce n'est absolument pas le cas c'est que 5 10 minutes d'écouler mais c'est vraie qu'il y a beaucoup d'info d'un coup peut être même trop peut être qu'il faudrait réduire certaine info pas forcément utile. Sinon le film nous passionne avec des acteurs très sérieux et font le job avec certians acteur qui sont ds s'habituer de Wes Anderson comme Mathieu Amalric et OWEN Wilson qui sont encore de la partie pour notre plaisir mais'aussi celui du réalisateur scénariste et producteur .
Poétique, esthétique, drôle, poignant, l’univers de Stefan Zweig ainsi catalysé par Wes Anderson en fait peut-être bien son meilleur film a date
« The grand Budapest hotel » (2014) n’est pas le premier long-métrage du réalisateur Wes Anderson. Il relate l'histoire de M Gustave (Ralph Fiennes), concierge de l'hôtel Grand Budapest situé à l’est de l’Europe dans le pays imaginaire de Zubrowka pendant l'entre-deux-guerres. Alors qu’un régime de type nazi s’installe, M Gustave enseigne son métier à son fils spirituel, le groom Zero Mustapha (Tony Revolori). Confident de ses clients et surtout des vieilles clientes, M. Gustave va hériter en 1932 d’un tableau « Le garçon à la pomme » d’une grande valeur… et les héritiers bien sûr d’envisager toutes les turpitudes pour récupérer ce tableau.
Le film est traité d’une façon totalement loufoque avec moult intrigues et crimes et même une fusillade au sein de l’hôtel. Des scènes parfois déjantées qui nous tiennent toujours en haleine… et c’est sans compter sur l’aide de la Société des Portiers des Palaces. Les décors intérieurs - y compris la façade l’hôtel – sont souvent de couleurs acidulés comme les gâteaux d'Agatha (Saoirse Ronan), petite-amie de Zero mais aussi pâtissière dans l’émérite boutique Mendl's. De nombreux plans également dans la neige de cette région montagneuse avec ses téléphériques, ses funiculaires… In extremis on retrouvera un second testament et à la mort de M Gustave, c’est bien sûr Mustapha qui deviendra le concierge en chef puis le vieux propriétaire (F. Murray Abraham) de cet hôtel qui tombe en décrépitude mais où il vient séjourner tous les ans, incognito, logeant dans une petite chambre de bonne. C’est via les confidences du concierge qu’un écrivain pourra approcher ce vieux propriétaire qui lui confiera toute son histoire.
Un film au superbe casting méritant absolument d’être vu même si à sa seconde vision on risque d’être un peu déçu connaissant l’intrigue et surtout toutes les astuces déployées par les héritiers frustrés de leur héritage.
Le film est traité d’une façon totalement loufoque avec moult intrigues et crimes et même une fusillade au sein de l’hôtel. Des scènes parfois déjantées qui nous tiennent toujours en haleine… et c’est sans compter sur l’aide de la Société des Portiers des Palaces. Les décors intérieurs - y compris la façade l’hôtel – sont souvent de couleurs acidulés comme les gâteaux d'Agatha (Saoirse Ronan), petite-amie de Zero mais aussi pâtissière dans l’émérite boutique Mendl's. De nombreux plans également dans la neige de cette région montagneuse avec ses téléphériques, ses funiculaires… In extremis on retrouvera un second testament et à la mort de M Gustave, c’est bien sûr Mustapha qui deviendra le concierge en chef puis le vieux propriétaire (F. Murray Abraham) de cet hôtel qui tombe en décrépitude mais où il vient séjourner tous les ans, incognito, logeant dans une petite chambre de bonne. C’est via les confidences du concierge qu’un écrivain pourra approcher ce vieux propriétaire qui lui confiera toute son histoire.
Un film au superbe casting méritant absolument d’être vu même si à sa seconde vision on risque d’être un peu déçu connaissant l’intrigue et surtout toutes les astuces déployées par les héritiers frustrés de leur héritage.
Wes Anderson est inventif, créatif et son univers est fantasque, intriguant et sublime, c'est de la poésie sur grand écran. Chaque plan est beau et il y'a beaucoup d'absurdite dans beaucoup de scènes avec des moments très drôles, la bande son est superbe aussi, seul petit bémol on ne resent pas d'émotions particuliere comme dans moonrise kingdom mais ce film est un petit bijou qu'il faut voir absolument.
Alors, bon, les décors, les acteurs, les plans, l'humour, l'ambiance, le scénario, bref . ce film est un tableau, vous pouvez faire pause sur certaines scènes et contempler ce bijou.
Merci Wes
Merci Wes
Wes Anderson est un auteur extraordinaire, et en 2014 son Grand Budapest Hotel ne vas laisser personne indifférent , là narration , les décors , les personnages, entre la grande pièce de théâtre et le cirque , de l’art du vrai , on est pas loin du chef d’œuvre !
Très original, les couleurs sont pétantes, la réalisation surprenante et les plans léchés. Chaque cadre est un véritable tableau. J'aime le personnage principal et son parlé si anglais ! Les relations fonctionnent à merveille, l'intrigue est palpitante, franchement pas grand chose à dire. si ce n'est la présence d'un format 4/3 qui personnellement me dérange un peu.
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