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Un visiteur
2,5
Publiée le 2 janvier 2014
Comment arriver à être à la limite du navet avec autant d'acteurs prestigieux ? Il faut dire que pour le coup M. Besson a plutôt bâclé son film et ça se sent. Vous pensez voir un trhiller, en fait ça s'apparente plutôt à une comédie mal ficelée et ça sonne faux. Le mélange des genres ne fonctionne pas vraiment. Dommage
Un thriller comédie plutôt agréable mais qui ne décolle jamais vraiment et franchement je m'attendais à mieux, malgré tout, même s'il est très loin d'être le film de l’année, il se laisse voir avec le regret toutefois que la comédie soit trop en retrait et que les chevaux soient trop bridés. Pour un film censé se passer en 1995, on oubliera quelques anachronismes, mais rien de méchant, sinon techniquement, la réalisation est excellente et le casting correct avec un Tommy Lee Jones hélas sous employé mais un De Niro fidèle à lui-même dans le rôle du mafioso repenti aux réflexes professionnels incontrôlables. Je suis d'habitude plutôt critique vis à vis des réalisations et productions de Besson, mais bien qu'un peu poussif, j'ai trouvé ce film au final assez correct....mais sans plus.
Les grands noms n'ont malheureusement pas toujours fait de bons films.. Michelle Pfeiffer et Robert De Niro sont excellents dans leurs rôles (rôles qu'ils ont déjà joué maintes fois) mais le scénario est peu crédible et désespérément plat. On sourit plus qu'on ne rit, dommage l'idée était bonne.
Un bon livre ne fait pas forcément un bon film. Pourtant Malvita, signé Tonino Benacquista, contenait nombre d’ingrédients éminemment cinématographiques. Un petit village normand en guise de décor. Une famille dysfonctionnelle qui sert d’anti-héros. Et une satire mafieuse en toile de fond.
En plus au petit jeu du casting, Luc Besson s’en sort plutôt bien puisqu’il a réussi à séduire Al Capone et Don Corleone en personne, alias Robert De Niro. Et pour le grand Bob (vu dernièrement dans Happiness Therapy), il n’est pas question de cabotiner… même si dans les yeux de l’acteur on peut lire une certaine malice à l’idée de jouer encore les mafieux à 70 ans. A ses côtés, on retrouve la trop rare Michelle Pfeiffer (Dark Shadows) toujours en forme (merci Michelle de ne pas avoir succombé à la mode du Botox), l’inoxydable Tommy Lee Jones (Lincoln, un peu sous-exploité), la ravissante Diana Agron (échappée de Glee) et le jeune John D’Leo (qui a des faux airs de De Niro jeune, bien joué Monsieur le Directeur de casting).
Seulement, de ce pamphlet irrévérencieux et drôle sur la mafia, Besson n’a retenu que la comédie policière. De référence essentielle sur la déliquescence de la famille, la chienne (la Malavita du titre) devient un simple ressort humoristique. Les exactions de chaque membre de la famille prêtent à sourire. Mais à la longue, elles deviennent tellement prévisibles qu’on finit par s’ennuyer ferme.
Pire, Besson n’exploite pas la scène essentielle du roman. Celle où le père se retrouve, malgré lui, à commenter devant une salle subjuguée les Affranchis de Martin Scorsese. Il y avait derrière toute une réflexion croustillante sur les arcanes de la mafia à laquelle nous n’aurons hélas pas droit. Même la mise en abyme tant attendue (De Niro qui regarde De Niro dans un film) n’aura pas le mordant espéré.
La mise en scène, comme toujours, est efficace et va droit au but, sans fioritures. Le principal gimmick du réalisateur consiste à proposer un montage en parallèle entre les différents protagonistes.
Tout ça fait de Malavita le parfait film de dimanche soir. Rythmé (sans aucun doute) et drôle (par moments). Pour la deuxième lecture subtile (aie ! J’ai écrit le mot qui fâche), on repassera…
Le casting a beau être charmant, le scénario ne nous tient pas réellement en haleine car il ne se passe pas grand chose en relation avec l’histoire de base ce qui fait que la fin tombe un peu comme un cheveu sur la soupe … C’est dommage j’aimais bien comme ça partait et le fait que ce soit filmé en Normandie mais ils n’ont pas assez travaillé le scénario, il aurait été mieux si tout s’enchaînait correctement. Là tout ce qui se passe sur les trois quart du film ne nous emballe pas trop.
Besson, après une overdose de camembert, se venge des normands. Ces gros ploucs qui n'ont que le calva et le fromage se font marave par une famille mafieuse en exil qui passe le temps en matraquant ses voisins atrophiés du bulbe. On ne s’ennuie pas si on accepte les clichés du mec qui filme mais comme souvent avec ce monsieur, le vide rode. Benacquista a donné du lard à un cochon, dommage.
La mafia tant décortiquée au cinéma nous est resservie dans ce film réalisé par le "roi" de l'action Luc Besson. Robert De Niro, Michelle Pfeiffer et leurs 2 enfants bénéficient du programme de protection des témoins pour avoir balancer un mafioso notoire de Brooklyn. Amené à changer d'endroits comme de chemises, ils se retrouvent en Normandie dans ce qui est une caricature de la France. Mêlant action et comédie, The Family tient la route grâce à un chef de meute bourré de retenue quand il s'agit de corriger le commun des mortels qui décidément semble le prendre pour un pigeon (le plombier, le maire, le PDG, ...). Pour le reste, ce n'est pas du grand art loin de là. On s'amuse peu dans ce qui aurait pu être une bonne surprise.
Pour adapter le roman de Tonino Benacquista, Luc Besson a vu les choses en grand puisque non content d’avoir Martin Scorcese comme producteur, il s’offre aussi les présences de Michelle Pfeiffer, Robert De Niro & Tommy Lee Jones. Au milieu de tous ces grands noms, la seule anomalie reste le réalisateur français qui prouve, une fois n’est pas coutume, avec Malavita qu’il a bien du mal à s’adapter à l’ère du temps. Des personnages sans saveurs aux clichés qui ne réussissent même pas à nous arracher un sourire en coin, difficile de s’emballer pour un film totalement dépassé et au final on ne peut que constater ce terrible gâchis.
malgré un rythme soutenu dans la réalisation, le scénario reste très convenu et prévisible ; sans parler de Besson,prêt à tout pour plaire aux américains jusqu'à dénigrer ses propres concitoyens par l’intermédiaire de clichés éculés ou autres lieux communs nauséabonds.
Casting trois étoiles pour film bien banal. Certes quelques scènes sont drôles et le clin d'œil aux Affranchis ma bien plu mais le reste c'est du vu et revu les clichés s'enchainant à la pelle.
Nul, adieu chef d’œuvres tel Le grand bleu, Leon, Le 5ème élement... Bonjour le discount. Les acteurs français sont pitoyable face au jeux des américains. Scénario moyen, cinématographiquement, rien ne ressort, bref, déception...