Derniers Avis : Malavita - Page 4

Qu spoiler:
e dire de ce film, c'est moyen tout simplement, tout d'abord De Niro cabotine, et est très loin de sa performance d'acteur, dans le chef -d'oeuvre qu'est les affranchis à qui se film fait référence, l spoiler: a scène de la projection cinéma
, sa femme, Michelle Pfeiffer n'est plus aussi sublime qu'avant, en fait ce sont surtout les enfants qui s'en sortent le mieux, mention spéciale à la fille qui électrise l'écran. L'histoire de cette famille mafieuse est simplette, on a du mal à croire que c'est une histoire vrai, on se demande même ce que vient faire Tommy Lee Jones là dedans. Tout n'est pas si mauvais, il y a même des passages amusants ou l'_on suit les péripéties de cette famille pas ordinaires avec délectations mais ce n'est que temporaire et largement oubliable, bref, a voir, sans plus.

Un Luc Besson dans la plus totale des complaisances s’amuse, l’appui de Martin Scorsese en poche, à réaliser l’un des souhaits les plus marquants et inavoués des nostalgiques de la grande époque mafieuse du cinéma américain, celle des Affranchis pour être plus exact. Si Besson tourne en Normandie, soit en ses terres, Malavita semble pourtant s’adresser d’avantage à un public américain peu sensible à la culture qu’à un public européen, audience semble-t-il accessoire pour le réalisateur. De fait, le France profonde est singulièrement malmenée, mélange acerbe de stéréotypes faciles à avaler pour l’américain moyen, source de dépaysement pour le new-yorkais lambda ou issu de tout autre horizon, terre de l’Oncle Sam. Paradoxalement, Besson s’amuse avec son public français en faisant venir au pays non seulement un Robert De Niro en parfaite autodérision, mais aussi des vedettes tels que Tommy Lee Jones et Michelle Pfeiffer. Dans une plus petite mesure, le réalisateur à dû bien se marrer en faisant entre l’un des stars de Glee, la belle Diana Agron, dans un lycée français.

Tout ici est destiné à transvaser un univers particulièrement américain en pleine France profonde, dans une sorte d’élan parodique auto-satisfaisant. Pour autant, si le concept semble rédhibitoire, le fait est que Malavita, c’est accessoirement le nom de chien de la famille, rempli son cahier des charges point de vue divertissement. Luc Besson n’étant pas maladroit pour filmer explosions, mitraillages en règle et bastons en tous genres, le film prend l’allure d’une honnête production US façon comédie d’action. Les personnages, qu’ils soient les reflets de ce qu’ils pourraient être et de ce qu’ils ont été ne change rien, sont tous charismatiques, dans un sens. Besson joue plutôt habilement du décalage qu’il créer entre l’univers mafieux New-Yorkais et communautaire d’une petite bourgade française. L’auteur s’amuse qui plus est à faire se déchainer notre parrain déchu, De Niro, par la violence, sur les petits travers de la société rural, du plombier malhonnête à l’entrepreneur insouciant local, en passant par le maire et les têtes pensantes du village.

Si l’on considère la dérision comme une forme d’humour à part entière, fort à parier que Malavita peut plaire. Sinon, voir Robert De Niro s’extasier devant une rediffusion des Affranchis dans une salle municipale bourrée de français BCBG laissera de marbre à défaut de fâcher tant la facilité avec laquelle Besson semble vouloir s’attirer la sympathie déçoit. Facilité au menu, donc, même s’il fallait pour ça s’attirer les services d’énormes stars hollywoodiennes. De ce coté là, soyons raisonnables et avouons que le réalisateur français sait y faire pour faire traverser l’Atlantique à ces monuments du cinéma, toujours par le biais d’EuropaCorp. Toujours coté casting, si rien n’aurait pu être fait sans le célèbre Bob, il est pour le moins étonnant d’y retrouver ce bon vieux Tommy Lee Jones et l’ex sex-symbol, c’est selon la génération, Michelle Pfeiffer. L’actrice, sincèrement en perte de vitesse en cette deuxième partie de carrière, semble prendre plaisir à s’exiler en France dans un casting de célébrités pour faire valoir ses atouts. Notons par ailleurs la présence de toute une ribambelle de tronche connue, en passant par Vincent Pastore et une tronche dégarnie que les fans de The Wire reconnaîtront d’emblée. De ce coté là, Besson fait bien les choses.

Après avoir dresser un tableau plutôt lisse et sérieux de la femme forte de la Birmanie, Luc Besson aura singulièrement changé de cap pour en revenir au film commercial par excellence. L’on ne peut sincèrement pas lui reprocher grand-chose, au réalisateur, si ce n’est d’avoir pris un tantinet les français pour des cons. Ceux à qui l’on pourrait toutefois reprocher cette facilité, c’est à ces stars américaines qui ne semblent plus avoir autre chose à faire que de courrir après les cachets faciles, en profitant de leurs gloires passées. L’on sent pourtant que tout ce beau monde, De Niro en tête, en a encore sous la pédale, même si ce n’est pas ici que le démontre réellement. Pour s’amuser, Malavita convient parfaitement, mais sans plus de succès. 08/20

"Malavita" ou comment Luc Besson montre qu’il devrait arrêter le cinéma. Sincèrement l’histoire est très sympa, mettre une famille de mafieux en plein cœur la Normandie c’est drôle sur le papier, en plus le film a la chance d’avoir un casting irréprochable (divine Michelle Pfeiffer) ; mais au lieu d’une comédie sur le choc des cultures, on se retrouve avec une critique de la France profonde, on va de cliché en cliché et au final on se demande si ce n’est pas Luc Besson le beauf. Je pense que le film aurait été meilleur s’il avait eu un autre réalisateur aux commandes, quelqu’un de plus jeune ou quelqu’un qui ne réutilise pas sans cesse ce qu’il a déjà fait dans le passé. Là tout part de travers : les acteurs principaux cabotinent, ils refont ce qu’ils ont déjà fait ailleurs, l’histoire part dans tous les sens et au final on ressort de la salle un peu confus. Car oui l’histoire est bonne, mais le film est mauvais. Besson ne fait pas partie des réalisateurs que j’aime, je trouve qu’il est surestimé, mis à part quelques très bons films ("Léon" en tête en ce qui me concerne) je n’apprécie pas le reste de sa filmographie, donc je suis allée voir ce film attirée par le casting et en me disant que c’était peut-être l’occasion de revoir mon avis sur le réalisateur, mais bien au contraire j’en ressors en me disant que je n’aime vraiment pas son travail. A vouloir en faire trop, il fait n’importe quoi et s’enlise dans une sorte de parodie de lui-même. Luc, désolée mais entre nous, c’est vraiment fini.

Bizarre ce film de Besson, il hérite d'un bon scénario, et d'un casting en or mais n'en fait pas grand-chose. La première heure est pas mal, sans être géniale malgré le fait qu'il y ait énormément de clichés (même assez déroutant parfois). Et dès l'incohérence scénaristique principale (la façon dont la mafia découvre que De Niro est en France) ça part un peu dans tous les sens. Au final l'adaptation n'est pas du tout originale et Besson ne réussit pas à en faire quelques choses de vraiment bien (alors qu'on pouvait, l'idée de base est pas mal). Revoir De Niro se caricaturer en s'imitant dans les Affranchis ou les Incorruptible, je ne sais pas trop quoi en penser si ce n'est que je préfère les originaux ! Ni Tommy Lee Jones, ni Pffeiffer ne sortent vraiment du lot, il y a bien De Niro qui ne s'en sort pas trop mal. C'est pas terrible, mais ça au moins le mérite de ne pas ennuyer.

Non mais qu'est ce que c'est que ce film anti-francais sans raisons?! Quand on sait que c'est un français qui a réalisé le film on se demande s'il va à la rencontre du pays dans lequel il vit tant ce qu'il dépeint est très très loin de la réalité. Très choquant. La famille américaine aussi est cliché. Dommage parce que l'idée de départ est bonne et c'est quand même de voir De Niro habiter en Normandie.

Comique mais manquant de sobriété. Le budget était-il trop élevé ?

Gentillet mais pas transcendant. La Bo n'est pas trop mal. Je m'attendais honnêtement à mieux, notamment vu le casting et la bande annonce. Finalement, rien ne surprend et on s'ennuie un peu. Les scènes comiques sont rares et beaucoup d'autres sont tirées par les cheveux. Bref, passez votre chemin.

Une comédie noire facile et que je qualifierai de fainéante, un casting de luxe pour un film ennuyeux a mourir et a l'humour assez mal placé. Adaptation d'un roman italien, le scénario raconte l'arrivée d'une mafieux new-yorkais repenti et de sa famille placé dans le programme de protection des témoins du FBI dans un petit village de Bretagne et vont devoir s'intégrer a la culture française malgré leur passé particulier, un point de départ très intéressant mais petit a petit, après une introduction de 20 minutes réussi, le scénario se laisse aller et commence a enchainer les blagues culturels éculés et les situations comique sans originalité, pour finir par un gunfight général aussi plat que petit en ambition. De retour au sommet depuis 2-3 ans, Robert De Niro s'éclate dans ce rôle qu'il connait par coeur et adore s'auto-caricaturer, et le duo qu'il forme durant quelques scènes avec Tommy Lee Jones est excellent : les deux ténors du ciné US adorent jouer au buddy-movie, entre le repenti rigolard et le flic sérieux (et les références a leurs films cultes sont nombreuses, trop nombreuses...). Loin de ses grands succès des années 90, Luc Besson semble réaliser un de ses rêves de cinéaste mais il filme ce rêve personnel avec une passivité étonnante, le tout ressemble presque a un bon épisode de "Joséphine Ange Gardien" (ce qui n'existe pas bien sur, c'est de l'humour).
Une comédie policière fade, passive et ennuyeuse a voir pour un De Niro en plein délire perso.

gentil mélange de comedie américaine et comédie française. bourré de cloche en tout genre le film n'est pas un chef d'oeuvre. Cependant certaine scènes (un pull violente pour les plus jeunes) sont vraiment marrante.
Alors serte on ne ris pas aux éclats, tout juste un sourire créer par l'effet de surprise, mais le ton décalé fait son petit effet.

L'idée de départ est plaisant et la présence du couple De Niro(les affranchis)/Pfeiffer(scarface) est jubilatoire. On est d'autant plus déçu lorsque l'on découvre se mettre laborieux, qui manque cruellement d'épaisseur et de rythme. On a une petite comédie normande bien pépère qui nous offre à aucun moment de scène mémorable. Même les qualités technique de Luc Besson sont absentes de ce film. une vrai déception!

Moyennement drôle, avec des scènes d’action banales et une auto-parodie maladroite, Malavita avait tout pour séduire mais le résultat déçoit au plus haut point. Ce n’est pas non plus affligeant, mais vraiment pas à la hauteur de l’affiche. « Godounov pour Besson », trop peu « Godounov for me »…

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Film très lent.....pas très original comme scénario malgré une brochette d acteur de haut vol...a oublier au plus vite....

sympa ce ptit Sorcese ,1 comedie qui reunit 1 famille qui fuit son passé.
et puis beau casting,De Niro,er.

Je m'attendais à une grosse daube infâme, je n'avais pas du tout envie de le regarder puis, quand j'ai vu qu'ils arrivaient en Normandie, étant normand, je me suis dit, allez, je tente. Et bien j'ai rigolé sur ces clichés certes éculés mais toujours drôles sur les états-uniens et les français. L'auto-dérision est une grande valeur humaine selon moi. Je vais sûrement oublier très vite ce film mais le moment passé en sa "compagnie" a été simplement agréable et distrayant. Que demander de plus pour un film de cinéma?

Je suis allé voir ce film sans lire ni les critiques, ni même le synopsis... je m'attendais à un film de brigands, en réalité je suis tombé sur une comédie. Au début ça m'a fait mal puis c'est comme le sexe, on y prend goût et même avec le temps on trouve ça plutôt agréable. Cependant je trouve le casting un peu démesuré pour si peu.