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Votre avis sur Malavita ?
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Restant toujours en surface et se contentant de livrer quelques références sans subtilité, le film qui aurait pu avoir du caractère et défourailler sec devient très vite un gentil film familial sans conséquences qui a juste été fait pour que le réalisateur et ses stars puissent s’offrir un weekend en Normandie qui sera diffusé comme il se doit sur TF1 un dimanche soir, quand il n’y aura plus d’épisode tout aussi palpitant des Experts à diffuser.
Une comédie plutôt sympa mais qui ne m'a pas plus convaincu que ça. De Niro est évidemment excellent, le reste de sa famille est tout aussi déjanté mais le final m'a déçu..
Mondocine
Malavita est le film le plus paradoxal pour Luc Besson.
D'un côté, une comédie mâtinée d’action attachante, transpirant la sincérité et la légèreté de s’amuser d’un concept plein de drôlerie loufoque emmenant l’éternel décalage des cultures franco-américaine sur le terrain de la mafia en y conviant une distribution magistrale. Le casting est énorme et c’est (en partie) français !
Mais de l'autre, Luc Besson avait de l’or entre les mains et passe en partie à côté de l’énorme potentiel réjouissant de son postulat qui ne demandait qu’à être fructifié, par souci de n’avoir trop su comment gérer la transposition de l’histoire du roman en objet cinématographique, sans l’avoir judicieusement retravaillée pour l’aérer. Un peu long, pas suffisamment concis et efficace, tantôt trop ou pas assez rythmé, Malavita a du mal à dénicher la bonne carburation pour être libre de se concentrer sur ses qualités.
D'un côté, une comédie mâtinée d’action attachante, transpirant la sincérité et la légèreté de s’amuser d’un concept plein de drôlerie loufoque emmenant l’éternel décalage des cultures franco-américaine sur le terrain de la mafia en y conviant une distribution magistrale. Le casting est énorme et c’est (en partie) français !
Mais de l'autre, Luc Besson avait de l’or entre les mains et passe en partie à côté de l’énorme potentiel réjouissant de son postulat qui ne demandait qu’à être fructifié, par souci de n’avoir trop su comment gérer la transposition de l’histoire du roman en objet cinématographique, sans l’avoir judicieusement retravaillée pour l’aérer. Un peu long, pas suffisamment concis et efficace, tantôt trop ou pas assez rythmé, Malavita a du mal à dénicher la bonne carburation pour être libre de se concentrer sur ses qualités.
Luc Besson est un réalisateur irrégulier : il a fait de très bons films (comme le Cinquième Élément) mais aussi de très mauvais (comme Arthur et la Vengeance de Maltazard). Malavita n'atteint aucune des deux extrémités, c'est un film assez moyen ; "assez" car j'avoue avoir longuement hésité à mettre 3/5. Si j'ai vu ce long-métrage, c'est principalement pour son excellent casting composé notamment de trois Grands acteurs qui sont Robert De Niro (Le Parrain 2), Michelle Pfeiffer (Scarface) et Tommy Lee Jones (No Country for Old Men). En effet, il n'y a rien a dire sur leur prestation, ce trio est excellent ! En revanche, Dianna Agron et John D'Leo ne sont pas supers. Il y a une autre raison pour laquelle ce film m’intéressait, il s'agit de l'histoire qui me paraissait captivante ; elle est en effet plutôt divertissante mais malheureusement, le scénario n'est pas génial. Ce qui m'a le plus satisfait, c'est probablement le fait que niveau humour, cette comédie policière est vraiment efficace (putain qu'est-ce que j'ai ris !) donc malgré mon 2,5/5, je n'ai vraiment pas eu le sentiment d'avoir perdu mon temps.
Difficile de comprendre ce que Luc Besson a voulu faire tant "Malavita" oscille entre film de gangster pur et dur et grosse comédie bien appuyée. Un mixe des deux n’est pas impossible mais là disons que c’est tout simplement raté. Malgré le bon vouloir de ses acteurs, qui se sont tous investis ( Pfeiffer et De Niro en tête), le scénario manque cruellement de dynamisme et, sauf quelques bons moments, l’ensemble reste tout de même sans consistance.
Santu2b
En 2013, Luc Besson s'adjuge les service de Martin Scorsese en tant que producteur exécutif. Le couple Robert De Niro-Michelle Pfeiffer, ainsi que la présence bienvenue de Tommy Lee Jones demeure le seul intérêt du film. Car pour le reste on a droit à du Besson dans toute sa splendeur... Le cinéaste déploie une nouvelle fois son amour profond pour les clichés qu'il enfile comme des perles. Comme prévu, "Malavita" se réduit à un simpliste choc des cultures opposant frenchies et ricains. En somme, on n'apprendra pas grand chose si ce n'est le fait que les américains mangent toujours autant de burgers et les normands d'indécrottables adorateurs de crème. Ceci bien sûr quand sa démarche ne vire pas à la comédie primaire pour ados. Les nostalgiques des plus belles années du grand Bob y trouveront peut-être leur compte car l'hommage est réellement touchant, notamment au gré de la scène du ciné-club. Au moins cela.
Mouarf, un film en soit fun mais globalement pas terrible. Comme toujours dernière avec notre ami Besson, l’histoire est bourrée de clichés (cette fois-ci sur la Normandie et ce qu’en pensent les américains) ; mais on y voit aussi une sorte d’hommage aux films de gangster. On pourrait presque le voir comme une suite de Les Affranchis d’ailleurs. Bon, l’histoire prend du temps à se mettre en place et au final, il ne se passe pas grand-chose pendant pas mal de temps, et le final se règle en deux coups de cuiller à soupe. C’est très prévisible, l’humour y est assez présent (voire trop par moment) et ça reste quand même un peu brouillon dans l’ensemble. Le casting est au minimum syndical, que ce soit du côté américain ou français (même si, nos bon vieux camarades d’outre-Atlantique écrasent complètement nos compatriotes). Techniquement, ça va : musique de circonstance (avec beaucoup d’utilisation de morceaux connus), des effets spéciaux corrects, une mise en scène très américanisée et des décors plutôt chouettes. Bref, un film plutôt bof en général mais qui se laisse quand même regarder.
Sur le papier il y avait du potentiel mais Luc Besson ne fais de Malavita qu'une caricature des films de Scorsese. Malgré quelques références de subtilité, le film se transforme rapidement en un film familial sans conséquence et sans intelligence. Au stade ou le personnage incarné par De Niro se retrouve à animé une projection publique des Affranchis ça s'appelle de l’auto-parodie et là le film tombe très très bas. Malgré quelques bonnes vannes et des personnages plus ou moins attachant Malavita aurai aussi bien pu être un téléfilm de TF1.
très déçu par ce film. l'histoire n est pas captivante. beaucoup de bons acteurs pour un résultat banal. Luc besson nous a habitué à mieux.
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