Ou encore les mafieux chez les Normands ! Les acteurs sont bon surtout Michel Pfeiffer et De Niro comme à son habitude. Les voir signer avec Luc Besson m'etonne. Même si le réalisateur français commence a faire de plus en plus de film avec des gens d'Hollywood. Au bon du compte le film est un bon divertissement à voir en famille.
Malavita sonne faux, c'est creux comme le O de zéro, besson étale durant 2h des cliches indigeste ( les américain mangent des burgers, les français du fromages ), dommage car l'idée de départ était très bonne ! Heureusement que les Acteurs ( plutôt bon ) sauve quelques meubles de ce naufrage cinématographique, signe encore une fois, le bouffon Besson.
Un Besson à la sauce Tarentino. Le film et l'idée son pas mal mais Besson est Besson et ne devrait pas faire Tarentino car cela ne lui va pas. A voir mais pas forcément à revoir.
Luc Besson est un réalisateur irrégulier : il a fait de très bons films (comme le Cinquième Élément) mais aussi de très mauvais (comme Arthur et les minimoys). Malavita n'atteint aucune des deux extrémités, c'est un film assez moyen ("assez" car j'avoue avoir longuement hésité à mettre 3.5/5. Si j'ai vu ce long-métrage, c'est principalement pour son excellent casting composé notamment de trois Grands acteurs qui sont Robert De Niro (Le Parrain 2), Michelle Pfeiffer (Scarface) et Tommy Lee Jones (No Country for Old Men). En effet, il n'y a rien a dire sur leur prestation, ce trio est excellent ! En revanche, Dianna Agron et John D'Leo ne sont pas supers. Il y a une autre raison pour laquelle ce film m’intéressait, il s'agit de l'histoire qui me paraissait captivante ; elle est en effet plutôt divertissante mais malheureusement, le scénario n'est pas génial. Ce qui m'a le plus satisfait, c'est probablement le fait que niveau humour, cette comédie policière est vraiment efficace ,donc malgré mon 3/5, je n'ai pas eu le sentiment d'avoir perdu mon temps.
Pas très envie de me taper le dernier Luc Besson, réalisateur devenu... rien, je me laissais tout de même tenter par son casting et son pitch en tant que fan de films de gangsters. Hé hé hé grave erreur, c'était oublié que Luc Besson était aux commandes et du scénario et de la réalisation. Et que Luc Besson emballe ses projets avec une non envie et une pauvreté de passion affligeante. Déjà les musiques toute mièvres insupportables font drôlement songer à un téléfilm TF1. La photographie jaune soleil hideuse fait songer à la même chose, la réalisation est pauvre. Mais les dialogues.... mon dieu, les dialogues... honteux. même moi j'aurais pas idée de faire ça, comme la scène ou la fille de de Niro corrige une bande de mecs à coups de raquettes et leur fait la morale. Et le scénario. Mon dieu.. Putain comme dirait de Niro. Que ce soit cliché c'est une chose, ça peut être cliché et bien foutu mais là c'est la médiocrité du cliché bas de gamme. Pour un oui ou pour un non le mafieux tue ou casse la gueule, les américains bouffent des burgers et les français sont cons et méchants. Besson semble vouloir faire sa déclaration d'amour aux "Affranchis" de Scorsese mais dessert son modèle plus qu'autre chose en le montrant ouvertement et en faisant passer "Malavita" comme une sorte de suite spirituelle. D'autant plus que les gags assez pauvres ne sont jamais drôles, mignons ( un comble pour un film de gangsters ) et parfois pitoyables. Et je ne parle pas de la fin qui nous ramène au même point qu'au début du film. Un scénario c'est on part d'un point A pour aller à un point B, là on reste au point A: foutage de gueule et sentiment d'avoir perdu son temps en vue. La seule maigre consolation du titre reste son casting plutôt pas mal, on aurait juste préféré peut être un réalisateur plus impliqué et talentueux pour faire un grand film de mafieux post moderne.
Luc Besson qui faisait avant des films de qualités (Le Cinquième Elément et Le Grand Bleu) se ramasse complètement avec Malavita. Le film raconte l'histoire de Fred Blake (Robert De Niro) qui s'installe en Normandie avec sa femme (Michelle Pfeiffer) et ses deux enfants afin d'échapper à la mafia New-yorkaise, eux même étant des repentis. Si l'intrigue n'est pas nouvelle, Luc Besson n'apporte rien de nouveau et se contente de nous balancer des clichés avec un paradoxe détestable : des français qui parlent anglais (chose inexcusable au cinéma depuis Inglourious Basterds). Les acteurs jouent bien, mais c'est la médiocrité du scénario qui fait que ce film est raté.
C'est sympa, drôle par moment, mais surtout un bon duo d'acteur, pour le reste le scénario est assez moyen est terne, un film à voir sans prise de tête.
C'est sympa, , il y a le duo robert de niro/tomy lee jones qui marche bien, et puis michelle pfeiffer qui pris quelques rides. C'est mené par un bon rythme et puis ca se passe en France, dans un petit village (et même pas dans la capitale!!) Certes va semble un peu du déjà vu avec des gros clins d'oeil (ndlr la diffusion des affranchis alors que Martin Scorcese est le producteur exécutif du film). Ce n'est pas le film de l'année mais c'est gentillet et on aime bien ça, faut pas se le cacher.
Malavita pourra vous offrir un moment tranquille, sans vous prendre la tê vous réjouirez de la direction sans pitié de certaines situations et dialogues. Même si le changement de ton, passant souvent de la comédie au polar typiquement mafia au style Scorsese pourra en déstabiliser plus d'un, le film s'en tire avec tous les honneurs.
Le casting trois étoiles fait plutôt proprement le travail. Tommy Lee Jones fidèle à lui même nous ressort son rôle de marshall qu'il avait eu dans le fugitif, le résultat s'avère toujours efficace. De Niro reste sobre par rapport à des prestations récentes, mais c'est Michelle Pfeiffer qui s'en sort le mieux proposant un jeu décalé, sensible et donc sensé.
Prêt à servir pour les soirées TF1, ce Malavita n'en est pas pour autant le désastre annoncé, le film reste agréable, bien réalisé, bien huilé. Le divertissement est présent pour les amateurs du genre ...
Un film qui commence par un quadruple meurtre dans ses dix premières secondes et finit par un « putain ! », ne peut être que fun. Malavita réserve donc un bon paquet de moments de rigolades, si tant est qu'on est capable de se décoincer de notre chauvinisme bien français pour rire de clichés bien débiles sur le camembert ou le bocage normand. De Niro est craquant, en vieux mafieux bougon ayant brisé l'omerta, mais qui se laisse aller à des « rechutes », comme de tabasser un plombier à coups de batte -portugais le plombier évidemment. L'histoire se laisse découvrir, on croit d'abord que seul le père est du milieu, en fait pas que. Ca donne pas mal de situations odieuses et marrantes. C'et là qu'on regrette presque que la fin soit expédiée en une fusillade mollassonne tant la satyre aurait pu être poussée plus loin. Parce que rogntudîu, il fallait que ce soit ce fainéant de Luc Besson aux commandes... Il a filmé Malavita avec une main dans le slip. Sérieux quoi, des dialogues interminables en champ/contre-champ, une mise en scène infantilisante, (exemple : le mec au téléphone dit «on passe au plan B », le mec à l'autre bout est filmé en train de dire à un autre gars, « on passe au plan B »), des effets de style périmés (ralenti-accéléré bien ringard à plusieurs reprises). Faut donc pas s'attendre à un grand film de gangsters : ici les mafieux se repèrent à 10km avec leurs Borsalino et trenchs en cuir noir, les français sont racistes, la fille se tape son prof de maths... Mais on se marre bien. C'est amplement suffisant.
Quelle catastrophe ... On se demande vraiment que sont venu faire dans cette galère De Niro, Pfeiffer et Lee Jones. Le scénario, non seulement déroule tous les poncifs du genre, mais est d'un soporifique sans non. C'est censé être une comédie mais ce n'est pas drôle pour un sous. Quand aux scènes d'actions, on retrouve la réalisation putassière de Besson qui a depuis longtemps perdu son inspiration.
Merci Besson pour me rendre mon patriotisme : il s'acharne tellement à rendre les français pitoyables (grossiers, malhonnêtes, neuneus et j'en passe) en livrant également cette grosse daube au cinéma signée par lui-même, un des réalisateurs les plus anti-français (change de nationalité si tu les aimes tant que ça les ricains!), que j'en viens à vouloir restaurer l'honneur français... Son honneur, je ne le défendrai plus car cela fait belle lurette que ces films ont sombré dans la nullité (Léon, revient!!!!) mais prétendre par exemple, que l'eau du robinet est marron parce que des industriels nettoient leurs cuves d'engrais et que ça atterrit dans le réseau d'approvisionnement d'eau de la ville sans que ça ne dérange le maire ou ses habitants... Alors que justement je m'étonnais à l'époque où est censé avoir lieu le film, que l'eau des hôtels 3 étoiles de Manhattan était justement brunâtre, conséquence d'une plomberie obsolète remplacée depuis... Ce que je n'avais jamais vu en France, même dans le village paumé de mes grands parents, qui avaient pourtant gardé leur vieille pompe à eau comme souvenir (qui distribuait toujours de l'eau potable et transparente...) Bref, sa parodie/hommage ratée des grands films de Scorsese malgré la présence des excellents De Niro, Tommy Lee Jones et Pfeiffer, a le seul mérite de réveiller chez moi un sens patriotique d'habitude absent... Je vais même boycotter ces prochains films pour la peine!
Film divertissant mais manquant un peu de rythme. Heureusement que la scène finale nous réveille. Le scénario n'a pas grand chose d'extra-ordinaire. Les clichés sur les "français" sont limites... c'est un poil agaçant. A voir, quand même pour Dianna Agron !