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Votre avis sur Malavita ?
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Le film est basé sur le roman Malavita de l'auteur français Tonino Benacquista. Il contient tous les éléments merveilleux des grands films de gangsters mais avec en plus une touche d'humour. La dynamique familiale est rafraîchissante elle évoque ce qu'une famille de mafieux moderne vivait probablement. Vous vous retrouvez à aimer la famille dans son ensemble et à ne pas en choisir une autre pour son idiotie. Le film commence rapidement pour vous amener à approfondir les introductions et le développement des personnages. Ce qui est une bonne chose car cela vous permet de découvrir leur personnalité et leur croissance tout au long du film. Vous regardez les erreurs stupides d'une adolescente et un garçon intuitif mais toujours parfait. Une mère qui essaie de faire de son mieux pour garder sa famille ensemble et un père (un peu) plein de remords. Outre la joie de voir De Niro nous passons un bon moment avec des nombreux personnages difficiles. Vous pouvez voir Tommy Lee Jones jouer un agent bourru du FBI, Robert Stansfield qui peut échanger des barbes avec sa charge, Fred qui a une telle propension à la violence que Fred est un travail à plein temps pour Robert. Réalisé par l'élégant Luc Besson de (Nikita), Malavita a un casting de soutien accompli, Michelle Pfeiffer en tant que maman Maggie est une graveleuse de Brooklyn avec sa célèbre beauté bien préservée. Les deux enfants joués par Diana Argon et John D'Leo sont parfaitement dangereux comme on peut s'y attendre. Ce film est définitivement un incontournable...
La Basse Normandie et les Etats-Unis : Luc Besson ètait bien placè pour faire la part des choses entre ces deux mondes qu'il connaissait parfaitement bien pour y avoir vècu! Quand un repenti de la mafia new-yorkaise s'installe dans ce petit village français qui est normand, cela donne "Malavita", avec notamment Robert De Niro, Michelle Pfeiffer et Tommy Lee Jones! Dans ses rèfèrences, Besson se fait plaisir! Ok, il manque par rapport au bouquin de Benacquista cette vraie animositè entre les personnages de la famille mais Besson a envie de filmer ces acteurs là, avec de l'humour poussè à l'extrême, du cabotinage, où De Niro n'hèsite pas à s'auto-parodier en jouant l'affranchi! Avec toutes les rèserves qu'on peut y apporter, "Malavita" est un divertissement honorable même si certaines vannes sont un peu faiblardes! Al Capone disait souvent qu'on obtient toujours plus de choses en ètant poli et armè, qu'en ètant juste poli! Bref, on se surprend à passer un bon petit moment en compagnie du couple Robert De Niro-Michelle Pfeiffer et de la très « sage » Dianna Agron, personnage imprèvisible auquel il vaut mieux ne pas se frotter...
Caine78
Que dire de « Malavita » ? Au fond pas grand-chose. Le résultat est anecdotique, le scénario en roue libre au point qu'on renonce rapidement à compter les incohérences et la subtilité loin d'être toujours au rendez-vous. Pour autant, je n'ai pas envie d'être trop sévère avec un film nous offrant ce que l'on était venu chercher : un divertissement sympa, récréatif et parfois savoureux, Luc Besson n'ayant de grandes prétentions à aucun moment. Et puis il n'y a pas à dire : lorsque vous avez au casting Robert De Niro (drôle), Michelle Pfeiffer (classe, forcément) et Tommy Lee Jones (impeccable), bizarrement cela remonte tout de suite le niveau, surtout que la belle Dianna Agron sait s'y prendre pour faire monter la température. Ajoutez à cela un peu d'auto-dérision, quelques répliques marrantes et vous obtiendrez une œuvre loin d'être marquante, assez prévisible mais néanmoins relaxante et se regardant agréablement : après tout, pourquoi pas.
FaRem
J'ai passé un très bon moment devant ce film qui est divertissant. L'histoire est sympa il y a toujours les clichés dans les deux sens mais c'est à prendre au seconde degrés Besson s'en amuse avec pas mal d'humour. Une fois la partie légère fini la tension monte crescendo pour nous offrir un final explosif. Le casting est très bon avec les 4 membres de la famille qui sont excellent.
selenie
D'après le roman éponyme de Tonino Benacquista (aussi scénariste avec Jacques Audiard) Luc Besson se fait plaisir comme un gosse en invitant Robert De Niro dans une comédie hommage aux films de mafia... Evidemment les références sont légions (en premier lieu "Les Affranchis") et on est à l'avance dans un plaisir coupable. De plus co-produit par Martin Scorcese le film veut se donner un maximum de crédit avec en prime une Michelle Pfeiffer pétillante, en couple inédit (jamais été ensemble sur un platerau malgré deux autres films en commun) avec sieur De Niro. Il semble que le petit plus soit le choc des cultures... Et c'est là lepremier et plus gros problème... Que ce soit en VO ou en VF il semble que cette famille américaine et les bosn gaulois parlent la même langue et s'entendent parfaitement. En VO notamment j'ai r arement vu autant de français (écoliers, commerçant, grandpère.. etc et toutes couches sociales confondues) parler aussi bien anglais ! Sans compter que cette famille ricaine parle très mal français, même les deux gosses, pourtant il semble avoir vécu déjà un certain temps en France (Paris et Côte d'Azur)... Choc des cultures limités donc aux poncifs éculés... Outre "Les affranchis" on reconnait quelques bonnes gueules ciné-mafieuses. Luc Besson par contre prend moins de risque dans la mise en scène (surtout, bizzarement dans les scènes d'action) et s'accommode du minimum syndical. Si la première partie reste savoureuse avec notamment deux gosses infernaux la second epartie est déjà plus violente et sombre. Quelques mauvaises idées comme l'amourette de la fille ou le message pseudo-écolo via une eau marron, deux idées médiocres qui prennent trop de place. Quelques bonnes idées comme les gamins qui trouvent leur place d'un certaine façon à l'école (mais pas mené jusqu'au bout malheureusement)... Bref un comédie policière sympathique à défaut d'être une grande réussite. Un plaisir coupable qui ne mérite pas un tel désaveu général. Un film film qui subit une réputation basée sur le capital antipathique de son réalisateur.
NeoLain
Mal, vite aspirine ! Besson ne veut toujours pas faire un bon long-métrage, cela commence à faire un bail et rien à faire. Il continue d'écrire des scénarios d'écolier au fond de sa classe. Zéro pointé pour ce long-métrage mafio-politico-humoresque. Pas marrant, vieux, grossier et prétentieux. Le réalisateur réunit tout de même Robert De Niro et Michelle Pfeiffer inutilement. A part passer pour des pitres en vitrine, le résultat en valait peine.
Une comédie parodique sympathique mais rarement amusante voire assez lourde, malgré un scénario prometteur et un casting emballant.
Robert De Niro et Michelle Pfeiffer, en anciens mafiosos, qui n'ont pas perdu leurs vieux réflexes, lâchés avec leurs enfants, qui n'ont pas manqué d'acquérir bien sûr quelques-uns de ces vieux réflexes, en pleine Normandie, c'est vraiment peu habituel et ça annonce quelque chose d'assez jouissif.
On se dit donc très naïvement que ça a beau être Luc Besson qui est derrière la caméra, faute d'avoir quelque chose de grandiose on aura au moins un divertissement sans prise de tête qui fait passer un bon moment. Ce serait oublier le talent de Besson pour écrire des scénarios qui accumulent de manière spectaculaire les lourdeurs et les incohérences assaisonnés d'une réalisation bien bourrine.
Bref aucune intrigue, personnages absolument pas creusés qu'on finit très vite pas s'en désintéresser, comme pour tout le reste d'ailleurs.
Difficile aussi de passer à côté d'une vision des français, très stéréotypée pour ne pas dire très méprisante, et qui chose incroyable parlent pourtant tous très bien anglais (alors que les français font parties des plus mauvais pour ce qui est des langues étrangères !!!) ; vision qui sera pardonnable de la part d'un américain mais d'un français c'est très embarrassant.
J'ai encore sous-estimé la capacité de Luc Besson a réaliser des navets, et là encore j'ai eu tort.
Allez un petit point positif pour la route, Dianna Agron, que je ne connaissais pas jusqu'ici (oui, je n'ai jamais regardé "Glee" !!!), est très canon.
On se dit donc très naïvement que ça a beau être Luc Besson qui est derrière la caméra, faute d'avoir quelque chose de grandiose on aura au moins un divertissement sans prise de tête qui fait passer un bon moment. Ce serait oublier le talent de Besson pour écrire des scénarios qui accumulent de manière spectaculaire les lourdeurs et les incohérences assaisonnés d'une réalisation bien bourrine.
Bref aucune intrigue, personnages absolument pas creusés qu'on finit très vite pas s'en désintéresser, comme pour tout le reste d'ailleurs.
Difficile aussi de passer à côté d'une vision des français, très stéréotypée pour ne pas dire très méprisante, et qui chose incroyable parlent pourtant tous très bien anglais (alors que les français font parties des plus mauvais pour ce qui est des langues étrangères !!!) ; vision qui sera pardonnable de la part d'un américain mais d'un français c'est très embarrassant.
J'ai encore sous-estimé la capacité de Luc Besson a réaliser des navets, et là encore j'ai eu tort.
Allez un petit point positif pour la route, Dianna Agron, que je ne connaissais pas jusqu'ici (oui, je n'ai jamais regardé "Glee" !!!), est très canon.
Basé sur un roman de Tonino Benacquista, "Malavita" a pour meilleure qualité son concept : une famille américaine aménage dans un village paumé en Normandie sous la protection du FBI et pour cause : pour une raison qu'on ne saura jamais, le père, ancien mafieux, a dénoncé tous ses petits copains et sa tête est mise à prix. Son seul problème est qu'il ne sait pas tenir en place et sa famille non plus : lui tabasse le plombier parce qu'il lui parle mal, la mère fait sauter l'épicerie du coin parce qu'elle n'a pas de beurre de cacahuètes, la fille donne des coups de raquette à un garçon trop entreprenant et le fils fait du "business" au sein du lycée. Propulser cette famille pas comme les autres au cœur du fin fond de la France est une riche idée qui donne lieu à quelques bons moments. Mais derrière, et comme toutes les productions Besson, le scénario ne suit pas. En effet, certains passages sont trop caricaturaux, un peu abusifs, la psychologie des personnages n'est pas toujours soignée et le scénario n'est pas toujours très convaincant. Ce qui arrive à sauver l'ensemble à part quelques scènes réjouissantes, ce sont les performances des acteurs. Robert De Niro semble vraiment s'amuser à jouer ce personnage un peu blasé qui semble taillé à sa mesure tant il fait penser à ses performances précédentes, Michelle Pfeiffer est très convaincante en mère de famille au caractère bien trempé et les deux jeunes acteurs sont aussi très bons ce qui ne suffit malheureusement pas à excuser la balourdise de l'ensemble qui ne fait jamais dans la subtilité.
Le film est réalisé dans le même esprit décalé que Nikita ou Léon. C'est très bien foutu, l'interprétation est parfaite, Dianna Agron est bien jolie, certaines scènes sont inoubliables (la descente du train) et la scène finale est jubilatoire. Tout juste peut-on regretter un peu trop de violence gratuite (et parfois téléphoné comme la scène du plombier). Quand à ceux qui ont pris le film au premier degré, tant pis pour eux !
La critique est toujours prompt à tomber sur Luc Besson,qui il est vrai s'est beaucoup planté depuis la fin des années 90,tant comme producteur que comme cinéaste. Mais pour "Malavita",ça semble injustifié. Le film est une comédie de gangsters,hommage assumé aux "Affranchis" de Scorsese,qui a donné sa bénédiction pour citer son chef d'œuvre. Besson se régale du contraste culturel entre les habitants d'un village de Normandie,et cette famille typiquement américaine à la colère facile. On rit beaucoup,bien plus que ce qu'on imaginait. Robert De Niro s'amuse comme un fou,à détourner son image virile et charismatique patiemment construite depuis des décennies. Il évolue pratiquement dans le registre de l'auto-parodie. C'est la première fois qu'il donne directement la réplique à Michelle Pfeiffer,aussi pétillante et sautillante que dans ses années de gloire. Avec les jeunes Dianna Agron et John D' Leo,ils forment une famille pétaradante et très attachante. Sans oublier Tommy Lee Jones en agent du FBI patte Besson se reconnaît dans les scènes d'action,avec des trognes patibulaires et une musique proche de son époque Eric Serra. La Mafia y est montrée sous un jour différent,avec plus de légèreté et de second degré. Si ce "Malavita" manque clairement de finesse,son goût est agréable.
Roub E.
C est complètement loupé. A force de se chercher un genre Malavita est un film qui ne trouve pas sa personnalité et se retrouve mauvais en tout. Comédie pas drôle ou film d action mollasson, les deux fonctionnent pour définir ce film qui va tellement loin dans l auto parodie et la caricature qu il en devient ridicule et au final pénible à suivre. La bande son est plutôt bonne mais au final c est sûrement le plus mauvais film de Luc Besson.
Une très bonne intrigue, bien menée. Des mafieux mis sous protection des témoins s'installent en Normandie et se mêlent aux habitants du coin jusqu'à ce que "la famille" les repère... Une très bonne mise en place et un attachement direct à cette famille hors du commun dont l'intégration est intelligemment orchestrée. J'ai passé un excellent moment en compagnie de ces 4 excellents acteurs ( Tommy Lee Jones dans le rôle de l'agent protecteur). Un couple (Michelle Pfeiffer et Robert de Niro) qui connaît bien les rouages des films mafieux pour avoir participé à des chefs d'oeuvre du genre (On ne présente plus la filmographie de Robert de Niro à ce sujet et inutile de rappeler "Scarface" pour Michelle Pfeiffer). Une découverte des jeunes acteurs Dianna Agron et John D'Leo dans le rôle des enfants débarquant au lycée. Et une référence inattendue
spoiler:
Au visionnage et à la critique du film "Les Affranchis" de Martin Scorsece par Robert De Niro, rien que ça !!
. J'ai beaucoup aimé alors que la note spectateur est basse. Que ce soit la Normandie ou le casting, tout est admirablement choisi !
. J'ai beaucoup aimé alors que la note spectateur est basse. Que ce soit la Normandie ou le casting, tout est admirablement choisi !
Un tres bon film de Luc Besson a l'humour jubalitoire et absurde . Robert De Niro incarne un ancien mafieux refugie en Cote d'Azur.
Redzing
Dans la France des années 90, une famille américaine s'installe dans un petit village normand. Sauf que le père est en réalité un ex-gangster qui vit sous le programme de protection des témoins. Pourquoi en France, là où des Américains attirent l'attention et le FBI n'a aucune légitimité ? Allez savoir, ça ne sera jamais expliqué. Malgré cette invraisemblance, "The Family" est un divertissement correct pour qui demeure indulgent.
Certes, le portrait de la Normandie n'est guère flatteur (la population passe pour des andouilles). Certes, on s'étonne de voir tout le monde parler anglais sans aucun souci. Dans la vraie vie, je doute que le chef de bande du collège local maîtrise la langue de Shakespeare (encore moins en 1996), et traite les Américains de "yankee" !
Tandis que le scénario tourne un peu en rond, malgré un point de départ juteux : comment des crapules peuvent s'ajuster à une vie paisible. Un pitch déjà tenté par l'affreux "My Blue Heaven". Ce n'est pas toujours très adroit, et le final est expédié, mais il y a quelques idées intéressantes.
Et le film contient des qualités. La mise en scène tient la route. La reconstitution des années 90 n'est pas trop mal (on est à des années-lumière du ratage "Anna" et de ses anachronismes gros comme une maison). Vieille Peugeot, photo de Jacques Chirac, et francs à l'appui.
Surtout, "The Family" est appuyé par une solide distribution. Je serai un poil dubitatif sur Dianna Agron : l'actrice a beau être craquante et enflammée, elle est clairement trop âgée (27 à l'époque) pour incarner une lycéenne (!).
Mais on bénéfice de Michelle Pfeiffer, Tommy Lee Jones, et en particulier d'un Robert De Niro motivé. Quelques très bonnes références/vannes seront d'ailleurs trouvées autour du lui. Il cite une célèbre phrase d'Al Capone... qu'il a lui-même prononcée dans "The Intouchables". Et puis il y a cette très amusante séquence spoiler: dans un ciné-club, où son personnage revoit avec un grand sourire... "Goodfellas" !
Assez anecdotique au final, mais pas aussi mauvais que l'on pouvait craindre.
Certes, le portrait de la Normandie n'est guère flatteur (la population passe pour des andouilles). Certes, on s'étonne de voir tout le monde parler anglais sans aucun souci. Dans la vraie vie, je doute que le chef de bande du collège local maîtrise la langue de Shakespeare (encore moins en 1996), et traite les Américains de "yankee" !
Tandis que le scénario tourne un peu en rond, malgré un point de départ juteux : comment des crapules peuvent s'ajuster à une vie paisible. Un pitch déjà tenté par l'affreux "My Blue Heaven". Ce n'est pas toujours très adroit, et le final est expédié, mais il y a quelques idées intéressantes.
Et le film contient des qualités. La mise en scène tient la route. La reconstitution des années 90 n'est pas trop mal (on est à des années-lumière du ratage "Anna" et de ses anachronismes gros comme une maison). Vieille Peugeot, photo de Jacques Chirac, et francs à l'appui.
Surtout, "The Family" est appuyé par une solide distribution. Je serai un poil dubitatif sur Dianna Agron : l'actrice a beau être craquante et enflammée, elle est clairement trop âgée (27 à l'époque) pour incarner une lycéenne (!).
Mais on bénéfice de Michelle Pfeiffer, Tommy Lee Jones, et en particulier d'un Robert De Niro motivé. Quelques très bonnes références/vannes seront d'ailleurs trouvées autour du lui. Il cite une célèbre phrase d'Al Capone... qu'il a lui-même prononcée dans "The Intouchables". Et puis il y a cette très amusante séquence spoiler: dans un ciné-club, où son personnage revoit avec un grand sourire... "Goodfellas" !
Assez anecdotique au final, mais pas aussi mauvais que l'on pouvait craindre.
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