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Votre avis sur Malavita ?
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Adaptation très fidèle au livre. Niro est excellent en mafioso ultra violent qui peine à réfréner, mais pas toujours, ses pulsions (j'ai adoré la scène de la cave avec le marteau.. ). er est parfaite également. Bref, un bon moment.
Si je chie et que je regarde ma merde pendant 1h42, je serai plus satisfaite que de voir ce film qui est une honte à l'espèce humaine !
N'en déplaise au critique de Première, la scène de la séance de ciné-club projetant Les Affranchis existe bien - et en bien plus long - dans le roman de Benacquista; elle ne doit rien à Besson. Si erreur il y a, c'est d'avoir pris De Niro, qui joue AUSSI dans le Scorsese et qui a ici 20 ans de plus que son personnage de papier. A part ça, et hormis la ridicule amourette prof-élève ( seule invention de Besson - il est d'ailleurs amusant de constater à quel point elle est ratée...- ), le film est globalement fidèle au bouquin. Et si, concision et ellipse obligent, comme pour toute adaptation, les personnages manquent d'épaisseur, si les scènes de lycée sont risibles, le tout n'est pas honteux. Mais pour comprendre la Mafia - Malavita - mieux vaut lire le roman.
Nous étions plusieurs amis à avoir regardé MALAVITA, le dernier film de Luc Besson.
Au final, lorsque nous avons échangé nos points de vue, force a été de constater que tous sans exception, avions évoqué « une pâle fumisterie et une grosse nullité cinématographique ».
Pour ce qui est de mon avis, voilà un film qui participe d’une arnaque, tantôt vis-à-vis des spectateurs désireux de passer un bon moment ; tantôt vis-à-vis des acteurs qui ignoraient certainement à quel point Luc Besson leur fabriquerait des rôles justes bons à flinguer leurs images de marque respectives !
Sinon, je doute fort qu’ils se seraient laissé embarquer dans pareille galère, idéale pour rétrograder leur Côte au Box-Office des « Banquables », à moins qu’il leur faille d’urgence payer les impôts fonciers !
Et comment justifier que l’on recoure à de pareilles pointures, telles que sont Robert De Niro et Michelle Pfeiffer, si c’est uniquement pour les souiller dans une espèce de sous-film, à ce point desservi par une sous-histoire à moitié débile digne des mauvaises séries B ou C ?...
Et pourquoi nous imposer aussi souvent des gros plans sur le visage de Michelle Pfeiffer qui, au final, n’auront servi qu'à nous faire remarquer avec insistance qu’elle est comme Madame tout le monde, à savoir que le temps qui passe ne l'a pas épargnée.
Était-ce pour nous faire comprendre, qu'égratignée comme elle l’est maintenant, elle ne doit pas fréquenter les Chirurgiens Esthétiques, elle ?...
Sacré Promo ! Bravo Besson ! Merci.
C'est de la démolition d'image de marque et du sexisme lamentable de la part de Besson, qui dégringole dans mon estime avec une pareille incongruité cinématographique, dont je l'aurais cru incapable vis-à-vis d’un public et des gens qui se souviennent encore du Grand Bleu.
Et pour finir ma liste de questions sans réponses : Mais où et comment peut-on encore trouver des budgets si c’est pour en faire de pareilles nullités et au final nous faire perdre notre temps devant des spectacles de navets ?...
Mystère.
Ma note : 0,5 sur 10.
Au final, lorsque nous avons échangé nos points de vue, force a été de constater que tous sans exception, avions évoqué « une pâle fumisterie et une grosse nullité cinématographique ».
Pour ce qui est de mon avis, voilà un film qui participe d’une arnaque, tantôt vis-à-vis des spectateurs désireux de passer un bon moment ; tantôt vis-à-vis des acteurs qui ignoraient certainement à quel point Luc Besson leur fabriquerait des rôles justes bons à flinguer leurs images de marque respectives !
Sinon, je doute fort qu’ils se seraient laissé embarquer dans pareille galère, idéale pour rétrograder leur Côte au Box-Office des « Banquables », à moins qu’il leur faille d’urgence payer les impôts fonciers !
Et comment justifier que l’on recoure à de pareilles pointures, telles que sont Robert De Niro et Michelle Pfeiffer, si c’est uniquement pour les souiller dans une espèce de sous-film, à ce point desservi par une sous-histoire à moitié débile digne des mauvaises séries B ou C ?...
Et pourquoi nous imposer aussi souvent des gros plans sur le visage de Michelle Pfeiffer qui, au final, n’auront servi qu'à nous faire remarquer avec insistance qu’elle est comme Madame tout le monde, à savoir que le temps qui passe ne l'a pas épargnée.
Était-ce pour nous faire comprendre, qu'égratignée comme elle l’est maintenant, elle ne doit pas fréquenter les Chirurgiens Esthétiques, elle ?...
Sacré Promo ! Bravo Besson ! Merci.
C'est de la démolition d'image de marque et du sexisme lamentable de la part de Besson, qui dégringole dans mon estime avec une pareille incongruité cinématographique, dont je l'aurais cru incapable vis-à-vis d’un public et des gens qui se souviennent encore du Grand Bleu.
Et pour finir ma liste de questions sans réponses : Mais où et comment peut-on encore trouver des budgets si c’est pour en faire de pareilles nullités et au final nous faire perdre notre temps devant des spectacles de navets ?...
Mystère.
Ma note : 0,5 sur 10.
Un bon film, sorte de croisement humoristique entre Mr & Mme Smith et une comédie régionale qui égratigne bien la Normandie (entre le musée du cidre et une église du XVème à 20 bornes... :p). Bon un défaut quand même, la fin est expédiée trop vite et pas trop en raccord avec le ton léger du film, l'amourette du film est traitée par dessus la jambe, la fin ouverte est maladroite, Lee Jones fait de la figuration.
On passe quand même un très bon moment, je recommande.
On passe quand même un très bon moment, je recommande.
Avec son scénario tout droit sorti des têtes d’une hydre bicéphale à l’effigie d’un Scorsese retraité et d’un Lautner ressuscité, Malavita ne tient malheureusement pas ses promesses...
luc besson le réaisateur du 5 e element et de valerian et du grand bleu de nikita
EuropaCorp et Relativity Media signent en mai 2012 un marché pour la coproduction de deux films incluant la distribution6. Le premier des deux films est Malavita, le deuxième est 3 Days to Kill (2014)
Le scénario, écrit par Luc Besson et Michael Caleo, est adapté du roman Malavita de Tonino Benacquista, publié en 2004
La productrice Virginie Besson-Silla avoue que le scénario respecte presque totalement l'intrigue du roman
À l'origine, Luc Besson ne devait être que scénariste et producteur du film. Mais après avoir développé le projet avec Robert De Niro et cherché d'éventuels metteurs en scène, il a décidé d'être aussi le réalisateur
Le tournage débute le 14 août 2012 en France et se poursuit jusqu'en octobre 2012 entre la Normandie, (à Gacé, notamment au collège Jean-Moulin de la ville, transformé pour l’occasion en lycée Jules-Vallès, et surtout Le Sap, New York et la Cité du cinéma à Saint-Denis pendant un mois. Une partie du tournage a également eut lieu dans la ville de L'Aigle. En Normandie, l'équipe tourne également à Sainte-Foy-de-Montgommery (Calvados), Saint-Evroult-de-Montfort et Sées et L'Aigle (Orne). Quelques plans sont réalisées dans les Alpes-Maritimes
Luc Besson était également ravi de tourner à la Cité du cinéma, pour la première fois en tant que réalisateur
Le film projeté au ciné-club n'est autre que Les Affranchis de Martin Scorsese, producteur exécutif de Malavita
EuropaCorp et Relativity Media signent en mai 2012 un marché pour la coproduction de deux films incluant la distribution6. Le premier des deux films est Malavita, le deuxième est 3 Days to Kill (2014)
Le scénario, écrit par Luc Besson et Michael Caleo, est adapté du roman Malavita de Tonino Benacquista, publié en 2004
La productrice Virginie Besson-Silla avoue que le scénario respecte presque totalement l'intrigue du roman
À l'origine, Luc Besson ne devait être que scénariste et producteur du film. Mais après avoir développé le projet avec Robert De Niro et cherché d'éventuels metteurs en scène, il a décidé d'être aussi le réalisateur
Le tournage débute le 14 août 2012 en France et se poursuit jusqu'en octobre 2012 entre la Normandie, (à Gacé, notamment au collège Jean-Moulin de la ville, transformé pour l’occasion en lycée Jules-Vallès, et surtout Le Sap, New York et la Cité du cinéma à Saint-Denis pendant un mois. Une partie du tournage a également eut lieu dans la ville de L'Aigle. En Normandie, l'équipe tourne également à Sainte-Foy-de-Montgommery (Calvados), Saint-Evroult-de-Montfort et Sées et L'Aigle (Orne). Quelques plans sont réalisées dans les Alpes-Maritimes
Luc Besson était également ravi de tourner à la Cité du cinéma, pour la première fois en tant que réalisateur
Le film projeté au ciné-club n'est autre que Les Affranchis de Martin Scorsese, producteur exécutif de Malavita
GyzmoCA
J'ai trainé la savate pour aller voir ce film mais finalement c'est une très bonne surprise. Un auto dérision marrante, des acteurs en forme bref un film qui m' a fait passé un bon moment. Luc Besson fait pas souvent de grands films mais souvent des films qui s'apprécient. Et c'est bien la son mérite.
Un petite comédie qui vaut uniquement pour son casting. Pour le reste le film est lin d' être passionnant. J'attendais beaucoup mieux de Besson. Une déception.
Un bon film "d'action" sans plus malgré un bon De Niro. Luc Besson a fait 10x mieux: Jeanne d'Arc, Le 5eme élément, Angèl-A... Dommage.
De bon acteurs, une histoire qui tient la route, un bon moment de ciné. Une fin du tonnere.
Nicolas V
un melange de comedie et d intrigue de gangster que nous offre luc besson. le film propose quelques scènes marrantes et les acteurs sont tous excellents dans leurs roles atypiques.
le seul petit défaut seraitun manque d originalité dans le scénario.
le seul petit défaut seraitun manque d originalité dans le scénario.
Le contraste entre le calme de la campagne normande et l’agitation de New York aurait sûrement pu être une grande ressource comique. Mais le cadre n’est absolument pas exploité, Luc Besson n’en fait rien du tout : la famille Blake aurait tout aussi bien pu s’installer dans la campagne américaine. Le réalisateur semble avoir filmé cette histoire sans aucune passion. On retrouve la manière de filmer de Besson, toujours articulée autour d’images ou de répliques censées être frappantes (notamment les transitions). Censées, car ici elles ne le sont pas du tout : on a l’impression qu’avec « Malavita », Luc Besson vient de réaliser son premier téléfilm.
Le film s’effondrerait complètement sans la résonance constante qu’il entretient avec le passé filmographique de Robert De Niro. C’est peut-être là que réside l’humour du film : que Luc Besson ose citer dans cette comédie bâclée, sans ambition et complètement commerciale des films comme « Le Parrain » ou « Les Affranchis ».
Le film s’effondrerait complètement sans la résonance constante qu’il entretient avec le passé filmographique de Robert De Niro. C’est peut-être là que réside l’humour du film : que Luc Besson ose citer dans cette comédie bâclée, sans ambition et complètement commerciale des films comme « Le Parrain » ou « Les Affranchis ».
Le scénario est original, le début sort du lot. Même si la suite est plus classique, avec un tel casting ( Robert De Niro, Michelle Pfeiffer, Tommy Lee Jones ) on ne s'ennuie pas.
Besson est en mode automatique dans cette comédie mafieuse sans réel relief.
Par chance pour lui, le casting parait dans sa globalité s'amuser des codes du genre permettant à MALAVITA de surnager jusqu'à son final.
Par chance pour lui, le casting parait dans sa globalité s'amuser des codes du genre permettant à MALAVITA de surnager jusqu'à son final.
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