Une comédie légère comme on devait s'y attendre. Les vannes "faciles" sont plutôt bien trouvées tout de même. Le duo de "comique" pour ne pas dire acteur est sympathique et ,comme le disent beaucoup de commentaires, politiquement incorrects. C'est peut-être ce qui faire tenir en haleine le spectateur, les références au monde politique. A voir, mais sans plus.
A l'image d'un "Case Départ" poussif et plutôt ennuyeux, ce "Crocodile du Botswanga" suit la lancée de son aîné. Des blagues potaches et un scénario bâclé. Les 2 interprètes sont doués sur scène, mais il faut bien avouer que le passage sur grand écran ne leur réussit pas.
l'homme qui murmurait à l'oreille des chameaux
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2,0
Publiée le 20 juin 2014
On esquisse deux ou trois sourires légers par ci par là mais rien de plus. Le crocodile du Botswanga est très en dessous de case départ. Le scénario est pauvre et on ne rit pas. Décevant.
Mon dieu que c'est mauvais. Le scénario est inexistant, les dialogues neutres. La question que l'on se pose. est ce une comédie ? un joli nanard en tous cas
Une comédie qui se veut politiquement incorrecte, c'est une bonne idée quand on voit le nombre de celles qui n'ont rien à dire. Par contre, ou pourra reprocher un manque de rythme dans les dialogues et le montage (beaucoup de plans sont trop longs, ce qui accentue la faiblesse desdits dialogues) ce qui nuit à l'impact humoristique et corrosif du film: une comédie réussie se doit de ne pas avoir de temps morts et davantage de rebondissements pour être vraiment efficace. On sent l'envie de bien faire mais encore trop d'amateurisme finit par affadir le résultat. On a souvent l'impression que les acteurs ont oubliés des lignes de texte. Au ciné comme au théâtre, çà ne pardonne pas. En même temps, le Jamel comedy club, ce n'est pas l'Actor studio ou le Saturday night live niveau apprentissage...
Pas aussi réussi que case départ effectivement mais une belle pléiade de comédiens de très bons dialogues par moment dommage que l humour paraît inégal tout le long du film mais une comédie sur fond de satire comme aime beaucoup jouer Thomas njigol et Fabrice éboue.
Nouvelle réalisation du duo comique qui avait accouché il y a peu du surprenant Case Départ. On attendait donc nos deux compères au tournant avec ce nouveau film pour le moins prometteur. Avec son histoire croustillante, tous les éléments étaient de leurs côtés pour nous faire passer un bon moment. Malheureusement, le résultat est en demi-teinte. Si quelques blagues font leur effet (on retrouve parfois ce qui faisait la réussite de leur première réalisation), certaines d'entre elles sont néanmoins ratées et ralentissent même le rythme du film. En effet, le niveau comique est moins pertinent et aussi moins efficace que dans Case Départ. La comparaison est difficile. Pourtant les personnages sont réussis, à commencer par Thomas N'Gijol qui excelle dans ce rôle de dictateur africain. Il en fait parfois des tonnes, mais il faut avouer qu'il ressort du lot indéniablement. Son interprétation est clairement la grande attraction de ce film. Un rôle qui contraste avec celui de Fabrice Eboué, plus en retrait par rapport à Case Départ. Du coup, on ressent un léger manque de complicité entre les deux acteurs, là encore il est difficile de ne pas penser à leur premier coup d'essai. De plus, l'histoire est mal exploité, on en attendait beaucoup plus. Une vraie déception de ce côté-là. Il manque au final un peu de ce piquant qui faisait la réussite de leur précédente mise en scène. Du coup, on ressort de ce film partagé; on a certes bien rigolé pendant certains passages, mais on s'est aussi quelquefois ennuyé.
Une comédie inégale entre moments plutôt bien sentis et passages carrément chiants. Ce film ne casse pas 3 pattes à une mobylette bien qu'il est le mérite de se laisser regarder jusqu'au bout. Par contre, mon alarme anti-plagiat n'a cessée de retentir durant une heure et demi. Si The dictator de Baron Cohen (film a 4 étoiles) a été assez pillé par nos deux comique français, ce n'est pas le pire. Le Crocodile du Botswanga est une parodie du "dernier roi d’Écosse" (film à 6 étoiles) : tout est repris du début a la fin. La comparaison entre Forest Whistaker et Thomas N'Gijol rend médiocre le prestation de ce dernier. Cela m’aurai bien moins dérangé si les références étaient citées... Mais en France on ne cite pas car "nos inspirations son multiples"...mytho...
on voit clairement dans ce genre de film que être drôle via des vanes à la télé ou des spectacles ne donne pas l'assurance de faire un bon film comique. Des petits sourires par ci par là mais pas plus. Celui qui a rit aux éclat doit vite voir un psy. je commence à être blazzé de ces films où le scénario est cousu de fils blancs avec des situations qui se veulent drôles au milieu. vraiment pas terrible. réalisateur et scénariste ce sont de vrais métiers, faut arrêter maintenant (je dis ça je sais pertinemment que des milliers de films comme ça vont encore arriver)
Je viens de le voir sur internet et je l'ai arrêté avant la fin. Il y a un énorme manque de rythme et les blagues ne sont pas drôles du tout. Je ne comprends pas les notes de la presse. Et comme d'habitude il y a toujours une blanche à noirs pour monter à quel point on est ouvert et tolérant.