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Un visiteur
2,0
Publiée le 10 mars 2014
Encore une déception, à l'image des films d'humour français du moment, malheureusement. Pourtant l'idée de base est excellente, mais le film est gangréné par un Thomas Ngijol qui hurle pendant 1h30 et un Fabrice Eboué qui ne trouve son humour QUE dans la vulgarité. Franchement pompant.
Vraiment à éviter sans hésiter. Tout est dans la bande annonce donc n'allez pas plus loin. Nous avons pensé partir avant la fin comme quoi parfois il faudrait s'écouter un peu plus... Une bonne bouzasse comme on les déteste!!!
Alors là , je dois dire que je l'attendais pas du tout celle-là ! Le duo Eboué et Njigol avait pour habitude de me faire passer un bon moment et de me faire rire aux éclats mais là ... c'est bien tout le contraire. Le film n'à ni de début ni de fin , on à beau être là depuis le début de la séance , on à la forte impression d'avoir pris le film en cours de route , d'avoir loupé pas mal de trucs. Et dès le début s'enchaîne les passages les plus drôles du film (et pas de chances , ce sont ceux de la bande-annonce). Puis , alors là c'est le comble , le film devient long et très très ennuyeux. A force, de vouloir en faire trop et de placer une vanne toutes les 10 secondes , les acteurs tombent dans un ridicule pas possible et on ne les comprend même plus. C'est tellement mauvais et c'est si simple à expliquer : le film se veut parler plus ou moins de football , on n'entrevoit qu'une fraction de seconde un ballon ! Le film est une parodie du DERNIER ROI D'ECOSSE et fait passer ce chef d'oeuvre pour de la merde , ce qui ne m'a bien évidemment pas plu du tout. Et qu'est ce que je pourrais rajouter d'autres ? Ah et bien , tout simplement une envie de meurtre en sortant de la salle où je ne sais combien de jeunes adolescent abrutis auront hurler de rire. Après tout , ce ne sont peut-être que eux , le public visé ? On est loin , très loin de CASE DEPART où il y'avait quelque chose d'intéressant sur le niveau confrontation des milieux et des époques. Un navet , tout simplement.
J'avais détesté "Cas Départ" en raison de son caricaturisme débile, celui-ci est mieux.la caricature est moins grossière (sauf quand il évoque l'Algérie française, pénible de nous faire croire que tous les rapatriés d'Algérie étaient des fachos) · Sinon cette satire des dictatures africaines est plutôt réjouissante même si on ne se tord jamais de rire. Cela aurait tété encore meilleur si le scénario avait été construit comme une véritable histoire et non comme une suit complétement décousue
Case départ était vraiment bien mais là on tourne en rond, l'histoire n'est que prétexte à drôlerie qui ne le sont pas toujours. Dommage car il y a des trucs sympa quand même. bof quoi
A regarder un après-midi quand on a rien à faire, il se laisse regarder il y'a "quelques" bonnes blagues mais c'est tout, rien de bien extraordinaire, Thomas Njigol est juste parfait dans son rôle.
Bonne comédie où les messages politiques sont bien distillés. Pas sûr que les nombreux jeunes (très jeunes) dans la salle aient tout captés (car il faut être au courant de la françafrique...), mais je ne me lasse pas de voir et d'entendre Thomas n'gijol et Fabrice Eboué.
"Case départ" était un faux semblant. Il y avait quand même dans ce premier opus une qualité certaine d'humour, un côté one-man show limpide et efficace qui avait son charme. Mais dans "Le Crocodile du Botswanga", c'est avant tout les limites de ce genre d'humour qui transpirent. Une drôlerie légère, dans la satire d'évènements actuels…mais qui seront totalement dépassés dans dix ans.
Passionné de cinéma, spécialiste d'Afrique - et toujours sensible aux conseils de Arnaud L. - il était logique que j'aille voir dès sa sortie le Crocodile du Botswanga. Sauf que j'étais le seul type en cravate de plus de 40 ans dans une salle bondée de collégiens blacks blancs beurs dévoreurs de pop corn et prompts à hurler de rire au premier gag vulgaire venu. Et des gags pipi caca, le Crocodile en dispense son comptant. Un jeune footballeur africain accompagné de son agent retourne dans son pays natal y enterrer sa mère. Las ! Ce voyage n'a pas la poésie d'un Aimé Cesaire - même s'il en a parfois la charge anticoloniale. Le Botswanga est une dictature d'opérette dirigée par un Ubu roi, mélange de Bokassa, de Bongo et d'Amin Ada (à cette réserve près que la bouffonnerie sanguinaire du Dernier roi d'Ecosse ne portait guère à rire). La coiffure et le maquillage audacieux de sa femme ressemblent à s'y méprendre à ceux de Chantal Biya. Ses hobbies : ridiculiser ses ministres sur la place publique, jeter ses opposants aux crocodiles, chasser le phacochère au fusil mitrailleur. Une petite cour servile l'entoure : son aide de camp le lieutenant Yahya, son âme damnée le Blanc (Franck de la Personne s'en donne à coeur joie) l'affairiste français Jacques Taucard, PDG de Totelf et nostalgique de l'Algérie française (Etienne Chicot méconnaissable) On est moins dans la satire politique que dans le divertissement en prime time produit par M6. Mais les rires hystériques - entrecoupés de mâchements de pop corn - ont été contagieux. J'ai desserré ma cravate et me suis laissé emporter par la bonne humeur générale.
Second métrage qui met en avant le duo comique tout droit sorti du Jamel Comedy Club, Fabrice Eboué et Thomas N'Gijol . J'aime beaucoup Fabrice Eboué car j'ai suivi ses débuts comme comique dans une petite salle obscur avec des chaises en plastique, le voir gravir les échelons jusqu'au cinéma est donc plaisant pour un des rares comique Français que je trouve de bonne facture . J'avais ensuite beaucoup apprécié le premier film, pas une grande comédie mais des débuts sur grand écran réussi, ce second film semble déjà montrer les faiblesses du duo, ça faiblit beaucoup sur la forme et ça manque d'un petit quelque chose pour rendre le film vraiment drôle .
Le premier point négatif du film serait sa bande annonce, vous l'avez vu ? Très bien regarder le film ne servira plus a grand chose sachant que 75% des meilleurs gags y sont dévoilés (ou des gags drôles tout simplement) . Youpi on connait donc les gags mais ensuite que se passe t-il ? Le film manque sévèrement de punch, les idées sont là et c'est génial, sous forme de critique satirique d'un dictateur Africain, il y a donc des idées mais elles ne vont jamais plus loin que le bout de leur nez . On fait des blagues sur le cul, sur le caca et ? Rien ensuite .
Le scénario se dévoile d'une platitude décevante offrant une pseudo morale "la démocratie l'emporte toujours" ou encore un message écolo sur la déforestation . Ça ne vole pas haut et on vient vite a sentir le temps long une fois l'heure dépassée . Les trente dernières minutes ne seront au final que lourdeur et agaçante situations peu drôle qui se répètent inlassablement .
L'humour qui se répète semble la base de ce film, pas vraiment adepte je n'ai donc pas trouvé ça si drôle . L'humour semble aussi se baser uniquement sur l'accent Africain que prend Thomas N'Gijol, balançant du début a la fin le mot "phacochère", très drôle n'est ce pas ? Le duo reste correct et fonctionne assez bien, on ressent une complicité entre eux et il y a bien évidemment des passages qui font mouches mais pas assez pour dire que le film relève le niveau d'une qualité très moyenne .
Finalement bien que cette comédie soit muni de très bonnes idées (re)tournons nous vers "Le Dictateur" de Charlie Chaplin si l'on veut de la vraie qualité satirique sur un dictateur au pouvoir . Ici nous ne trouverons qu'un manque cruel d'ambition de vraiment faire rire le spectateur, une déception, mais une déception pas si catastrophique que ça .
Ce n'est pas le film de la décennie mais Thomas N’Gijol porte le film et m'a fait bien rire. C'est le versant africain de The dictator. Avec ce qui pourrait passer pour des clichés mais est en fait très réaliste du début à la fin. Comme dans toutes les dictatures l'argent est mal dépensé, l'intérêt du pays est secondaire, les épouses dépensent sans scrupule et la paranoïa règne dans les rangs. Je suis agréablement surprise que le fil conducteur ait permis de retracer l'histoire type des dictateurs déchus et à déchoir
Extra nul! j'y suis allé avec ma femme on est parti au bout de 50min, toutes les bonnes blagues sont dans la bande annonce, rien à voir avec case départ...