Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Avec ce film, Claude Lelouch montre ce qu’il fait de mieux. Il jongle avec des sentiments extra-larges et offre des moments de grâce entre le duo et une belle brochette de comédiennes.
Marianne
par Danièle Heymann
On pourrait avancer que "Salaud, on t'aime" (...) est un film de vieux. Et bien, non. C'est un conte édifiant de la repentance et du pardon, plein de fraîcheur, et même d'innocence (...).
Positif
par Adrien Gombeaud
Polar sur le tard, (...) "Salaud on t'aime" reste malgré tout plus attachant qu'un épisode du "Coeur des Hommes". On apprécie son absence totale de cynisme.
Ecran Large
par Sandy Gillet
Lelouch fait du Lelouch et dans l'absolu, c'est rassurant...
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Pas de doute, ce 44e long-métrage, véritable hymne à la vie, s’inscrit dans la tradition Lelouch: amours et amitiés enflammées, retournements de situation.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Avec ce casting des plus vendeurs (Hallyday, Mitchell, Bonnaire…), Claude Lelouch retrouve "la gagne" !.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jerome Vermelin
Il y a des scènes touchantes, quelques moments de grâce lors des repas de famille, des maximes emphatiques sur l'amitié, l'amour, la vie, la mort, des longueurs inutiles (2h04 !), des plans sur la faune et la flore que c'est pas la peine, et une omniprésence de Claude Lelouch en aigle royal qui règne sur son 44e film et ne se déteste point.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Pas de révolution sous le soleil lelouchien, mais une bonne grosse touche de tendresse, un hymne à l'amitié virile et un regard sensible posé sur une famille en cours de recomposition. Il eût été préférable cependant que la comédie ne vire pas au polar. Elle pèche par trop d'invraisemblances.
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
On se sent vite bien dans le nouveau Lelouch, dans un pays de connaissance -la vie, l'amour, la mort- même à base de conventions. Tant que Lelouch tient le fil de cette chaleureuse fraternité, il a tout bon. Dommage qu'à un quart d'heure de la fin, il insère une intrigue criminelle qui n'ajoute rien à l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Claude Lelouch est un cinéaste qui se veut plus fort que la mort -et qui le prouve-. De préférence entre bons copains, un cigare à la bouche, et à coups d'un nombre raisonnable de lieux communs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Il n’empêche qu’émerge de ce film rocambolesque et inutile le portrait attendri de ce bon vieux Johnny, qui livre sans chichis à la caméra de Lelouch les marques du temps sur son corps, son visage, et ses petits yeux bleus tout tristes. Et c’est un peu beau.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Marilyne Letertre
Que l’on adhère ou non au style Lelouch, "Salaud on t’aime" saura faire l’unanimité sur un point : le duo Eddy Mitchell-Johnny Hallyday. Amis de longue date à la ville, les deux chanteurs ne feignent pas la complicité sur grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La Rédaction
La vie, l'amour, la mort, la famille, etc. (...) les thèmes chers à Lelouch, dans une comédie de bons sentiments et de propos sentencieux. Avec une mort qui met le scénario en berne, comme si Lelouch ne savait plus quoi faire de son film.
Paris Match
par Yannick Vely
Pétri d'aphorismes mais d’une générosité sans faille, "Salaud on t’aime" est surtout l’occasion de redécouvrir Johnny Hallyday acteur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par François Grelet
"Salaud, on t'aime" donne parfois l'impression de voyager dans le temps [...] mais, loin de ressembler à un sucrage de fraises en forme de radotage, ce quarante-quatrième film épate au contraire par ses intuitions de cinéma, sa vigueur formelle, sa direction d'acteurs étonnante et sa dialectique sensible, énoncée notamment par le titre.
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Au-delà de la permanence des thèmes chers au réalisateur - la vie, l'amour, la mort, les hommes, les femmes et les enfants - et des mouvements de caméra qu'il affectionne, c'est le duo Hallyday-Mitchell qui intéresse Lelouch. Il fonctionne.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le résultat, édifié sur la base d’un scénario au fort accent autobiographique, trop long, attendu et virant au grotesque dans son dernier quart, n’est que déception et platitude.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un grand medley lelouchien, mais joué sans le tempo. Un projet qui aurait pu être sympathique, gâché par excès de zèle.
Télérama
par Frédéric Strauss
Mais ce jeu avec la vérité devient vite inoffensif, voire complaisant : dans cet univers de luxe tranquille, même l'évocation de la mort reste confortable, et les bons sentiments recouvrent ceux qui grincent. Il faut une heure et demie pour qu'une dispute éclate à la table familiale, enfin !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Deux films en un, une chronique familiale et un polar. Ce dernier est clairement en trop, alourdissant sans raison un Lelouch qui partait pourtant du bon pied.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Cette ronde égotique et macabre est la répétition ad nauseam d’une même arrogance de classe qui assume enfin son horizon : un cinéma de droite complètement gâteux.
20 Minutes
Avec ce film, Claude Lelouch montre ce qu’il fait de mieux. Il jongle avec des sentiments extra-larges et offre des moments de grâce entre le duo et une belle brochette de comédiennes.
Marianne
On pourrait avancer que "Salaud, on t'aime" (...) est un film de vieux. Et bien, non. C'est un conte édifiant de la repentance et du pardon, plein de fraîcheur, et même d'innocence (...).
Positif
Polar sur le tard, (...) "Salaud on t'aime" reste malgré tout plus attachant qu'un épisode du "Coeur des Hommes". On apprécie son absence totale de cynisme.
Ecran Large
Lelouch fait du Lelouch et dans l'absolu, c'est rassurant...
Elle
Pas de doute, ce 44e long-métrage, véritable hymne à la vie, s’inscrit dans la tradition Lelouch: amours et amitiés enflammées, retournements de situation.
Franceinfo Culture
Avec ce casting des plus vendeurs (Hallyday, Mitchell, Bonnaire…), Claude Lelouch retrouve "la gagne" !.
L'Obs
Il y a des scènes touchantes, quelques moments de grâce lors des repas de famille, des maximes emphatiques sur l'amitié, l'amour, la vie, la mort, des longueurs inutiles (2h04 !), des plans sur la faune et la flore que c'est pas la peine, et une omniprésence de Claude Lelouch en aigle royal qui règne sur son 44e film et ne se déteste point.
Le Figaroscope
Pas de révolution sous le soleil lelouchien, mais une bonne grosse touche de tendresse, un hymne à l'amitié virile et un regard sensible posé sur une famille en cours de recomposition. Il eût été préférable cependant que la comédie ne vire pas au polar. Elle pèche par trop d'invraisemblances.
Le Journal du Dimanche
On se sent vite bien dans le nouveau Lelouch, dans un pays de connaissance -la vie, l'amour, la mort- même à base de conventions. Tant que Lelouch tient le fil de cette chaleureuse fraternité, il a tout bon. Dommage qu'à un quart d'heure de la fin, il insère une intrigue criminelle qui n'ajoute rien à l'histoire.
Le Monde
Claude Lelouch est un cinéaste qui se veut plus fort que la mort -et qui le prouve-. De préférence entre bons copains, un cigare à la bouche, et à coups d'un nombre raisonnable de lieux communs.
Les Inrockuptibles
Il n’empêche qu’émerge de ce film rocambolesque et inutile le portrait attendri de ce bon vieux Johnny, qui livre sans chichis à la caméra de Lelouch les marques du temps sur son corps, son visage, et ses petits yeux bleus tout tristes. Et c’est un peu beau.
Metro
Que l’on adhère ou non au style Lelouch, "Salaud on t’aime" saura faire l’unanimité sur un point : le duo Eddy Mitchell-Johnny Hallyday. Amis de longue date à la ville, les deux chanteurs ne feignent pas la complicité sur grand écran.
Ouest France
La vie, l'amour, la mort, la famille, etc. (...) les thèmes chers à Lelouch, dans une comédie de bons sentiments et de propos sentencieux. Avec une mort qui met le scénario en berne, comme si Lelouch ne savait plus quoi faire de son film.
Paris Match
Pétri d'aphorismes mais d’une générosité sans faille, "Salaud on t’aime" est surtout l’occasion de redécouvrir Johnny Hallyday acteur.
Première
"Salaud, on t'aime" donne parfois l'impression de voyager dans le temps [...] mais, loin de ressembler à un sucrage de fraises en forme de radotage, ce quarante-quatrième film épate au contraire par ses intuitions de cinéma, sa vigueur formelle, sa direction d'acteurs étonnante et sa dialectique sensible, énoncée notamment par le titre.
TéléCinéObs
Au-delà de la permanence des thèmes chers au réalisateur - la vie, l'amour, la mort, les hommes, les femmes et les enfants - et des mouvements de caméra qu'il affectionne, c'est le duo Hallyday-Mitchell qui intéresse Lelouch. Il fonctionne.
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
Le résultat, édifié sur la base d’un scénario au fort accent autobiographique, trop long, attendu et virant au grotesque dans son dernier quart, n’est que déception et platitude.
Les Fiches du Cinéma
Un grand medley lelouchien, mais joué sans le tempo. Un projet qui aurait pu être sympathique, gâché par excès de zèle.
Télérama
Mais ce jeu avec la vérité devient vite inoffensif, voire complaisant : dans cet univers de luxe tranquille, même l'évocation de la mort reste confortable, et les bons sentiments recouvrent ceux qui grincent. Il faut une heure et demie pour qu'une dispute éclate à la table familiale, enfin !
aVoir-aLire.com
Deux films en un, une chronique familiale et un polar. Ce dernier est clairement en trop, alourdissant sans raison un Lelouch qui partait pourtant du bon pied.
Cahiers du Cinéma
Cette ronde égotique et macabre est la répétition ad nauseam d’une même arrogance de classe qui assume enfin son horizon : un cinéma de droite complètement gâteux.