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TUTUR29
35 abonnés
1 130 critiques
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3,5
Publiée le 6 juillet 2021
Hector et la recherche du bonheur est un film qui fait du bien à regarder, le feel good movie par excellence. La réalisation n'est pas épatante et les leçons qu'on tire du film sont assez bateaux et convenus mais pour autant, les personnages sont très bien développés et très touchants, ce qui rend le film très agréable à regarder malgré qu'il soit un peu niais. La performance des acteurs est également très bonne et le rythme du film est parfait. Bref, loin d'être le film le plus impressionnant au monde (dans le même registre, je préfère largement Into The Wild) mais Hector et la recherche du bonheur reste très divertissant et nous donne ce qu'on veut voir en regardant ce genre de film. Une belle réussite.
Sujet maintes fois parcouru et une nouvelle fois exploré dans ce film, qui parvient pourtant à faire entendre sa petite musique avec beaucoup de subtilité. Simon Pegg, assez loin de son registre ordinaire, étonne et émeut par moments dans une histoire aux ressorts plutôt classiques sur la poursuite du bonheur et sa définition variable selon les latitudes. Entouré de quelques seconds rôles de choix, sa partition porte le film d'un bout à l'autre. Tout n'est pas parfait tant s'en faut, notamment du côté de la mise en scène pas toujours inspirée et subissant quelques coups de mou, mais dans l'ensemble on passe un bon moment devant ce film à la fois profond et léger.
Ça partait sur une bonne idée mais le niveau de réflexion reste bien trop faiblard pour soutenir le film efficacement. La réalisation pouvait cependant encore bien fonctionner sur le mode de la comédie pure et dure mais l'introduction de scènes plus dramatiques casse rapidement l'ambiance.
Léger, sans surprise, le film tente de se concentrer sur les grandes questions existentielles, mais malheureusement le fait avec l'expérience d'un enfant de huit ans... Une leçon sur l’accès au bonheur qui manque cruellement de force et de sensorialité, disponible dans la collection "Pour les nuls" avec toute la simplicité qui en découle. Personnellement je n’ai pas trop accroché bien que certains y ont trouvé des réponses. Moi je cherche encore…. !
Excellent film. La subtilité l'est tellement qu'elle ne sera pas perçue par tous si l'on ne se concentre pas. Inspirant et réaliste à la fois, malgré quelques scènes loufoques.
Bien que sorti il y a un moment, je n'ai vu le film qu'hier...c'est frais, inspirant, amusant et l'on en revient à la fameuse phrase du Magicien d'Oz "there's no place like home"
Tiré du roman homonyme, sorte de conte pour adultes lorgnant vers la vulgarisation de la psychologie et le développement personnel, ce film est un feel-good movie avec en tête d’affiche l’excellent Simon Pegg (oui…, je suis très fan de l’acteur !). On suit donc un psychiatre qui traverse une crise existentielle et qui en est venu à se poser des questions telles que : est-il heureux, qu’est-ce-que le bonheur et comment l’atteindre. En même temps on a envie de dire à Hector : t’est maqué avec Rosamund Pike ! Si ça, c’est pas le bonheur... Mais bon, il part donc en voyage à travers le monde pour interroger les gens sur leur conception et leur moyen de le trouver. Alors, si le film s’avère assez divertissant, posons dès maintenant que ce n’est pas avec celui-ci que vous trouverez de vraies réponses aux questions que ce gentil psy (et que vous aussi peut-être...) se pose. C’est très dépaysant (on voyage en Chine, en Afrique, aux USA), c’est plein d’action, d’humour et de gentils sentiments, mais cela ne reste rien de plus qu’un film purement récréatif quoique plein d’optimisme. Le film se nourrit de clichés sur les contrées que notre voyageur fréquente, et ce, même quand il se confronte au côté obscur des gens et des pays. Simon Pegg comme à son habitude réussi à rendre son personnage de mec moyen éminemment sympathique et c’est d’ailleurs une des choses qui rend ce film si attachant. Un film très positif qui est à recommander pour ceux qui veulent une soirée qui se termine sur une note d’optimisme.
S'il suffisait d'une vie pour s'adonner à ses rêves les plus fous, pourrait-on être vraiment heureux ? Se laisserait-on totalement emporter par cette soif de vivre qui nous anime ? A travers ces thématiques fortes mais aujourd'hui indispensables, Peter Chelsom dresse le portrait touchant d'Hector, un psychanalyste "formaté" qui aspire à une vie aussi incontrôlable que le sont les cas de ses patients. Calibré comme une autobiographie singulière, tendance mélo, le réalisateur signe une comédie atypique à la fois enjouée et turbulente dans laquelle Simon Pegg sait donner à son personnage un air naïf mais concerné. Sa ressemblance (physique et mentale) avec un célèbre reporter imaginé des mains d'Hergé n'est d'ailleurs plus une surprise lorsque vient le choix du trajet de voyage à emprunter (Asie, "Le Lotus bleu", Tibet, "Tintin au Tibet", Afrique, "Tintin au Congo", sont autant de clins d'oeil à remettre en contexte.) Un hasard, peut-être ? Pourquoi ne pas aller demander directement au psychanalyste le plus proche du domicile ?
On est ravi de retrouver Simon Pegg après l’excellente trilogie Cornetto (Shaun of the dead, Hot Fuzz, Le dernier pub avant la fin du monde, de Edgar Wrigh) dans un premier rôle. Ce mec est drôle et décalé. Personne ne peut détester Simon Pegg (enfin, ça doit être rare quand même). Encore moins dans le rôle de Hector, feel-good movie gentillet, où il joue un gentil psychologue, coincé et maladroit, qui envoie tout en l’air et part faire le tour du monde. Ce n’est pas très original mais ça se laisse regarder. Peter Chelsom n’a pas un grand talent de metteur en scène, c’est assez plat et poussif. Le scénario, lui, enchaîne les situations extravagantes, mais Simon Pegg maintient toujours la tête hors de l’eau. Il sait rendre les situations attachantes et cocasses. La clé du film tient évidemment en un mot : l’amour. Le couple que forment Hector et Clara (Rosamund Pike, très bien) apporte un peu de profondeur et de réalisme à cette histoire. Notre héros va découvrir de nouvelles cultures, de nouveaux paysages, de nouveaux styles de vie et faire de nouvelles rencontres. Et se poser des questions sur sa propre vie et son couple. La fin est touchante. Hector et la recherche du bonheur se révèle finalement plus dramatique que comique. Il vous rappellera que le bonheur est précieux. Pour un film sorti directement en Dvd, ce n’est pas si mal. Une comédie dramatique légère et touchante, assez fantasque, parfois poussive, mais qui saura vous faire sourire.
Je l'ai vraiment trouvé pas terrible. Ses remarques sur le bonheur sont nulles, il n'y a aucune scène marquante, rien à retenir et un manque d'humour flagrant. Je m'attendais à beaucoup mieux de ce film, surtout avec Simon Pegg. J'ai apprécié de trouver Jean Reno, même si son rôle est minime. Mais c'est à peu près tout. Le final offre un apport réel mais bien tardif à toute cette histoire, dommage !
Dans ce véritable voyage initiatique, Simon Pegg donne vie à un personnage naïf et curieux. Un protagoniste à l'image d'un film optimiste et touchant, doté de séquences animées d'une rare poésie. Une belle galerie de second rôles complète cette réflexion sur le sens de la vie et la joie en général. En bref, un feel good movie qui vous donnera envie de goûter au bonheur. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
"Hector et la recherche du bonheur" est un film qui se veut optimiste. Dans cette histoire, nous suivons la vie d'un psychiatre qui s'ennuie profondément dans son travail. Il s'aperçoit qu'il n'est pas plus heureux que ses patients qu'ils consultent, jugeant leur soucis bien plus que superflus. spoiler: (Mdr! trop marrante la scène quand il commence à rire nerveusement, et qu'il fini par craquer en s'énervant après une femme! En lui disant:"Qu'elle ne sait pas ce que c'est d'être à bout de souffle!" J'étais plié) . Alors pour fuir cette monotonie, il décide de partir à l'aventure pour trouver une réponse à une question simple et existentielle: C'est quoi le bonheur? A travers un voyage initiatique sur différent pays, il va rencontrer des gens et découvrir de manière subjective que le sens du mot bonheur peut être dans tout et n'importe quoi.Du coup on rigole bien ! C'est une comédie avec une bonne moralité. Cependant même si le message reste assez simple, et que ça se finit en happy end! J' ai passé un agréable moment avec un Simon Pegg convaincant et assez attachant! La sensibilité de son personnage nous change un peu de ces rôles loufoques comme dans Shaun of the dead, Big Nothing, Hot fuzz, Dernier pub avant la fin, ou A fantastic fear of everything (Je vous le conseille en VO, dans ce film il est carrément déjanté, à mourir de rire!) Donc voila mon avis! Je pense que le bonheur c'est d'être heureux, en profitant des choses simples de la vie qui nous mettent le smile.
Le pitch : un psy londonien à la recherche de la recette bonheur et de son bonheur. Une quête initiatique en 3 étapes qui pourrait faire écho à "Eat, Pray, Love", mais qui s'en démarque dans le traitement et le développement de son propre discours sur le bonheur. Un récit servi par une esthétique avec des étincelles d'ingénuosité tout en humilité qui apporte une certaine fraicheur. L'apparente banalité et simplicité du personnage principal est plutôt judicieuse et salutaire pour traiter de la recherche du bonheur, qui rend ainsi le fond accessible et palpable. Un tout très homogène et très équilibré, qui m'a fait passé un bon moment en alimentant la réflexion sur le sujet.
L'idée est bonne, le film commence bien, mais la suite laisse à désirer. Après l'introduction je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus profond, avec un vrai message à la fin, mais au final il n'y en a pas vraiment. On a même l'impression à certains moments qu'ils ont du se dépêcher pour faire les scènes à l'étranger, qu'ils avaient des plans à faire, ils les ont fait, on reprend l'avion, séquence suivante. Car parfois entre deux scènes il n'y a pas de lien et on passe d'un sujet à un autre sans trop comprendre le fil conducteur. Simon Pegg colle bien à son personnage, même peut etre trop. A tel ^point que ses expressions et son jeu en deviennent prévisibles.