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Fred E
10 abonnés
310 critiques
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2,0
Publiée le 31 octobre 2015
Avis aux amateurs de sensations fortes. La comparaison avec son prédécesseur, la référence du genre, "Cannibal Hollocaust", me paraît inéluctable. Plus de trois décennies séparent ces deux productions, mais la touche d'Eli Roth n'apporte rien de nouveau. Le film à du mal à démarrer, ce qui était le cas également avec "Hostel". Hormis des scènes de tortures, il n'y a rien de neuf pour un film traitant du cannibalisme. L'œuvre de Ruggero Deodato était certes plus malsaine dans les séquences de tortures, mais elle était aussi plus profonde et aboutie : visionnage sous la forme d'une caméra à l'épaule(technique qui a été reprise dans d'autres films : "Le projet Blair Witch", "Rec", ...), pouvoir des médias, dualité entre mal et bien, la BO, ...
entre humour et gore, écologisme et cannibalisme, ce petit film est une vraie réussite politiquement incorrecte et délicieusement transgressif. Des étudiants idéalistes habitués aux manifestations embarquent dans une aventure amazonienne de protestation pour finir démembrés et cuits de façon artisanale pour nourrir toute une joyeuse tribu peinte en rouge. Les trucages réussis autant la stupidité de la plupart des personnages apportent une ambiance foutraque et décalée donnant au film un rythme et une couleur lorgnant souvent vers le second degré. Une réussite pour public averti !
Selon mon rédacteur en chef, The Green inferno est assez décevant car on nous avait vendus cela comme un grand film d’horreur comme à la grande époque, d’une tension à couper le souffle qui ne fait aucun compromis tant dans la violence que dans son propos mais au final, on se retrouve avec une comédie potache à mi-chemin entre Bad Taste et Planet Terror. Bon, c’est bien rythmée, la caméra n'est pas dégueu, il y a quelque effet gore (mais pas assez à son gout) et la mise en scène est parfois vraiment percutante. La première partie est assez fun mais l'ironie qui caractérise les œuvres de Roth est bien trop présente pour faire trembler le spectateur sur les scènes de tension. Frustrant.
Plutôt mitigé après le visionnage de ce "Green inferno", Eli Roth continue de décevoir quelque peu surtout après le désastreux "Knock knock", on attend toujours une bobine de sa part digne de ses "Hostel", ce ne sera une fois de plus pas le cas ici. Pour autant, son métrage n'est pas dénué de qualités, la première étant la présence de sa très jolie femme, Lorenza Izzo, ensuite la réalisation n'est pas mauvaise avec de bonnes scènes gores ( et notamment une ) à se mettre sous la dent et pour finir une petite dose d'humour qui pour le coup peut avoir des effets contraires. En effet, l'aspect parfois loufoque enlève à l'ambiance cette toute petite tension, une tension que l'on aura attendu durant presque la moitié du film qui s'avère longue et peu intéressante puisque l'on en profite même pas pour creuser les personnages. Après l'ennui, place à la boucherie vous me direz, et bien pas tant, sur l'ensemble ça manque tout de même de scènes gores, surtout que le métrage se place comme digne successeur de "Cannibal Holocaust" à la différence qu'il ne contient aucune torture animale et c'est tant mieux ! Un bilan vraiment mitigé donc avec en plus des acteurs plutôt bons mais au service de personnages bêtes comme leurs pieds ! Ce n'est pas mauvais mais ça ne marquera pas plus que cela, d'autant que le message écolo transmis paraît également bien terne ... A voir une fois, sans plus.
Ah Eli.. pourquoi foirer un tel projet en se reposant sur un humour pipi caca ? La première partie était correcte et l'entrée dans la jungle bien faite, mais là alors qu'on s'attend à voir un nouveau "Cannibal Holocaust" on assiste à un mélange entre American Pie et un spot anti déforestation. Déçu par ce projet qui s'annonçait bien plus intéressant que le Knock Knock avec Keanu Reeves (qui lui à eu le droit à une sortie ciné).
Je comprends pourquoi ce film ne fera pas de sortie en salle, qui ne pratique quasiment plus le interdit au -18 ans, âmes sensibles s’abstenir....Ensuite Eli Roth a su mettre tous les ingrédients pour nous prendre les tripes (sans jeu de mot). Il arrive à placer une dose d’humour dans un monde brutal, une réflexion qui peut donner à s'interroger sur la préservation de certaines ethnies, voire de la nature (humaine ?), bref un bon moment dans des décors sublimes. Ce film vaut le coup d’œil (sans jeu de mot). Même le twist final tient la route
Hommage à la mode des 'Cannibal Movies' des années 1980, Green Inferno est paradoxalement plus porté sur le message que sur le visuel macabre et le gore (qui sont bel et bien présents je rassure les fans du genre comme ceux d'Eli Roth de suite). Les personnages ont bénéficié d'un effort scénaristique, même si ça reste éloigné des ténors de séries actuelles. L'effort est d'autant plus appréciable que la planification de l'opération concerne pratiquement la première moitié du film avec en ligne de mire la sauvegarde de la faune et de la flore d'Amazonie. La deuxième partie, au sein de la tribu, est bien évidemment la plus violente. Avec cette ironie de se faire dépecer par une peuplade que des idéalistes étaient venus sauver de la modernité. Ceci étant, il manque un 'je ne sais quoi' pour donner du punch à cette aventure en pleine jungle car hormis la cruauté gratuite des indigènes (spoiler: pourquoi doivent-ils manger plus que de raison? ), ça manque de relief. Ou alors c'est le genre qui est d'office limité mais quoiqu'il en soit, la seconde partie manque cruellement de mordant (si je puis me permettre).
Un peu satirique , un peu ironique , super choquant ( par moment , à un moment en particulier pour ma part ) , potentiellement rigolo et globalement surprenant , le dernier film d'Eli Roth est un objet assez particulier , loin d'être parfait mais qui a je pense d'atouts que de défauts . A voir , la scène d'arrivée au village est anthologique
Bon, autant le dire tout de suite, si vous avez le cœur fragile et si vous avez la nausée facilement, ne regardez pas ce film. Bien entendu on pense à Cannibal Holocaust mais ici les personnages principaux sont bien fouillés. On vit les difficiles épreuves et le massacre dans cette tribu de cette bande de jeunes idéalistes écologistes. On est même très heureux de la fin (avant le twist final que je tairais ici) qui condamne un sacré salaud! Un bon film d'horreur dont pourtant je n'attendait pas grand chose.
De la part de Eli Roth, je m'attendais a un film plus gore, plus subversif, plus dérangeant! Mais non, j'ai trouvé The green inferno plus gentil que Cannibal holocaust ou Cannibal ferox. Etant donné que le film ne sort pas au cinéma je pensais que le réalisateur de Hostel allait se déchainer et bien non. spoiler: Et pour la scène de sexe, un gars se masturbe dans une cage un peu gratuitement Bref rien de bien méchant et une déception pour moi.
La promotion laborieuse autour de ce film a permis, pendant un temps, d'attirer l'attention sur ce fier rejeton des années 80, époque bénie où les cannibales de Deodato flirtaient avec le scandale. Malheureusement, ce film ne se hisse pas à la hauteur de son modèle, et reste désespérément planté sur la ligne de départ. Pire : le côté horrifique adulescent du film lui rajoute un boulet aux pieds, avec une conclusion grotesque et convenue, sur le principe du "Quand 'y en a plus, 'y en a encore ! ". Un essai, certes, mais non transformé. Un comble pour The Green Infero, qui se voulait jusqu'au boutiste dans le sordide et l'abjection.
Film bien trash mais avec une morale bien cherché. Certaines réactions des personnages sont un peu étranges mais bon qui sait comment on réagirait dans ce cas de figure.
Imperturbable trublion du mauvais goût, "Eli Roth" remet le couvert dans "The Green Inferno" où de jeunes universitaires militants écologistes s'invitent au Pérou, pour arrêter une compagnie pétrolière qui est sur le point d'exterminer une tribu d'indigènes. Une fois sur place, malgré des tensions, la mission est un succès mais sur le trajet du retour leur avion de fortune s'écrase en pleine forêt. Les survivants vont être confrontés aux dangers de L'Amazonie mais surtout à la tribu qu'ils tentaient de protéger et qui se trouve en réalité cannibale. Plutôt long à démarrer dans sa 1ère partie, le nouveau métrage "D'Eli Roth" plante le décors histoire de bien nous mettre dans l'ambiance. Dans sa 2e partie, le film montre son vrai visage et ne lésine pas sur les effets "Gores" dans des scènes de cannibalismes particulièrement "Craspecs". Eviscérations, démembrements, décapitations, humiliations, "The Green Inferno" interpel, choque, et reste un hommage culottée des "Cannibal Movies" Italiens scabreux des années 70/80. La reconstitution est exemplaire et le sujet (Assez d'actualité) n'est pas si inintéressant même si le métrage aligne certains clichés dans un humour potache, véritable marque de fabrique du réalisateur. Malgré tout, "The Green Inferno" reste un bon film dans son genre et devrait combler notamment les "Fans" du mythique "Cannibal Holocaust". Avant tout destiné à un public avertis, une chose est sure, après la vision de "The Green Inferno" vous ne verrez plus jamais les tribus autochtones du même œil !
La qualité du film n'est pas incroyable, mais le scénario est plutôt intéressant. Certains effets spéciaux sont ratés et à vomir, mais d'autres sont bons, gores et gratuits. Certaines scènes sont inutiles ou en trop.. Ex: La scène du Zizi et de la tarentule, et la scène de fin.. Du "cauchemar"... Les acteurs ne sont pas franchement incroyable et c'est bien dommage. Eli Roth a fait là un film fort, mais qui manque d'aller au bout de ses idées. On sent que parfois, le film ne sais pas où il vas..
film hommage a cannibale holocauste plutot réussi dans ensenble mais vue le realisateur ou meme le style de film. dont il s'inscrit. celui du film de cannibale je le trouve relativement sobre. pour finir un petit film d'horreur sympathique a voir