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nielrowbooks
24 abonnés
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1,0
Publiée le 23 novembre 2015
Une bande de crétins s'enfoncent dans la jungle pour y chercher les emmerdes. Mauvais, très mauvais tout ça. Pour eux et pour le spectateur. Rien de bien intéressant dans ce remâché de divers navets qui ont égayé les années 70. Le doublage est lamentable, ce qui n'arrange pas la catastrophe. Il y a des gens de cinéma (?) qui devraient se convertir directement au commerce de légumes.
Un excellent film gore avec des Cannibales, ça faisait longtemps ! De bons acteurs, beaucoup de sang mais scénario un peu simpliste à mon gout mais à voir quand même !
Comme à son habitude Eli Roth revient avec un film d'horreur (évidemment serait-on censé dire) qui nous replonge dans le reality gore qui lorgne fortement sur "Cannibal Holocaust" de Deodato. Le scénario n'a rien d'extraodinaire puisque quasi claqué sur le film de Deodato mais y instille un semblant de message écolo plus ou moins assumé et une fin plutôt bien vue. Il y a des parties à voir au 1er degré, d'autres au 2nd, et d'autres au 3ème, bref c'est un peu bancal.
"...The green inferno, hommage directe à Cannibal holocaust de Rugero Deodato, qui précisément faisait une apparition dans Hostel 2, retourne au charme des productions des années 80 qui jouaient avec l'horreur au rythme reposé. C'st une fois regardé que je comprends que le montrer en salles ne semble pas une très bonne idée pour les dégâts que les estomacs les plus délicats puisse occasionner.
Ici on suit des activistes new-yorkais qui veulent arrêter la déforestation amazonienne au Pérou pour protéger une tribu qu'il se trouve anthropophage. De façon curieuse on n'arrive pas à la tribu qu'a moitié du film, en nous frappant de façon foudroyante avec une scène de démembrement qui fait soulever le cœur, laissant voir le côté d'auteur qu'un futur maître de l'horreur peut cacher par-dessous de l’hémoglobine. Parce-que ce n'est pas seulement le sang qui nous fait peur, mais surtout le calme avec lequel les amazoniens mangent les humains et font la cuisine, pareil que nous faisons avec des autres animaux fermiers. Eli Roth a pris son temps pour montrer la vie indigène sans devoir se rendre au schéma commercial à tout prix..."
C'est en voulant surfer sur la vague de Cannibal Holocaust que Eli Roth réalise The Green Inferno. Au même titre que son prédécesseur, le métrage relate l'aventure de pauvres citoyens Américains venus en pleine jungle verte -l'Amazonie- pour lutter contre la déforestation, une nature sauvage et hostile qui en fera son terrain de jeu. Passé une introduction rapide qui place le contexte mais qui dévoile déjà quelques faiblesses scénaristiques, nos amis s'envolent pour le Pérou et, suite à un malencontreux événement, se retrouvent piégés par une tribu d'autochtones cannibales. Entre une violence inouïe qui décrédibilise un peu le film et le caractère cliché en veux-tu en voilà de certains personnages, on ne peux pas dire que la route empruntée soit réussie. Au final, le film aura perdu quelques personnages, les spectateurs auront surtout perdu cent minutes de leur vie...
Avec The Green Inferno, Eli Roth décortique l'Aamazonie sous toutes ses coutures. Et une chose est sûre, il ne lésine pas sur les scènes sanglantes ! Il créé un univers totalement propice à l'angoisse à coups de costumes et de musique terrifiante. Jusqu'à tomber dans le "too much" ? Le film s'est pourtant imposé au festival du cinéma américain de Deauville... Pour les âmes non-sensibles ! Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
En voila un que j'attendais depuis pas mal de temps, et qui s'en sors au final pas trop mal ! Une histoire plus mature que les précédents Eli Roth, quelques scènes bien gores et tendues? j'en attendait peut-être un peu plus, mais ça reste vraiment pas mal !
Franchement j'ai bien aimé, je trouve se film très appétissant lol. Plus sérieusement c'est un bon film gore, il y a quelques scènes terrifiante et c'est ce que je recherche quand je regarde se genre de film, c'est pas si mal joué que ça. Pour la période d' Halloween c'est parfait. Ma note 4/5
il est vrai que l'histoire de green inferno n'a rien exceptionnel mais une fois l'histoire installé la tension est constante certaines images et séquences marque l esprit en effet j ai pas dormi de la nuit après le visionnage. âme sensible s abstenir
On est bien loin du malaise de Hostel I et II. Ça met une bonne demi-heure à commencer, pour qu'il ne se passe pas grand chose après. Même pas peur, même pas dégouté. Et puis le couplet écolo est vraiment très mal exploité. Moi qui craint un maximum les films de cannibalisme, je me suis bien ennuyé ici. La rumeur nous annonçait quelque chose de terrible mais c'est sans intérêt.
Amateur de films de genre, j'ai souvent été déçu par le buzz donné aux films d'Eli Roth (à part pour Hostel 2 qui m'avait "amusé"), mais là je suis content d'être agréablement surpris par ce film qui, je trouve est une version revisitée de Cannibal holocaust, d'excellente facture, et mis au goût du jour :
J'ai bien aimé le traitement de l'image, avec sa couleur verte flamboyante et paradisiaque. L'esprit du film est très ironique et j'aime son traitement cynique. Un film pour les amateurs du genre.
A bon goût, le meilleur film d'Eli Roth à ce jour !
Le nouveaux film de Eli Roth, qui n'a pas réussi a se frayer un chemin jusque nos salles de cinéma, a pu miraculeusement être diffuser sur grand écran lors de ma Halloween Night. Le moment (ultra) gore de la soirée est réussi. Un film ignoble (dans le bon sens du terme) mais aussi très drôle, puisque il verse dans le second degré et l'humour noir. Plein de référence a Cannibal Hollocaust, dont le film est un hommage, si pas une déclaration d'amour par le réal. La fin, ceci dit, est complétement raté, mais ne dégomme pas au final l'impression forte ressentit devant le film. A voir quand il sortira (en V.O.D, en Blu-Ray, ou par je ne sais quel autre moyen) si vous le pouvez.
Pas spécialement fan de film gore, je me suis laissé tenté..
Plus qu'un simple film où une bande de jeunes se trouvent à un endroit où il ne fallait pas,ça va plus loin.
"L'homme est un loup pour l'homme", que ce soit via les traditions, le gain de l'argent, la survie... La jungle parait hostile par ses animaux, mais les plus dangereux restent les hommes.
Mais bon, le sous-entendu du film me parait flou, avec cette idée des autres cultures, qui pratiquent l'excision, le cannibalisme.. il faut les laisser vivre... L'activisme, une belle connerie... Si je suis pas pour l'ingérence, les propos de ce film me posent questions...
Mais j'ai quand même apprécié ce film, même si je reste un peu sur ma faim