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    The Green Inferno
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    2,7
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    186 critiques spectateurs

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    EKWA
    EKWA

    104 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2022
    C est pas nul mais c est pas génial non plus. Dommage je m attendais quand même à mieux, dans la filmographie de rott j ai préféré cabin fever et surtout le premier hostel. La les personnages sont trop clichés et on a du mal à s investir dans l histoire. Dans hostel il y avait un certain réalisme qui rendait l histoire malsaine mais la non. On a aucune empathie pour ces étudiants plein de revendications... c est dommage car le film ossile trop entre humour et sérieux il aurait mieux fallu jouait à fond sur un des 2 à ça aurait été bien plus réussi. Au final il y a 2 passages un peu sanglant qui ne sont pas non plus incroyable et pour le reste c est plutôt ennuyant. J ai quand même regardé jusqu au bout mais je ne le verrai pas 2 fois. Dans le genre, son inspiration qui est cannibal holocaust est bien plus poignant même si je ne le supporte pas à cause des meurtres d animaux pour filmer un film pas si fou que ça... enfin bref à regarder pour les fan de film gore qui s ennuient ^^
    ÉléonoreMadison
    ÉléonoreMadison

    71 abonnés 149 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 août 2022
    J'ai adoré. Un film d'horreur comme on en voit plus. On peut retrouver la belle et talentueuse Lorenza Izzo qui jouait également dans le film "knock knock" du même réalisateur Eli roth (le génie des films d'horreur).
    Pour ceux qui aiment ce genre, je le conseille fortement.
    Les personnages indigènes font très réalistes.
    Hammerstorm
    Hammerstorm

    71 abonnés 601 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mars 2021
    On est loin de Cannibal Holocaust. The Green Inferno est un film paresseux. Au final, il reprend tout les poncifs de ce genre de films sans rien tenter d'original. L'ambiance est tout de même sympathique et j'aurai même été tenter de dire que ce film est pas mal si la fin n'avait pas été d'une incohérence totale. La scène finale détruit tout ce qui a été mis en place pendant le film et on finit par se dire que The Green Inferno n'aura été qu'une escroquerie.
    Stephan M.
    Stephan M.

    41 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2021
    C'est un film d'horreur qui fait bien le job, on regarde sans ennuie et visuellement c'est magnifique, cela mérite d'être vue en qualité 4k

    Par ce type de film on doit être amené à être déranger par certaines scènes, mais ce n'est pas le cas, il y a une sorte de distance avec ce qui arrive à ses écolos étudiants bobos qui fait que cela ne nous touche pas.

    Dans les scènes d'horreur pures, ce n 'est pas assez radicale pour que cela puisse me faire réagir.

    L'ambiance globale n'est pas assez malsaine et nous sommes loin de la folie nécessaire pour être efficace comme on peu le voir dans certains films d'horreur des années 70

    Visuellement la tribu cannibale est très réussis et une mention spéciale à l'acteur qui joue le bourreau

    Donc c'est un bon film, mais un peu trop léger pour moi
    Stone cold steve austin
    Stone cold steve austin

    15 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 novembre 2020
    Eli Roth, « le sale gosse du cinéma » comme le dit la plateforme de SVOD Shadowz, mérite vraiment son titre. Il accouche à chaque nouveau film d’une expérience nouvelle, viscérale, dérangeante et en même temps sacrément jouissive pour les fans d’horreur. Il n’échappe pas à la règle avec ce long-métrage de cannibale, inspiré des films italiens du même type à la mode dans les années 70-80. Justine, une jeune étudiante fille d’un riche avocat souhaite s’engager dans un groupe de militants écologistes pour se rapprocher du leader, Alejandro. Arrivé dans une forêt du Pérou pour protéger une tribu indigène, le groupe parvient à faire reculer la puissante compagnie pétrolière qui voulait détruire l’habitat de la tribu. Suite au succès de la mission, le groupe prend l’avion mais s’écrase dans la forêt. Les jeunes doivent alors faire face à la tribu qu’ils ont protégée, en réalité des cannibales… Encore une violente satire infligée par Eli Roth aux spectateurs. Il attaque ici les personnes prétendument engagées, qui font des actions pour servir leurs propres intérêts ou leur image. Justine, cette jeune fille riche qui ne connait pas de problème particulier essaie de se donner bonne conscience. Elle agit naïvement dans une équipe de militants écologistes, pour la plupart des jeunes idéalistes pour qui le problème des indigènes peut être réglé facilement. La réalité en pleine face fait malheureusement mal, car en plus de subir la violence des puissantes compagnies, la plupart de l’équipe se retrouve confronté aux rites primitifs de la tribu locale. On peut y voir une métaphore de la société, qui mange littéralement les bons sentiments, même lorsqu’ils sont sincères. Peu importe la personne que vous êtes, on finit toujours par mourir et parfois ont est rattrapée par la véritable nature de l’Homme, celle qui ne connait que violence. Ainsi, les derniers militants en vie subissent des tortures insoutenables, le réalisateur met en place une imagerie particulièrement sanguinolente. Il finit son film bien froidement, laisse une amer conclusion à ceux qui attendaient un final grandiloquent mais reste dans sa veine : le cinéma est fait pour bousculer. Un long-métrage subversif, doté d’un humour noir et une ironie macabre. Pas pour tout le monde, mais un sacré bon point pour Eli Roth.
    Jorik V
    Jorik V

    1 273 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 octobre 2020
    Eli Roth est vraiment le cinéaste des promesses non tenues. Il s’érige comme le réalisateur parangon d’un genre ressuscité (le gore et le torture-porn) mais reste bien sage en comparaison des promesses faites, comme apeuré par les foudres de la censure ou par le sujet lui-même. « The Green Inferno » déçoit clairement une nouvelle fois. « Hostel » avait déjà exactement le même cheminement avec une mise en place pas désagréable mais longue et qui prend plus de la moitié du film avant que l’histoire ne rentre enfin dans le vif du sujet. Et donc ce pour quoi le spectateur est venu. Mais ici, la fausse promesse est encore plus flagrante avec un sujet comme le cannibalisme. Après le ratage total de « Knock knock », on peut dire que monsieur Roth ne relève guère la barre et que ce film, s’il s’avère correctement réalisé et dépaysant, ne fait pas du tout peur et s’approche même parfois du rire involontaire.



    Pour un film de genre, cette fameuse mise en place présente bien les personnages principaux à la manière d’un teen-movie (enfin le minimum syndical pour que l’on s’intéresse quelque peu à leur sort). Puis, « The Green inferno » permet de d’évader avec les beaux paysages de la forêt amazonienne mais il nous fait languir avant de véritablement s’attaquer à son sujet. Quand enfin arrive le plat de résistance, avec une scène de cannibalisme difficilement soutenable de près de cinq longues minutes qui nous écœure et pousse la tension à son paroxysme, on se dit que le festin est lancé. C’est gore, c’est crade et c’est intense. On croit vraiment que cette série B est remise sur les rails de la terreur organique, du déchiquètement des corps et de la chair avalée que vantait son menu. Puis ? Plus rien ! Comme effrayé par la scène qu’il vient de nous montrer, Roth change complètement son fusil d’épaule pour transformer son film gore en film d’évasion basique et exotique. Pas ennuyant pour un sou mais totalement frustrant, hypocrite et roublard.



    Ensuite viennent des invraisemblances en cascade qui vont de diverses évasions improbables à ce jeune de la tribu qui aide l’héroïne. Plus un personnage qui disparaît sans que l’on sache trop pourquoi et une fin en forme de pied de nez dont on ne comprend pas vraiment la signification. Quant au propos écologique, il n’est pas clair et semble promouvoir le contraire de ce qu’il entend dénoncer. Mais le pire vient certainement de cette seconde partie censée être plus hard et qui se vautre dans un second degré qui n’a clairement pas sa place dans ce genre de film. Ou en tout cas pas de la sorte. Entre la fille qui a une diarrhée et se soulage sous nos yeux (!) et le mec qui se masturbe durant une scène de mise à mort (!), Roth perd les pédales et se vautre dans le ridicule crasse et bête. A partir de là on hésite entre consternation et malaise. On est loin du grand film attendu sur le cannibalisme pour une œuvre qui se voulait être héritière de « Cannibal Holocaust ». Revoyez plutôt le chef-d’œuvre méconnu « Vorace » … C’est distrayant et la fameuse scène centrale vaut le détour sinon on peut passer son chemin, c’est globalement décevant.



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    Pascal Lecullier
    Pascal Lecullier

    14 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2020
    Je viens de finir le film et je suis très agréablement surpris, pour les amateurs de film d’horreur n’hésitez pas une seconde et foncez! Ce film est un l’un des plus originales que j’ai pu voir, je m’attendais encore à un film d'horreur prévisible où on ne ressent pas le moindre frisson. Dans ce film c’est tout l’inverse, c’est prenant, absolument gore et loufoque. Quand les choses commencent réellement à mal tourner le film prend une tournure très intéressante. Je conseille vivement
    pentarou
    pentarou

    5 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    Déçu de ce film, j'avoue que je suis partit avec peut être un peu trop d'espoir.
    Le pitch initial est attrayant et on s'attend à un film intense et gore.
    Mais finalement malgré quelques scènes avec de l'hémoglobine, on ne s'y retrouve pas. La faute a une technique très pauvre, je ne connais pas le budget du film mais le manque de moyens est criant. Aucune scène n'est marquante car tout fait faux, plastique. Avec un film dont le ton se veut sérieux ça ne fonctionne pas. Ils auraient peut être du partir sur du comique à la Evil Dead pour en sortir quelque chose de potable.
    Ajouter à cela un jeu d'acteurs au raz des pâquerettes et une réalisation peu inspiré.
    Au final on a donc un film de vidéo club très moyen qui peut faire passer le temps un après midi pluvieux. Mais avec la quantité de films et séries à disposition à l'heure actuelle ça serait quand même perdre son temps.
    Caroline G.
    Caroline G.

    22 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 septembre 2020
    Allez, ce soir, je me fais un film d'horreur bien gore. Et si je me faisais Green Inferno...
    Je vais me prendre une cl... Euh... non, rien... Rien du tout. Si l'idée était bonne, le reste est mal joué, la prise de vue basique, vraiment pas chiadée, les activistes passent vraiment pour des charlots (était-ce nécessaire d'aller jusque dans cette caricature ?)... Que dire aussi de ce puritanisme US qui cache le physique de ses actrices avec des brassières, même celles qui ont un rôle de "sauvages" : ridicule. En résumé, ce film est une caricature a lui tout seul.
    En dire plus sur ce film serait une perte de temps...
    Cochon dindedu 72
    Cochon dindedu 72

    8 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 juillet 2020
    En voilà un excellent film "de genre".Tous les bons ingrédients y sont :la bien pensance et l'arrogance en particulier des jeunes américains qui se fait démolir à souhait !!!Une 1ère 2 heure calme mais qui fait monter la tension et ensuite :mieux vaut ne pas être trop sensible et avoir l'estomac bien accroché. Mais que ça fait du bien au milieu de toutes les nullités innommables dont.nous abreuvent HBO Netflix et cie !!
    Horrophile75
    Horrophile75

    38 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2020
    Il y a un gros écart entre les qualités du film et mon impression globale, ce que j'explique difficilement. Au départ, j'étais prêt à mettre 1.5 / 5, mais après mûre réflexion, et en mettant davantage en avant les bons côtés du film, j'en arrive à 3.5 / 5. Je crois que l'explication est la suivante : l'on m'avait promis un film intense et cruel, et le résultat s'est révélé bien en deçà de mes espérances (mis un part une scène vraiment éprouvante pour le caractère long de la mise à mort). Mais pour ce qui est des points positifs, ils sont nombreux. Tout d'abord la réalisation et les décors. C'est tout de même Eli Roth aux commandes, ce n'est pas rien (j'ai déjà souligné ses talents de réalisateurs avec les deux premiers "Hostel"). Parlons de lui, justement : il prend toujours bien son temps, et avec le plus grand soin, de nous présenter ses personnages, leur donner une réelle personnalité, et cela se fait très rarement. Le tout sans que le début ne soit ennuyeux, ce qui est le risque avec cette méthode. Et toujours à propos d'Eli Roth, il nous offre sa vision du monde, un message, ne se contente pas de nous offrir du simple divertissement. Ceci est tellement rare dans un film d'horreur que ça fait beaucoup de bien lorsque cela se produit. En arrivant au terme de cette critique, les choses me sont finalement plus claires : c'est vraiment le niveau de divertissement moins élevé que ce à quoi je m'attendais qui est responsable de ma note. Mais bon, tout cela est de ma faute, je n'avais qu'à pas tomber dans le piège des promoteurs du film ^^ Et j'oubliais le dernier point positif : No sex at all ! (Merci à captainfuckingmagic pour cette expression, je la reprendrai volontier car pour moi aussi c'est une grande qualité dans un film d'horreur)
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juin 2020
    The Green Inferno est un grand film politique qui, entre deux corps démantibulés à l’aide de couteaux de fortune, brosse le portrait de notre monde contemporain et de ses lanceurs d’alertes. Le regard que porte Eli Roth sur ses personnages est celui d’un chirurgien soucieux de disséquer les mœurs en perforant la chair : soit un groupe d’activistes présenté d’abord comme un corps composé de membres unis autour d’une cause commune – la défense de l’environnement, la protection de l’Amazonie – qui va peu à peu se dérégler et ainsi révéler sa véritable nature. C’est d’abord l’hypocrisie qui transparaît : les activistes ne sont que des bobos engagés dans une aventure qu’ils envisageaient comme des vacances, ils se plaignent des moustiques, s’amusent du pittoresque extérieur, parlent vaccins et gel hydro-alcoolique. Les Indiens sont perçus comme de pauvres victimes d’un système pourri auxquels il faut venir en aide ; les pauvres ne savent pas se défendre seuls, eux qui vivent en paix. La progression du film démolit cette thèse d’essence rousseauiste de la même façon que les grues déracinent les arbres : les Indiens seront vite qualifiés de « barges » et de « barbares ». Aussi le choix de la jungle comme espace cathartique ne relève-t-il pas du hasard : la nature sauvage permet de libérer celle de l’homme et de raccorder ce dernier à un état de bête primitive – seul état qui recouvre complètement la relation initiale entre homme et nature, tant vantée par les discoureurs en vogue. Le cinéaste montre parfaitement, comme sur le divan d’un psy, la transition d’un état de captivité à celui d’un état de prédation, explicité par le retour de Justine à New York et sa volonté de travestir la réalité. La jeune femme a subi une série d’épreuves tenant lieu d’initiation au mal inhérent à la nature humaine, et dont le cannibalisme n’est que le prolongement de la cruauté manifestée par Alejandro et sa petite-amie, cruauté d’autant plus insidieuse qu’elle avançait masquée, tapie derrière des artefacts sociaux. Ce raccord à la violence exhibe les rapports humains comme des rapports faussement policés, qui ont déplacé ce fond de violence première, l’ont transformé sans pour autant l’éliminer (car cela est impossible). En signant un vibrant hommage au chef-d’œuvre de Ruggero Deodato, Eli Roth actualise l’œuvre originale en la pensant comme un miroir de nos sociétés actuelles, obsédées par les grandes causes à défendre, les coups d’éclat et la promotion d’un héroïsme placé sous le signe du martyre individuel. The Green Inferno apporte humour et ironie mordante en même temps que des téléphones portables partout présents, devenus la finalité des expéditions entreprises au péril de sa vie. Voilà une satire saignante et cinglante qui prend un plaisir sadique à faire souffrir des personnages odieux, ce qui place le spectateur dans une position ambiguë, oscillant d’abord entre les étudiants et les indigènes, optant enfin pour le point de vue de Justine et se délectant du cynisme d’ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 juin 2020
    «The Green Inferno» de Eli Roth est certainement le film le plus politiquement incorrect tourné ces dernières années. Partant du principe de faire un remake des films de cannibales des années 70/80, dont les titres phares sont «Cannibal Holocaust» et «Cannibal Ferox», Roth en profite pour déverser dans son métrage une critique acerbe qui n'épargne PERSONNE. Évidemment, la dénonciation de la déforestation mettant en péril les dernières tribus de chasseurs-cueilleurs est omniprésente, mais le réalisateur de «Hostel», loin de faire dans la dentelle (et dans la lâcheté), égratigne très sévèrement les tristement célèbres «Social Justice Warriors». La dénonciation de ces jeunes étudiants bourgeois, gauchistes et moralisateurs est implacable. Roth met en avant leur hypocrisie et surtout la psychologie de la «compensation morale» qui anime ces gens. Le film aura eu sa controverse de la part des chantres du néo-progressisme, le réalisateur ne se déballonnera pas des accusations de racisme en répondant : « L'idée qu'un film de fiction sur une tribu fictive pourrait en quelque sorte blesser les peuples autochtones lorsque les sociétés gazières déchirent ces villages quotidiennement est tout simplement absurde. Ces entreprises n'ont pas besoin d'une excuse - elles en ont une - les ressources naturelles du sol. Ils peuvent habiller les choses comme ils le souhaitent, mais personne ne détruira un village parce qu'ils n'aimaient pas un personnage dans un film, ils le feront parce qu'ils veulent devenir riches en vidant ce qui se trouve sous le village. Cette crainte qu'un film leur donne des munitions pour détruire une tribu, tout cela ressemble à une colère et une frustration mal dirigées que les sociétés contrôlent le sort de ces tribus non contactées en manipulant les gouvernements pour modifier les lois. C'est comme dire que les films provoquent la violence,si cela était vrai, la violence n'aurait pas existé avant les frères Melies.

    Le plus triste, c'est que ces entreprises n'ont pas besoin d'un film - elles le font déjà. J'ai suivi cela de très près, à la fois au Pérou et sur ce qui se passe avec les récents changements législatifs au Brésil. C'est tragique. Mon film, cependant, traite de l'activisme en mouvement, ou du «slacktivisme», ce qui signifie que les gens sautent sur les réseaux sociaux et retweetent des causes dont ils ne savent rien (quelque chose que ces activistes semblent prêts à faire avec mon film). L'idée que les enfants ne sauvent la forêt tropicale que pour être mangés par la tribu qu'ils ont sauvée est une métaphore de la façon dont les gens sont consommés sans vergogne par leur vanité et doivent être validés sur les réseaux sociaux. Ces enfants dans le film s'occupent, mais ils se soucient davantage d'être reconnus pour leurs soins. Si quoi que ce soit, The Green Inferno montre la beauté du Pérou,où j'ai pris des caméras plus loin que quiconque n'a pris une équipe de tournage avant de tourner un long métrage narratif, afin que le public du monde entier puisse ressentir la jungle à chaque fois qu'un arbre est arraché. Ce que ces militants réels ne savent pas, c'est que le film est en fait du côté des villageois. Ils peuvent avoir peur de ce qu'ils veulent sur la façon dont ces gens sont représentés, mais vous savez qui a aimé la représentation? Les villageois que j'ai filmés. Ils pensaient que c'était hilarant, et ils comprennent la différence entre la vraie vie et les films même si nous leur avons montré des caméras pour la première fois. Tout le monde savait que c'était faux, et ils ont également compris que les tribus ne sont pas déplacées par les compagnies gazières parce que quelqu'un leur a fait peur dans un film. Si ce film, ou n'importe quel film, avait vraiment ce genre de pouvoir, je serais capable de faire un film et de sauver la forêt tropicale en 90 minutes. En bref,si vous voulez sauver les tribus isolées du Pérou, vous faites quelque chose en lequel nous croyons tous et beaucoup d'entre nous souhaitent secrètement faire partie de nous. Je t'applaudis.

    Ma petite contribution au Pérou a été de mettre des toits sur chaque hutte du village où nous avons filmé, quelque chose que les villageois avaient voulu toute leur vie, et nous leur avons donné près d'un an de salaire pour trois semaines de travail. Les personnes qui semblent se soucier publiquement de la façon dont ces personnes sont représentées sont des personnes qui veulent être présentées comme des personnes bienveillantes. Si vous n'aimez pas mon film, c'est bien, mais tout dans le film est basé sur de vraies recherches sur la façon dont les indigènes vivent, s'habillent, se peignent, se défendent et sur les rituels réservés aux intrus qu'ils voient comme des ennemis. Vous n'avez pas à l'aimer, et l'histoire est fictive, mais tous les rituels sont venus de mes recherches sur les tribus du monde entier et sur la façon dont elles traitent les intrus. Mais si vous êtes vraiment nerveux à l'idée qu'un film alimente le feu pour les gens qui attaquent les villageois et prennent leurs ressources, alors ne voyez pas le film.Si tout le monde arrêtait ses idées parce qu'il craignait d'offenser les gens ou de susciter des discussions, il n'y aurait pas d'histoires à raconter. En bref, prenez votre cause au sérieux, mais prenez mon film pour ce qu'il est - un film. »
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 avril 2020
    Très bon film, avec un scénario assez original je trouve. Ce film fait découvrir une tribu, des rituels aussi effrayant soit ils, mais ouvre les yeux sur les gens différents qui partagent notre planète avec nous.
    J'ai deux point négatifs, le premier est les personnages, certains sont comme anonyme, spoiler:
    les morts du crash d'avion ne sont pas assez montré, on ne comprend pas trop qui est mort ou pas, sachant que plusieurs personnages féminin sont blondes et de long se ressemble. Et le deuxième c'est Justine qui ment au gouvernement sur ce qui s'est passé. Je comprend totalement qu'elle est voulu protéger le petit garçon qui l'a aidé à s'enfuir, mais les autres on carrément dévorer vivant L'ars, découper un autre vivant ect. Même si c'est une tribu méconnu avec d'autres croyance que les nôtres, ce qu'ils ont fait à ses amis je ne pourrais pas leur pardonner. J'aurai dit la vérité pour que plus personne ne s'aventure à moins de 100km de ses gens. Même si le gouvernements aurait envoyé l' armée pour les exterminé. Même si ce sont des humains comme nous, ils sont dangereux et dans certains pays ont exécute des gens pour bien moins que ca. spoiler:

    Mais c'était un très bon film, gore à souhait, mais très bien.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 568 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mars 2020
    Un groupe d'étudiants idéalistes partit pour la jungle péruvienne. Leur objectif est de faire une déclaration écologique en entravant les opérations d'une entreprise forestière et en la diffusant en direct sur Youtube. Ils y parviennent mais au retour, leur avion s'écrase. Les survivants doivent maintenant faire face à la tribu cannibale qui vit dans ces régions. Eh bien, commençons par les points positifs. Le gore est assez bon quand il arrive. À mon avis, ce genre de film d'horreur particulier a besoin d'images chocs extrêmes. Et cela fait vraiment défaut ici. En plus vous pouvez à peu près déterminer ce qui va se passer à chaque étape du scénario. Les personnages du film sont vraiment désagréables depuis le début et ne s'améliorent jamais vraiment, en fait on espère qu'ils meurent tous très vite. Tout cela est une entrée médiocre dans le genre "cannibale". Probablement une bonne introduction pour les gens sensibles qui veulent voir des navets dans le genre Cannibal Holocaust. Vous voulez voir un bon film du genre cannibale, regardez plutôt "We are what we are" de Jim Mickle...
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