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    The Green Inferno
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    186 critiques spectateurs

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    Chatterer
    Chatterer

    84 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 octobre 2015
    Enfin vu ce Green inferno que j’attendais depuis 2013. Un film qui a vraiment peiné à voir le jour et qui ne mérite pas le sort d’un direct to video. Depuis pas mal de temps, il fait couler pas mal d’encre. Un film qui, aujourd’hui, divise les spectateurs…Comme chaque œuvre d’Eli Roth d’ailleurs. Depuis sa sortie, c’est soit « Brulons ce tacherons d’Eli Roth…Ce film est un scandale… » ou « Eli Roth est un génie qui marque le film de genre ». Moi je me situe carrément sur cette seconde opinion.
    En effet, j’adhère à son style, son cinéma. « Cabin Fever », « Hostel », « Hostel 2 », « Knock Knock »…Je me souviens de la sortie d’Hostel…J’y étais allé avec tout un groupe d’amis. A la fin de la projection, me voila scotché par ce film qui m’a vraiment transcendé …mais cassé par tous mes amis, en colère, qui se déchainaient à défoncer le film…Et c’est à chaque fois pareil.
    Donc, le subversif The Green inferno ne déroge pas à la règle. Et une nouvelle fois, me voila complétement conquis.
    Eli Roth a réussi à rendre un brillant hommage au film de Cannibales des années 80. Je pense notamment à l’horrible « Cannibal Holocaust » qui avait frappé très fort à l’époque. Un film que le réalisateur a très bien amené pour pousser l’horreur à son paroxysme. Décapitation, éviscération, œil arraché et bouffé, ça gicle, ça hurle…et le spectateur commence à avoir la nausée. Pour tout dire, le film est tellement gore que certains journalistes se sont évanouis pendant la projection au Festival de Deauville. Eli Roth met les nerfs du public à rude épreuve. En tout cas, moi j’ai vraiment été plongé dans cet enfer vert au point d’en avoir eu des suée.
    Pour le pitch…Un groupe de « Kumbayas » (référence à Kymbayaaaaa my loooorrddd…Kumbayaaaaaa) occidentaux bien-pensants, bien veillant, décident de (se mêler de ce qui ne les regarde pas) se rendre en Amazonie afin de sauver une tribue (qui au passage ne demande rien à personne) de la déforestation. Ce petit groupe veut changer le monde sans réaliser qu’ils vont se jeter droit dans la gueule du loup. Ils ont juste oublié de se renseigner sur cette tribue qui est pourtant connu pour pratiquer le cannibalisme et autres actes de torture, de barbarerie. Va alors s’en suivre une boucherie sanglante sans nom…
    Violent, brutal…mais pas seulement. Green inferno est un film vraiment bien fichu. Eli Roth amène le public progressivement vers l’horreur, histoire que nous finissions par ressentir de l’empathie pour ce ptit groupe de crétins. Il prend son temps, nous fait découvrir des paysages somptueux mais pour le moins inquiétants.
    L’étonnant casting est composé en majorités d’illustres inconnus puisque l’équipe a mis en scène de vrais autochtones. Nous retrouvons également pour la seconde fois chez Roth l’excellente actrice Lorenza Izzo qui va passer un sale quart d’heure en proie à ces cannibales aux lames aiguisées.
    En bref, une bonne réalisation, un casting à la hauteur, un film de cannibale avec des cannibales, du gore, des décors à couper le souffle, de l’action…Ce film est une vraie réussite et se situe au-delà de mes espérances.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 octobre 2015
    un film que j'ai adoré. Eli Roth rend hommage aux films de cannibales Italiens, que ce soit le meilleur d'entre eux (Cannibal Holocaust et encore que ce film reste magnifiquement gore et indigeste) , et aussi le pire (l'humour involontaire des nanars du regretté Bruno Mattei dont ici Eli Roth s'empare de manière volontaire). Ce film est en fait une comédie horrifique à prendre au second degré, et c'est là où le génie d'Eli Roth est au summum, car il arrive à nous faire rire dans un film où le sang gicle à tout va. Bref, Roth est génial.
    Vicente K
    Vicente K

    6 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2015
    quelques bonne scènes trashes et une fin déroutante!!
    Silbano S
    Silbano S

    8 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 octobre 2015
    Que dire...?! Peut être que c'est l'un des pires film que j'ai vu en 20 ans!
    C'est nul et pourtant j'ai vraiment mis de la bonne volonté en essayant de me mettre en condition mentale sachant le genre de film que c'était, mais quand c'est trop médiocre il n'y a rien à faire.
    Certes les scènes de gores sont bien réalisées (et encore), mais le scénario est naze, certaines scènes improbables ( spoiler: le mec qui se prend l'hélice juste après le crash, la fille qui casse son bol et se tranche la gorge avec, la scène avec le cannabis caché dans le corps mort de la fille, la tribu qui plane sous THC
    et j'en passe) ,une tribu faite de figurants non convaincants et une fin bidon.
    Bref, j'ai perdu un samedi soir!
    Bruno G
    Bruno G

    23 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    c'est TRES mauvais, de bout en bout ...
    effets speciaux ? à vomir, on faisait mieux y'a 20 ans il me semble ...
    suspense ? rien, zero absolue ...
    jeu des acteurs ? le neant ...
    scenario ? heu ... y'a des sauvages cannibales !!! et , attention, spoiler ... ils vont bouffer des mecs ...

    rien de gore non plus si vous etes afficionados du genre ...

    desolé, rien en le sauve, epargnez vous 10 € de ciné pour ce retentissant navet :(
    Thibault F.
    Thibault F.

    53 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    Vous savez à quel point, j'apprécie le cinéma d'Eli Roth notamment dans ses dérives de notre système à travers la vision horrifique du cinéaste. Après le très réussi Knock Knock, il était temps de partir en pleine jungle à la quête d'une tribu de cannibale menacé par un projet de construction urbain. Si le pitch de départ est simple mais assumé, faisant référence de nombreuses fois au cinéma italien ou série B des années 70, l'emballage reste timide et franchement décevant. La scène d'exposition est interminable, les personnages ne sont guères attachants et très caricaturaux jusqu'à la fameuse scène de cannibalisme qui permet de réveiller le spectateur en sursaut tant la scène parait insoutenable... et puis c'est tout! Le film se vaut pour quelques situations concasses, une scène de découpage de 10 mn et une ambiance glauque et oppressante mais ça reste trop faible. Ne parlons pas des twists rocambolesques...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    Alors je reste un peu mitigé sur ce film, car je l'attendais avec impatience ..des films dans le genre cannibal il en sort tres peu au cinema .. Je trouve que avec ce film ils auraient pu faire mieux car niveau scenario c'etait plutot pas mal! Le film est assez bon mais ca aurait pu etre mieux, je compare un peu a certaines scenes de king Kong avec Naomi watts.. Ca aurait du etre encore plus effrayant, stressant ! La on en a eu mais c etait pas assez poussé !! Vu le genre du film qui avait du potentiel ..il on fait le necessaire mais pas plus...c 'est dommage! Par contre je dis bravo a l'actrice principal car elle joue le role a merveille! Assez bon film dans l'ensemble, je ne regrette pas d'avoir ete le voir..ca change..
    Informaticien Dubinfo
    Informaticien Dubinfo

    19 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    J'attendais ce film depuis plusieurs mois et en général, quand j'attends un film depuis plusieurs mois, je suis déçu. Et bien, cette fois, mon attente a été récompensée... Excellente réalisation (plans,...), histoire qui tient la route, des personnages hyper réalistes, des scènes de gore comme je les aime. On se met vraiment à la place des prisonniers. Un GRAND film que j'ai beaucoup apprécié. Eli Roth remonte dans mon classement des meilleurs réalisateurs de films d'horreur..
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    Franchement je dois bien avouer que je m’attendais à pire, à bien pire, je n’aime pas et je n’ai jamais aimé Eli Roth, je trouve son cinéma vulgaire et facile, ce projet Green Inferno qu’il trainait depuis plusieurs années en faisant face à la censure américaine laissait tout de même des interrogations, voire des fantasmes, le sujet est ouvert à diverses idées en matière de mise en scène, Cannibal Holocaust avait ouvert la voie avec un des premiers found footages horrifiques ou d’autres séries B davantage classiques, le réalisateur en revendique même les influences, banco. Les derniers extraits comme celui de l’arrivée au village des indigènes m’ont même assez plu, je m’imaginais un truc bien malsain et très brut, mais j’avais aussi peur de la trivialité de l’utilisation du gore de Roth, au final le résultat est surprenant, enfin pas forcément dans le bon sens du terme, quoique …

    J’ai du mal à en ressortir un réel ressentiment, en toute sincérité je ne peux absolument pas dire que j’ai détesté le film, je n’ai jamais lâché l’écran des yeux donc à partir de là c’est intimement positif, on sent au fil du long métrage que Roth a de la suite dans les idées, même si je me suis longtemps questionné sur le fond de cette histoire, car ça joue la série B décomplexée à fond la caisse pendant un bon moment, voire même en quasi intégralité. Je pense que le plus important est de se préparer à quelque chose de léger en terme de ton, c’est sans doute aussi moi qui ai été assez naïf d’espérer autre chose de la part du réalisateur, perso je voulais du pur premier degré, de la tension de fou, de la peur primale, atteindre un degré de morbide rare au cinéma, il me semblait que tout était en place pour répondre à mes attentes. Mais en fait pas du tout (ou presque, toujours cette petite nuance), j’ai été obligé de m’adapter tant bien que mal, et on se rend compte assez rapidement que le type va jouer la déconne, notamment la petite parenthèse sur la judéité de l’amie de l’héroïne, ça n’a rien à foutre là mais c’est assez marrant, comme cette manière de décrédibiliser les activistes écolos, avec du recul on en revient à la même idée, celle de la communauté cloisonnée et enfermée sur elle même, qui renie au moindre mot ou réflexion de travers, plutôt malin.

    The Green Inferno raconte donc l’histoire d’un groupe de militants partant pour le Pérou où la mission est de rendre au monde des images via streaming pour incriminer une multinationale s’apprêtant à détruire toute une ancienne civilisation en déboisant la forêt, Justine en fait partie, elle les a rejoints pour ses convictions mais aussi pour les beaux yeux de son fondateur. Arrivés sur place ils s’enchaînent à des arbres pour empêcher les bulldozers de faire le sale boulot, la jeune femme se retrouve en quelque sorte piégée mais finie par les faire involontairement plier, sur leur trajet de retour au dessus de la jungle leur avion s’écrase, les survivants sont capturés par une tribu d’indigènes cannibales.

    Ce qui m’a principalement posé problème c’est avant tout la mise en scène et les dialogues intégralement gérés par Roth, j’ai trouvé la première partie du film franchement poussive et scolaire, les bases sont posés hâtivement sans aucune subtilité, on commence à nous instaurer un triangle amoureux passablement agaçant à l’avance, certaines scènes ont même peu d’utilité mise à part pour générer des pseudo gags malvenus comme celle du mec qui va pisser pour se retrouver chatouillé par une tarentule, on comprend que Roth ne cesse de se foutre de la gueule des activistes, ça n’était pas forcément nécessaire de dériver vers cette sorte de collégialité. Le premier ancrage arrive lorsque Justine se retrouve avec un flingue sur la tempe, où elle est directement confrontée à la cruauté qu’elle ne soupçonnait pas, à partir de là c’est intéressant, et tout le reste du film va tourner autour de ce sentiment de revanche presque inconscient contre son propre camp, c’est l’idée centrale en fait, jusqu’à quel prix une vie humaine peut valoir ? L’actrice est même attachante (elle arrive à retourner totalement son rôle de peste de Knock Knock), on n’a aucun mal à éprouver de l’empathie pour elle, contrairement aux autres qui sont montré comme à moitié nigauds et paradoxalement matérialistes, Roth prend plaisir à les défoncer, mais encore faut il être saisi par cette même opinion, idéologiquement et formellement.

    La tribu cannibale et tout ce qui l’entoure est très certainement l’aspect le plus réussi pour ce qui est de la vente du projet de base, celui qui ne déçoit pas, le fameux passage de l’arrivée au village des prisonniers est excellent, on voit la peur dans leurs yeux, l’incompréhension, encore à moitié dans les vapes sous l’effet du poison des fléchettes, c’est la meilleure séquence en terme de mise en scène, enfin de ce que j’en attendais, c’est tendu, évasif, terrifiant, un vrai cauchemar ! Mais ça ne pouvait pas durer très longtemps, Roth nous a aussi promis du gore et il nous en donne avec une joie non dissimulée, c’est assez atroce et j’ai plutôt aimé, c’est dans la continuité et la logique de ce qu'on veut nous faire ressentir, nul doute qu’on aimerait pas être à leur place ... Mais c’est ensuite que le film m’a perdu, puisque de manière incompréhensible la mise en scène repart vers le second degré et le potache (la meuf qui a la chiasse ou le mec qui se branle), tout est rendu presque ridicule alors que ça ne devrait pas (enfin à mes yeux), c’est trop facile, dans ce genre de situation il y a de quoi être tétanisé et livide de peur, mais ils discutent comme au café, je n’ai pas compris, surtout qu’en plus Roth a lui même admis lors d’une interview qu’il s’était inspiré de Apocalypse Now, bonne blague quand même.

    Et pendant un bon moment le réalisateur va nous conditionner à ce relâchement et à cette décomplexion narrative, le projet ne tient plus vraiment debout et c’est dommage de tomber dans ce genre de vulgarité, je veux bien qu’il persiste à s’accrocher à sa série B et qu’il refuse de se prendre au sérieux mais les ruptures de tons ont malheureusement du mal à fonctionner, la dernière partie est même presque trop scénarisée (comme le rôle du gosse de la tribu), à défaut d’être finalement cohérent j’espérais une issue plus obscure et anticonformiste. Je trouve aussi que le caractère sacré qui découle du personnage de Justine par rapport à la tribu n’est pas assez appuyé alors que c’était assez intrigant et fascinant, la nana s’affranchit en quelque sorte de sa condition de femme occidentale, d’objet au service d’une cause hypocrite, le dénouement montre bien ça avec ce profond détachement émotionnel, comme une sélection naturelle. L’ironie est poussée assez loin quand on sait qu’à la base cette razzia partait juste d’un groupe d’activistes qui saoule un peu trop à nous réveiller le dimanche matin en gueulant à notre fenêtre, bon à vrai dire Roth n’a pas totalement tord, ça fait chier, surtout quand on a la gueule de bois.

    Ce Green Inferno reste en tout cas à mes yeux le meilleur film de Eli Roth, le scénario d’apparence bête ne l’est pas tant que ça, le message est décryptable, le projet est un minimum malin, c’est uniquement son traitement qui m’a rigoureusement posé problème, et malheureusement ça gangrène inévitablement l’entièreté de l’œuvre, à trop vouloir jouer la dérision son film fini par se galvauder. Je pense que le spectateur y trouvera son bonheur dans l’optique qu’il choisira de lui accorder, tout simplement, j’attendais un truc oppressant, macabre et très sombre donc logiquement j’ai été déçu à ce niveau là, mais d’autres qualités en sont indéniablement ressortis, j’ai en tout cas passé un bon moment, mais le pur plaisir n'est resté qu'à l'état de fulgurances.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    2 ans d'attente pour au final un avis mitigé.
    Une scène "hard "et encore on a déjà vu pire.
    Moi qui croyais voir ce qui allait devenir la référence du film cannibale, je me suis trouvé à visionner un film qui ne pas choqué.
    Les fans de cannibal holocaust apprécieront certains clins d'oeil, ceux qui s'attendent à un film ultra gore resteront sur leur faim.
    Très bons maquillage et effets spéciaux, à voir une fois.
    Blog Be French
    Blog Be French

    39 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    Si ce n'est pour son immersion dans une tribu et son fantasme ethnologique, Eli Roth s'égare encore et fait de The Green Inferno un film gorehabituel du genre. Les scènes d'horreur sont en fait assez minimes et le film d'Eli Roth a du mal à déclencher l'éveil chez le spectateur... En effet l'hommage à Cannibal Holocaust est clairement assumé mais manque d'un réel fond pour créer l'horreur d'une réalité comme a su le faire le film de Ruggero Deodato à l'époque.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    C'était un bon divertissement qui ne méritait pas autant de polémique. Il est pas plus gore qu'un épisode de The Walking Dead. J'ai trouvé l'ensemble bien maitrisé de la part d'Eli Roth, avec une mention spéciale dans la mise en scène de la tribu d'autochtone ; après Eli Roth reste un spécialiste des fins expéditives c'est toujours dommage. Conclusion : The Green Inferno, beaucoup de bruit pour rien.
    Grégory C.
    Grégory C.

    9 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    Bon ben il fallait attendre encore un an pour voir enfin le film de Roth:
    Sincèrement, je m'y attendais un peu du déroulement du film; une espèce d'atmosphère de mise en scène à la "Hostel", et la chaleur de Cannibal Holocaust (les petites références dans le films feront plaisir aux fans de Deodato).
    Bien "hémoglobineux" comme il le faut, du Roth tout simplement!
    Si il aurait sorti dans les salles, je pense qu'il aurait fallu soit une version "soft", un peu censuré, soit une prescrip-tion R-21.
    4 étoiles bien méritées.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    décidement eli roth n'arrivera pas à me convaincre....
    -hostel est decevant, parti de bonnes intentions mais au final gore sans queue ni tête (même le film n'est pas réaliste jusqu'à même le pays, ayant été avec une slovaque le film n'est même pas tourné en slovaquie...dommage)
    -knock knock, beaucoup d'espérances et peu de résultat, un film qui tombe à plat alors qu'on s'attend à bcp mieux

    et enfin green inferno à qui j'ai donné sa chance, au final encore une déception notable ....j'ai lu bcp de critiques qui parlent que le film livre un message ...lequel ? pauvres indigènes ? avoir de bonnes intentions ne va jamais forcement avec de bons moyens ?
    aucun message avec ce film, je suis au regret de le dire ...ce film n'est encore une fois qu'un moyen de livrer de la violence en rendant hommage à cannibal holocaust (tout aussi nul d'ailleurs)
    que cherche ton à nous montrer avec ces films ? qu'on ne sait pas ce qu'on sauve ou essaye de sauver ? qu'on veut montrer la nature pire que ce qu'elle est ??? que les indigènes sont gores parce que c'est leur culture mais que si ils sont comme ça c'est à cause du méchant blanc qui détruit leur forêt et vient les emmerder ?
    rien du tout juste un moyen de faire un film à grand renfort d'hémoglobine, qui ne vaut pas plus que ça ...ce film doit être pris que pour ce qu'il est, un film a l'histoire pauvre, qui ne se regarde juste pour savoir si on sera choqué ou non, ....ce qui a pu faire le succès du site "rotten" à une époque ou ce qui nous fait ralentir près d'un accident pour voir si on pourra voir un bout de cadavre ....c'est dégueulasse mais la curiosité l'emporte ...
    je suis d'accord g t curieux par le gore que j'en ai entendu et le réalisme que tout le monde clamait ...désolé de vous dire messieurs dames mais cannibale holocaust est mieux fait dans le choquant (pas les effets spéciaux mais la situation et l'horreur) et le film a 36 ans.
    un film pauvre, nul et pas choquant un brin ....tout est bâclé et on s’ennuie sérieux ...voilà un film qui peut plaire à ceux qui ont trouvé "paronormal activity" effrayant

    eli roth fait moins bien que son prédécesseur et ça tombe à plat....s'il te plait eli, arrête la réalisation ou essaye d'être convainquant la prochaine fois, une erreur ? c'est normal, 2 erreurs ? ça peut se comprendre, 3 erreurs ? c'est un accident ...que des erreurs ??? peut être changer de voie est envisageable
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 070 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    Bon après avoir visionné the Green Inferno j'ai un peu l'impression d'avoir vu un pétard mouillé. Bon déjà ce n'est ni spécialement gore ou violent, ni spécialement immoral ou que sais-je, disons que le film fait vraiment le strict minimum et que les personnages ne sont pas réellement bien développés pour espérer éprouver une empathie. Au contraire.

    En fait au début j'ai pris ça vraiment comme j'ai pris Piranhas 3D, on a des sortes d'activistes écolos et c'est une joie de s'imaginer les voir se faire dévorer. D'ailleurs le film est assez ambigüe sur leurs intensions réelles pour que ça soit assez intéressant et se rendre compte que ce ne sont pas que des types niais qui y vont il y a aussi des gens qui ont un intérêt à s'investir dans ce genre de causes.

    Si le film passe plutôt bien dans sa durée, je trouve quand même que ça met une éternité à en arriver aux faits, à ce qui est intéressant (et que ça manque incroyablement de filles à poil ! Deux pauvres nichons au détour d'un plan laid vite fait, on a fait mieux ! Eli ! Tu me déçois !), alors on a bien une ou deux blagues plutôt marrantes, j'aime bien la blonde qui au début insulte les activistes en utilisant le mot "juif" choquant ainsi une passante et qui la regarde en disant, c'est bon je suis juive j'ai le droit de dire ça. Je trouve ça plutôt marrant, c'est sans doute Roth qui parle lui-même au travers de ce personnage.

    Mais après une fois cette boutade passée, c'est un peu lent et pas très intéressant. On a bien la scène d'activisme qui ne tourne pas exactement comme prévu qui a un aspect assez intéressant dans ce que ça montre sur ces activistes. Mais c'est très vite éludé. En fait c'est ça le problème du film il y a de bonnes idées, mais on n'y consacre pas assez de temps.

    Puis enfin on arrive au coeur du film, mais une heure a bien dû passer. Et je trouve certains trucs vraiment grossier, genre la fin, plus particulièrement le truc avec le gamin. C'est plein de facilités, mais bon on a quelques scènes bien malsaines que j'ai "appréciées" autant qu'on puisse le faire. Je pense à l'arrivée dans le camp des cannibales, avec ces mains qui touchent les cheveux et la chef avec son oeil en moins qui regarde, je trouve ça réellement fascinant et immonde. J'ai failli me sentir mal à l'aise (mais j'ai un problème avec le contact physique avec autrui, ceci doit expliquer cela).

    Finalement ce n'est pas si gore que ça, cannibale holocauste l'était bien plus, mais était assez nul, faut bien le dire...

    Là la fin est assez malvenue je trouve, enfin je ne la comprends pas (enfin j'ai compris ce qui se passe, merci), mais je comprends pas pourquoi mettre cette fin la. Il y a un message ? Quel serait-il ? Est-ce-que c'est du pur cynisme ? Mais dans ce cas on aurait pu l'être encore plus. Du coup je suis partagé.

    En gros j'ai apprécié le film mais on aurait clairement pu mieux faire ! Et aller beaucoup, beaucoup plus loin.
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