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Philippe G.
119 abonnés
509 critiques
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2,0
Publiée le 20 août 2021
Eli Roth emmène des militants écologistes dans la jungle. Les malheureux vont constituer le dîner d'une tribu revêche. Résumons : un film à déconseiller aux adeptes du régime Vegan.
L'histoire commence bien, la tension commence a monter de plus en plus et tout à coup le film perd peu à peu de sa crédibilité. On ne sent plus attaché aux personnages, des scènes qui ne se résument qu'à de la violence gratuite et de non-sens. On assiste à des retournements de situation peu réalistes et peu originaux. Et pour finir une morale difficile à supporter et à rejoindre. C'est dommage car l'idée de départ est vraiment pas mal.
Selon mon rédacteur en chef, The Green inferno est assez décevant car on nous avait vendus cela comme un grand film d’horreur comme à la grande époque, d’une tension à couper le souffle qui ne fait aucun compromis tant dans la violence que dans son propos mais au final, on se retrouve avec une comédie potache à mi-chemin entre Bad Taste et Planet Terror. Bon, c’est bien rythmée, la caméra n'est pas dégueu, il y a quelque effet gore (mais pas assez à son gout) et la mise en scène est parfois vraiment percutante. La première partie est assez fun mais l'ironie qui caractérise les œuvres de Roth est bien trop présente pour faire trembler le spectateur sur les scènes de tension. Frustrant.
Un peu déçu, le scénario est pas fameux fameux et il est difficile d'avoir de l'empathie envers les personnages principaux. Je m'attendais a quelque chose de plus choquant et plus gore, ce film a fait beaucoup de bruit pour rien.
Le film que j'attendais le plus cette année. Eli Roth réalisateur des deux premiers Hostel nous sert ici un film de cannibale plutôt potage. Avant la projection j'ai pu voir Cannibale holocaust qui livre un véritable message sur la société des années 80 (et encore d'actualité aujourd'hui). Le souci de The Green Inferno c'est que le réalisateur c'est plus amusé dans la réalisation que sur l'écriture, pourtant ça démarrait plutôt bien. On sentait que ça partait très bien avec une histoire structuré qui malheureusement est complètement décousu au bout de 45 minutes. Je ne reproche pas le fait que les 45 dernières minutes ne soit pas à la hauteur mais que ça devient très vite lourd. Les séquences de gore sont magnifique en revanche et le réalisateur taquin n'hésite pas à mettre une couche d'humour noir ou on peut rire au larme (mais cela reste dans l'humiliation). Les clins d'œil à ses anciens films sont nombreux mais nous font tout de même plaisir. Un hommage à Cannibale holocaust et au cinéma de cannibale italien en globale. Attention certaines scènes pique les yeux !
L'avantage de ce film d'horreur de cannibalisme est qu'il ne se contente pas d'une suite de scènes gores, il y a une histoire, les acteurs ont de vrais rôles et même si ce n'est pas un chef-d'oeuvre, on peut dire que c'est un film d'horreur de bonne facture. Âmes sensibles s'abstenir...
Eli Roth qui cette fois s'attaque au cannibalisme d'une tribu d'Amazonie,quelques scènes sont gores et oppressantes et le film a une belle esthétique!en plus de ça c'est loin d'être le torture porn nihiliste,il y a un réel message qui dénonce l'urbanisation compulsive et la déforestation.Je pense qu'il est bon de préciser que certaines personnes un peu sensibles d'éviter de se faire du mal.Un bon Eli Roth encore une fois 3,5/5
Ressusciter Cannibal Holocaust était un pari grossier et osé à la base, mais force est de constater que The green inferno de Eli Roth est un bon hommage et un bon film, moins bien que Knock Knock mais mieux que le reste de sa filmographie, donc le film commence comme une comédie romantique un peu niaise puis des événements s'enchaînent et peu a peu ils sont capturés et la ça devient bien, la ca choque, le premier meurtre des cannibales est horrible c'est dégoûtant faisant passer certains pièges de saw pour une coquetterie, la fin a une fin un peu débile car SPOILER pourquoi ne pas avoir dit aux militants qu'il restait le leader je ne me souviens plus du nom alors d'accord elle avait raison de partir pour se barrer, mais pourquoi ne pas le sauver oui d'accord il vous a manipulé mais bon... Voilà mon avis sur Green Inferno.
Avec The Green Inferno, Eli Roth décortique l'Aamazonie sous toutes ses coutures. Et une chose est sûre, il ne lésine pas sur les scènes sanglantes ! Il créé un univers totalement propice à l'angoisse à coups de costumes et de musique terrifiante. Jusqu'à tomber dans le "too much" ? Le film s'est pourtant imposé au festival du cinéma américain de Deauville... Pour les âmes non-sensibles ! Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
Sitôt sorti en VOD, sitôt vu! Au final une distribution de ce film en VOD plutôt qu'en sale paraissait être effectivement la meilleure alternative, aux vues de la qualité de réalisation de ce film, assez moyenne il faut bien l'avouer. Green Inferno se voulait être un hommage à Cannibal Holocaust... Sauf que le réalisme, l'ambiance, la BO inadaptée y ont été tronqués. Les effets spéciaux gores sont bien en-dessous de Saw par exemple. Seul gros point positif: l'humour noir omniprésent ! A tel point qu'on se prête à croire qu'il s'agit d'une parodie assumée... A la fin du film, on passe aisément à autre chose, très loin d'avoir visionné LE film événement triomphalement annoncé. Passable.
Cela faisait près de trente ans que n’avait pas été tourné ce que l’on peut appeler un film de cannibales. En grand fan du genre, Eli Roth s’est donc lancé ce défi en essayant d’actualiser la thématique, suivant pas à pas les dérives de la bien pensance occidentale qui cherche à venir en aide aux populations autochtones sans se soucier réellement des répercutions locales. Là où Eli Roth fait une erreur, c’est que l’on sent dès le début qu’il n’aime pas ses personnages et qu’il jubile à l’idée de les envoyer se faire massacrer. Il ruine ainsi tout espoir d’identification du spectateur envers des êtres, trop naïfs pour certains, ou trop manipulateurs pour d’autres. Du coup, son pamphlet contre le business de l’humanitaire tombe un peu à l’eau. Ne reste donc qu’à profiter d’un survival bien gratiné en termes de violence graphique. Si The Green Inferno n’est pas la référence absolue en matière de gore (ceux des années 80 allaient beaucoup plus loin), il reste réservé à des spectateurs ayant le cœur bien accroché. Mais là encore, Roth ne peut s’empêcher de rajouter des détails grotesques ou vulgaires (le coup de la dysenterie ne sert vraiment à rien) et rend son film potache là où l’on espérait une atmosphère dure et étouffante. Le résultat final est donc mitigé, même si on doit lui reconnaître des qualités de réalisation et de réalisme dans la description des tribus amazoniennes (fantasmées bien entendu) que ne possédaient pas ses illustres aînés. En gros, son film est meilleur que la plupart des films de cannibales de la grande époque (souvent mauvais, avouons-le), mais bien loin derrière la force subversive implacable de Cannibale Holocaust qui reste à ce jour LA référence.
Très attendu, très déçu. J'en attendais tellement que ma déception est vraiment grande. Non pas que ce soit un mauvais film hein (le maquillage de la tribu des hommes rouges sur le fond vert de la forêt amazonienne est magnifique, par exemple) mais tout a déjà été vu et revu maintes fois pour les amateurs de métrages mettant en scène des anthropophages. Ce film n'est qu'un copié/collé version moderne de "Cannibal holocaust" avec moins de scènes chocs mais toujours autant de longueurs ! Et le twist du générique final est proprement ridicule. Eli Roth est donc un réalisateur moyen voire même surcoté mais bon c'est le copain de Tarantino, donc pas touche...
Après la sortie de " Cannibal holocaust" le film de cannibales a fait les beaux jours du cinéma bis, notamment italien, avant de tomber en désuétude. Mais voilà qu'Eli Roth ressort ce genre de film des tiroirs. Le film de cannibales est un genre difficile car il faut trouver un moyen originale pour envoyer les futures victimes dans la forêt tropicale afin de servir de festin à des tribus primitives affamées. Ici Roth utilise des activistes étudiants comme futurs amuse-gueule. La première partie du film est donc centrée sur eux ce qui permet de nous éclairer sur leurs personnalités (surtout pour le chef et sa petite amie). Dès l'arrivée de la tribu cannibale la boucherie commence (on d'ailleurs là pour ça). Les scènes gores sont bien sanglantes et les figurants sont plutôt crédibles mais je trouve que la chef des cannibales et sont bras droit font tâche au milieux des indiens (leur costumes et maquillages sont trop différents du reste de la tribu même s'ils ont une position hiérarchique plus élevée). Le gros point faible du film est le flou de certains plans qui peuvent faire croire que le cameraman est soit incompétent avec une caméra numérique soit un peu novice. Au final le film est à voir même s'il ne révolutionne pas le genre et on retrouve une morale qui revient souvent dans le film de cannibales : l'homme blanc "civilisé" est parfois plus cruel que les "primitifs" qui veulent les dévorer n’obéissant qu'à leur culture ou tradition...
J'ai bien aimé ce film. Rien de bien révolutionnaire mais plutôt rafraîchissant. J'aurais souhaité que le scénario tourne différemment mais c'est pas a moi de choisir et c'est bien comme ça.
Eli Roth, réalisateur de Hostel 1 et 2, se lance à la poursuite de cannibal Holocaust, le film qu'il vénère, qui l'a inspiré et qu'il aurait voulu faire. The Green Inferno est surprenant par son réalisme, certaines scènes sont troublantes et dérangeantes, tellement on croirait que cela est vrai. Même les enfants de la tribu amazonienne participe aux massacres. Ce que les gens reprochent certainement c'est le scénario bancal sur lequel se fonde et repose l'histoire. Puis suggèrent aussi que les acteurs de série B qui y participent ne sont pas fait pour être acteur, mais vous vous attendiez à voir Brad Pitt, Georges Clooney ou Julia Roberts dans ce genre de production ? A partir du moment où l'avion se crashe, on est happé par l'Enfer Vert et on ne lâchera plus. Faut-il pour cela laisser un chance au film d'en arriver jusque là.