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Inglorious_Ben
59 abonnés
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2,5
Publiée le 18 mai 2016
C'est gore, c'est trash... Mais c'est avant tout dommage qu'Eli Roth déserte de plus en plus son second degré, qui fait de ses films des petites perles bien uniques. Oubliez l'humour et les scènes absurdes d'un Cabin Fever, oubliez le teenage movie Hostel... Voici the Green Inferno, un remake plus ou moins assumé de Cannibal Holocaust. Ici le sordide côtoie le dégueulasse, pour une histoire peu convaincante et des personnages détestables et peu crédibles. Eli Roth s'enferme dans un classicisme qui ne convient pas à son cinéma, et c'est d'autant dommage qu'il avait le potentiel pour devenir un grand du cinéma gore! Et quitte à faire un film qui ne sort pas au cinéma et interdit aux moins de 16 ans, ce dernier aurait pu aller bien plus loin...
Ca reste plutôt réaliste et les acteurs sont bon. La mise en scène est soigné. Un film bien trash et dérangeant mais avec une véritable histoire. A voir pour les amateurs de gore.
La promotion laborieuse autour de ce film a permis, pendant un temps, d'attirer l'attention sur ce fier rejeton des années 80, époque bénie où les cannibales de Deodato flirtaient avec le scandale. Malheureusement, ce film ne se hisse pas à la hauteur de son modèle, et reste désespérément planté sur la ligne de départ. Pire : le côté horrifique adulescent du film lui rajoute un boulet aux pieds, avec une conclusion grotesque et convenue, sur le principe du "Quand 'y en a plus, 'y en a encore ! ". Un essai, certes, mais non transformé. Un comble pour The Green Infero, qui se voulait jusqu'au boutiste dans le sordide et l'abjection.
De la part de Eli Roth, je m'attendais a un film plus gore, plus subversif, plus dérangeant! Mais non, j'ai trouvé The green inferno plus gentil que Cannibal holocaust ou Cannibal ferox. Etant donné que le film ne sort pas au cinéma je pensais que le réalisateur de Hostel allait se déchainer et bien non. spoiler: Et pour la scène de sexe, un gars se masturbe dans une cage un peu gratuitement Bref rien de bien méchant et une déception pour moi.
J'ai adoré. The Green Inferno ou l'hommage d Eli Roth à un genre pour le moins douteux celui du film de cannibale qui n'est qu'un prétexte à des démembrements, du gore pour du gore, des films souvent à la sauce Found Footage donc avec quasiment aucune qualité esthétique, quand il n'y a pas par dessus cela de la cruauté sur des animaux. Personnellement je n'avais pas vu un film du genre qui m'ai plu. Jusqu'à ce que je vois ce Green Inferno qui est vraiment excellent. Excellent sur les trois points qui peuvent faire d'un film de ce genre un bon film. Tout d'abord le Gore, de ce point de vue Eli Roth ne triche pas et a comme le genre le demande une volonté de choquer avec des maquillages très réussis qui rendent certaines scènes vraiment Trashs et choquantes, il vaut mieux éviter de se mettre le film au petit déjeuner. Ensuite son sous texte sur la déforestation bienvenu et plus généralement sur l'écologie qui passe dans nos sociétés constamment après les profits. Mais à ce niveau il teinte son film de cynisme sur les ONG qui défendent la nature qui emploient les réseaux sociaux, les médias de masse et cherchent elle aussi de la notoriété qui est mise en parallèle avec les profits des entreprises qu'elles combattent. Enfin l'humour et ce film n'en manque pas, un humour très noir bien évidemment mais qui finit de rendre le film extrêmement subversif qui finira d'écœurer les spectateurs non avertis mais qui personnellement a été la cerise sur le gâteau d'un excellent film d'horreur.
entre humour et gore, écologisme et cannibalisme, ce petit film est une vraie réussite politiquement incorrecte et délicieusement transgressif. Des étudiants idéalistes habitués aux manifestations embarquent dans une aventure amazonienne de protestation pour finir démembrés et cuits de façon artisanale pour nourrir toute une joyeuse tribu peinte en rouge. Les trucages réussis autant la stupidité de la plupart des personnages apportent une ambiance foutraque et décalée donnant au film un rythme et une couleur lorgnant souvent vers le second degré. Une réussite pour public averti !
Plutôt mitigé après le visionnage de ce "Green inferno", Eli Roth continue de décevoir quelque peu surtout après le désastreux "Knock knock", on attend toujours une bobine de sa part digne de ses "Hostel", ce ne sera une fois de plus pas le cas ici. Pour autant, son métrage n'est pas dénué de qualités, la première étant la présence de sa très jolie femme, Lorenza Izzo, ensuite la réalisation n'est pas mauvaise avec de bonnes scènes gores ( et notamment une ) à se mettre sous la dent et pour finir une petite dose d'humour qui pour le coup peut avoir des effets contraires. En effet, l'aspect parfois loufoque enlève à l'ambiance cette toute petite tension, une tension que l'on aura attendu durant presque la moitié du film qui s'avère longue et peu intéressante puisque l'on en profite même pas pour creuser les personnages. Après l'ennui, place à la boucherie vous me direz, et bien pas tant, sur l'ensemble ça manque tout de même de scènes gores, surtout que le métrage se place comme digne successeur de "Cannibal Holocaust" à la différence qu'il ne contient aucune torture animale et c'est tant mieux ! Un bilan vraiment mitigé donc avec en plus des acteurs plutôt bons mais au service de personnages bêtes comme leurs pieds ! Ce n'est pas mauvais mais ça ne marquera pas plus que cela, d'autant que le message écolo transmis paraît également bien terne ... A voir une fois, sans plus.
Après un très long préambule qui n'a d'autre utilité que de rendre assez peu sympathique ce groupe de militants, on entre dans le vif du sujet assez crûment. Et puis, malgré une tension qui ne se démentit pas jusqu'au bout, on n'aura finalement qu'une seule véritable scène choc à se mettre sous la dent (contrairement à la tribu présentée ici). "Cannibal Holocaust", dont "The Green Inferno" semble très clairement rendre hommage, est clairement au-dessus en terme de violence brute. Ici, c'est finalement du vent plus qu'autre chose, mais ça se révèle efficace dans le genre horrifique.
Fortement influencé par des cadors au sens du spectacle ahurissant (Umberto Lenzi et Ruggero Deodato – pour ne citer qu’eux -) Elie Roth parvient enfin à dévoiler aux yeux de tous son mini kiff, sa madeleine de Proust en quelque sorte, qu’il attendait de mettre en chantier depuis de nombreuses années. Et une fois de plus, les avis sont très mitigés. « The Green Inferno » est un immense clin d’œil au sens accru du style des pères italiens mais prêche parfois par sa grande simplicité et son manque de désinvolture. Lorenza Izzo, compagne du réalisateur américain, défend avec énormément de bon sens un genre très longtemps mis de côté en incarnant avec cran et allure l’idéalisme de l’activisme. Assez peu prétentieux au final, ce film d’épouvante mi-gore mi-revendicateur est une aventure humaine à prendre avec des pincettes, certaines séquences épousant parfaitement bien le folklo du cannibalisme au cinéma.
Je m'attendais à mieux, du moins à plus "horrible" encore... Cet hommage aux films de cannibales d'antan se laisse voir mais ne restera pas dans ma mémoire très longtemps d'une part parce qu'il n a'pas répondu à mes attentes vu que je m'attendais à quelque chose d'encore plus gore que du légendaire"hostel" ... Loupé! Je pensais également tomber sur un scénario un peu plus élaboré, un peu plus "touffu" que cette fausse histoire d'expédition contre la déforestation (histoire de faire plus actuel???) dont on voit chaque rebondissement venir à trois km! On repassera pour le suspense! Rien d'extra non plus au niveau de la mise en scène... Bref, un peu trop plat voire ennuyeux pour un film censé faire grimper la tension ! Après le moyennement angoissant (mais trippant!) "Knock Knock" c'est pour moi un deuxième échec pour Eli Roth. Faut se reprendre Eli!!!
Oubliez les célèbres films du genre (exemple Cannibal Holocaust) des années 70, Green inferno nous gratifie d'une très bonne distribution (personnages crédible et attachants) dans un contexte résolument moderne (de nos jours). Crédible, l'histoire reste entrainante et bien réalisée. Rien ne laisse présager la suite de l’aventure aux scènes immorales et souvent choquantes compte tenue de la netteté du déroulement de l'histoire. Des effets spéciaux sans reproches tout comme l'ultra crédibilité des autochtones. Brrrrr, flippant ...Un film très réussi !
Imperturbable trublion du mauvais goût, "Eli Roth" remet le couvert dans "The Green Inferno" où de jeunes universitaires militants écologistes s'invitent au Pérou, pour arrêter une compagnie pétrolière qui est sur le point d'exterminer une tribu d'indigènes. Une fois sur place, malgré des tensions, la mission est un succès mais sur le trajet du retour leur avion de fortune s'écrase en pleine forêt. Les survivants vont être confrontés aux dangers de L'Amazonie mais surtout à la tribu qu'ils tentaient de protéger et qui se trouve en réalité cannibale. Plutôt long à démarrer dans sa 1ère partie, le nouveau métrage "D'Eli Roth" plante le décors histoire de bien nous mettre dans l'ambiance. Dans sa 2e partie, le film montre son vrai visage et ne lésine pas sur les effets "Gores" dans des scènes de cannibalismes particulièrement "Craspecs". Eviscérations, démembrements, décapitations, humiliations, "The Green Inferno" interpel, choque, et reste un hommage culottée des "Cannibal Movies" Italiens scabreux des années 70/80. La reconstitution est exemplaire et le sujet (Assez d'actualité) n'est pas si inintéressant même si le métrage aligne certains clichés dans un humour potache, véritable marque de fabrique du réalisateur. Malgré tout, "The Green Inferno" reste un bon film dans son genre et devrait combler notamment les "Fans" du mythique "Cannibal Holocaust". Avant tout destiné à un public avertis, une chose est sure, après la vision de "The Green Inferno" vous ne verrez plus jamais les tribus autochtones du même œil !
Avec The Green Inferno, Eli Roth nous offre un film de cannibale assez violent mais pas très crédible. L'histoire prend le temps de se mettre en place et l'on ne s'ennuie pas pour au fil des minutes nous plonger au cœur de cet enfer vert. Et il est beau cet enfer avec cette forêt luxuriante perdu au milieu de nul part mise en valeur par une bonne réalisation. L'ambiance est assez réussi et il y a un petit message derrière l'histoire mais le film a un gros bémol. Les acteurs! Ils sont vraiment moyens et leurs personnages inintéressant voir horripilant comme Alejandro. D'ailleurs la scène ou spoiler: ce dernier se masturbe est juste improbable. Comme pour les dialogues à vrai dire qui sont assez ridicules. En fait les seuls qui sont bons ce sont les membres de la tribu qui font vraiment flipper. C'est souvent bien gore et brutal mais tout ça pour nous emmener sur une fin totalement bidon. The Green Inferno est au final un film vraiment moyen qu'on oubliera vite, un sous Cannibal Holocaust qui est trop sophistiqué pour nous faire croire à son histoire contrairement au dernier cité. C'est vraiment pas le premier film du genre que je vous conseillerais de regarder.
- C'est quoi ? - Un film d'horreur, genre "Cannibal Holocaust", - Il fait peur ? - Pas vraiment. Il y a de la tension tout au long du film mais pas vraiment de frissons. En même temps, le film n'est pas fait pour ça. - Il est dégueu ? - Oui, quand même un peu. - Aussi malsain que la grande époque du cinéma gore italien des années 70-80 ? - Ha non. On sent une certaine autocensure. - C'est drôle ? - Oui, assez ... mais pas ridicule. Il est prévu pour être drôle. C'est un peu potache, conformément à la filmo du réalisateur, Eli Roth. - Au final, à conseiller ou pas ? - C'est toi qui vois si tu aimes ce type de films. Disons qu'il a pour lui un contexte qui n'est pas qu'un prétexte, contrairement aux films du genre. Le voyeurisme propre au genre n'y est d'ailleurs pas très appuyé. Le message politique et philosophique est plutôt bien vu et le film nous pose la question de ce que sont l'humain et l'animal et nous amène à nous interroger sur notre positionnement face à des valeurs qui ne sont pas les nôtres, face au Bien et au Mal. A ce titre, la fin est vraiment très bonne. Pas le film du siècle donc mais il y a ce petit quelque chose d'attachant. Voila.