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Un visiteur
2,5
Publiée le 17 octobre 2015
2 ans d'attente pour au final un avis mitigé. Une scène "hard "et encore on a déjà vu pire. Moi qui croyais voir ce qui allait devenir la référence du film cannibale, je me suis trouvé à visionner un film qui ne pas choqué. Les fans de cannibal holocaust apprécieront certains clins d'oeil, ceux qui s'attendent à un film ultra gore resteront sur leur faim. Très bons maquillage et effets spéciaux, à voir une fois.
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0,5
Publiée le 15 mars 2020
Un groupe d'étudiants idéalistes partit pour la jungle péruvienne. Leur objectif est de faire une déclaration écologique en entravant les opérations d'une entreprise forestière et en la diffusant en direct sur Youtube. Ils y parviennent mais au retour, leur avion s'écrase. Les survivants doivent maintenant faire face à la tribu cannibale qui vit dans ces régions. Eh bien, commençons par les points positifs. Le gore est assez bon quand il arrive. À mon avis, ce genre de film d'horreur particulier a besoin d'images chocs extrêmes. Et cela fait vraiment défaut ici. En plus vous pouvez à peu près déterminer ce qui va se passer à chaque étape du scénario. Les personnages du film sont vraiment désagréables depuis le début et ne s'améliorent jamais vraiment, en fait on espère qu'ils meurent tous très vite. Tout cela est une entrée médiocre dans le genre "cannibale". Probablement une bonne introduction pour les gens sensibles qui veulent voir des navets dans le genre Cannibal Holocaust. Vous voulez voir un bon film du genre cannibale, regardez plutôt "We are what we are" de Jim Mickle...
Un film ennuyant, à part deux ou trois scènes qui donnent envie de vomir.. le reste du temps on tourne en rond. Je ne parlerais même pas des réactions des personnages, souvent ridicules (surtout pour l'héroïne à la fin).. Il ne suffit pas d'exposer de la violence à outrance pour faire un bon film du genre.
Après huit ans d'absence où il s'est consacré à la production et à faire l'acteur pour des amis, le réalisateur Eli Roth fait son grand retour derrière la caméra pour un hommage revendiqué aux films d'horreurs italiens des années 70 sur le cannibalisme. Le plus connu d'entre eux reste sans aucun doute le cultissime Cannibal Holocaust, un film tellement sauvage que certains ont cru que les acteurs avaient réellement étés sacrifiés. Peut être parce qu'il a aussi était le premier à utiliser le procédé du "Found Footage" tant plébiscité aujourd'hui.
Fort heureusement, Eli Roth nous épargne l'image au camescope tremblant pour une véritable réalisation digne de ce nom malgré un budget très limité. The Green Inferno s'inscrit dans la lignée d'Aftershock, l'Enfer Sur Terre auquel il a participé en tant que scénariste, producteur et acteur et qui semble lui avoir permis de former une véritable bande qu'on retrouve ici. C'est en effet le même trio qui a écrit The Green Inferno, le réalisateur Nicolas Lopez et le scénariste Guillermo Amoedo. On pourrait presque y voir une sorte de diptyque horrifique se déroulant en Amérique du sud même si Aftershock est plutôt un film catastrophe poussant sur le gore tandis qu'avec The Green Inferno nous sommes vraiment dans l'horreur viscérale.
On retrouve dans The Green Inferno tout l'humour et le mordant d'Eli Roth. Un film qu'il ne faut clairement pas prendre au sérieux même si au fond le réalisateur fait passer plusieurs messages et se moque bien de tous ses soi disant bénévoles au grand cœur pas tous aussi bien intentionnés qu'ils ne veulent le paraître. A commencer par Justine, le personnage principal de cette histoire qui rejoint le groupe pour les beaux yeux de son chef. Ce bal des faux culs donnera lieu a de nombreux rebondissement qui pimenteront bien cette histoire.
Eli Roth prend bien le temps de présenter tous ses personnages avant de les plonger dans l'enfer de la forêt Amazonienne. Ce n'est que progressivement que l'intrigue prend une tournure de plus en plus dramatique. Il faudra donc être un peu patient pour découvrir les scènes traumatisantes que nous avait promis le réalisateur mais quand elles sont enfin là, on en a clairement pour son argent. Cela faisait bien longtemps qu'on n'avait pas vu de scènes aussi gores et dérangeantes dans un film d'horreur. Elles vont même jusqu'à dépasser en intensité les scènes de torture de la saga Hostel. Seul petit bémol, on ne retrouve pas la touche sexy qu'il avait glissé dans tous ses films malgré un casting féminin très alléchant. Cela ne gâche en rien le plaisir coupable que l'on prend devant ce film gore à souhait qui risque de sérieusement perturber les âmes sensibles.
The Green Inferno réunit de nombreux acteurs d'Aftershock. Vue en cruelle tentatrice dans Knock Knock il y a à peine quinze jours, Lorenza Izzo (épouse d'Eli Roth) est Justine l'héroïne de cette histoire. Cela fait bizarre de la retrouver en gentille étudiante après l'avoir détesté pour ce qu'elle faisait subir à Keanu Reeves. Ariel Levy, le chef des activistes, Nicolas Martinez et Ignacia Allamand figurait également dans Aftershock. Cette dernière est aussi la femme de Keanu Reeves dans Knock Knock. A signaler également la présence de la chanteuse Sky Ferreira en meilleure amie de Justine pour son second rôle au cinéma.
Excellent film, comme d'habitude avec Eli Roth ! Et encore une fois avec lui, contrairement à la réputation qui entoure le film d'ailleurs, ce n'est pas un festival de gore, le film mise avant tout sur l'ambiance pour créer un malaise. Hormis une scène assez gore, ça reste assez sobre de ce côté là. Mais l'ambiance, l'actrice principale, le second degré très savamment distillé et la morale particulière de la fin (un peu comme dans Hostel 2 d'ailleurs) achève de faire de ce film une réussite. Comment se fait il qu'on ait du attendre 2 ans pour enfin voir ce petit bijoux ? Du grand n'importe quoi ! Bref, au moins 4/5 ! Un chouette hommage à Cannibal Holocaust.
Quand après avoir vu un tel film, ce dernier se résume en une scène gore de découpage pour cannibales, c'est que le scénario et le suspense n'est pas d'une grande qualité. Meme les fans du genre s'ennuieront devant ce manque total de rebondissement. Le premier "mort" se fait trucider tellement vite que l'on a même pas le temps de s’inquiéter pour lui. Le seul enjeux reste donc du voyeurisme "post destination final " et autres saga comme "saw" ou l'interet devient le "comment" va t'il etre massacrer, de quelle manière crade. Quand on atteint ce niveau d'interet, c'est signe de nullité cinématographique.
Avec Green Inferno, les amateurs d’un pan hystérique du cinéma bis italien des eighties vont jubiler de plaisir face à une madeleine de Proust retrouvée. Eli Roth dresse la table, sert le repas fumant (un bon gros rumsteak saignant), offre le dessert et le café, et débarrasse la table en nous laissant repus et satisfait d'un shocker brutal et déchaîné, en plus d’être formellement splendide et bien plus intelligent qu'il n'en a l'air. Ce revival tant attendu faisant remonter à la surface les souvenirs chocs de la découverte des Cannibal Holocaust et autre Cannibal Ferox, est un pied monstre.
c'est TRES mauvais, de bout en bout ... effets speciaux ? à vomir, on faisait mieux y'a 20 ans il me semble ... suspense ? rien, zero absolue ... jeu des acteurs ? le neant ... scenario ? heu ... y'a des sauvages cannibales !!! et , attention, spoiler ... ils vont bouffer des mecs ...
rien de gore non plus si vous etes afficionados du genre ...
desolé, rien en le sauve, epargnez vous 10 € de ciné pour ce retentissant navet :(
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2,5
Publiée le 20 juillet 2019
Au mauvais endroit et au mauvais moment! Pourtant John McClane n'est pas dans "The Green Inferno", un ènième film d'horreur traitant du cannibalisme où le premier et second degrè se font la guerre! De jeunes militants new-yorkais veulent jouer aux humanistes en allant au Pèrou, par pour dècouvrir le lègendaire Machu Picchu, mais pour empêcher une compagnie de faire n'importe quoi! Le problème c'est que ça va se retourner contre eux car ils vont tomber nez à nez avec la tribu qu'ils ont tentè de protèger [...] Bonsoir chers amis assoiffès d'horreur et de gore à outrance! Dans "The Green Inferno", Eli Roth fait son « Cannibal Holocaust » à lui avec des teintes plutôt comiques! Pourtant la tension y est constante avec une tribu cannibale aux coutumes très peu accueillantes! Lorenza Izzo est une « reine vierge » appètissante qui se fond avec un naturel troublant dans l'univers terrifiant et insoutenable de Roth! Même si le film n'est pas là pour rèvolutionner le genre, ce voyage merveilleusement transgressif vers la jungle pèruvienne n'est pas de tout repos avec des scènes atroces de mises à mort! On notera le clin d'oeil sur l'affiche culte de Christian Blondel, "37°2 le matin"...
Eli Roth nous pond ce film d'horreur cannibalesque fortement inspiré et hommage à des productions italiennes du même genre en particuliers le fameux Cannibal Holocaust qui allait beaucoup plus loin dans le morbide que The Green Inferno. Ce sont des films spéciaux qui ne peuvent pas plaire à tout le monde, je dois avouer que j'aime bien ce style mais il faut vraiment le regarder d'un œil distant car à prendre trop cela au 1er degré ça en devient ridicule mais si on joue le jeu et que l'on rentre dans l'histoire ça passe d'ailleurs la première partie du film n'a rien de déplaisant avec ce côté un peu critique sur les activistes qui en font parfois (souvent) un peu trop. Le début est tendu par moment mais pas du tout gore par contre passé la 1ère demi-heure Roth se lâche et nous plonge dans du bon vieux gore à l'ancienne. C'est assez tordu par moment voire dégueu mais on regarde ce film avec un certain plaisir malsain et jouissif ; niveau personnage je me suis attaché à la jolie Lorenza Izzo.
Eli Roth est vraiment le cinéaste des promesses non tenues. Il s’érige comme le réalisateur parangon d’un genre ressuscité (le gore et le torture-porn) mais reste bien sage en comparaison des promesses faites, comme apeuré par les foudres de la censure ou par le sujet lui-même. « The Green Inferno » déçoit clairement une nouvelle fois. « Hostel » avait déjà exactement le même cheminement avec une mise en place pas désagréable mais longue et qui prend plus de la moitié du film avant que l’histoire ne rentre enfin dans le vif du sujet. Et donc ce pour quoi le spectateur est venu. Mais ici, la fausse promesse est encore plus flagrante avec un sujet comme le cannibalisme. Après le ratage total de « Knock knock », on peut dire que monsieur Roth ne relève guère la barre et que ce film, s’il s’avère correctement réalisé et dépaysant, ne fait pas du tout peur et s’approche même parfois du rire involontaire.
Pour un film de genre, cette fameuse mise en place présente bien les personnages principaux à la manière d’un teen-movie (enfin le minimum syndical pour que l’on s’intéresse quelque peu à leur sort). Puis, « The Green inferno » permet de d’évader avec les beaux paysages de la forêt amazonienne mais il nous fait languir avant de véritablement s’attaquer à son sujet. Quand enfin arrive le plat de résistance, avec une scène de cannibalisme difficilement soutenable de près de cinq longues minutes qui nous écœure et pousse la tension à son paroxysme, on se dit que le festin est lancé. C’est gore, c’est crade et c’est intense. On croit vraiment que cette série B est remise sur les rails de la terreur organique, du déchiquètement des corps et de la chair avalée que vantait son menu. Puis ? Plus rien ! Comme effrayé par la scène qu’il vient de nous montrer, Roth change complètement son fusil d’épaule pour transformer son film gore en film d’évasion basique et exotique. Pas ennuyant pour un sou mais totalement frustrant, hypocrite et roublard.
Ensuite viennent des invraisemblances en cascade qui vont de diverses évasions improbables à ce jeune de la tribu qui aide l’héroïne. Plus un personnage qui disparaît sans que l’on sache trop pourquoi et une fin en forme de pied de nez dont on ne comprend pas vraiment la signification. Quant au propos écologique, il n’est pas clair et semble promouvoir le contraire de ce qu’il entend dénoncer. Mais le pire vient certainement de cette seconde partie censée être plus hard et qui se vautre dans un second degré qui n’a clairement pas sa place dans ce genre de film. Ou en tout cas pas de la sorte. Entre la fille qui a une diarrhée et se soulage sous nos yeux (!) et le mec qui se masturbe durant une scène de mise à mort (!), Roth perd les pédales et se vautre dans le ridicule crasse et bête. A partir de là on hésite entre consternation et malaise. On est loin du grand film attendu sur le cannibalisme pour une œuvre qui se voulait être héritière de « Cannibal Holocaust ». Revoyez plutôt le chef-d’œuvre méconnu « Vorace » … C’est distrayant et la fameuse scène centrale vaut le détour sinon on peut passer son chemin, c’est globalement décevant.
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Les film de cannibales n'ont pas le vent en poupe et ce ne sont pas les problèmes de distribution rencontrés par The Green Inferno (deux ans pour sortir) qui vont arranger ça. Pourtant, il y a une volonté sincère et honnête de la part d'Eli Roth de rendre hommage aux films d'horreur italiens des années 80 et au décrié Cannibal Holocaust. Mais il faut croire que la grande violence de The Green Inferno a effrayé tous les décideurs alors qu'il n'a jamais été aussi facile de trouver des images gores depuis la démocratisation d'Internet. D'Internet, il en sera beaucoup question à propos de ces activistes écolos souhaitant dénoncer la déforestation en Amazonie, la condition des femmes en Afrique et plein d'autres sujets. En fait, ces gens prompts à s'indigner n'ont l'air d'avoir qu'une vision parcellaire du sujet. Une fois sur le terrain, c'est cette méconnaissance qui éclate au grand jour et qui les perdra. D'ailleurs, ce qui compte pour eux est moins d'alerter l'opinion publique que de filmer, se faire remarquer, d'attirer des followers sur Twitter. En gros, un bon coup de pub. Ironiquement, dans le générique de fin, il y a le nom des comptes Twitter des acteurs principaux qui apparaît...Celui qui tient plus du gourou que d'un militant emmène donc ses ouailles en pleine jungle et, une fois capturés par les autochtones, je me suis dit : "d'accord, ça fait penser à un album de Tintin, le crash et tout, ça va être comme dans Apocalypto". Non. Eli Roth va encore plus loin que Mel Gibson dans la sauvagerie. La première exécution permet de vérifier si le cœur est bien accroché. J'ai eu du mal à ne pas détourner la tête. Là encore, c'est une critique à peine voilée à l'encontre de ces jeunes pris au piège. Comme si, dans leur esprit, la tribu était forcément accueillante et amicale, opprimée et menacée de disparition. Roth va se faire un malin plaisir de les mettre dans des états de stress extrêmes (à leur place, je n'en mènerai pas large non plus) en multipliant les tortures, les situations humiliantes, les moqueries. Le second degré n'est jamais bien loin non plus. Comme si leur calvaire le faisait bien ricaner. Dire que sa femme de l'époque est l'actrice principale...Mieux vaut donc se contenter de faire signer des pétitions dans la rue. A part le risque de se faire envoyer sur les roses, c'est bien moins dangereux.
Un excellent film gore avec des Cannibales, ça faisait longtemps ! De bons acteurs, beaucoup de sang mais scénario un peu simpliste à mon gout mais à voir quand même !
C'est ce qu'on appel un film raté! Scénaristiquement encéphalogramme plat...Aucune crédibilité, les cannibales utilisent un couteau de leur propre fabrication mais qui coupe mieux que ceux de top chef! Franchement très déçu par Elie Roth, depuis Hostel et Cabin Fever, il ne fait que des mauvais films et là on touche le graal. Ce film mérite sa sortie en direct to vod! Ne perdez pas votre temps, il y a bien d'autres films à découvrir!