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    Saint Laurent
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    2,9
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    383 critiques spectateurs

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    Dunno The Movie
    Dunno The Movie

    65 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 mars 2015
    Si Bertrand Bonello n’a pas bénéficié du même soutien que le film de Jalil Lespert, aucun des deux films n’a, selon moi, su créer une œuvre attachante autour de ce personnage si contrasté. Cependant, après un Yves Saint Laurent réussissant à s’en sortir grâce à sa photographie élégante et un casting touchant, Saint Laurent, lui, reste une tentative pseudo-arty, jalonné par des dialogues insipides et un casting hautain. Les César 2015 ont tranché : Pierre Niney était plus convaincant chez Jalil Lespert, tandis Saint Laurent est reparti avec le prix des Meilleurs Costumes. Sachant que la marque a fermé ses portes aux films, c’est plutôt intéressant. À éviter quand même, car ce sont 2h30 que vous ne reverrez jamais.
    >>> Critique complète sur mon blog
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 mars 2015
    Je me suis totalement ennuyée, voire endormie, devant ce "Saint Laurent" proposé par Bertrand Bonello. On sent bien une progression en trois parties, faisant glisser doucement le film dans l'obscurité intime de l'artiste... sauf que moi, je suis restée dans l'obscurité pendant 2h30 non stop ! Ok, Gaspard Ulliel est fabuleux dans son rôle, il a su investir son personnage avec une grande justesse... Mais quelle place donne le réalisateur aux autres protagonistes de l'histoire ? Aucune ! On ne les connais pas, on les survole, on ne sait rien, on apprend rien, il ne se passe rien!! Quelques scènes de la vie du créateur sont mises bout à bout, mais sans vraiment apporter de sens ..
    Sans vouloir le comparer au "Yves St Laurent " de Jalil Lespert, que j'ai beaucoup aimé, cet autre biopic est simplement : chiant à mourir ...
    C'est un des films les plus froid que je n'ai jamais vu, même les scènes d'amour semblent dénuées de toute émotion .. Sans doute est-ce l'intention du réalisateur : montrer cette vision glaciale d'un homme torturé et mal dans sa peau... Instaurer une lenteur, ne pas s"investir dans les sentiments, consommer de l'image comme l'artiste consomme du sexe ou de la drogue.. Quoiqu'il en soit, en ce qui me concerne, je n'ai pas adhéré.
    Fred O
    Fred O

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2015
    Bouleversant. Une plongée dans l'univers pas tjrs grandissant de ce grand Monsieur... Boulimique et du travail et de la vie. L'envie de brûler ses ailes ( un Icare contemporain) nous est montré sans détour, sans rien oublier du faste et du côté obscure. Saint Laurent reste dans la lumière meme lorsqu'il cotoye ses démons. Deuxième biopic a sortir en salle, ce film est moins lisse que le précédent, plus dans l'affect.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 mars 2015
    Je ne suis pas forcément fan des biopics ni du personnage. Donc je manque peut-être d'objectivité: à la base ça n'avait pas forcément grande chance de m'intéresser. Mais parfois, il y a de bonnes surprises. On se laisse emporter par l'histoire, c'est accrocheur.
    Et bien là... ça ne l'est pas!
    Oui, Gaspard Ulliel s'en sort bien. Oui le film véhicule un certain esthétisme. Mais à part ça... le vide! Le vide total.
    J'ai rarement vu un film aussi lent. Tout est pesant, chaque scène s'étire sans fin, chaque plan donne l'impression d'avoir été (inutilement) rallongé. Tout est englué dans une mélasse de lenteur insupportable.
    Peut-être que c'était voulu. Pourquoi pas. S'il y avait eu des changements de rythme. Là, tout est monocorde.
    Sans que ça soit le rythme épileptique d'un thriller, il y aurait peut-être eu moyen que de temps en temps ça "bouge" un peu.
    Le scénario est assez lamentable. Il ne se passe rien. Et quand il se passe quelque chose... c'est pire! Alors évidemment, dans un biopics, on ne va pas inventer ce qui n'a pas existé. Mais alors il y a un problème: soit le film est mauvais, soit Saint Laurent ne méritait pas qu'on lui consacre un film!
    On a l'impression de voir défiler une suite de scènes, d'anecdotes. Mais pas de vraie histoire.
    Une sacrée déception!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 février 2015
    Ce film, d'un ennui mortel, m'a rappelé qu'on pouvait complètement rater une "oeuvre".
    On y trouve une longue suite de clichés, avec des références culturelles banales et usées jusqu'à la corde. Mon intelligence pleurait secrètement pendant que je visionnais cet enchainement de scènes sans âme. Spectateur si tu as de la considération pour ta propre personne, regarde autre chose...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 février 2015
    Long et ennuyeux...des scènes interminables qui sonnent trop souvent creux. Déçu.
    Critik D
    Critik D

    152 abonnés 1 103 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 février 2015
    Des deux biopics sur le couturier, il est celui que j'attendais le plus. Tout d'abord parce que Gaspard Ulliel campe le personnage d'Yves Saint Laurent, et qu'il me paraissait plus ressemblant physiquement. Et enfin parce que la bande annonce me parlait plus (oui j'ai fait une entorse à ma règle ne jamais regarder de bande annonce). C'est donc avec intérêt et très enjouée que je me lance dans le visionnage du film. On ne peut bien sûr pas s'empêcher de comparer les deux films, pourtant il ne joue pas du tout dans la même cours. Le film de Jalil Lespert reprend l’œuvre d'Yves Saint Laurent et son évolution en tant que couturier. Ses relations sont également traité mais on reste principalement dans la face connu. Bertrand Bonello traite lui du revers psychologique du couturier, son stress, ses dérives et leur impact. On a le sentiment après avoir vu les deux films, que Jalil Lespert est plus subtil dans sa présentation du couturier que Bertrand Bonello qui nous démontre sa face plus ou moins caché. Pour en revenir au film qui nous intéresse ici, Bertrand Bonello nous offre une très belle réalisation avec une magnifique photographie. On y découvre un Yves Saint Laurent capricieux et égoïste dans sa manière de vivre ou de penser. Les collections et les dessins sont mis en avant mais très peu. On plonge vraiment dans la compréhension de la personne et de son revers psychologique. Le casting est impressionnant j'ai été très heureuse de retrouver Gaspard Ulliel, que j'apprécie et encore plus avec ce rôle, physique, attitude, voix, il est Yves Saint Laurent. Jérémie Renier est également très bon dans le rôle de Pierre Bergé même si j'ai eu le sentiment qu'il était très secondaire. Vraiment deux très beaux films que je vous invite à découvrir tant ils sont diamétralement différents dans leur scénario mais également dans leur réalisation. Un homme, deux biopics et deux histoires différentes.
    Fanny F
    Fanny F

    21 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2015
    J'ai souhaité regarder les deux films avec peu d'intervalle.
    J'ai beaucoup apprécié le film de Jalil Lespert. Le scénario est touchant et on se laisse prendre par le film.
    Celui-ci m'a ennuyé. Il est long et trop basé sur une courte période de la vie du couturier. Cependant, je trouve que les acteurs sont plus convaincants. Gaspard Uliel est beau, voire magnifique dans son interprétation. Dommage pour Léa Seydoux, je n'arrive vraiment pas à sortir du personnage d'Emma, et je ne la trouve pas convaincante dans d'autres rôles.
    Ce film pour moi reflète plus la personnalité d'Yves Saint Laurent, et l'autre est plus adapté au grand public. Je trouve donc celui ci bien plus artistique mais moins accessible.
    Simon P.
    Simon P.

    48 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 février 2015
    Un des meilleurs biopic qu'il m'est arrivé de voir. Rien que le fait d'en parler réduirait l'impact de cette fantastique fresque d'une beauté quasiment divine. Tout les acteurs méritent toutes les récompenses du monde tellement ils sont éblouissant. Un coup de coeur, un chef d'oeuvre incontestable.
    leoline
    leoline

    30 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 février 2015
    Je comprends les 12% de critiques ultra négatives des spectateurs d allo ciné sur ce Saint Laurent d une rare indigence. je comprends même Pierre Bergé de son attitude plutôt négative aussi envers ce film. Tout sonne faux du début a la fin. Un "bio pic docu fiction" totalement insipide. Les nuits fauves revisitées par de pales ombres, mimiques à plus à la recherche d effets que d interprétation sincère. A fuir. 2h30 d'une interminable pellicule.
    crapouillot
    crapouillot

    7 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 février 2015
    Film (trop) long et ennuyeux dont l'objet principal est de montrer la fragilité d'YSL, accroc aux drogues et aux garçons. Certes, Ulliel habite son personnage, mais les autres sont bien plus fades et sans relief. Le résultat est un film qui passionne peu, renseigne un peu sur l'univers exigeant de l'atelier haute couture, mais sans donner de dimension psychologique aux personnages (autres que celui d'ysl).
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 180 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2015
    Suite au biopic très officiel de Jalil Lespert adoubé et produit par Pierre Bergé, compagnon et dépositaire de l'œuvre d'Yves Saint Laurent, on attendait avec impatience la vision plus personnelle proposée par Bertrand Bonello arrivé sur le projet suite à une commande des frères Altmayer tombés sous le charme de "L'Appolonide, souvenirs d'une maison close" (2012). Se concentrant sur la période allant de 1967 à 1976, celle où le créateur prisonnier de son succès sombra dans les nuits parisiennes et les paradis artificiels, Bonello prend le parti d'explorer la face sombre et tourmentée du créateur. On est bien sûr obligé de dresser le parallèle avec le film de Jalil Lespert en constatant que si les visées sont différentes, dans les deux cas l'incarnation du couturier est confondante de mimétisme, avec une mention pour les deux acteurs respectivement nommés aux Césars. Là où Jalil Lespert embrasse plus largement le sujet au risque de tomber dans l'hagiographie officielle donnant la part belle à Pierre Bergé, Bonello s'interroge sur la souffrance de l'artiste devenu prisonnier de son talent ("J'ai crée un monstre" dit un moment Yves Saint Laurent à propos de son aura). De ce point de vue la place de Pierre Bergé chez Bonello ne peut plus être la même, toujours enclin à développer l'empire de son poulain le contraignant à un rythme de stakhanoviste dangereux pour l'équilibre déjà instable de Saint Laurent. Enfermé dans un cycle infernal "création-atelier-boîtes de nuit" transposition décadente et bourgeoise du "métro-boulot-dodo", Saint Laurent ne tarde pas à voir ses conflits intérieurs, notamment une homosexualité mal assumée, le submerger. Ce tourbillon de débauche et de travail est l'occasion pour Bertrand Bonello de déployer des figures de styles un peu pompeuses comme l'utilisation assez tape à l'œil du split screen à la sauce Mondrian. Le recours à Helmut Berger autre icône de la même époque brûlée par les excès pour figurer Saint Laurent au soir de sa vie peut aussi s'apparenter à une digression superflue si ce n'est la justification par la mise en abyme fulgurante mais aussi un peu malsaine dans laquelle le pauvre Helmut Berger devenu l'ombre de lui-même contemple avachi et déconfit sa propre image sur un téléviseur quand jeune éphèbe majestueux, il jouait dans "Les damnés" de son maître et amant "Luchino Visconti. Le risque pour Bertrand Bonello très soucieux de ses effets serait de se laisser gagner par une certaine suffisance qui gâcherait à terme un talent évident. Hormis cette réserve, Bonello rend parfaitement l'ambiance d'une époque d'insouciance pour la communauté homosexuelle très vite réprimée par l'arrivée du sida. La prison dorée dans laquelle évolue Yves Saint Laurent est parfaitement exprimée par l'absence de plans larges, par l'image du couturier apparaissant seul parmi les autres ou encore triste comme un enfant puni dans sa chambre forte où il contemple sa collection de camés. Désorienté par ce qui lui arrive mais aussi monstre d'égoïsme immature qui après la mort de son chien d'overdose en cherche la copie parfaite pour ne pas avoir à assumer son irresponsabilité. Cruel et lâche aussi parfois quand après avoir donné de l'argent à l'une des ses employées pour qu'elle puisse se faire avorter il demande à l'oreille de son chef d'atelier son licenciement. Un peu long le film ne tient pas toutes ses promesses même s'il reste le fruit d'un auteur très talentueux qui va devoir apprendre lui aussi à lutter contre ses petits démons.
    philmon2
    philmon2

    37 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 février 2015
    Si dans une école de cinéma on devait mettre en avant ce qu'il faut faire et ne pas faire en matière de biopic, on diffuserait la version de Bonello et celle de Lespert. Après Lespert qui nous présente un film équilibré, bien documenté, très bien construit, agréable à regarder, avec une distribution de qualité, voilà que ce biopic se lance dans l'exercice de style, et se plante lamentablement. Aucun style donc, et un scénario totalement décousu, ce qui entre nous est un peu ballot quand on réalise un biopic sur un grand couturier...

    Saint Laurent est surjoué par Gaspard Ulliel qui force le côté tante folle, et un maquillage bien trop poussé finit d'achever la caricature du couturier, magistralement interprété dans l'autre biopic par Pierre Niney. L'élégance et le charisme de l'un, les gestes efféminés et surjoués de l'autre, on n'y croit pas un instant.

    Ne parlons pas de Pierre Bergé, totalement méconnaissable sous les traits d'un acteur pourtant de talent, Jérémie Rénier, qui avait interprété Cloclo dans un autre biopic, autrement plus réussi. Il faut dire que la performance de Guillaume Galliène dans l'autre film est inégalable (et inégalée).

    Passons aussi sur le fait que l'artiste est interprété par un autre acteur pour YSL "vieux", et Helmut Berger, très mal doublé par Ulliel, est un véritable supplice.

    Le fond est atteint avec l'inénarrable et (malheureusement) inévitable Léa Seydoux, qui est à l'élégance ce que l'éléphant est à la délicatesse (même en dehors d'un magasin de porcelaine), et qui peine à incarner Loulou de la Falaise. Elle n'en n'est même pas l'ombre, même Laura Smet est bien plus convaincante dans le biopic de Lespert.

    Ce film se focalise sur quelques anecdotes des nuits parisiennes dissolues du couturier, en nous présentant quelques scènes faussement choquantes mais vraiment ennuyantes au possible (avant 50 nuances de Grey, on a droit à 50 nuances de gay). Seule, une scène de prise d'acide du chien a réussi à me sortir de ma torpeur (et encore, je reste méfiant quant à la façon dont ils ont obtenu ces images du canidé). Reste une très belle interprétation de Betty Saint, par la sublime Aymeline Valade, qui crève littéralement l'écran (ceci dit, Marie de Villepin était pas mal non plus). A part cela, aucun intérêt, je me suis ennuyé pendant toute l'immense longueur de ce film, qui fait tout de même 2h30 (de perdues).
    Patricemarie
    Patricemarie

    41 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2015
    Ce film ne montre qu'un petit côté de la vie d'Yves Saint-Laurent avec comme atouts essentiels, le charisme et le jeu de Gaspard Ulliel. Il ne commence qu'aux années 70 quand YSL commençait à réussir, et ne s'en dégage que lassitude et ennui.
    FrBoll
    FrBoll

    14 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2015
    beaucoup de scènes sans grand intérêt.
    excursion vers le côté sombre d'un mythe.
    Je reste toutefois sur ma faim.
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