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    Wadjda
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    357 critiques spectateurs

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    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mars 2013
    Quel coup d’essai ! Le premier film de la RAU, tourné en RAU, et par une femme ! Et un film excellent, plein de finesse et d’intelligence, qui illustre, sans ostentation ni coup d’éclat, la condition inférieure de la femme dans ce genre de « civilisation ». Admirablement interprétée par des Saoudiennes pure souche, accompagné de très belles musiques, il captive et dérange malgré un rythme un peu lent. Les optimistes forcenés y verront un chant d’espoir et de liberté ; pour ma part, je crains que la situation honteuse de la femme musulmane ne s’améliore pas avant longtemps d’autant qu’elle est garantie par une grande partie des femmes elles-mêmes. C’est fort, le conditionnement ! Mais profitons de la joie de l’héroïne, rebelle et tenace, qui aura au moins gagné une victoire !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 février 2013
    Ce n'est un secret pour personne, la condition des femmes en Arabie Saoudite et la manière dont elles sont traitées dépasse l'entendement. La femme n'est rien, elle n'existe pas, elle n'a aucun droit, elle est juste bonne à faire des enfants (des mâles, bien entendu) et servir à son mari de cuisinière, de servante et de bonne à tout faire. Et dès que son "seigneur et maître" le décide (par exemple, si elle ne lui donne pas de fils pour perpétuer son nom), il peut la répudier et en épouser une autre. Le pire là-dedans, c'est que les hommes n'ont rien à faire pour maintenir cet ordre discutable : ce sont les femmes elles-mêmes qui s'en chargent, et avec un zèle remarquable. On pourrait écrire des pages sur ce thème, en gardant toutefois en mémoire que par chez nous les choses étaient à peine meilleures il y a encore pas si longtemps... Là dessus, la petite Wadjda, un peu rebelle par rapport à cet ordre établi sous la houlette d'un Coran plutôt dictatorial, va tenter de briser un tabou : celui de rouler en vélo, chose impensable pour une fille ou une femme, le vélo "risquant de la rendre stérile" ! Pour atteindre son but, elle va "utiliser le système" et participer à un concours de récitation coranique qui lui permettra, si elle gagne, d'acheter le vélo tant convoité. Elle gagnera, mais quand elle avouera ce qu'elle compte faire de son prix, elle en sera dépossédée... Mais les choses finiront bien pour elle et son rève s'accomplira : faire la course en vélo avec son petit copain Abdallah. Est-ce là la réalité ou une scène imaginaire ? En tout cas, le vélo devient ici un symbole de libération. Ce film est splendide. J'ai juste du mal à croire qu'il ait pu être tourné en Arabie Saoudite. Allez le voir, c'est instructif avec quand même un peu d'espoir.
    nikolazh
    nikolazh

    60 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2013
    Quel plaisir de découvrir le cinéma d'un pays où on n'en fait pas, et de le voir réalisé avec autant de finesse et de justesse. Le scénario ne tombe jamais dans la critique facile de l'Etat Religieux (il aurait été de toute façon dangereux pour la réalisatrice de le faire - même si l'ouverture d'esprit est suffisamment forte pour que le film ai pu se faire), mais amène systématiquement le spectateur a se poser lui même les questions et à faire ses propres choix. Spectateur qui d'ailleurs n'est jamais pris en otage, ni d'un point de vue idéologique, ni d'un point de vue émotionnel. Et puis indépendamment du contexte, c'est tout simplement une belle histoire, bien racontée, bien mise en scène, drôle et touchante, et interprétée de manière très juste par les nombreux acteurs non professionnels. Un bon moment de cinéma, tout simplement.
    alexdelaforest
    alexdelaforest

    38 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 janvier 2013
    Une belle réussite et du premier coup! Un première pour l'Arabie Saoudite et la réalisatrice. Mais les qualités du film vont bien au-delà, puisque c'est une oeuvre tout en subtilité et intelligence qui regarde la condition d'une jeune fille dans un pays conservateur. A la fois réaliste et plein d'espoir. Et encore bravo à la petite Waad Mohammed, un vrai soleil.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 mars 2013
    Une très belle surprise qui fonctionne grâce au bouche à oreille. L'histoire de fond (une écolière qui rêve de s'acheter un vélo alors que les femmes n'en ont pas le droit, et qui va tout faire pour y parvenir) n'est qu'un prétexte pour parler de bien autre chose : la place de la femme en Arabie Saoudite. C'est surtout la forme qui fonctionne. Les dialogues sont drôles, percutants et tout en finesse. La jeune fille qui tient le rôle principal joue vraiment comme une adulte et mériterait de percer dans ce métier (mais ce ne doit pas être simple dans un pays qui n'a pas de salle de cinéma...). Ça fait un petit bout de temps que le film est sorti, mais la séance était complète alors que ce n'était pas une heure de pointe ! C'est vraiment un petit bijou...
    Marclille
    Marclille

    24 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 avril 2013
    Je suis allé voir ce film avec une certaine appréhension, en l'occurence celle de m'ennuyer en voyant
    une énième histoire traitant de la condition féminine. Si le sujet est bien celui là, ce film est un petit chef d'oeuvre d'intelligence et de subtilité. Avec des moyens apparamment modeste la réalisatrice a fait un film d'une grande maitrise : surtout concernant le jeu des acteurs, pas de fausses notes, ce film extremement attachant est à ne surtout pas manquer.
    Fbienne D
    Fbienne D

    16 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2013
    Incroyable de voir, aujourd'hui, les conditions de vie des femmes actuelles en Arabie Saoudite. Et ceci au travers des yeux d'une petite fille dotée d'une énergie et d'une ténacité qui parviennent, au moins un tout petit peu, à ébranler les sinistres contraintes sexistes et religieuses; Un film délicieux.
    jerry974
    jerry974

    14 abonnés 449 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juillet 2013
    Un film qui nous fait découvrir par l'intérieur, la vie des femmes saoudiennes. Il y a une certaine forme de rébellion dans le cinéma d'Haifaa Al Mansour. Les normes sociales et religieuses qui nous sont montrées là peuvent sembler insupportable pour nous, occidentaux à la culture chrétienne. On est en Arabie Saoudite, où le pouvoir de l'Etat a sa raison d'être à travers les fondements de la religion musulmane. C'est vraiment un autre monde qu'on découvre par Wadjda. Par le petit bout de la lorgnette, on suit cette gamine effrontée, qui vit sa vie de petite fille hors des conventions sociales et des règles rigides imposées aux femmes de son pays. Elle nous fait respirer de cette manière, et le film devient heureux à travers son monde. Un bonheur à partager.
    Julien D
    Julien D

    1 195 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2013
    Là où le concept même du film pouvait laisser craindre une surenchère de pathos consensuel, ce premier film de la saoudienne est écrit avec une finesse et une intelligence qui font chaud au cœur. La manière dont est traité le sujet de la situation de ce pays où loi coranique rime avec patriarcat autoritaire, à travers le quotidien de cette gamine portée par son déterminisme, donne au film un souffle libertaire et particulièrement émouvant sans tomber dans le piège de la dénonciation sociale démonstrative. Derrière cette charmante histoire et la découverte de cette réalisatrice pleine de talent, on se rend compte que le cinéma arabe s’est définitivement trouvé et a de quoi peser sur la scène internationale.
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2013
    Vous ne serez pas déçu de ce voyage au pays des femmes cloitrées, tellement il y a de dynamisme et de vie dans ce petit bout de nana, Wadjda, douze ans, et bien décidée à aller au bout de ses envies!

    Et c'est quand même quelque chose que le premier film saoudien, tourné et produit en Arabie Saoudite l'ait été par une saoudienne -oui, une femme! Certes, Haifaa Al Mansour a eu la chance de naître dans une famille progressiste, de faire ses études au Caire, de travailler dans une compagnie pétrolière (où on l'initia à la caméra, pour des films promotionnels) et finalement d'épouser un américain, mais c'est bien elle qui a été financée par un membre de la famille royale et qui a dirigé le tournage, parfois (en ville) cachée dans son camion -régie pour ne pas avoir à côtoyer les techniciens mâles.... et choquer les passants. Drôle d'histoire, drôle de pays....

    Donc, notre petite Wajda (Waad Mohammed) est l'unique fille d'une famille aisée vivant dans les faubourgs de Ryad. Famille qui se délite: le père est sur le point de prendre une deuxième épouse.... Elle va dans une école où elle est telle quelle: indiciplinée et passablement insolente.... Elle porte un jean slim et des baskets sous sa blouse -quand on lui reproche de ne pas porter de jolies petites ballerines noires comme ses compagnes, elle peint les dits baskets en noir.... Et au lieu de chuchoter des petits secrets avec des copines, son seul ami est....un garçon, Abdallah (Abdullrahman Al Gohani) qu'elle fait d'ailleurs tourner en bourrique.... et qui veut cependant l'épouser, plus tard! Et ce qu'elle veut, Wajda, c'est un vélo, comme Abdallah, et pour faire la course avec lui.

    Wadjda a de la répartie, voire cruelle. Quand sa maman, la très jolie (quoique grassouillette...) Reem Abdullah, lui dit que le vélo, c'est interdit aux filles, et que si elle en faisait, elle ne pourrait jamais avoir d'enfant, elle lui rétorque "toi tu ne peux plus avoir d'enfants, et pourtant tu ne fais pas de vélo". Et elle économise, sous par sous, pour acheter le cycle de ses rêves qu'elle a même retenu chez le marchand, l"achetant" au moyen d'une cassette clandestine de chansons.... Elle réalise donc des cassettes clandestines, elle fabrique et vend des bracelets -scoubidou aux couleurs des équipes de foot.... et si une fille voit en secret, horreur! un fiancé, Wadjda fera passer les billets -moyennant finances.... Oui, une sacrée petite bonne femme. Et, voilà le grand concours..... de récitation du Coran. Avec le prix, là, le vélo, c'est tout de suite! Jusque là, Wadjda ne s'est pas particulièrement intéressée au Coran, se bornant à faire ses prières aux côtés de sa mère, mais là, elle s'inscrit, et ça a l'air vachement compliqué: en fait, le Coran doit être écrit dans un arabe ancien complètement différent de la langue parlée en Arabie Saoudite. Et il faut le psalmodier.... Attention: si une des fillettes a ses règles (toute la petite troupe se met à glousser comme toutes les gamines du monde....) elle ne doit pas toucher le saint livre: il faut le manipuler avec des kleenex.... Une des gamines apporte des photos (c'est interdit). Ce sont les photos de son propre mariage.... avec un vieux de vingt ans! (toute la petite troupe glousse...)

    Le collège est dirigé d'une main de fer par madame Hussa (la belle Ahd). Rien ne lui échappe. Deux fillettes qui s'isolent dans une arrière cour, cela déclenche toute une enquête (en fait, elles se vernissaient les doigts de pied en vert....). Deux ouvriers, sur un toit, peuvent VOIR les fillettes! Toutes s'enfuient, sauf Wadjda qui continue à jouer à la marelle. Ajoutons que si les hommes ne doivent pas VOIR les femmes, ils ne doivent pas non plus les ENTENDRE. Si des femmes bavardent sur leur terrasse, elles doivent le faire à voix basse pour que les hommes de la maison voisine ne puissent pas entendre le son de leur voix.... Hallucinant, non?

    Bien sûr, elle gagnera le concours. Mais hélas, quand madame Hussa lui demandera ce qu'elle compte faire avec son prix, elle répondra "acheter un vélo".... et le prix se trouvera aussitôt transformé en un don "pour nos frères palestiniens".... Wadjad est culottée, mais pas assez méfiante.

    Ce qui est hallucinant, c'est de voir à quel point les femmes défendent leur propre enfermement. Elles sont les premières geollières d'elles même. Madame Hussa est un vrai dragon. Comment comprendre cela? Elles peuvent travailler, par exemple enseigner (dans une école de filles, évidemment). Mais sont tributaire d'un taxi qui les prend en charge et ne verra, lui non plus, jamais rien d'elle qu'un fantôme voilé de noir. Ainsi la maman de Wadjda doit endurer plusieurs heures de transport, avec un taxi jamais content. Pour elle, se présente une occasion formidable: travailler dans un hôpital près de chez elle, où est déja sa meilleure amie, Aïcha. Elle n'a plus grand chose à attendre de la vie, cette jeune femme, maintenant que son mari est parti chez une plus jeune qu'elle. Que lui reste t-il, à part vieillir et grossir entre ses quatre murs? Eh bien, quand elle se rend compte qu'Aïcha travaille, visage découvert, au milieu d'hommes -elle s'enfuit. Elle ne peut supporter cette idée. Pourtant, quand on les voit, chez elles, entre femmes, en talons hauts, jeans moulants, et jolies blouses, elles ont l'air tellement élégantes, modernes, elles pourraient être italiennes.... Hélas, elles sont du pays des femmes cloitrées, et ne peuvent même imaginer que cela change.

    Sauf que, quand on voit Wadjda pédalant sur le vélo qu'elle a finalement obtenu, laissant Abdallah à la remorque, pédalant avec son slim bien collant et son abaya flottant au vent, jusqu'à la grande route, on se dit que, peut être, la nouvelle génération nous (et leur) réservera des surprises...

    Film à voir absolument, parce que c'est une plongée dans une société qui nous est totalement opaque, et à cause de cet épatant personne de petite fille, tellement tonique -on se dit qu'avec elle et l'héroïne des "Bêtes du Sud Sauvage", ce sont les petites filles qui sauveront le monde....

    J'aimerais bien savoir quel peut être le statut des deux jolies actrices, maintenant que le monde entier a vu leur chevelure, leurs bras, leurs formes? Qui peut me répondre? Sans doute ne sont elles pas saoudiennes et viennent elles d'un pays, comme le Qatar ou Bahrein, aux moeurs assouplies....
    annereporter94
    annereporter94

    49 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2014
    Film magnifique parce qu'original, surtout venant d'Arabie Saoudite. C'est un peu la vie de tous les jours de ces habitants d'Arabie Saoudite qui, brusquement, se révèle à notre regard ébahi d'Occidentaux. Une révélation!
    Eldacar
    Eldacar

    48 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2013
    Officiellement premier film saoudien, "Wadjda" mériterait d'être vu rien que pour cette particularité. Nous y est raconté l'histoire d'une petite fille, rebelle et un peu garçon manqué, qui rêve de s'acheter un vélo, loisir implicitement réservé aux garçons. Contrairement au récent "Les Bêtes du sud sauvage", nous suivons également ici le parcours d'une enfant mais nous ne sommes pas pour autant invités à voir le monde à travers ses yeux. Jamais nous ne plongeons dans un univers fantasmagorique et le spectateur est par conséquent pleinement conscient de la réalité sociale décrite. Car s'il n'est pas dénué de fantaisie, "Wadjda" est surtout l'occasion pour la réalisatrice Haifaa al-Mansour de nous parler de la condition de la femme dans se pays islamiste qu'est l'Arabie-Saoudite. Polygamie, interdiction de toucher le Coran quand on a ses règles, de conduire, pour les jeunes filles d'entrer en contact avec les hommes ou ne serais-ce que d'êtres vues ou entendues par eux..., autant dire que les interdits sont nombreux et contraignants. Et avec une femme derrière la caméra, le film et son discours n'en ont que plus de force.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    43 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2013
    Si l’on n’apprend pas grand chose de neuf sur la condition féminine en Arabie Saoudite, on succombe au charme de cette petite fille rebelle qui refuse le conditionnement d’une éducation coranique étouffante. Ecrit tout en finesse, le film de Haifaa Al Mansour dénonce sans violence ni manifeste politique l’archaïsme de la société saoudienne. C’est finalement plus efficace et plus profond que tous les docu fictions en forme de brulot polémiste. Sans doute fallait-il cette discrétion et cette simplicité pour qu’une réalisatrice parvienne à tourner dans un pays où la méfiance à l’égard du cinéma se manifeste par l’absence de salles de projection. Rien que pour cette avancée on se doit de saluer ce film intelligent et sensible.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 novembre 2013
    L'un des meilleurs films vus depuis longtemps. Pourtant, je traînais des pieds en m'attendant à une énorme louche de bons sentiments, mais il n'en est rien.
    JoRod
    JoRod

    58 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2013
    Première réalisation pour la jeune femme saoudienne sous forme d’indépendance, de liberté et de fraicheur mais surtout d’audace.

    Wadjda est avant tout un grand film de par son intelligence, sa beauté et ses acteurs, tous très attachant en particulier la surprenante Waad Mohammed.

    Cette première réalisation est un hymne à la liberté. Elle fait preuve de beaucoup d’audace, dénonce des choses, mais tout ceci est fait brillamment et de manière très intelligente puisque c’est fait au service d’une belle histoire.

    Tout y est subtilement fait, tout y est délicat, rien n’est convenu, rien n’est trop facile. Elle trouve à chaque fois le ton juste dans ses situations et arrive à émouvoir à chaque instant.

    Tout marche à merveille, la plupart des scènes sont véritablement percutantes. Il faut dire que cette qualité indéniable vient en grande partie de la finesse d’écriture. Son scénario est brillant.

    On l’a dit c’est surtout un très bon film, on sort avec une sensation de découverte et de révolte. Haifaa Al Mansour à travers l’œuvre soulève des questions épineuses et dérangeantes, la cause des femmes en Arabie Saoudite, leurs situations et leurs injustices. Elle montre un courage hors pair.

    Elle le fait de la manière la plus subtile et bienveillante qui soit. Avec humour, fraicheur & émotion mais le plus important sans provocation et avec optimisme. C’est la preuve d’un réel talent.
    La réussite du film tient également à sa jeune interprète principale qui traduit le courage et la volonté. Les seconds rôles sont tous excellents et juste dans leurs interprétations.
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