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    Wadjda
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    Fbienne D
    Fbienne D

    16 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2013
    Incroyable de voir, aujourd'hui, les conditions de vie des femmes actuelles en Arabie Saoudite. Et ceci au travers des yeux d'une petite fille dotée d'une énergie et d'une ténacité qui parviennent, au moins un tout petit peu, à ébranler les sinistres contraintes sexistes et religieuses; Un film délicieux.
    jerry974
    jerry974

    14 abonnés 449 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juillet 2013
    Un film qui nous fait découvrir par l'intérieur, la vie des femmes saoudiennes. Il y a une certaine forme de rébellion dans le cinéma d'Haifaa Al Mansour. Les normes sociales et religieuses qui nous sont montrées là peuvent sembler insupportable pour nous, occidentaux à la culture chrétienne. On est en Arabie Saoudite, où le pouvoir de l'Etat a sa raison d'être à travers les fondements de la religion musulmane. C'est vraiment un autre monde qu'on découvre par Wadjda. Par le petit bout de la lorgnette, on suit cette gamine effrontée, qui vit sa vie de petite fille hors des conventions sociales et des règles rigides imposées aux femmes de son pays. Elle nous fait respirer de cette manière, et le film devient heureux à travers son monde. Un bonheur à partager.
    Julien D
    Julien D

    1 198 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2013
    Là où le concept même du film pouvait laisser craindre une surenchère de pathos consensuel, ce premier film de la saoudienne est écrit avec une finesse et une intelligence qui font chaud au cœur. La manière dont est traité le sujet de la situation de ce pays où loi coranique rime avec patriarcat autoritaire, à travers le quotidien de cette gamine portée par son déterminisme, donne au film un souffle libertaire et particulièrement émouvant sans tomber dans le piège de la dénonciation sociale démonstrative. Derrière cette charmante histoire et la découverte de cette réalisatrice pleine de talent, on se rend compte que le cinéma arabe s’est définitivement trouvé et a de quoi peser sur la scène internationale.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 février 2013
    Toute la force de ce film est contenue dans l'apostrophe finale de cette directrice terrible de renoncement : "Je vous libère". Wadjda est un film puissant, aussi bien politiquement qu'émotionnellement. À quand la fin du moyen âge ?
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2013
    Wadjda est un film qui fait plaisir à voir, déjà parce qu'un film réalisé par une femme, en Arabie Saoudite... il fallait le faire. C'est une vraie bonne chose, le cinéma peut en être fier, mais il ne faut pas non plus pour autant aller voir ce film en se disant "je vais faire ma BA et aller voir le film saoudien réalisé par une femme", parce que le film vaut vraiment le coup d'oeil.
    J'ai pas été complètement convaincu, mais c'est un bon film, vraiment. C'est vraiment par la force de l'histoire et de ses protagonistes (avec en tête la petite Wadjda) que la réalisatrice fait tenir son récit, plus que par sa mise en scène (et c'est souvent là que le film pèche un peu). En présentant à travers l'histoire d'une petite fille qui veut avoir un vélo, c'est plutôt un aperçu de la société saoudienne que le long-métrage nous propose de voir.
    Thierry M
    Thierry M

    160 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 février 2013
    C' est mignon, mais bon, y a pas de quoi être en extase.
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2013
    Vous ne serez pas déçu de ce voyage au pays des femmes cloitrées, tellement il y a de dynamisme et de vie dans ce petit bout de nana, Wadjda, douze ans, et bien décidée à aller au bout de ses envies!

    Et c'est quand même quelque chose que le premier film saoudien, tourné et produit en Arabie Saoudite l'ait été par une saoudienne -oui, une femme! Certes, Haifaa Al Mansour a eu la chance de naître dans une famille progressiste, de faire ses études au Caire, de travailler dans une compagnie pétrolière (où on l'initia à la caméra, pour des films promotionnels) et finalement d'épouser un américain, mais c'est bien elle qui a été financée par un membre de la famille royale et qui a dirigé le tournage, parfois (en ville) cachée dans son camion -régie pour ne pas avoir à côtoyer les techniciens mâles.... et choquer les passants. Drôle d'histoire, drôle de pays....

    Donc, notre petite Wajda (Waad Mohammed) est l'unique fille d'une famille aisée vivant dans les faubourgs de Ryad. Famille qui se délite: le père est sur le point de prendre une deuxième épouse.... Elle va dans une école où elle est telle quelle: indiciplinée et passablement insolente.... Elle porte un jean slim et des baskets sous sa blouse -quand on lui reproche de ne pas porter de jolies petites ballerines noires comme ses compagnes, elle peint les dits baskets en noir.... Et au lieu de chuchoter des petits secrets avec des copines, son seul ami est....un garçon, Abdallah (Abdullrahman Al Gohani) qu'elle fait d'ailleurs tourner en bourrique.... et qui veut cependant l'épouser, plus tard! Et ce qu'elle veut, Wajda, c'est un vélo, comme Abdallah, et pour faire la course avec lui.

    Wadjda a de la répartie, voire cruelle. Quand sa maman, la très jolie (quoique grassouillette...) Reem Abdullah, lui dit que le vélo, c'est interdit aux filles, et que si elle en faisait, elle ne pourrait jamais avoir d'enfant, elle lui rétorque "toi tu ne peux plus avoir d'enfants, et pourtant tu ne fais pas de vélo". Et elle économise, sous par sous, pour acheter le cycle de ses rêves qu'elle a même retenu chez le marchand, l"achetant" au moyen d'une cassette clandestine de chansons.... Elle réalise donc des cassettes clandestines, elle fabrique et vend des bracelets -scoubidou aux couleurs des équipes de foot.... et si une fille voit en secret, horreur! un fiancé, Wadjda fera passer les billets -moyennant finances.... Oui, une sacrée petite bonne femme. Et, voilà le grand concours..... de récitation du Coran. Avec le prix, là, le vélo, c'est tout de suite! Jusque là, Wadjda ne s'est pas particulièrement intéressée au Coran, se bornant à faire ses prières aux côtés de sa mère, mais là, elle s'inscrit, et ça a l'air vachement compliqué: en fait, le Coran doit être écrit dans un arabe ancien complètement différent de la langue parlée en Arabie Saoudite. Et il faut le psalmodier.... Attention: si une des fillettes a ses règles (toute la petite troupe se met à glousser comme toutes les gamines du monde....) elle ne doit pas toucher le saint livre: il faut le manipuler avec des kleenex.... Une des gamines apporte des photos (c'est interdit). Ce sont les photos de son propre mariage.... avec un vieux de vingt ans! (toute la petite troupe glousse...)

    Le collège est dirigé d'une main de fer par madame Hussa (la belle Ahd). Rien ne lui échappe. Deux fillettes qui s'isolent dans une arrière cour, cela déclenche toute une enquête (en fait, elles se vernissaient les doigts de pied en vert....). Deux ouvriers, sur un toit, peuvent VOIR les fillettes! Toutes s'enfuient, sauf Wadjda qui continue à jouer à la marelle. Ajoutons que si les hommes ne doivent pas VOIR les femmes, ils ne doivent pas non plus les ENTENDRE. Si des femmes bavardent sur leur terrasse, elles doivent le faire à voix basse pour que les hommes de la maison voisine ne puissent pas entendre le son de leur voix.... Hallucinant, non?

    Bien sûr, elle gagnera le concours. Mais hélas, quand madame Hussa lui demandera ce qu'elle compte faire avec son prix, elle répondra "acheter un vélo".... et le prix se trouvera aussitôt transformé en un don "pour nos frères palestiniens".... Wadjad est culottée, mais pas assez méfiante.

    Ce qui est hallucinant, c'est de voir à quel point les femmes défendent leur propre enfermement. Elles sont les premières geollières d'elles même. Madame Hussa est un vrai dragon. Comment comprendre cela? Elles peuvent travailler, par exemple enseigner (dans une école de filles, évidemment). Mais sont tributaire d'un taxi qui les prend en charge et ne verra, lui non plus, jamais rien d'elle qu'un fantôme voilé de noir. Ainsi la maman de Wadjda doit endurer plusieurs heures de transport, avec un taxi jamais content. Pour elle, se présente une occasion formidable: travailler dans un hôpital près de chez elle, où est déja sa meilleure amie, Aïcha. Elle n'a plus grand chose à attendre de la vie, cette jeune femme, maintenant que son mari est parti chez une plus jeune qu'elle. Que lui reste t-il, à part vieillir et grossir entre ses quatre murs? Eh bien, quand elle se rend compte qu'Aïcha travaille, visage découvert, au milieu d'hommes -elle s'enfuit. Elle ne peut supporter cette idée. Pourtant, quand on les voit, chez elles, entre femmes, en talons hauts, jeans moulants, et jolies blouses, elles ont l'air tellement élégantes, modernes, elles pourraient être italiennes.... Hélas, elles sont du pays des femmes cloitrées, et ne peuvent même imaginer que cela change.

    Sauf que, quand on voit Wadjda pédalant sur le vélo qu'elle a finalement obtenu, laissant Abdallah à la remorque, pédalant avec son slim bien collant et son abaya flottant au vent, jusqu'à la grande route, on se dit que, peut être, la nouvelle génération nous (et leur) réservera des surprises...

    Film à voir absolument, parce que c'est une plongée dans une société qui nous est totalement opaque, et à cause de cet épatant personne de petite fille, tellement tonique -on se dit qu'avec elle et l'héroïne des "Bêtes du Sud Sauvage", ce sont les petites filles qui sauveront le monde....

    J'aimerais bien savoir quel peut être le statut des deux jolies actrices, maintenant que le monde entier a vu leur chevelure, leurs bras, leurs formes? Qui peut me répondre? Sans doute ne sont elles pas saoudiennes et viennent elles d'un pays, comme le Qatar ou Bahrein, aux moeurs assouplies....
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 février 2013
    "Wadjda" est donc le prénom de cette jeune fille de 12 ans qu'on découvre dans son école au milieu de la chorale qui ânonne un chant religieux. La caméra glisse au ras du sol, filmant en-dessous de l'ourlet de la stricte robe longue et grise de l'uniforme scolaire les ballerines et les sandales, pour s'arrêter sur des Converse aux lacets violets. Dans cet univers où tout est fait pour apprendre aux élèves leur devoir de soumission aux hommes et à une morale contraignante, d'emblée Wadjda nous est présentée dans sa capacité à investir à sa façon le peu d'espace de liberté qui lui est laissé. Face à un système oppressant et hypocrite symbolisé par la directrice de l'école, elle sait s'adapter quand il le faut, comme lorsqu'elle s'implique dans le concours de récitation coranique ou qu'elle affirme ne pas avoir vu deux grandes lire des revues occidentales, tout en conservant sa ligne de conduite comme lorsqu'elle répond devant toute l'école à la question que lui pose la directrice sur l'usage qu'elle fera de l'argent de son prix.
    Plaidoyer pour une société plus ouverte, "Wadjda" offre aussi un état des lieux subtil de la condition des femmes saoudiennes, notamment par le biais du personnage de la mère de Wadjda, qui regarde sa fille avec attendrissement ("J'étais comme toi à ton âge"), tout en essayant de lui inculquer des préceptes rétrogrades alors qu'elle même souffre de voir son mari chercher une seconde épouse qui pourra lui donner le garçon qu'elle n'a pas eu. Aux travers des yeux de Wadjda, on découvre les contradictions de cette société, où certaines femmes portent le voile intégral et se taisent pour que leur voix ne soit pas entendue par des hommes, alors que d'autres travaillent à l'hôpital coiffée d'un simple foulard avec des collègues masculins.
    L'espoir de changement est symbolisé par le personnage d'Abdallah, le copain de Wadjda qui se fait mener par le bout du nez par son amie et accepte notamment de lui apprendre à faire du vélo dans une scène très drôle : lorsqu'elle découvre qu'il a mis des petites roues à sa bicyclette, elle se sent humiliée et se met à pleurer de façon très démonstrative ; Abdallah démonte les petites roues, s'assoie à côté de Wadjda et lui dit "10 riyal si tu arrêtes de pleurer". Sans relever sa tête, elle tend alors la main, confirmant le diagnostic que d'autres ont fait : "Tu es dure en affaires...". Wadjda nous est aussi montrée dans des aspects moins reluisants, notamment quand elle va faire du chantage à la dénonciation au chauffeur sans papiers qui refuse de transporter sa mère, illustration discrète de la condition difficile des immigrés qui font marcher l'économie des pays du Golfe.
    La suite sur les Critiques Clunysiennes
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    annereporter94
    annereporter94

    49 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2014
    Film magnifique parce qu'original, surtout venant d'Arabie Saoudite. C'est un peu la vie de tous les jours de ces habitants d'Arabie Saoudite qui, brusquement, se révèle à notre regard ébahi d'Occidentaux. Une révélation!
    Eldacar
    Eldacar

    48 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2013
    Officiellement premier film saoudien, "Wadjda" mériterait d'être vu rien que pour cette particularité. Nous y est raconté l'histoire d'une petite fille, rebelle et un peu garçon manqué, qui rêve de s'acheter un vélo, loisir implicitement réservé aux garçons. Contrairement au récent "Les Bêtes du sud sauvage", nous suivons également ici le parcours d'une enfant mais nous ne sommes pas pour autant invités à voir le monde à travers ses yeux. Jamais nous ne plongeons dans un univers fantasmagorique et le spectateur est par conséquent pleinement conscient de la réalité sociale décrite. Car s'il n'est pas dénué de fantaisie, "Wadjda" est surtout l'occasion pour la réalisatrice Haifaa al-Mansour de nous parler de la condition de la femme dans se pays islamiste qu'est l'Arabie-Saoudite. Polygamie, interdiction de toucher le Coran quand on a ses règles, de conduire, pour les jeunes filles d'entrer en contact avec les hommes ou ne serais-ce que d'êtres vues ou entendues par eux..., autant dire que les interdits sont nombreux et contraignants. Et avec une femme derrière la caméra, le film et son discours n'en ont que plus de force.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    43 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2013
    Si l’on n’apprend pas grand chose de neuf sur la condition féminine en Arabie Saoudite, on succombe au charme de cette petite fille rebelle qui refuse le conditionnement d’une éducation coranique étouffante. Ecrit tout en finesse, le film de Haifaa Al Mansour dénonce sans violence ni manifeste politique l’archaïsme de la société saoudienne. C’est finalement plus efficace et plus profond que tous les docu fictions en forme de brulot polémiste. Sans doute fallait-il cette discrétion et cette simplicité pour qu’une réalisatrice parvienne à tourner dans un pays où la méfiance à l’égard du cinéma se manifeste par l’absence de salles de projection. Rien que pour cette avancée on se doit de saluer ce film intelligent et sensible.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 novembre 2013
    L'un des meilleurs films vus depuis longtemps. Pourtant, je traînais des pieds en m'attendant à une énorme louche de bons sentiments, mais il n'en est rien.
    JoRod
    JoRod

    58 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2013
    Première réalisation pour la jeune femme saoudienne sous forme d’indépendance, de liberté et de fraicheur mais surtout d’audace.

    Wadjda est avant tout un grand film de par son intelligence, sa beauté et ses acteurs, tous très attachant en particulier la surprenante Waad Mohammed.

    Cette première réalisation est un hymne à la liberté. Elle fait preuve de beaucoup d’audace, dénonce des choses, mais tout ceci est fait brillamment et de manière très intelligente puisque c’est fait au service d’une belle histoire.

    Tout y est subtilement fait, tout y est délicat, rien n’est convenu, rien n’est trop facile. Elle trouve à chaque fois le ton juste dans ses situations et arrive à émouvoir à chaque instant.

    Tout marche à merveille, la plupart des scènes sont véritablement percutantes. Il faut dire que cette qualité indéniable vient en grande partie de la finesse d’écriture. Son scénario est brillant.

    On l’a dit c’est surtout un très bon film, on sort avec une sensation de découverte et de révolte. Haifaa Al Mansour à travers l’œuvre soulève des questions épineuses et dérangeantes, la cause des femmes en Arabie Saoudite, leurs situations et leurs injustices. Elle montre un courage hors pair.

    Elle le fait de la manière la plus subtile et bienveillante qui soit. Avec humour, fraicheur & émotion mais le plus important sans provocation et avec optimisme. C’est la preuve d’un réel talent.
    La réussite du film tient également à sa jeune interprète principale qui traduit le courage et la volonté. Les seconds rôles sont tous excellents et juste dans leurs interprétations.
    DeltaJordan
    DeltaJordan

    21 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 février 2013
    Grande première que ce film saoudien réalisé par une saoudienne, et une réussite certaine. L'histoire sympathique d'une petite fille qui aimerait s'acheter un beau vélo vert, ses déboires à l'école, un concours de récitation... sauf que la petite fille vit en Arabie Saoudite. Derrière l'histoire donc, un documentaire saisissant sur cette terre de laïcité et d'égalité entre les sexes. A voir ! 4.5/5
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    24 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2013
    Une fable implacable contre l'apartheid sexiste et le conditionnement religieux rétrograde qui en sert de base. Actrices remarquables. Sobre, sans démonstration, ni dogmatisme manichéen, mais uniquement factuel. Et malgré tout empli d'émotion, d'humanité et d'espoir. Une grande leçon de cinéma, politique et social.
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