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    Wadjda
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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 janvier 2014
    À peu de choses près, c'est le même point de départ que le premier Tim Burton (Pee Wee), sauf qu'on est pas aux States! On est plutôt dans ce genre de pays (l'Arabie Saoudite pour ne pas le nommer) où la plupart des mariages sont arrangés, où les femmes (je met deux points parce que la liste est longue) : n'ont pas le droit de conduire - et c'est valable pour les vélos aussi - ni de sortir découvertes, ni de manger avec les hommes (à qui elles n'ont pas le droit de parler dans la rue) ni de mettre de trucs moulants spoiler: (Et merde! diront les optimistes déçu comme moi)
    . Et aussi con que ça puisse paraître la polygamie est autorisée...

    Même si le film se déroule dans cet environnement hyper réac', on étouffe pas une seconde. Sans avoir l'humour qui faisait le sel de Pee Wee (hésitez pas à demander si vous voulez que j'arrête de comparer des films qui ont rien à voir entre eux), c'est assez léger dans la façon de traiter le sujet, ce qui m'a pour le coup rappelé Persepolis. Vous me direz c'est normal, du point de vue d'une gamine.

    Évidemment le vélo, qui représente le Saint Graal, n'est qu'un prétexte pour dénoncer les incalculables injustices en Arabie Saoudite et particulièrement en ce qui concerne les femmes, les vrais héroïnes du film. Elles subissent sans arrêt le système, et on est gêné pour elles, comme lorsque la mère de Wadja doit se trouver un nouveau chauffeur, ou qu'une élève de genre 10 ans montre des photos de son mari deux fois plus vieux qu'elle.

    En bref, c'est un film court mais pas dépourvu d'ampleur, qui fait partie de cette catégorie rare des films "clandestins" qui ont réussi à passer la frontière (qui arrête une mouche en plein vol, vous comprenez, elle portait pas de voile). En lieu et place d'un plaidoyer chiant sur les droits des femmes (et c'est fondamental, rien de misogyne là-dedans je tiens à le dire) j'y ai vu un récit initiatique beau, porté un vent de liberté plus fort que toutes les lois conservatrices possibles. Peace.
    djacno T.
    djacno T.

    37 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2013
    Une histoire émouvante tournée avec beaucoup de conviction. Le regard sincère et le jeu juste des acteurs font de ce film un vrai moment de cinéma. Une très bonne surprise.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 713 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juin 2021
    A quoi ce rèsume "Wadjda" de Haifaa Al Mansour ? A une fillette qui veut dèfier Abdullah, mais qui n'a pas de vèlo pour le faire! Alors Wadjda participe à un concours sur le Coran pour pouvoir s'acheter le fameux vèlo à 800 rials [...] C'est une histoire saoudienne avec un tournage en Arabie Saoudite (Riyad et ses vieux quartiers) et la philosophie de la cinèaste, qui a dû dèvelopper ses compètences par-elle même, est d'offrir le maximum d'authenticitè possible au long-mètrage dans un pays où les cinèmas sont interdits! Mission accomplie de ce côtè là avec des règles, des traditions locales, un naturel et un courage qui donnent le prix à cette oeuvre bien reçue par la critique! C'est vraiment pas mal comme histoire, la gamine joue parfaitement le rôle titre, mais ça manque d'èmotion avec la mère! A dècouvrir...
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 décembre 2022
    Premier film de Haifaa al Manshour, premier film saoudien, premier film réalisé par une femme saoudienne.
    Au moment où elle tournait à l’arrache, son pays l’Arabie Saoudite ne comptait plus aucun cinéma depuis le début des années 80.

    La jeune réalisatrice Haifaa al Manshour a la chance d’avoir un père libéral qui l’a initiée au cinéma, un producteur progressiste et contre toute attente, avec une grande dose de courage, et d’infinies précautions puisqu’elle devait parfois se réfugier dans son van pour filmer afin de ne pas être vue en train de tourner avec des hommes, fussent-ils étrangers, Haifaa al Manshour nous pond un premier film saisissant. Ouf !
    Qui en dit long sur son pays, sur la mentalité de son pays, sur l’ignoble mentalité religieuse de son pays.

    Wadjda est une jeune fille de 10 ans, presqu’une ado tant elle paraît mature qui se démarque par ses chaussures, des Converse (?), son jean, son goût pour la musique occidentale, particulièrement le rock et pour son désir d’obtenir un vélo.
    Une rebelle au pays des interdits.
    Sa chambre elle-même est synonyme de transgression !

    A ce moment du film, le vélo est interdit pour les femmes ou fortement déconseillé (ce qui n’est pas la même chose, je le concède), pour les jeunes femmes. La selle pourrait endommager leur vertu !
    On n’est pas à une sonnerie près (je censure la première lettre, vous avez compris) au pays des Saoud !

    La petite Wadjda veut à tout prix un vélo pour jouer avec son copain Abdallah. Elle veut faire la course avec lui.
    Elle a jeté son dévolu sur un vélo vert, exposé dans une boutique à tout vendre.
    Comme sa maman ne veut pas le lui acheter : « Si tu en fais, tu ne pourras pas avoir d’enfant », Wadjda s’inscrit contre toute attente à un concours de récitation du Coran. Concours qui peut lui permettre d’acheter son vélo puisqu'une prime est annoncée.
    On ne la sent pas emballée à passer ce concours en soi, mais elle est déterminée à le gagner pour s’offrir le vélo.

    Ainsi, la réalisatrice nous invite au fil du récit à découvrir tous les interdits et autres restrictions auxquels les femmes se heurtent dans ce pays.
    Pour être honnête, le spectateur que je suis n’est pas très étonné des maints interdits qui musèlent la femme ; cependant, il reste des réflexions, qui, ici ou là, m’étouffe de sidération, comme ne pas laisser ouvrir le Coran après l’avoir lu au motif que Satan pourrait cracher dessus ; comme les filles qui doivent rester groupées et garder les jambes serrées au motif que Satan pourrait s’y glisser !

    Film instructif et surtout plaisant à suivre malgré les réflexions religieuses (si tant est c’est d’origine religieuse !), interprété avec sobriété par de bons acteurs à commencer par la petite Waad Mohammed dans le rôle de Wadjda, la petite rusée.

    Le cinéma ne peut pas changer le monde, mais « Wadjda » aura permis aux sexe féminin de monter ouvertement sur un vélo ! C’est déjà pas mal me direz-vous…
    Je cite : « La Commission pour la promotion de la vertu et la prévention du vice d'Arabie Saoudite semble l'avoir entendue : elle a décrété que les femmes pouvaient désormais utiliser un vélo à des fins récréatives, mais sous plusieurs conditions : être vêtues avec pudeur, avoir un membre de sa famille de sexe masculin à proximité, ne pas utiliser le vélo pour aller faire les courses, et ne pas pédaler là où il peut y avoir "une forte affluence de passants hommes" ».

    En matière de souplesse, ça reste encore bien raide !
    J’aime bien la commission « de la prévention du vice » ! On se croirait dans une aventure de OSS 117 version Dujardin ! Seulement, là c’est sérieux et triste.
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 050 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2020
    Une très belle surprise que ce film d'une femme saoudienne au service de la condition féminie de son pays, une fenêtre ouverte sur un monde qu'on ne connait que par oui-dire et qui là, nous est montré simplement, celui d'un pays où les femmes sont sous la domination totale des hommes et de la religion, un monde où ce sont les femmes qui par éducation ou instruction qu'elles dispensent à leurs filles, perpétuent cette forme de ségrégation génrérale et dominatrice. On suit Wadjda, une préado, dans sa vie partagée entre sa maman dont le mari est en quête d'une deuxième épouse, l'école à la discipline de fer, et la rue où se déroulent ses jeux avec son jeune ami. Esprit éveillé, indépendant, presque rebelle, Wadjde rêve simplement d'avoir comme lui une bicyclette, le droit de s'en servir et de faire la course avec lui. Comportement progressiste inacceptable par la société, signe de débauche presqu'absolu. Le film oscille entre les scènes d'intérieur où l'on découvre des femmes comme les autres, féminines, à l'aise, elles fument, papotent, se maquillent et le monde de la rue où elle ne sont qu'une forme informe sous leur abaya. Wadjda montre par son aprcours, sa ténécité, son entêtement qui la pousse à s'investir dans un concours de plasmodie du coran et le gagner pour s'acheter le vélo de ses rêves avec le prix, son désarroi quand la directrice de l'école la spolie de son prix quand elle avoue son intention d'acheter un vélo. finalement sa mère, dépitée, humiliée et impuissante face au comportement de son mari, se joint à sa révolte en lui payant ce vélo.
    Une jolie fable, étonnante, bien filmée, bien interprêtée et de plus, un film utile.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 avril 2020
    Belle réussite pour un premier film. Le scénario n'est pas très dense, les moyens limités, mais la belle histoire de la jeune fille au vélo, permet de rentrer dans l'intime des classes moyennes d'une ville loin de Ryad. Il n'empêche que le caractère rétrograde de ce pays dégouline de tous les murs, mais encore plus redoutable avec des gens ordinaires. Le personnage de la directrice d'école spoiler: , castratrice et intraitable,
    permet d'éviter le cliché comme quoi tous les femmes sont maltraitées. Mérite le détour, mais on se sent impuissant devant tant d'obscurantisme. TV vo mars 2020
    pelu
    pelu

    17 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2021
    je suppose que le film a put arriver jusqu'à a nous car il est d une part historique peler film tourner en Arabie saoudite et qui plus est par une femme ...pour le reste malgré une histoire simple bout de vie d une jeune saoudienne on apprend beaucoup de chose du quotidien. tout simplement. chacun se fera son avis pour ma part je resterai touché par la.situation de cette fille qui est semblable à toutes les autres , endoctrinés, Esclaves d une religion alors que une petite fille de son âge ne rêve que de vivre de faire du vélo écouté de la musique s habiller.... au contraire tout est fait pour la rabaisser machine à détruire les rêves, les femmes.... sur fond d hypocrisie et polygamie, d une école qui instrumentalise ses enfants des le plus jeune age , de la misogynie ambiante et de la figure paternel absente...cette petite wadja est forte et devient femme avant de vivre sa vie de petite fille.
    mis à part le portrait de ce quotidien de cette société saoudienne le scénario s avère très simpliste voire peu intéressant on s attache juste a la relation avec son petit camarade ou sa maman du courage et de sa malice de son côté rebelle mais au final il manque un élément accrocheur pour en faire autre chose ,un rythme très linéaire très lent... au final le sujet est intéressant
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 mars 2013
    Immense coup de coeur pour ce film pudique qui présente avec une grande simplicité et une grande intelligence une tranche de vie: celle d'une enfant de 10 ans dans l'Arabie Saoudite contemporaine. Elle souhaite avoir un vélo. Ce fait paraîtrait anodin dans un pays comme la France, mais revêt une dimension autre dans son pays. Pour cela, elle est prête à travailler dur pour remporter un concours de récitation du Coran qui lui permettrait de s'offrir ce vélo. L'occasion alors pour le film de nous révéler le quotidien des femmes en Arabie Saoudite, qu'elles soient adultes (la mère de Wadjda est un personnage fortement présent, ainsi que la directrice d'école très stricte et à cheval sur le respect de la morale) ou enfants. Malgré le constat difficile qui nous est dressé, aucun pathos dans ce film qui se veut tout sauf larmoyant ou moralisateur, mais au contraire, une certaine énergie et une fraîcheur chez ces femmes qui n'existent pas aux yeux de la société dans laquelle elles évoluent. La jeune actrice qui interprète l'héroïne est éblouissante. Un grand film comme on aimerait en voir plus souvent.
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2013
    L'histoire d'une fillette dans un pays islamique s'est déjà vu, on pourrait citer "Osama" (2003) ou "Le cahier" (2007) pour les plus marquants. Mais cette fois-ci ce film, salué au festival de Venise, marque l'Histoire d'un point de vue assez unique ; le premier film 100% saoudien et réalisé par une femme ! Avouons que rien que ça mérite un détour, surtout lorsqu'on sait qu'il n'existe aucun cinéma en Arabie Saoudite. Une fillette désire acheter un vélo pour gagner une course contre un ami... Un prétexte simple (comme "Le cahier"...) qui permet à Haifaa Al Mansour de montrer le quotidien du sexe "faible" en Arabie Saoudite. Avoir ses règles est honteux, les femmes mangent à part des hommes, les femmes doivent éviter de trop parler aux hommes, une fillette ne peut pas faire du vélo car ça rend stérile... etc... Si on connaissait plus ou moins tous ces paramètres ce film en montre toute la dimension stupide dans un film proche du documentaire. Le point de vue féministe est d'autant plus étonnant que ce film semble avoir passé la censure. La force du film est toute l'intelligence et la finesse de la réalisatrice. Tout en instillant ses idées féministes elle évite le pamphlet frontal et évite de juger directement les hommes. Aucun manichéïsme grâce à un époux/père aimant, non violent qui est lui aussi sous le joug du devoir, celui d'avoir un fils, tandis que le copain de Wadjda est adorable ; notons qu'on évite aussi l'écueil souvent automatique des autres copains moqueurs. Le seul point faible reste la mise en scène, peu inventive, très académique. Si le message de Liberté et de tolérance est magnifiquement démontré la réalisatrice se veut aussi réaliste avec une fin mi-figue mi-raisin. Bon point pour la jeune Waad Mohamed tout en malice et tenacité. Un beau film, nécessaire sans aucun doute pour son pays d'origine mais sur la forme d'autres films sont bien au-dessus ; la seule originalité étant d'être un film saoudien réalisée par une femme. Il faudra attendre le prochain film pour savoir si Haifaa Al Mansour sera une future Hana Makhmalbaf.
    ffred
    ffred

    1 698 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2013
    ...Le film fait le tour des festivals et reçoit toujours le même accueil triomphal. Non pas qu'il soit un chef d'oeuvre, mais il fait forcément figure de symbole. Malgré tout, c'est très bien fait. Haifaa Al Mansour a réussi à braver toutes les interdictions et toutes les difficultés pour nous faire découvrir ce quotidien des femmes saoudiennes à travers les yeux d'une petite fille de dix ans...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-wadjda-114426956.html
    velocio
    velocio

    1 303 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2013
    "Wadjda" est le premier film 100 % saoudien et il a été réalisé par une femme ! Dans la phrase qui précède, il y a 2 faits qui font de ce film une espèce de miracle : il n'y a pas de cinéma en Arabie Saoudite et la condition des femmes est absolument catastrophique. C'est d'ailleurs ce que Haifaa Al Mansour nous montre avec talent en nous racontant l'histoire d'une jeune adolescente de 12 ans qui rêve d'acquérir un vélo pour faire la course avec son copain. Têtue, opiniâtre, Wadjda se bat face à ses parents, face à la directrice de son école. Haifaa Al Mansour, on s'en doute, a rencontre pas mal de difficultés pour tourner ce film qui nous en apprend beaucoup sur son pays. On y voit, on y entend des choses qui ne peuvent que nous révolter. Toutefois, on peut se demander si ces énormités, par contre, peuvent révolter le saoudien moyen ! En tout cas, un film au niveau des 2 meilleurs films iraniens racontant la vie des adultes au travers d'histoires enfantines : "Bashu le petit étranger" et "Delbaran". voir critique complète sur www.critique-film.fr
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 avril 2020
    Réalisée par une femme, un film sublime et percutant qui aborde courageusement le thème difficile de la condition féminine en Arabie Saoudite grâce à un récit simple mais riche.
    Une petite merveille interprétée par une jeune actrice pétillante.
    vidalger
    vidalger

    321 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 novembre 2013
    Ce premier long métrage saoudien est plus remarquable par le fait qu'il aborde un sujet politiquement et socialement délicat dans une société phallocratique et dominée par une religion peu progressiste, que par ses qualités proprement artistiques. Les comédiens sont éminemment sympathiques et aimables, mais leur jeu reste proche de l'amateurisme. La réalisatrice n'a visiblement pas disposé de moyens importants et le film s'en ressent un peu. Pour autant, on sait gré à Haiffa Al Mansour de nous entr'ouvrir la porte de ce monde méconnu et on apprécie que le discours soit énoncé sans effronterie ni manichéisme.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2013
    Un joli film, sobre, digne, et d'une belle portée féministe. Souhaitons longue vie au cinéma saoudien.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 mars 2013
    Contrairement à ce que l'on pourrait croire, le premier film saoudien n'est pas un déballage bling-bling. Filmé par une femme, le film raconte l'histoire simple et touchante d'un bout de femme têtue, tenace, et nullement impressionnée par sa condition féminine bridée. Avec une écriture subtile et une mise en scène efficace, la réalisatrice offre un voyage lumineux qui rafraichit le paysage cinématographique, et surprend malgré le choix d'un sujet plus qu'éculé. L'interprète du rôle-titre est une clé de la réussite de ce joli premier film. Bien au-delà du simple enfant-gadget, l'interprète de Wadjda compose un vrai personnage et rayonne dans un casting formidablement bien pensé. une vraie révélation à tous les niveaux et une excellente surprise.
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