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    Steve Jobs
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    354 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 mars 2016
    Je suis allée voir ce film pour les acteurs, Winslet et Fassbender, et je n'ai pas été déçue ! Quelles performances (y compris les rôles secondaires) ! Le film est rythmé de dialogues frénétiques, d'un montage dynamique, qui retrace la vie professionnelle de Steve Jobs (ses relations, son ambition, ...) et personnelle (son caractère égocentrique, sa relation avec sa fille, ...), dans le décor des coulisses des évènements créés par la sortie des nouveaux produits Apple. Ca va parfois trop vite (comme la scène qui juxtapose deux conversations entre deux mêmes personnes mais à deux époques différentes) et les dialogues sont quelques fois trop techniques pour la novice en informatique que je suis.
    _domimi_
    _domimi_

    10 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2016
    Théâtral dans sa mise en scène comme dans son interprétation. 3 scènes clés de la vie d'un personnage complexe. Captivant.
    benzinemag.net
    benzinemag.net

    30 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2016
    Loin du biopic hollywoodien traditionnel, ce long métrage, librement inspiré d’une biographie du journaliste américain Walter Isaacson, et brillamment dialogué par Aaron Sorkin (The Social network) met en scène Steve Jobs dans un film aux allures théâtrales, découpé en trois actes assez identiques qui se déroulent quelques minutes avant les fameuses keynotes, ces cérémonies clinquantes présentant les nouveaux produits Apple dans d’immenses salles... ici en l’occurrence pour le lancement des ordinateurs Macintosh (1984), Next (1999) et iMac (1998).

    A chaque fois, la scène se déroule dans les coulisses et présente Steve Jobs dans des discussions très longues et souvent très tendues avec ses proches (sa femme, sa fille, sa collaboratrice ou encore son ennemi intime, Steve Wozniak, avec qui il inventa le Mac dans son garage), révélant au fil des minutes la personnalité complexe (manipulateur, dominateur, cynique, mégalomane, antipathique…) de cet homme, pas forcément doué en informatique mais fin stratège, présenté un peu comme un chef d’orchestre dont il revendique d’ailleurs la stature à un moment dans le film.
    Si cette nouvelle réalisation de Danny Boyle peut paraître répétitive, surtout si l’on ne maitrise pas les codes de l’informatique, elle reste néanmoins très agréable à regarder, avant tout pour les joutes verbales auxquelles se livrent tous ces personnages pas forcément très glamour, mais aussi pour le jeu très convaincant de Michael Fassbender et des acteurs qui l’entourent (Kate Winslet).
    Une bonne surprise, donc, malgré une fin un peu facile et dont le ton ne colle pas trop avec le reste du film.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2016
    Une biographie qui s'intéresse au début de la carrière de Steve Jobs. Danny Boyle se focalise et joue sur la personnalité de Jobs, personnage atypique et assez dur, et sur son introspection en tant que père.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 mars 2016
    Projet avec fincher dans continuité de "social network" (cette technologie plait dans le sens qu'elle repose sur les failles humaines de son concepteur), redondance avec moins d’efficacité (le personnage steve jobs est plus complet que mark zukerberg), du coup truffés de "trucs" scénaristique. Fincher quitte le bateau, projet abandonné à une autre maison de production (personne ne viendrait abandonner un projet du "grand serkin"), Danny boyle y rajoute ses idées avec le manque de finesse et la gratuité qui le caractérisent mais, c'est ça le pire, sans cohésion avec celles du scénario, résultats les idées se soustraient au lieu de s’additionner. A l'image de son personnage, le film fourmille d'idées de chacun de ses participants mais reste trop dans la pause. Creux et vain. Seule idée qui reste: le choix de Fassbender et de son étrange aura de star qui lui permet de travailler un steve jobs tout en abstraction.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 mars 2016
    Façon très intéressante d'aborder, de raconter la vie de Steve Jobs au travers de trois étapes clés de sa carrière. Michael Fassbender,Kate Winslet: comme d'habitude... très bons!
    Vincent T.
    Vincent T.

    27 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2016
    Après les 8 salopards, nouveau film qui enchaine les dialogues à la chaine, 2h10 de dialogue (de l'art).

    Ces 3 événements, on les suit dans les coulisses avant le lancement des produits (quelques flashbacks quand même) alors le film ne fonctionne pas au box-office a cause de cela, car les gens disent "ouai c'est du théâtre filmé" eh bien je ne pense pas, il y a d'excellentes idées de réalisation (toujours le bon cadre ou le bon angle) et il y a un plan sur fond de pluie durant un conseil d'administration MAGNIFIQUE.

    On suit la relation de Jobs avec Steve Wosniak, le PDG d'apple et sa "fille caché" sur 15 ans menée d'une main de fer par le réalisateur avec des dialogues ciselés et des joutes verbales cinglantes.

    Ça parle de révolution numérique, marketing, vision du monde tout en peignant le portrait intime de Jobs (mégalo, manipulateur, visionnaire, inadapté ou pas, tout dépend de votre vision sur ce portrait psychologique),
    - en effet certains disent que le film vomi sur Jobs et d'autres que c'est un film propagande sur un homme populaire mais incompris, ça fait partie de la richesse du film, cette ambiguïté.

    Un trio de haut volé est réunis, Michael Fassbender (le tournage avait commencé à Christian bale puis il est parti pour info), Kate Winslet et Seth Rogen fonctionnent et il est excellent.

    Le cinéphile, le fan d'apple et celui qui aime analyser un homme ou un nom aimerons ce film, le spectateur lambda aura du mal à adhérer.
    Septième Sens
    Septième Sens

    86 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2016
    Qui se cache derrière l’une des personnalités les plus importantes du siècle ? Réalisateur d’objets pop, complexe et sulfureux, Danny Boyle s’est entouré de l’excellent scénariste Aaron Sorkin (déjà auteur du majeur The Social Network) pour livrer sa nouvelle création, sobrement intitulée Steve Jobs.

    Trois dates et rien qu’une poignée de personnages pour tenter de percer le mystère Jobs. Voilà le beau pari que s’est donné ce tandem. 1984, 1988, 1998. Trois actes décisifs dans la carrière de l’américain, correspondant aux lancements de Macintosh 128K, NeXT Computer et l’iMac. Pour chacun de ces évènements, le cinéaste s’invite dans les coulisses du spectacle pour capter les quelques minutes précédant les discours de l’entrepreneur. Sa fille Lisa, le PDG d’Apple ou son ancien associé viennent alors l’affronter dans des joutes verbales physique, âpre et sans interruption.

    Steve Jobs n’est pas un biopic, mais une vraie création artistique avec un parti-pris affiché. Sans jamais flatter gratuitement le businessman, Boyle dresse un portrait intimiste de celui-ci en ne s’intéressant qu’à quelques angles de sa vie. Accompagnées d’une nappe musicale aussi discrète qu’omniprésente, les séquences défilent sans temps mort et essouffleront certainement plus d’un spectateur. Ici, l’action ne se situe pas dans le geste, mais le verbe. Tout n’est que manipulation, argumentaire et compromis dans ce microcosme où des enjeux essentiels semblent se jouer.

    Kate Winslet, humaine et attachante, affole un récit aux nuances agitées. Avec ses nombreux compte-à-rebours indiquant à Jobs que son discours approche, elle bouscule le public et dynamise ses attentes. Face à elle, Fassbender emploie encore son charisme malveillant à des fins fascinantes. Nerveux, tourmenté et paradoxalement totalement certain de ce qu’il fait, le germano-irlandais incarne avec une intelligence juste ce personnage démentiel.

    Avec ses plans ultra-précis, décadrés et une mise en scène inspirée, le réalisateur de 127 heures livre une œuvre hybride, à la frontière entre le drame psychologique et la comédie sarcastique. Tous montés d’une main de maître par Harris (déjà instigateur du labyrinthe cérébral de Trance), les ellipses, les retours dans le passé et les flashs temporels édifient le mystère de ce mythe. D’où cette ambition débordante et cette soif de pouvoir peuvent-elle venir ? La réponse prend sens dans chaque pièce du puzzle de Steve Jobs. Elle est multiple et forme un tout.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 8 mars 2016
    franchement se film,la vérité c'est ennuyant du début a la fin,de bon acteurs mais les dialogues sont longs....
    pourtant se sujet parle d'un visionnaire qui a marquer le temps alors on est en droits d'attendre plus du film
    Francois V.
    Francois V.

    4 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2016
    Si l'interprétation du de steve jobs n'est pas forcément celle qu'on attendait, Michael Fassbender est totalement convaincant dans son rôle de génie visionnaire mais complètement invivable. Malgré une très grande intelligence dans son domaine, est en fait incapable de gérer et même comprendre ses propres émotions, car son intelligence lui a permis de les écarter à chaque fois qu'il aurait dû les affronter.
    Sébastien L
    Sébastien L

    11 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2016
    Un film très bien foutu, avec un découpage surprenant mais sympa quand même. J'ai bien aimé l'idée de faire le focus sur le lancement de trois produits plutôt que de se pencher bêtement sur la vie complète du personnage de son adolescence à sa mort. J'ai bien aimé aussi le fait que pour une fois, Steve Jobs ne soit pas mis sur un piédestal, mais qu'il soit présenté comme un humain avec quelque qualités mais aussi beaucoup de faiblesses (surtout des faiblesses, le seul personnage que je détestait encore plus que Jobs lui-même était son ex-femme). Les acteurs sont tous excellents, principalement Kate Winslate, que je trouve encore une fois remarquable. À la limite, Michael Fassbender est certes très bon, mais il nous avait habitué à encore mieux que ça je trouve.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 mars 2016
    Très déçu du film je ne m'attendais pas du tout a ça. Les scènes intéressante sont trop peu nombreuses et le film est long très long, ennuyeux. Le film ne tourne autour que de disputes et d'histoires de famille certaines scènes ce passent dans la même pièce on ils s’engueulent et c'est long.
    Le coté informatique, progrès, innovation, présentation et beaucoup trop mis de coté.
    Post-xMoVie
    Post-xMoVie

    9 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2016
    Danny Boyle et Aaron Sorkin nous présentent ici ce qui semble être le deuxième volet de la trilogie sociale entamée par The Social Network, mais cette fois pour parler de l’énigmatique pionnier d’Apple, Steve Jobs. Biopic volubile très sobre, qui fouille la conscience de cet homme ingérable qui a mis vingt ans avant de reconnaître sa fille, on le découvre à trois moments de sa vie, avant les lancements du Macintosh, du NeXT et de l’IMac. Un film qui parle avec fulgurance d’un cerveau mathématique et radical.
    Il y avait eu un biopic de Jobs en 2013, mais on a préféré ne pas en parler. S’il était académique et poussif, celui de Boyle est beaucoup plus rythmé. En fait, sa force réside dans une propension à la parole omniprésente. Les dialogues constituent le matériau principal, de telle sorte qu’ils transforment le film en une pièce de trois actes, cadencée, calibrée par les joutes verbales, les disputes, les idées jetées comme dans un jeu de poker. C’est une effervescence sociale qu’engendre la vision du co-fondateur d’Apple : angoissé, odieux, bourreau de travail et de ses employés, à la fois philanthrope et méprisant, ce personnage nous apparaît paradoxal, propre au théâtre. Michael Fassbender le joue sans trop de recul ; il se plonge presque naturellement dans la peau de ce génie qui – petite anecdote – a nié sa paternité. On le découvre sous un angle plus personnel et forcément, plus intéressant. Peu importe si il y a une part d’invention, une fin hollywoodienne un peu niaise, l’ensemble tient la route, dans une reconstitution d’époque ingénieuse qui change de photographie après chaque ellipse. Tous les personnages ont leur carte à jouer. Le trio formé par Joanna, Woz et Sculley est lui aussi passionnant, tant par son obstination, sa résistance que par la présence que chacun d’eux marque à l’écran. Côté protagonistes, le casting reste irréprochable.
    Cependant, il n’est pas omettre que le film présente des défauts. Certes, ils ne sont pas flagrants ni gênants mais empêchent de sentir devant l’écran une certaine aisance. A savoir le script, justement. On ne va pas reprocher à Aaron Sorkin sa verve régulière et efficace, pourtant le fait qu’elle ne se calme jamais (au contraire !) manque par moments de nous perdre. Ca parle trop tout le temps, ça déborde, et les sujets de conversation ne sont pas souvent clairs. De plus, les acteurs n’ont pas le champ libre pour exprimer d’émotions : c’est sous un mur de répliques qu’ils enfouissent les sentiments de leurs personnages. Kate Winslet n’a jamais paru aussi sobre, aussi sévère dans son regard et son ton. Jeff Daniels, de même. Il n’y a que Seth Rogen qui traîne sa rancune et son indulgence derrière des regards de soumis qui changent assez vite. Le problème, dans tous les cas, ne vient pas de la mise en scène ; tout est très bien calculé, réglé afin de faciliter la compréhension du spectateur, avec de longs plans-séquences, tous de trois quarts d’heure. Il y a de jolies trouvailles en terme de lumière, de contrastes, puis cette manière de filmer le public comme des fidèles devant leur idole a quelque chose de religieux, d’hystérique face à un homme si controversé en coulisses. Somme toute, c’est une certaine artificialité qu’on pourrait reprocher à Steve Jobs car certains échangent sentent ceux qui comblent les temps morts. Mais bon…on oublie vite ce petit détail quand on voit ce visionnaire disparaître dans le flou. Dans la société.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 mars 2016
    Le film est prenant, preuve d'une très bonne réalisation et du grand talent des acteurs. On reste un peu frustré de n'avoir finalement découvert Steve jobs qu'au travers son comportement lors de trois lancements et dans sa relations avec son ex et sa fille. C'est pourtant peut être ce qui fait la dynamique du film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 mars 2016
    Bien que le sujet ne m’intéressait pas particulièrement à la base, la démarche de réalisation de Danny Boyle m’a maintenu dans le film de bout en bout. On peut en effet se réjouir de voir qu’il est aujourd’hui encore possible de réaliser un biopic en faisant preuve d’un peu d’originalité dans la réalisation ! Celui-ci bénéficie en effet d’un intelligent découpage en trois actes qui se font échos, chacun étant tournés de manière à illustrer la montée en puissance du personnage, notamment par une progression dans la technique de filmer (on part d’un résultat presque « amateur » pour finir sur une image quasiment parfaite). Les acteurs sont tous très bons, et l’on voit que Michael Fassbender s’est énormément investi dans son personnage pour arriver à nous transmettre ses émotions et sa façon de pensée d’une manière aussi juste. Le montage est quant à lui très efficace, dosant parfaitement les dialogues, la musique et la mise en scène pour faire monter la tension quand il le faut (on retrouve ici la patte d’Aaron Sorkin). Cependant, je trouve que le soufflet retombe souvent trop vite, à tel point que je m’interroge sur la réelle utilité de ces effets. De plus, le film est légèrement trop verbeux à mon goût, les dialogues revenant sans cesse sur les même sujets sans que le personnage ne semble démontrer une évolution personnelle significative. On finit alors par tourner un peu en rond… Je conseillerait donc le film avant tout pour ce qu’a réussi à en faire Danny Boyle en terme de réalisation, ainsi que pour le jeu de Fassbender (assurément un des tous meilleurs acteurs du moment). 15/20
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